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Je cède au chantage 1

Je cède au chantage 1



Un jour en me promenant en ville avec deux amies, par hasard je croise Mathieu l’homme chez qui j’ai fais plusieurs séjours et qui a été mon bourreau me réduisant au rôle d’esclave en m’enchaînant, me maltraitant et faisant de moi sa chose.

Nous nous saluons puis sans se préoccuper de ma gêne il m’aborde.
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<Effectivement je préfère que mes copines ne participent pas à la conversation. Je leur demande de m’attendre et je suis Mathieu un peu plus loin, je préfère qu’elles n’entendent pas ce dont on va parler j’aurais trop honte.
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Je discute un peu pour essayer de le faire changer d’avis puis acculée je cède et lui promets de venir chez lui bien que je sache que cela va être l’enfer, qu’il n’y aura plus de limites à ma déchéance.

Mon mari est en déplacement pour un moment à l’étranger ou il visite des succursales et des clients.
Dans la semaine résignée je prépare une valise d’habits très sexy et voyants.
Je me dirige vers la gare, je prends un taxi qui me dépose devant la propriété de Mathieu.
Après avoir franchie la grille, une fois dans l’allée qui mène à la maison je me déshabille, je laisse mes vêtements et ma valise sur le sol puis je m’avance vers l’habitation.
Je frissonne car il ne fait pas très chaud.
Je me mets à genoux devant la porte d’entrée de l’habitation et j’attends.
Au bout d’un moment j’entends des pas derrière moi.
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C’est Amandine qui arrive accompagnée de Max son chien un labrador à poils courts, elle m’apostrophe.
Elle se plante devant moi et elle me colle plusieurs paires de gifles me frappant sans retenue, déséquilibrée je me retrouve allongée sur le sol avec les joues qui me cuisent.
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J’obéis résignée.
Pendant un moment des coups de cravache s’abattent sur mes fesses, mes cuisses et mon dos pendant qu’elle m’insulte copieusement.
Je sursaute et mon corps se déplace à chaque coup que je reçois, je crie et je pleure mais imperturbable elle continue à me frapper et mon corps n’est plus que douleur quand enfin elle daigne s’arrêter.
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Elle pénètre dans la maison et quand elle en revient elle m’affuble d’un gros collier pour chien équipé d’une laisse, elle me met des bracelets de cuir aux poignets et chevilles et y attache des grosses chaînes qui se trouvaient sur le sol près de la porte.
Accompagnée de Max son chien Amandine me conduit vers mon lieu de détention, je marche difficilement gênée par le poids des chaînes.
Nous traversons un endroit boisé et stupéfaite j’aperçois une grande cage faite de barreaux métalliques, je vois que le vieux jardinier a fait ce qu’il m’avait promis.
J’entre dans la cage, elle me suit et attache à mon collier une chaîne qui est scellée dans le sol puis me débarrasse des grosses chaînes.
Elle sort de la cage et referme la porte en la verrouillant laissant le chien à l’intérieur.
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Je suis coincée et je choisis le moindre mal.
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Les caméras ne manquent pas dans la propriété, je sais depuis longtemps que ou que je sois je suis en permanence filmée.
Max ne perds pas de temps, il tourne autour de moi, je sens sa truffe humide qu’il frotte contre mes fesses et mon intimité.
Je me mets à genoux à côté du chien, je le caresse longuement: d’abord la tête puis le dos et ensuite le ventre.
Je le couche sur le dos, en tenant sa gueule avec mes mains j’embrasse sa truffe et sa bouche ce qui n’est pas facile car il sort sa langue et me lèche la figure.
Ma main caresse son sexe et ses testicules, je sens son corps tressaillir.
Mes caresses portent leurs fruits, le pénis de couleur allant du rose au violet sort de son fourreau en prenant du volume pour atteindre une belle taille.
je le masturbe un peu tout en continuant les caresses sur son corps, les tremblements de son corps me montrent qu’il apprécie ce que je lui fais.
J’approche ma figure de son sexe, je l’embrasse puis le lèche partout longuement avec application.
Max sursaute quand je prend son pénis dans ma bouche et que je lui fais une fellation sans m’occuper du liquide qui coule en permanence.
Au bout de quelques minutes je ma place à genoux l’échine bien courbée, il comprend et se place derrière moi, ses pattes avant posées sur mon dos qu’elles griffent.
Avec une main je l’aide à pénétrer mon vagin car son pénis butte contre mes fesses pendant qu’il remue sur moi.
Je ressens les va-et-vient du sexe dans mon intimité pendant que le chien s’agite pendant un petit moment puis une bonne quantité de sperme coule dans mon intimité et qu’une boule gonfle dans ma chatte.
Enfin vidé de sa semence il se retire et son pénis sort de mon vagin avec un bruit de succion.
Pendant qu’il va se coucher un peu plus loin le liquide coule de ma chatte et se répand sur le sol sans que je cherche à le retenir.
Je m’allonge dans l’herbe à côté du chien car collée à lui il me réchauffe un peu, résignée j’attends.
Le temps passe lentement, au bout d’un moment le chien commence à se frotter contre moi et à me lécher le sexe, je le laisse faire et j’écarte les cuisses.
Sa langue qui pénètre ma chatte et la lèche me procure des sensations très agréables bien plus fortes que la langue d’un homme, je ferme les yeux et profite au mieux de ces instants.

