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Kevin (avant-dernière partie)

Kevin (avant-dernière partie)



Kevin (avant-dernière partie)

– Coucou, belle-mère !

Je sursautai en entendant Kevin. Je ne l’avais pas entendu arriver, et même, je ne l’attendais pas si tôt, dans la matinée. J’étais en train de mettre une lessive dans la machine à laver, dans la petite buanderie de notre appartement. Je portais une nuisette bleue, aux motifs floraux noirs, pas spécialement sexy mais dans laquelle je me sens très à l’aise, surtout qu’il faisait une chaleur infernale, dans cette pièce de la maison. Je pouvais sentir ma transpiration ruisseler entre mes seins, mes aisselles étaient moites et mon minou en feu.

Comme j’étais accroupie, ma nuisette remontait jusqu’à en haut de mes cuisses, laissant, si on regardait à ras le sol, ma foufounette à découvert. Je me suis levée, la tirai vers le bas et lui répondis :

– Te voilà, donc…
– Tu ne m’embrasses pas ?
– Oui, tu as raison…

Je lui offris ma joue, mais il m’embrassa sur les lèvres. Je le poussai, un peu trop théâtralement.

– Tu n’avais pas envie de me revoir ?
– Non, mentis-je
– Moi, si… Tu n’as pas aimé mon dernier mail ?
– Non… c’était déguelasse, mentis-je une deuxième fois.

Il s’approcha de moi, avec une assurance qu’il n’avait pas quelques semaines auparavant. Je sentis un troublant mélange de peur et d’excitation. Je fis un pas en arrière et mis mes deux mains devant moi, lui indiquant qu’il ne devait pas s’approcher davantage. Il m’observait :

– J’adore ce vernis à ongles ! ça te va à ravir ! Et, en fixant mes pieds, il ajouta, Waouh, les pieds, aussi !

Mon mari avait été surpris qu’en me levant, après avoir bu mon café, je me sois mise à me faire les ongles et les orteils et à les vernir d’une couleur épatante, orange mandarine. La soirée passée attachée au lit et les cochonneries qu’il m’avait faites, tout m’avait laissé dans un état d’épuisement heureux. Et certaines parts de mon corps un peu douloureuses : les tétons, qu’il avait tortillé sans modération ; ma petite chatte, qu’il avait écartée et fistée comme jamais ne l’avait-il pas fait avant ; et, surtout, mon petit trou, qu’il avait dilaté à l’extrême pour pouvoir m’y enfoncer toute sa main.

– Merci, Kevin… Mais, maintenant, va rejoindre ton père…
– Il est parti…
– Comment ?
– Il est descendu acheter le pain et je ne sais pas quoi d’autre.
– Descends quand même, je te dis
– Il m’a dit qu’il fallait que je monte te voir…Que je me montre très gentil avec toi…
– Et ça ? Tu inventes, là…
– Nan ! il m’a dit que tu n’étais pas trop contente de ma visite…
– Ça, c’est vrai…
– Maintenant, c’est toi qui inventes…

C’est moi qui fis le geste de m’en aller. Mais il se planta devant la porte. J’étais assez choquée. J’avais en face de moi un garçon d’à peine 17 ans qui se comportait comme un mâle adulte. Je vis dans ses yeux une lueur que je reconnus tout de suite ; celle du désir. Il fixait ma poitrine, le début de mon décolleté, trempé de sueur ; mes tétons durcis par l’effervescence de son regard. Et, une chose qu’il ne pouvait pas voir mais que j’éprouvais à pleine conscience : ma chatte débordait de jus !

– Laisse-moi passer ! Lui criai-je, en essayant de l’écarter de la porte.

Mais il ne bougea point. Au contraire, il me prit le bras par le poignet et dirigea ma main vers son paquet :

– Touche-moi, Sandra ! Touche comme je suis dur à cause de toi !
– Non, mais… Arrête !!! Criai-je tandis que, de l’autre main, je le giflai de toutes mes forces.

Pour un court instant, il fut choqué et resta sans parole. Mais, il se ravisa rapidement et m’attira, avec force, contre lui. Il cherchait à m’embrasser comme la dernière fois et, moi, je me débattais en tournant la tête de droite à gauche. Seulement, je me sentais de plus en plus affaiblie, plus que tout, par mes propres contradictions. Pendant toutes ces semaines, je m’étais faite à l’idée que je serais capable de lui tenir tête, que la Sandra cérébrale et judicieuse vaincrait l’autre, la petite salope, toujours chaude et prête. Rien de tel n’était en train de se produire. Au contraire.

