Il est tôt ce samedi matin quand la clé tourne dans la serrure du chalet ou je suis enfermée depuis la veille au soir.
La porte s’ouvre et Amandine entre dans la pièce accompagnée de Max son chien, elle me libère des sangles qui m’immobilisent puis de la muselière bâillon.
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Le chien qui a sauté sur ce qui me sert de lit est déjà entre mes jambes à lécher mon ventre et mes parties intimes.
Puisque c’est lui qui doit prendre du plaisir je ne peux pas me laisser mettre sa langue dans ma chatte et me la lécher la seule chose que j’aime bien et qui me fait des sensations agréables.
Je me mets à genoux et embrasse ses babines, je commence à le caresser partout pendant que ma tortionnaire observe assise sur le tabouret.
Il est réceptif aux caresses, je le couche sur le dos, je caresse ses testicules et son sexe jusqu’à ce que celui-ci sorte de son fourreau, s’allonge et prenne de bonnes dimensions.
Je le masturbe puis jugeant que l’érection est suffisante je lèche partout pendant un moment son pénis d’ou du liquide s’échappe, puis je l’enfonce dans ma bouche et je commence une fellation d’abord avec des aller-retour lents puis de plus en plus rapides en serrant bien mes lèvres.
Je me relève et me déplace pour qu’il me pénètre mais Amandine intervient:
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Sans enthousiasme je recommence la fellation en m’appliquant sans m’occuper des tremblements du corps de mon partenaire et au bout d’un moment avec l’augmentation du volume de la boule annonciatrice je sais que ce n’est plus du liquide de lubrification qui sort du sexe mais une grande quantité de sperme, malgré ma répulsion et les haut-le-coeur j’avale du mieux que je peux tant qu’il continue à éjaculer.
Je finis en léchant le pénis mais il se dérobe et va se coucher plus loin.
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De nouveau bâillonnée et équipée des grosses chaînes Amandine m’emmène vers la maison en me tenant en laisse.
Elle prépare mon déjeuner que je prends à genoux une fois ma bouche libérée puis je vais me laver.
Ensuite après m’avoir harnachée du bâillon et des chaînes elle m’emmène dans l’allée ou elle attache ma laisse à un poteau d’éclairage
Je tremble et j’ai la chair de poule car il ne fait pas bien chaud.
Le temps passe puis j’entends des pas lourds dans l’allée, en tournant la tête je vois que c’est Jacques l’homme obèse qui arrive, c’est l’homme à qui comme d’habitude je dois faire l’amour, c’est l’homme des samedi matin.
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Il détache ma laisse et m’entraîne vers la maison, il a du mal à marcher vu sa masse et son important surpoids.
Amandine le reçoit, elle me libère des chaînes et du bâillon puis je suis Jacques jusqu’à la chambre ou habituellement je lui fais l’amour.
Faisant fi de l’odeur désagréable de sueur qu’il dégage je passe mes bras autour de son cou et je colle mes lèvres sur les siennes, ma langue cherche la sienne et elles se mêlent dans des baisers que je fais durer.
Je commence à le déshabiller puis je caresse, j’embrasse et lèche son corps (disons ses bourrelets de graisse) en partant de sa poitrine pour finir sur ses cuisses.
Je caresse son pénis puis je lui demande de s’asseoir sur le lit, j’écarte au mieux ses cuisses, je passe ma tête sous son ventre et je la relève repoussant le bourrelet pour atteindre sa verge gonflée par l’envie, que je lèche consciencieusement partout tout en caressant et triturant ses bourses.
J’enfonce au maximum le pénis dans ma bouche et je commence une fellation, il soupire.
Les va-et-vient de ma bouche sur sa queue sont de plus en plus rapides, il ne résiste pas longtemps, sa verge s’agite et envoie des jets de sperme dans ma gorge, ne tenant pas compte de ma révulsion j’avale tout en continuant à sucer.
Il s’allonge tout en laissant une partie de ses jambes pendre dans le vide et je me mets à califourchon sur lui. Avec une main je dirige le pénis vers l’entrée de ma grotte puis je me baisse pour la faire pénétrer.
A grands coups de reins je fais aller et venir mon vagin sur son membre, l’accouplement dure un moment pendant que mon amant soupire de plus en plus.
Je me relève un peu, sa queue quitte ma chatte, je la positionne contre mon anus puis je m’empale dessus, Jacques gémit.
Je reprends les mouvements de va-et-vient jusqu’à ce qu’il se raidisse et éjacule en moi.
A genoux à l’inverse de lui je fais mon possible pour qu’il bande de nouveau et cela me prend un moment. Je caresse son corps, je masturbe, lèche et suce sa queue flasque et enfin elle réagit, je continue mes manoeuvres jusqu’à ce qu’il bande correctement.
De nouveau j’introduis la queue dans ma chatte puis je remue pendant un moment avant de changer d’orifice et de me la mettre dans l’anus. Il me faut beaucoup de constance et de patience car il a tendance à débander et je dois le remettre plusieurs fois en forme avec mes mains et ma bouche, je fatigue et suis en sueur à force de donner des coups de reins.
C’est un soulagement quand enfin en râlant il a un semblant d’éjaculation.
Debout au pied du lit j’attends qu’il récupère et se rhabille.
Me tenant en laisse il me ramène dans le salon ou Amandine attend, ils boivent un verre ensemble.
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De nouveau bâillonnée et enchaînée je suis amenée tenue en laisse dans la cage ou Max le chien se trouve déjà.
