Gisèle avait 66 ans. Elle avait eu une enfance où l’éducation qu’elle eu l’amena à prendre la voie de la chasteté. Elle devint religieuse jusqu’à ce jour. Elle venait de se faire virer purement et simplement du couvent. Elle n’a jamais évoqué la raison.
Elle mesurait un mètre 70, avait des cheveux bouclés gris, une forte poitrine, et toujours habillée de gris. Son visage était marqué par les âges.
Elle venait d’aménager chez son neveu, puisque aucune de ses sœurs n’avait voulu l’héberger.
Franck logeait sa tante depuis maintenant 1 mois. La situation s’est fortement dégradée, Gisèle étant excessivement pénible à vivre, d’après les termes de Franck.
Ce soir, Carl est venu à la maison.
Carl est le dealer de Franck. En ce moment, ce dernier a du mal à lui allonger l’oseille, le marché se trouvant au plus mal, la résine séchant plus vite que ne puisse l’absorber les jeunes.
Carl était fort mécontent, car après avoir réduit les fréquences de ses passages mais aussi les doses, Franck n’arrivait plus à rembourser. Ils avaient conclu un marché : Carl venait et pouvait disposer de Gisèle pendant le temps qu’il le désirait.
Le souci, s’est que la principale intéressée n’était pas au courant. Mais l’affaire fut rondement menée, et la Gisèle embarquée et ramenée à la maison de Carl.
Gisèle était assise dans le canapé un peu rapé de Carl. Elle avait posé un sac de toilettes à ses pieds et attendait la suite, se sentant désormais à la disposition du maître des lieux, Carl. Il donna ses premières consignes :
Bon, tu te déshabilles, de suite.
Gisèle crut avoir mal entendu.
Pardon ?
Tu te fous à poil, la vieille et tu la fermes, tonna Carl.
Gisèle sentit qu’il ne fallait pas provoquer cette puissance et opta pour la soumission, même si elle ne comprenait plus trop grand chose.
Dans la salle de bains ?
Non, ici, devant moi, je vais t’ausculter.
Gisèle crut avoir mal entendu. Mais elle capitula. Elle se dressa et ôta sa veste, puis son gilet, sa jupe et se retrouva en soutien-gorge et culotte devant Carl, les bras devant son bassin.
En grognant, Carl s’approcha et donna un coup de pied dans le tas de vêtements.
Enlève aussi ton soutif et ta culotte !
Gisèle se résigna et fit apparaître ses seins et son pubis. Elle baissait les yeux se sentant morte de honte.
T’es une ancienne religieuse, d’après ce que m’a dit Franck ?
Tout à fait ! répondit-elle, se sentant donc rassurée.
Bon, assieds-toi dans le canapé, je vais voir si tu es encore pucelle.
Gisèle crut défaillir. Elle manqua de s’allonger sur le sol en s’asseyant sur la canapé.
Ecarte les cuisses !
Gisèle ferma les yeux et écarta ses cuisses grasses. Elle dévoila son barbu et ses lèvres intimes. Carl se laissa glisser entre ses jambes et approcha son nez du sexe de la pauvre femme.
Voyons voir çà !
Il tripota le sexe de la malheureuse et écarta ses lèvres intimes. Il glissa un doigt dans son sexe et Gisèle se tendit.
Je suis vierge, je vous répète ! souffla-t-elle.
Carl grogna en constatant qu’il touchait bien une membrane au milieu de la mouille qui lui envahissait ses doigts.
Bon, tu ne t’ai jamais pris une bite dans la chatte, alors ?
Je suis vierge monsieur !
Et dans le cul ?
Gisèle ne répondit pas et baissa les yeux.
Ah ! c’est çà ! par derrière, c’est toléré !
Vous ne savez pas ce que vous dites ! pesta Gisèle.
Expliquez-moi, alors ? Avez-vous déjà fait l’amour par le cul ?
Gisèle ne répondit pas.