Amandine finit par apparaître tenant deux gamelles dans les mains.
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Elle s’installe sur une chaise pliante et attend.
Obéissante je m’approche de Max qui est couché sur le côté, je l’embrasse et en prenant mon temps le caresse partout pour l’exciter.
Ma main triture ses testicules et son pénis jusqu’à ce que celui-ci sorte de son fourreau, je m’active pour que le sexe change de dimensions et de volume en le masturbant.
J’entreprends une fellation avec des aller-retour rapides de ma bouche sur son membre d’ou sort du liquide.
Après l’avoir mis sur le dos je me couche sur Max et introduis son pénis dans mon intimité puis j’imprime des mouvements de va-et-vient avec mon bassin pendant un moment, bien que du liquide s’écoule en moi je continue à remuer puis je sens que son corps se crispe et que son sexe gonfle pendant qu’il éjacule.
Je continue les mouvements et m’arrête quand il gémis. Je me relève doucement et son pénis sort de mon vagin avec un bruit de succion et une bonne quantité de sperme s’écoule de mon intimité.
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Amandine ouvre une trappe et glisse les gamelles à l’intérieur de la cage.
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Je prend les récipients, elle referme la trappe et s’en va pendant que je pose une gamelle devant le chien.
Je commence à manger ce qu’il y a dans la mienne: c’est froid et a un drôle de goût. J’ai compris ce qu’elle a mis dans les gamelles la salope, je préfère jeûner même si la faim me torture le ventre.

