On resta sur la plage à discuter de choses et d’autres. On retourna se baigner plusieurs fois. Il était 14h00 quand elle me demanda si je voulais venir chez elle, Son mari ne rentrerai que très tard le lendemain, dimanche, dans l’après-midi. Je lui ai dit d’accord, si elle était sure de son coup. Je la suivis jusqu’à sa voiture, me délectant de son déhanché et de son gros cul rougit par mes fessées. Elle se rhabilla à la limite de la plage naturiste. Je ne mettais que mon short. Elle irradiait de bonheur. La période d’abstinence que lui faisait subir son mari était maintenant finie. Dans la voiture, on ne dit mot. Elle par la peur de ses voisins et moi par la peur de son mari. Mais tout ce passa bien. Elle gara sa voiture à sa place habituelle et m’invita à la suivre. Elle habitait un petit immeuble cossu, au 4éme avec ascenseur. Elle regardait ses pieds. Elle me dit que c’est la première fois qu’elle ramenait chez elle un homme, autre que son mari. Une fois dans son appartement, elle fila sous la douche. Elle revint très vite. Elle était nue. Elle m’invita à aller me dessaler à mon tour.
— Hervé, tu veux boire et manger quelque chose ?
— Je ne sais pas. Tu as de la bière au frais ?
— Oui, et du rosé bien frais. J’ai des club-sandwichs au saumon fumé ?
— Bin rosé et sandwichs. Ça ira très bien.
Je m’essuyai et la rejoignit, nu également. On s’installa au salon. Elle servit rosé et de quoi manger. Elle écarta lentement les jambes. Sa vulve commençait à perler.
— T’es vraiment qu’une grosse cochonne.
— Mais c’est toi !!! J’y peux rien si ta bite m’excite !!!
Elle pouffa de rire.
— Et toi, tu ne bande pas ?
— Laisse-moi reprendre des forces !!! Je ne suis pas habitué à un tel traitement !!!
— Tu veux du Cialis ou du Viagra. Mon alcoolique de mari a essayé les deux, mais ça ne marche pas. Il est trop imbibé par l’alcool.
— Je ne sais pas. Jamais pris ces choses-là.
— Tu veux essayer ? Il me reste plein de comprimés, du Viagra, du Cialis. Tu as le choix. Attends, je vais voir ce qu’il lui reste le plus…
Elle partit comme une gamine prête à me droguer et abuser de moi. A son retour, elle posa deux boites de Cialis et une de Viagra.
— Garde-les. Elles te seront plus utiles qu’à Franck.
— J’en prends une maintenant ?
— Bin oui. On a toute la nuit, non ?
Je terminais mon repas, mon verre de rosé et porta ma main vers la boite de viagra. J’absorbais un comprimé et attendais la réaction.
— Il y en a pour une demi-heure. Cela me laisse le temps de tout ranger et de préparer la chambre… A moins que tu veuilles rester ici.
— On reste ici. Je veux te baiser ici !!!
— Beau programme… Je débarrasse alors.
Elle se trémoussait en enlevant tous les bibelots de la table basse en verre, laissant la bouteille de rosé et les deux verres. Le viagra commençait à faire son effet. Elle nous resservit. Profitant de son passage, de dos, entre moi et la table, je la saisis par les hanches et commença à lui donner de doux baisers sur les fesses. Elle frémit. Je la léchais de haut en bas, de droite à gauche. Elle tremblait. J’étais fier de mon traitement et de sa réaction. Je poursuivis sur son anus, qui s’ouvrit rapidement. Je l’enculais avec la langue. Elle se laissa tomber en avant sur la table basse, bras tendu. Je lui bavais sur sa raie. Je crachais et jouais avec ma langue. J’avais une envie folle de son cul, de la sodomiser ici, là, dans cette position, debout. Je lui fis écarter les jambes et positionna mon gland à l’entrée de son anus. Je forçai un peu, mais comme ce matin, mon gland disparut dans son fondement. Ma verge entière était aspirée. Je pouvais voir le visage d’Isa dans l’écran de la télé. Elle sourit, les yeux fermés.
— Alors grosse pute, tu l’aimes ma queue ? Lui dis-je en lui administrant une fessée mémorable.
— AIE, OUI, JE LA SENS BIEN !!!! ARGH.