Bon, qu’importe, tourne-toi et mets-toi à quatre pattes, je vais te le faire le cul, moi !
Il attrapa Gisèle par les bras et la fit pivoter pour la caler dans la canapé. Il lui mit sa tête dans les coussins et la fit cambrer de manière et libérer la corolle brune de l’anus. Elle gigotait et voulait s’échapper, mais le poids de Carl l’étouffait. Il lui écarta ses fesses et lui mit un doigt dans son anus. Il pénétra sans trop forcer jusqu’à la garde. La pauvre femme se tendit comme un arc en lâchant un cri. Carl, ayant vissé son majeur dans l’orifice de Gisèle, s’acharna à le lui agrandir. Puis il libéra son sexe gonflé et appuya pour glisser le gland dans l’anneau serré de l’anus. Gisèle hurla. Carl poussa plus fort et tout doucement s’enfonça jusqu’aux couilles.
Et voilà ! Tu l’as jusqu’aux couilles, ma vieille. Désormais tu n’es plus pucelle. Prépare-toi, tu vas en prendre plein le cul !
Six mois avaient passés.
Gisèle avait réussis à s’échapper de l’emprise de Carl. Il ne l’avait pas trop maltraitée et avait conservé son pucelage. A présent elle faisait la manche devant un supermarché et proposait ses charmes aux clients. Parfois quelques petits vieux acceptaient des petites gâteries pour 5 euros.
Philippe avait quinze ans, et une furieuse envie de se taper une femme. Il regardait souvent des films de cul et voulait faire la même chose. Il avait eu vent qu’une personne proposait des petits moments coquins pour quelques euros. Il décida d’aller se renseigner. Il vit Gisèle engoncée dans un manteau râpé à l’entrée du magasin.
Pardon, madame, s’est combien ?
Gisèle sursauta et fixa Philippe surprise.
C’est pas pour toi jeune homme !
Mais j’ai de quoi payer !
Gisèle le dévisagea.
Tu as combien ?
J’ai quinze euros…
Et tu veux quoi ?
Qu’est-ce que vous me proposeriez ?
C’est pas grand chose, euh…
Je suis encore puceau, je n’ai jamais touché les seins d’une femme…alors ?
Me toucher les seins ?
Oui, ils sont gros et j’adorerai vous les têter…
Gisèle réfléchis.
Soit, accorda-t-elle.
Je vous suis, renchérit Philippe.
Gisèle fit pénétrer Philippe dans son studio, sous les toits d’un HLM. Elle le fit asseoir et ôta son manteau.
Tu me règles de suite ?
Oui, dit Philippe en lui tendant trois billets de 5 euros.
Merci.
Elle enleva son gros pull et se retrouva en soutien-gorge devant le jeune homme. Puis elle le fit sauter et approcha des deux mamelles qu’elle agita sous le nez de Philippe.
Allez, 10 minutes !
Il se précipita sur la chair fraîche et malaxa les deux globes blancs. Il attrapa un des bouts de seins avec ses dents et commença à têter comme un nouveau né.
Au bout de dix minutes, Gisèle lui ôta ses mamelles de sous son nez.
Pour combien, pourriez-vous m’initier à l’amour, madame ?
Gisèle resta interdite un moment, le bout des seins brillant à cause de la salive.
Euh, 50 euros, par exemple ?
Avec ce tarif, je peux vous baiser et vous enculer ?
Je ne le fais pas par devant, que par derrière, jeune homme. Je suis encore pucelle moi aussi…
Philippe sentit sa bite gonfler subitement. Se taper cette vieille serait pour lui une belle expérience sexuelle, et en plus que par le cul.
Mais dites-moi, demanda Philippe, si vous ne faîtes que des passes anales, vous devez avoir un trou du cul ou on peut y glisser la main…
Gisèle ne répondit pas. Il ne pouvait pas savoir qu’elle était une ancienne religieuse et qu’elle ne pouvait pas avoir des relations sexuelles.
Bon, lavez-vous le sexe, lui dit-elle.