Nos bouches finirent par se retrouver. Nos langues, aussi. Il me tenait toujours la main par le poigné, contre son pantalon. Je l’ouvris et la plaquai sur sa verge, en saisissant toute sa dureté. La position n’était pas du tout confortable. Il le comprit et me lâcha la main, pour s’emparer, avec les siennes, de mes fesses, qu’il pelota amplement, jusqu’à se rendre compte que je ne portais pas de culotte. Puis, il glissa ses mains sous ma nuisette et me tripota le cul lascivement. Il grognait de plaisir, tout en me mordillant le cou, le léchant, ainsi que mes oreilles. Mes bras étaient suspendus au long de mon torse, en signe d’abandon. La salope avait vaincu.

Ses mains n’arrêtèrent de fouiller mon corps. Je sentis, aussi, comme ses doigts cherchaient mes entrées intimes. A leur contact, je me sentais fondre, comme un glaçon sous l’effet d’un chalumeau. Je gémissais. Mon excitation atteignait le paroxysme. La chaleur surgissait de mes entrailles et s’étendait jusqu’à la pointe de mes cheveux et le bout de mes orteils. Je suffoquais ! L’aire me manquait et mon cœur battait la chamade.

Je me suis libérée de son étreinte et je fis deux pas en arrière, jusqu’à toucher avec mes fesses la machine à laver. Je me suis appuyée, les deux mains à plat sur la surface de l’engin, les jambes inconsciemment écartées. Franchement, je m’attendais tellement à qu’il ouvrit sa braguette, sortit sa queue raide et me prit sans d’autres préambules, que ce qu’il fit me laissa stupéfaite…

Il s’approcha, me souleva de quelques centimètres pour que mes fesses pussent se poser sur le bord de la machine et sépara mes cuisses, laissant ma chatte entièrement à sa disposition. Ensuite, il s’accroupit et sans la moindre hésitation, il se mit à me lécher le minou !

– Ffffff ! Aaaahhh ! Ffffff ! Oh, oh, oooohhhh !

Je n’arrivais pas à articuler un seul mot. J’étais aux anges ! J’aurais voulu lui dire que j’étais sale, que depuis la veille au soir, je ne m’étais pas lavée… Que son père m’avait fistée par tous mes orifices… Que je lui avais même pissé dans sa main… Mais sa langue était en train de faire un nettoyage complet, passant sur mon clitoris, s’enfonçant dans mon vagin, léchant mon anus… Aucune douleur, que du plaisir ! Et mes doigts vernis d’orange mandarine lui ouvraient ma chatte de belle-mère salope :

– Oui, oui, ouiiiiii !!! Oh, que c’est bon !!! Ooohhhh !

J’eus un orgasme tellement fort qu’au moment de jouir, je me laissai tomber en arrière. Ma tête cogna avec v******e contre l’étagère de la lessive, me laissant, pratiquement assommée. Kevin eut peur. Rapidement, il se leva et s’intéressa par mon état :

– Sandra ? Sandra ? ça va ?
– Aïe… Purée ! Je m’exclamais en me caressant l’arrière de ma tête.
– Ouf ! tu m’as fait peur ! dit-il en me serrant dans ses bras.

Ainsi, je me suis trouvée collée à lui, ma chatte dégoulinante se frottant contre son entrejambe et sa bouche me remplissant le visage de bisous. Comme si d’un coup j’avais récupéré la conscience de la gravité de la situation et, aussi, de l’imminent retour de mon mari, je me suis séparée de lui une nouvelle fois, mais avec douceur…

– Va ! Ton père va arriver d’un moment à l’autre…
– …
– Hum ? Qu’est ce qu’il y a ? Lui demandai-je, un sourire narquois dessiné sur mes lèvres.
– Tu ne veux pas…
– Quoi ? Il me montra, avec son regard, son vœu
– D’accord, mais pas maintenant…
– S’il te plait !
– Non et non…
– Par pitié, Sandra… Ne me laisse pas comme ça !
– Tu sais ce que tu peux faire… Lui rétorquai-je, tout en mimant les gestes de la branlette…
– Je préfère tes mains…Chuchota-t-il d’une voix toute mielleuse

A l’instant dans lequel, j’étais sur le point de céder à sa demande, on entendit le claquement de la porte d’entrée et la voix de Joël qui nous appelait gaiement :

– Allo ? Toujours en haut ?

A suivre (si vous le voulez bien !)

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