Je commençai mon bourrage de cul en la tenant par les hanches. Mes testicules, bien au chaud dans leur bourse, venaient exciter le clitoris d’Isa. Je la besognais comme un forcené. Aucun son ne sortait de sa bouche, pourtant ouverte. Elle subissait mes assauts en silence, Mis à part sa respiration qui devenait de plus en plus forte et saccadée. Elle jouissait en silence. Elle tremblait de tous ses membres. Elle transpirait à grosses gouttes, inondant la table basse, ses cheveux et ma verge. Je poussais de plus en plus fort, de plus en plus vite. Était-ce l’effet viagra, mais ma jouissance ne venait toujours pas. J’étais devenue une machine à baiser. N’y tenant plus après plus de 20 minutes de défonçage de cul, je m’asseyais, entraînant la grosse Isa avec moi. Elle n’en pouvait plus du traitement que je lui infligeais. Elle était assise, empalée sur ma bite, les mains sur ses genoux. Après 5 minutes de repos, elle commença à monter et descendre le long de ma colonne, doucement.
— ARGH !!! Que c’est bon une bite dans le cul !!! OUI… Tu vas encore me faire jouir !!!
— Moi, je ne bouge pas…
— Salop, tu es en train de faire de moi une salope.
— Oui, MA salope.
— HUMFFF. Oui, je suis ta salope, ta chienne, ta truie…. ARGH… Que c’est bon…
Je la fit se relever et c’est dans un bruit immonde de pet et de succion, qu’elle se retira et tomba au sol. N’ayant pas encore jouit, je la fit mettre sur le dos, au bord de la table base. Je lui releva les jambes et c’est son sexe qui allait être maltraité. Je la pénétrai d’un coup et entama mes mouvements brutaux.
— HAN, HAN, HAN… OUI, vas-y baise moi fort… J’AIME !!!
Elle repartait dans une jouissance incontrôlée, incontrôlable. Elle se tordait comme un lombric. Nos sueurs se mélangeaient sur la table. On était, tous les deux, partis dans un delirium intense. Moi la bourrant à une vitesse de folie, Elle ayant jouissance sur jouissance. Sa respiration était entrecoupée de cri, de spasmes. Je me sentis venir et j’avais l’intention d’inonder sa matrice. Les jambes posées sur mes épaules et la tenant par les hanches, elle ne pouvait s’échapper. Je jouis dans un cri qui a du s’entendre dans tout l’immeuble.
— TIENS, PRENDS CA, MA SALOPE… OUI, OUI, PREND MON SPERME AU FOND DE TA CHATTE… OUI, ARGH, HAN, HUM.
Ma décharge fut moins impressionnant que ce matin mais du sperme ressortait du sexe d’Isa. Je gardai la position un instant avant de m’effondrer, à mon tour sur la moquette. Elle reprenait, peu à peu, ses esprits et se releva.
— Tu me fais chier Hervé !!!
— Quoi ???
— Tu vois ce que tu fais de moi ??? Une grosse pute !!!
— Attends, qui c’est qui m’a fait prendre cette pilule ?
Elle éclata de rire et me dit que si son mec buvait moins il banderait comme moi. J’avais toujours la gaule. Elle se lécha les babines.
— Non, Isa, laisse là tranquille un petit moment. Elle est tout irritée !!!
— OK, Je vais passer un coup sur la table avant que cela ne sèche.
Elle se leva et se mit à lécher la table. Je pouvais voir, par transparence, qu’elle y prenait un plaisir non dissimulé. Elle lécha la table pendant cinq bonnes minutes puis me fit mettre assit sur le canapé et pris soin de me laver la verge tendue. Tout en me léchant, elle se triturait le clito.
— Qu’elle est bonne ta queue. Pas trop grosse pour m’enfiler le cul, vigoureuse pour me la mettre tout au fond de la chatte.
Elle m’invita à aller prendre une douche pendant qu’elle laverait le table, sans la langue cette fois. Je me dirigeais vers la salle de bain, en passant devant la porte de la chambre parentale. Quel foutoir. Lit non fait et des vêtements d’hommes traînant de ci, de là. La pauvre Isa. Je pris une douche tiède qui me fit le plus grand bien.
— C’est à mon tour… Fit Isa en rentrant dans la salle de bain. Vas nous servir un verre en attendant. Je ne serais pas longue.
A son retour, je bandais toujours… Effet viagra. Elle me dit qu’elle avait la chatte toute irritée et le cul idem. Cela m’allait bien, car j’avais le gland tout irrité. On discuta longuement sur nos problèmes de couples, sur nos enfants et on s’endormit lové sur le canapé.
Le lendemain, le réveil fut difficile. Il était déjà 9h00. Petit café à la « Senseo » et départ pour le domicile conjugal.
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