Philippe se leva et alla au lavabo. Il fit couler de l’eau et fit sa toilette intime. Derrière, Gisèle se déshabilla complètement et se retrouva nue allongée sur le lit. Elle prit dans sa table de chevet un tube de gel lubrifiant, se déposa une noix dans la creux de sa main, et s’onctua son anus. Elle se le malaxa tout en se disant que ce jeune homme n’allai pas lui faire grand mal comparé à la souffrance que pouvait procurer certaine sodomie.
Philippe revint vers le lit, son sexe a demi levé.
J’ai droit à combien de temps ?
Jusqu’à éjaculation, ou bien une demi-heure.
D’accord. Vous pouvez me sucer, avant ?
Si vous voulez, répondit Gisèle.
Elle prit la bite du gamin dans sa bouche et en deux coups de langue, la lui fit dresser pour avoir une belle érection.
Voilà, dit-elle
Elle se mit à quatre pattes, cambra ses reins et mit sa tête dans ses mains.
Allez’y !
Philippe cola son gland à l’entrée brune et envahie de quelques poils bruns. De sa main droite il guidait son sexe et de la gauche il écartait le globe fessier pour étirer l’anus et y glisser son gland dedans. Il poussa le bassin en avant et son gland progressa de quelques centimètres avant d’être envahi d’une douce chaleur.
Continue, pousse, car sinon tu vas pas pouvoir entrer. Allez pousse, vas’y !
Philippe poussa en avant et il sentit quelque chose lâcher dans le cul de Gisèle, il s’enfonça dans ses entrailles. Il regarda ses couilles collées au cul de la vieille. Philippe fit des va et vient et la secoua dans tous les sens. Gisèle hurla :
Doucement, tu vas m’arracher les boyaux ! !
Philippe ralentit son rythme et les cris de souffrance de la vieille s’atténuèrent. Il saisit ses seins et les malaxa durement. Enfin, il enculait une femme ! Philippe était ravie et puis cette conne ne savait pas qu’il n’avait plus un sou sur lui. Cette vieille peau n’aurait pas un sou de lui.
Tiens, je te casse le cul, vieille salope ! Tu vas jouir par le cul tellement je te le lime ! ! Tiens ! Tiens et tiens ! Vieille peau !
Gisèle avait subitement envie que cela finisse. Philippe sorti sa bite du cul qu’il venait de perforer et l’observa.
Tu as le trou complètement éclaté, la vieille !
Il replongea son sexe dans le trou du cul et finit par jouir.
Il s’enleva et alla se nettoyer au lavabo. Gisèle s’enfuit dans ses toilettes. A son retour, Philippe avait disparut. Il fallait retourner au supermarché pour le retrouver et se faire rembourser, où se taper un autre type, il faut manger ce soir.
Philippe rentra chez lui.
Sa mère l’attendait.
Son père était au boulot, il était fils unique. Sa mère le surveillait car elle avait peur qu’il fasse des conneries. En fait en entrant, Philippe était dans un état extrême d’excitation. Il savait que sa mère était faible moralement, il avait d’ailleurs pris le dessus.
Tu étais où ? cria-t-elle.
Ferme-la ! Monte dans ma chambre, j’ai à te parler !
Interloquée, Maryse suivit son fils. Elle avait 55 ans, de gros seins et un gros cul. Elle était petite, brune et mettait souvent des habits sexy. Aujourd’hui, elle avait mit un joyeux décolleté noir et une mini-jupe blanche. Avec ses escarpins, elle gagnait dix centimètres.
Il entra dans sa chambre et s’assit sur son lit. Maryse prit place à côté de lui et croisa ses jambes.
J’ai été tirer mon coups, maman, aujourd’hui.
Ah ? Avec qui ?
Et bien, la Gisèle, celle qui fait la manche devant le supermarché. Le soucis, c’est qu’en fait, je ne l’ai pas baisée. Elle est vierge ! je l’ai donc enculée. Mais maintenant, je voudrais baiser et enculer une femme.