Un peu plus tard Amandine revient et ouvre la porte de la cage.
Elle me libère de la chaîne attachée à mon collier qu’elle remplace par une laisse puis relie les grosses chaînes à mes poignets et chevilles.
Pendant qu’elle me tire à l’extérieur dans mon lieu de détention le chien nous suit.
Nous passons devant un robinet qui sert à arroser les plantes, j’ai ordre de me laver (surtout le cul) à l’aide d’une éponge. Je m’exécute sans discuter.
Nous reprenons notre chemin et arrivons à l’endroit ou se trouve le carcan dans lequel j’ai déjà été emprisonnée.
Libérée des chaînes mais bâillonnée à l’aide d’une muselière munie d’une boule qu’elle m’enfonce sans douceur dans la bouche je me retrouve penchée en avant,le cou et les poignets prisonniers du carcan les chevilles entravées à des chaînes fixées aux pieds de l’instrument de torture.
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Effectivement je n’attends pas longtemps avant que deux hommes d’un certain âge ne se présentent devant moi.
Ma position les amuse, ils tournent autour de moi mettant leurs mains partout.
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Ne pouvant parler j’opine en remuant la tête même si je pense le contraire.
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Rapidement je me retrouve libérée de tout ce qui m’entrave.
Debout ils me pelotent partout, triturent mes seins, agacent et tordent les tétons. Leurs mains se promènent sur mon sexe et mes fesses puis des doigts s’introduisent dans ma chatte et mon anus.
Après avoir passé un petit moment à s’amuser avec mon corps et à commenter ils passent aux choses sérieuses.
Je me retrouve à genoux, eux debout côte à côte devant moi. Pendant que je fais une fellation à l’un je masturbe l’autre puis je suce le deuxième pendant que je caresse la queue de son compère.
Je passe de l’un à l’autre en évitant de les faire jouir. Mais l’inévitable arrive la queue du premier est prise de soubresauts pendant qu’il éjacule dans ma bouche, j’avale les jets de liquide qui frappent ma gorge.
Je suce la queue du deuxième avec des va-et-vient rapides de ma bouche et il ne tarde pas à se vider dans celle-ci, de nouveau j’avale la semence.
L’un se couche sur le dos dans l’herbe, je m’allonge sur lui et m’aidant d’une main je fais pénétrer sa verge dans mon intimité. L’autre se positionne à genoux derrière moi et essaye de mettre son pénis dans mon cul, avec une main je le positionne contre mon anus, les mains cramponnées à mes hanches il exerce une poussée et la queue s’enfonce dans mon cul jusqu’à ce que ses testicules butent contre mes fesses.
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Ils commencent à donner des coups de reins, surtout celui qui a pénétré mon anus, faisant aller et venir leur membre dans mon corps. Je ferme les yeux pour ressentir au mieux les sensations que cela me procure.
Ils me défoncent un moment avant de se laisser aller à peu de temps d’intervalle dans mes orifices, dommage je commençais à bien mouiller.
Ils s’allongent sur le dos, à genoux entre leurs jambes je les masturbe puis quand leurs sexes gluants de leur sperme, de ma mouillure et de mes secrétions anales commencent à reprendre du volume je lèche puis leur fais une fellation chacun leur tour tout en masturbant la queue qui n’est pas dans ma bouche.
De nouveau en forme je me retrouve de nouveau avec un pénis dans la chatte et un dans le cul. Ils me défoncent pendant un bon moment, je prends du plaisir et mouille beaucoup.
Arrive ce que je redoutais, mon corps se crispe et est agité par des spasmes pendant que des jets de cyprine s’échappent de mon vagin et arrosent celui qui est sous moi la verge plantée dans mon intimité.
Ils commentent:
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Nous nous relevons, ils renfilent les vêtements qu’ils avaient retirés pour être à l’aise pendant les ébats, j’attends patiemment à côté d’eux.
Puis consciencieusement ils fixent les chaînes à mes chevilles et me remettent le cou et les poignets dans le carcan après m’avoir bâillonnée.
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Ils partent en me disant qu’ils ont apprécié le moment passé avec moi et en me souhaitant une bonne fin de journée.

L’attente recommence pendant que de la semence coule de mon vagin et de mon cul.
Enfin j’entends des pas, je suis désappointée c’est Amandine qui arrive.
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Elle me libère du carcan et refixe les grosses chaînes à mes chevilles et poignets.
Tirant sur ma laisse elle me conduit vers la maison. Dans la cuisine elle pose mon dîner sur le sol et libère ma bouche.
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La faim me tenaillant je dévore rapidement le repas puis elle me libère des chaînes pour que j’aille me laver.
Je suis de nouveau bâillonnée et enchaînée et tenue en laisse nous traversons la propriété jusqu’à l’endroit ou un palan équipé d’une barre métallique avec deux crochets est fixé à une grosse branche d’arbre.
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Elle me retire les grosses chaînes.
Je dois écarter les jambes pour qu’elle fixe des chaînes, ancrées dans le sol, à mes chevilles.
j’écarte les bras, elle fixe mes poignets aux crochets soudés aux extrémité de la barre.
Elle manoeuvre le palan, je décolle du sol puis les chaînes côté chevilles se tendent et je me retrouve écartelée. Mes membres, surtout mes bras me font très mal et je pleure.
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Je n’en peux plus et mon bourreau met du temps avant de revenir, la nuit tombe quand elle daigne enfin réapparaître.
Libérée du palan les grosses chaînes sont de nouveau accrochées à mes chevilles et mes poignets et tenue en laisse elle m’emmène vers le lieu ou je dois dormir.
Nous arrivons à un chalet en bois que le jardinier avait construit lors de mon précédent séjour.
Amandine ouvre la porte et me pousse à l’intérieur.
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Elle retire mes chaînes.
Je m’allonge sur le lit, qui est un plancher fait de lames de bois, des sangles sont fixées dessus.
Elle fixe une sangle autour de mon cou puis j’écarte les bras et les jambes pour qu’elle sangle mes poignets et mes chevilles. je ne peux pratiquement plus bouger.
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Elle sort et j’entends la clé tourner dans la serrure, j’essaye de dormir évitant de penser à la suite.

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