Ma femme et ma fille travaillent par cycle. Elles commencent, l’une le matin de 6 heures à 14 heures et l’autre, l’après-midi, de 14 heures à 22 heures. Le matin et le soir, il n’y a pas de transport en commun. Donc, du Lundi au Vendredi, c’est toujours le même rituel. Je me lève à quatre heures du matin et je réveille l’une d’elles. Le soir, vers 21 heures, je vais récupérer l’autre.
L’autre jour, c’était le tour de ma fille d’être du matin. Je suis rentré sans faire de bruit pour ne pas réveiller ma femme. J’ai ouvert et refermé la porte d’entrée sans le moindre bruit. J’ai vu un rai de lumière sous la porte de la chambre où dormait ma femme. Elle adore jouer à Candy crush. Quelquefois, elle s’endort et oublie d’éteindre la lumière. J’ouvre la porte, et je vois trois garçons, dans la vingtaine, tous nus.
Ma femme est à genoux devant l’un d’eux. Elle est en culotte. Elle tient dans sa main le long sexe d’un garçon noir. Celui-ci bande comme un taureau. Ma femme donne des coups de langue sur l’énorme gland du jeune homme. Elle lève les yeux vers lui. Son regard brille. Elle prend la grosse bite dans sa bouche. Sans quitter le regard du garçon, ses lèvres glissent jusqu’à son pubis. Le garçon ouvre la bouche et lâche un soupir. Les lèvres de ma femme glissent le long du gros membre qui grossit. Le garçon prend la tête de ma femme dans ses mains et accélère le mouvement. Au bout de quelques secondes, il plaque le visage de ma femme contre son ventre. Il se raidit, et je vois la gorge de ma femme en train d’avaler le sperme du jeune homme noir. Celui-ci se retire. Ma femme saisit sa queue et nettoie le gland avec sa langue.
Elle se tourne vers moi, et m’adresse un sourire. Puis, elle se déplace vers un deuxième garçon et l’embouche directement. Elle lui administre le même traitement. Après avoir bu sa deuxième ration de sperme, elle se relève et enlève sa culotte. Elle entraîne les garçons vers le lit et pousse l’un d’eux en arrière, en travers du lit. Elle grimpe sur le lit à son tour et enjambe le garçon. Le sexe de celui-ci est dressé comme un pieu. Elle enjambe le garçon, passe la main entre ses cuisses et saisit sa pine. Elle la tend vers sa chatte et l’introduit dedans.
Embrochée, elle se tourne vers le garçon noir et l’att**** par la bite. Elle l’attire entre ses jambes. Elle insinue le gros gland entre ses fesses, puis, elle se colle sur le torse du premier et écarte ses fesses, montrant son trou au jeune homme au grand sexe. Celui-ci prend sa queue à la main et pose son gland sur le petit trou. D’un coup de reins, il enfonce sa bite dans le cul de sa femme. Il pousse avec vigueur, jusqu’à ce que sa bite toute entière soit rentrée dans son cul. Alors, ma femme appela le troisième garçon. Pas besoin de lui faire un dessin. Il s’avança face à elle et tendit sa queue vers la bouche de ma femme. Transpercée par devant et par derrière, elle posa ses mains sur les fesses de ce dernier, pour imprimer la rythme désiré.
Finalement, les trois garçons ont baisé ma femme par ses trois trous. Ma femme se relève et me regarde. Je reste là, les bras ballants.
Elle se tourne vers les garçons et dit :
– Vous savez ce que vous m’avez promis !
J’étais abasourdi parce que ça faisait trois ans que ma femme se refusait à moi. Devant ma fille, elle disait qu’elle ne voulait plus faire l’amour, parce qu’elle ne ressentait plus rien pour moi. Je savais qu’il y avait une autre raison.
Avant elle, j’ai vécu plusieurs expériences ratées. J’ai fini par me demander si ça ne venait pas de moi. Et, petit à petit, une idée a germé dans mon esprit. Et si c’était mieux avec un homme. Quelques années auparavant, dans un cinéma, j’ai été abordé par un homme. Celui-ci m’a juste branlé. J’y ai pris un plaisir immense. Une autre fois, un autre homme m’a sucé la bite. Là encore, plaisir total.
J’avais découvert que j’étais bisexuel. Mais, l’apparition du SIDA m’a toujours effrayé, et je n’ai jamais donné ma bouche ni mon cul. Par contre, montrer mon corps m’excitait un max. Mon fantasme était de me faire enculer en public. Je me suis donc rabattu sur des video porno gay, sur le net.
Ma femme a sûrement découvert les sites que je regardais. Pensant surement que j’avais déjà plongé ma queue dans le cul d’un homme, elle s’est refusée à moi. Ce matin-là, j’en ai eu la confirmation.
Un des garçons me prit par la main et m’attira vers le lit. Aidé de ses deux comparses, ils m’ont entièrement déshabillé. Quand ils m’ont enlevé le slip, mon sexe tout raide, jaillit du sous-vêtement. Ma femme me dit :
– Je savais que tu aimais ça ! J’ai promis aux garçons de leur donner ce qu’ils voulaient, à condition qu’ils te fassent la même chose…
Les trois garçons étaient alignés contre le mur. Ma femme me prit par la main et dirigea vers le premier d’entre eux. Elle posa ses mains sur mes épaules et m’agenouilla devant lui.
– Allez, suces, me dit-elle, d’une voix douce. Fait comme moi, avale tout….
Je ne pensais pas être capable, comme ma femme, d’avaler toute entière, la pine du garçon noir. Et pourtant, à la fin du compte, je les ai sucé tous les trois. N’ayant pas de trou devant, ma femme a imaginé(ou elle l’a vu sur mes vidéos) que les garçons m’enculeraient, d’abord un par un, puis que je prendrai deux bites en même temps. Pour cela, elle ouvrit mon site internet et me plaça devant. Les garçons regardèrent, puis l’un d’eux prit la position, couché sur le dos. Je glissai mes genoux de part et d’autre du garçon. Ma femme saisissait sa queue et la posait sur mon trou. Elle posait sa main sur ma cuisse et je me laissais retomber sur la pine qui rentrait dans mon cul. Elle me poussait en avant, vers le torse du garçon couché sous moi et le deuxième enjambait son copain, écartait mes fesses et leurs deux sexes se rejoignaient dans mon cul. Alors, le troisième se présentait devant moi et me glissait sa pine dans la bouche. Je n’avais jamais bu de sperme avant ce jour.
Quand ce fut fini, les trois garçons s’en allèrent. Ma femme se tourna vers moi et dit :
– Tu n’auras plus besoin d’aller sur internet, maintenant.
Elle alluma sa tablette et je pus voir mes ébats sur l’écran. C’est vrai que, des mois après, je continue de me branler en regardant mes exploits.
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