Ah ?
Tu m’excites, tu peux te déshabiller ?
Mais attends, tu es mon fils !
Et qui le sauras ?
Tu perds la tête Philippe ou quoi ?
Ecoute, commence à te déshabiller, et je fais de même. Au moins branle-moi ! Tu ne peux pas me refuser une branlette ?
Et pourquoi faut-il que je me mette nue, alors ?
J’aime te palper tes gros seins !
Maryse et Philippe se mirent nus. Philippe avait toujours une belle érection. Maryse lui saisit son sexe et commença à la branler. Il s’allongea sur le lit et se laissa faire, jouant avec les seins aux auréoles énormes. De tous les films de cul qu’il avait vu, aucune nanas n’avaient les seins de sa mère. Ils tombaient certes, mais ils étaient vrai et les auréoles avaient la couleur du tabac. Il glissa un doigt dans le sexe de sa mère, qui ne dit rien. C’était tout humide là-dedans. Il avait envie de la baiser.
Allez, dit-il, j’ai envie de t’enfourner. Allonge-toi.
Maryse obéi immédiatement et s’allongea sur le dos, puis écarta les cuisses. Philippe vit le sexe épilé de sa mère sous son nez. Il posa son gland à l’entrée de la vulve et poussa. Il s’enfonça délicieusement dans une chaleur exquise. Que c’était bon l’interdit.
Il pilonna sa mère de longues minutes tout en jouant avec ses seins.
Cà te plaît, mon chéri ?
Oh oui, alors, répondit Philippe. C’est mieux que avec Gisèle !
T’iras plus la voir, alors ?
Et bien, si tu te laisses enculer comme elle, non, pas vraiment !
Oui, mais çà fait mal, se faire enculer…
Tu le fais bien avec papa ?
C’est pas pareil…
Comment çà ?
Il est plus doux, et j’ai moins peur qu’avec toi…
Tu as peur de quoi ?
Que tu me fasses mal.
Je ne te ferais pas mal, maman. Bien au contraire, je voudrais te faire jouir par le cul !
Les femmes ne jouissent pas par derrière, Philippe !
Pourquoi se font-elles enculer, alors ?
Pour faire plaisir à leur amant, c’est tout.
Bon, tu veux bien me faire plaisir, alors ?
Doucement, c’est d’accord.
Maryse changea de position, et se mit à quatre pattes parterre. Elle cambra ses reins et Philippe vint se positionner derrière elle. Il enfonça son gland dans le trou de la pauvre Maryse qui hurla de douleur.
Tu me fais mal ! Hurla-t-elle.
Ca va aller, dit Philippe.
Non !Non !Non ! Sors-toi tu m’arraches les boyaux !
Philippe n’en avait cure des protestations de sa mère. Il se sentait agréablement bien dans ce fourreau accueillant. Il faisait son petit va et vient et quelques bruits de succions venaient seulement perturber cette étreinte. Maryse faisait la grimace car le pieu qui lui transpèrçait ses chairs, c’était celui de son fils.
Que c’est bon de faire l’amour, se dit Philippe. Il bourrait ce trou du cul depuis un moment sans entendre les hurlements de sa mère et il sentait qu’il allait venir lorsque un bruit lui fit lever la tête : son père venait d’entrer dans la chambre.
La position et la tenue des deux protagonistes étaient sans équivoque.
Je vois que quand je ne suis pas là, on s’amuse, dit Marcel.
Maryse leva la tête et fut effrayée. Philippe continuait ses va et vient, sentant monter son plaisir dans ce fourreau brûlant. Marcel s’approcha de la tête de Maryse et sortit sa queue :
Bien, amusons-nous alors.
Il planta sa bite dans la bouche de Maryse et le suça.
Aaaaah ! ! ! la salope ! elle aime le cul au point de se faire défoncer par son homme et son gamin. Attends, fils on va se la prendre en double…
Marcel glissa sous le corps de Maryse et planta son chibre dans sa chatte. En poussant deux coups, il le lui entra jusqu’à la garde. Maryse poussa un cri d’exclamation : elle se sentait maintenant bien pleine, une bite dans son vagin et une autre dans son anus, et les deux qui gigotaient en même temps. Marcel lui avait gobé un sein et Philippe lui torturait l’autre. Finalement, les deux hommes arrivèrent à leur fin, et Maryse jouissa en secouant tout le monde.
Plus tard, dans la salle de bains, Philippe raconta ses exploits avec Gisèle.
Ce que tu as fait n’est pas correct. Si elle fait ce boulot, c’est aussi peut-être pour vivre. 50 euros aurait pu lui donner à manger pour une semaine et tu lui a privé ce petit privilège.
Je regrette, dit Philippe. Qu’est-ce que je dois faire d’après toi pour m’excuser ?
Je te propose de l’inviter à manger un soir à la maison et on en discutera.
D’accord, répondit Philippe.
Philippe rencontra un mercredi après-midi Gisèle, toujours à l’entrée du même supermarché, avec son même manteau rapé. Il pleuvait et il faisait froid. En s’approchant d’elle, elle le reconnut de suite :
Dites donc, vous ! Mes 50 euros !
Calmez-vous, Gisèle, je viens me racheter !
Vous racheter ? Je m’en fous ! Je veux mes sous !
Je vous propose de passer ce soir à la maison. Mes parents désirent vous voir et procéderont eux-mêmes au remboursement de la dette.
Vous avez dit quoi, à vos parents ? Vous voulez en plus que les flics m’embarquent ?
Pourquoi ?
Et la prostitution ?
Mais non, mes parents veulent vous parler, voilà tout. Ou vous venez pour vous faire rembourser, ou c’est cuit ! Bonsoir.
Le soir même, vers 19H30, Gisèle se présenta à l’appartement où logeaient les parents de Philippe. Elle fut accueillie et invitée à manger avec eux. Ils lui parurent fort sympathiques. Puis la conversation dérapa :
Mon fils vous doit 50 euros, d’après ce que j’ai compris ?
Oui, dit Gisèle.
Le soucis qui se pose, c’est qu’il est mineur et qu’il a 15 ans.
Ca y est, se dit Gisèle, je suis coincée !
Marcel poursuivit :
Donc, si je dépose plainte aux flics, c’est considéré comme viol sur mineur, vous saisissez ?
Gisèle avait parfaitement compris.
Je n’ai pas envie de vous balancer et aux flics, et je ne le ferai que si vous ne faites pas ce que nous voulons. Etes-vous d’accord ?
Ai-je le choix ? soupira Gisèle.
Non, effectivement avoua Marcel.
Il se leva et s’approcha de Gisèle. Il descendit sa braguette et sortit son gros membre déjà en partie bandé.
J’encule rarement ma femme, vous savez pourquoi ?
Vous êtes trop membré ! dit Gisèle
Effectivement, et je veux voir si avec vous ça passe.
Moi aussi je veux voir si ça va passer, dit Philippe en riant.
Marcel plongea sa bite dans la bouche de Gisèle. Elle s’appliqua du mieux qu’elle pu pour humidifier le plus possible ce membre. Puis Philippe et Marcel la mirent toute nue. Ils l’allongèrent sur la canapé et lui écartèrent ses jambes. Alors que Marcel se faisait toujours sucer, Philippe s’approcha de son entre-jambe et plaça son gland contre l’ouverture de son vagin. Il poussa avant que Gisèle ne put se dégager. Il s’enfonça avec délice dans ce sexe inviolé. Gisèle hurla. Elle avait ses cuisses pliées sur le ventre, une bite dans la gorge et une autre dans le sexe. Elle se faisait remuer par les deux hommes et ne pouvait résister à leurs assauts. Puis ce fut au tour du père de la baiser. Longuement, par de longs traits, elle accueillit sans le vouloir son premier orgasme. Elle était inondée de mouille et ne savait plus où elle en était. Elle se retrouva à quatre pattes et prit sa première sodomie. Cela coulissa rapidement, elle se douta que c’était Philippe. Il donnait de grands coups désordonnés, mais ne lui faisait pas vraiment mal. Elle redoutait les assauts du père. Du coin de l’œil, elle le vit sur sa femme entrain de la baiser. Elle voyait cette cheville de chair enfoncée et ressortir, déformant les lèvres intimes. Puis soudain, Philippe plongea sous elle, et l’enfourna dans la chatte. Elle comprit pas de suite ce qui se passait, sauf quand elle sentit Marcel trifouiller dans son trou de cul avec son majeur. Mais c’était trop tard. Il lui glissa son sexe dans son anus. La douleur fut telle, qu’elle s’en évanouie à moitié. Philippe et Marcel lui faisait une double pénétration, et lui remuait toutes ses chairs intérieures. Elle se dit qu’elle ne pourrait plus s’asseoir pendant 15 jours. Une douce chaleur lui envahie le bas-ventre : un nouvel orgasme se préparait. Il fut assez violent et fit venir les deux hommes.
Marcel, le père de Philippe était parti pour le boulot en déplacement. Ce dernier avait pris sa place dans le lit de sa mère. Elle était inquiète de la tournure des évènements. Elle dit ce jour-là, à table, à son fils :
Je pense qu’il faut qu’on stoppe cette relation
Pourquoi donc ?
Mais, tu ne vois pas ? C’est une situation i****tueuse !
Et alors ? Le principal, c’est que je sois épanoui !
Mon chéri ! Ne soit pas bête ! Il te faudra bien trouver quelqu’un avec qui faire ta vie ! Je ne serai pas toujours là !
Peut-être… Ce soir, je peux venir avec un copain, maman ?
Bien sûr !
Bon, je vais faire un tour en ville…
Le soir arriva, et Philippe revint à la maison avec Pierre, un jeune du même âge que Philippe.
Bonsoir madame, dit Pierre à Maryse.
Bonsoir jeune homme.
Maryse se trouvait dans la cuisine, et préparait le dîner.
je te prépare à manger ? demande Maryse à son fils.
Oui, s’il te plaît !
Les deux adolescents s’installèrent devant la télévison, dans le canapé. Du coin de l’œil, Maryse surveillait les deux jeunes. Elle vit Philippe se lever et aller mettre un film. Elle mit de ce temps des pommes de terre dans la casserole d’eau bouillante. Absorbée par son travail, elle ne vit pas les deux ados entrain de mater un film X. Quand elle se retourna, ce fut trop tard. Philippe avait sorti son sexe et se branlait joyeusement. A la télévision, un gros chibre pénétrait la rondelle brune d’un trou du cul. Philippe ajouta à l’adresse de sa mère :
Tu as vu, maman, cette bite ? Elle est énorme, non ?
Coupe ça, Philippe, tu vas me mettre en colère.
Je fais ce que je veux !
Non, tu coupes ce film !
Philippe bondit sur ses pieds, sa queue à l’air.
Non mais tu me donnes des ordres maintenant ? hurla Philippe. Viens ici !
Maryse baissa les yeux, mais ne fit pas un pas.
Viens ici, je te dis !
Cette fois-ci, Maryse s’approcha des deux ados. Philippe se rassit sur le canapé et dit à sa mère :
Et maintenant, suce-moi !
Maryse se mit à genoux et s’approcha du sexe de Philippe. Elle le prit en bouche sous le regard des deux ados. Pour le calmer, et ayant peur de sa réaction, Maryse lui prit sa bite jusqu’au fond. Elle savait que son fils aimait cette caresse. La queue de son fils se durcissait au fur et à mesure de la fellation. Pierre regardait le couple ainsi que la télévision : à présent une femme blonde se trouvait à quatre pattes et se faisait sodomiser par son amant. Philippe capta le regard de son pote.
Tu veux te faire sucer ? lui demanda Philippe.
Je ne dirais pas non, dit Pierre avec un léger sourire.
Philippe fit lever sa mère, puis la déshabilla devant Pierre. Il dévoila les formes généreuses de sa mère, saisi un sein et lui dit :
C’est du naturel, à cent pour cent !
Les deux ados rigolèrent, Maryse se sentait profondément honteuse. Philippe la fit mettre à genoux, pour qu’elle puisse sucer Pierre. Celui-ci se laissa envahir par la douceur des lèvres de la mère de Philippe. Elle le suçait délicatement, certainement pour qu’il aime la caresse que le prodiguait cette femme malgré les circonstances. Pierre lui saisit un sein mou, mais chaud qui posait sur son genoux. Pour lui, c’était sa première expérience sexuelle avec une femme. Pour sa part Philippe avait déjà glissé deux doigt dans le vagin de sa mère. Il le trouva fort poilu.
Dis-donc, il faudra que je t’ébarbe tous ça !
Philippe remuait sa main et arrachait des gémissements à sa mère.
Tu jouis ? C’est pas possible, tu veux qu’on stoppe notre relation, c’est que tu n’aimes pas ce que je te fais !
Philippe voyait que plus il branlait sa mère, plus elle mouillait. N’y tenant plus, il pris son sexe et l’enfila dans la chatte de sa mère. Jusqu’au fond. Maryse beugla, la bouche pleine du sexe de Pierre. Puis sans se préoccuper du reste, il baisa tranquillement. Au bout de cinq minutes, il s’enleva de la chatte gonflée de plaisir et dis à Pierre :
Tu veux essayer ?
Bien sûr !
Pierre se leva du canapé et passa derrière le gros cul de Maryse. Il voyait nettement l’intérieur rose de la chatte de la mère de Philippe. Il colla son gland et s’enfonça avec délice sans forcer. Maryse ne disait rien. Philippe s’était assis dans le canapé et regardait la télé. Pierre continuait de baiser. Il sentait son plaisir le gagner comme une chaleur sourde lui montant des reins. A chaque coups de boutoir, Maryse réagissait. Puis Pierre se retira avant d’éjaculer.
Philippe se rapprocha du cul de sa mère, et glissa un doigt dans son anus. Sous le coup, Maryse se cambra :
Aïe !
Cela fit rire les deux ados.
Tiens, met lui un doigt, tout aussi !
Pierre glissa à son tour un doigt dans le fondement de Maryse. Ils écartèrent ensuite en rigolant chacun d’un côté, arrachant des gémissements de la femme.
Doucement, vous me faîtes mal !
Puis, Philippe se releva et glissa sa queue dans l’anus de sa mère. Elle se contracta mais finalement se laissa faire docilement. Philippe poursuivait ses va et vient tandis que Pierre titillait la chatte velue de leur amante. Soudain, Philippe se contracta et gicla en dehors de l’anus de sa mère. Ensuite, il s’enleva et laissa la place à Pierre. Ce dernier s’engouffra dans cet anus humide et rougit par les assauts et poursuivi le travail que faisait son ami précédemment. D’ailleurs Philippe sorti du salon et se rendit dans la salle de bains pour se nettoyer.
Je ne vous fait pas trop mal ? demanda Pierre à Maryse.
Vous savez, tous les soirs Pierre me baise et m’encule depuis maintenant deux ans. Donc à force, mes orifices sont complètement élargis.
Vous avez eu du plaisir, ce soir, madame ?
Le plaisir de voir que mon fils est capable de baiser une femme, oui.
Mais vous, physiquement ?
Non, je me masturberai plus tard, tranquille. Pourvu que mon fils soit épanoui sexuellement.
Je pourrai revenir, moi aussi ?
Pour ?
Vous baiser et vous enculer, madame…
Si tu veux…
Avec des copains ?
Pourquoi pas…
Pierre donna quelques autres coups et gicla sur le gros cul de Maryse.
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