Si mon bourreau me libère c’est uniquement pour que je m’occupe de Max et cette fois ci après les caresses, la masturbation et la fellation c’est dans mon anus que j’introduis son pénis puis en tenant la base de celui-ci je fais monter et descendre mon corps pour faire coulisser son membre dans mon cul.
Je suis bien lubrifiée par le liquide qui coule du sexe de mon partenaire pendant les va-et-vient puis enfin il commence à éjaculer, je continue les mouvements pour être sure qu’il a fini de se vider puis quand les mouvements de son corps m’indiquent qu’il en a assez je me lève doucement pour ne pas lui faire mal.
Debout les jambes écartées en me penchant je regarde son sperme qui coule de mon vagin et s’étale sur le sol.
Max ses besoins satisfaits s’est couché et ne bouge plus.
Amandine qui nous avait laissés seuls enfermés pendant nos ébats revient tenant mon repas qu’elle me demande de tenir puis elle me ramène tenue en laisse dans le chalet ou je pose sur la table mon repas que je mange rapidement car elle n’est pas patiente.
Je nettoie mes fesses au lavabo.
Ensuite s’aidant de tabourets pour me positionner elle m’attache suspendue contre la paroi avec des sangles fixées sur mes poignets, vers le haut de mes bras, sur mon ventre, sur mes cuisses et mes chevilles. Ma situation est moins dure que quand seuls mes poignets sont sanglés et que mes bras supportent le poids de mon corps.
Mon bourreau part emmenant son chien qui nous avait suivis, il ne me reste plus qu’à patienter.
Mathieu mon maître, qui est de retour chez lui, arrive peu après, il me délivre de ma position inconfortable et humiliante puis attache la chaîne qui est fixée dans une paroi à mon collier.
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Je préfère me soumettre et souffrir le moins possible même si ça le contrarie.
Il libère ma bouche et s’assoit sur le plancher/lit après avoir sorti son sexe de son pantalon.
A genoux les mains dans le dos je lèche son gros pénis bien raide partout du mieux que je peux puis d’un mouvement brusque je l’enfonce au maximum dans ma bouche ce qui le fait sursauter.
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Je varie la vitesse des aller-retour de ma bouche en serrant bien mes lèvres sur sa queue. Excité et certainement en manque rapidement son membre gonfle encore et s’agite pendant que de forts jets de sperme envahissent ma gorge. Je continue la fellation après avoir bu son liquide.
Il repousse ma tête et rajuste sa tenue.
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Il déplie le lit de planches, qui est fait en deux parties reliées par des charnières, afin qu’on tienne dessus à plusieurs.
Il me quitte après m’avoir dit:
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Peu de temps après le défilé de partenaires sexuels commence: d’abord un homme puis trois ensuite deux et pour finir cinq.
Je ne compte pas le nombre de pipes que je fais, tous mes orifices se font abondamment arroser de sperme.
Je me lave dés que je suis seule pour paraître plus fraîche pour les partenaires à venir.
Même s’ils n’hésitent pas à pénétrer ma chatte, mon anus a leur préférence et doit ressembler à une bouche de métro.
J’apprécie beaucoup les doubles pénétrations (vagin et cul en même temps) pendant lesquelles je prends beaucoup de plaisir et ou j’atteins même la jouissance.
Celui qui a été le moins performant m’a honoré trois fois, les autres je n’ai pas compté mais comme à partir d’un moment ils se relayaient en évitant d’éjaculer, surtout le groupe de cinq, je n’étais plus très lucide car j’atteignais de plus en plus rapidement l’orgasme. Ils comptabilisaient mes jouissances et s’en amusaient.
Le dernier partenaire assouvi je reste seule inerte allongée sur le lit, les yeux clos, essayant de récupérer.
Mon maître vient me chercher, il me demande de prendre une serviette de bain dans le placard et m’emmène tenue en laisse dans une pièce attenante à un atelier ou je vois un drôle d’engin .
Il retire mon collier.
J’écarte les bras et les jambes, il m’attache les poignets et les chevilles à un cadre métallique puis il fait pivoter celui-ci et je me retrouve à l’horizontale.
Il met un moteur en marche et le cadre qui me supporte se met à tourner entraîné par un système de poulies reliées par une courroie.
Il ouvre un robinet et des jets d’eau froide provenant de rampes m’arrosent des pieds à la tête, je grelotte.
Attachée au cadre je fais des tours complets sur moi même pendant un temps qui me paraît interminable en serrant les dents pour ne pas trop crier pendant que les jets d’eau n’épargnent aucune parcelle de ma peau.
Enfin le supplice cesse, Mathieu fait basculer le cadre et je me retrouve debout, il me détache.
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Il prend un grand collier plastique et m’attache les poignets ensemble puis il me remet le collier et en tirant sur ma laisse m’entraîne vers l’habitation.
A genoux je mange comme une morte de faim car cela faisait un moment que mon estomac réclamait.
Allongée recroquevillée à ses pieds comme une bonne chienne j’attends qu’il finisse son repas.
Mon maître me ramène dans le chalet, il me met la muselière/bâillon.
A genoux sur le plancher/lit j’écarte les jambes, il se positionne debout derrière moi et sort sa queue, il l a positionne contre mon cul et après avoir un peu tatonné pour trouver l’entrée de mon anus il donne un coup de reins et son pénis s’enfonce sans difficultés dans mon cul dans lequel il fait des va-et-vient.
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Après un bon moment il se crispe, ses ongles pénètrent dans la peau de mes hanches et sa queue s’agite dans mon cul pendant qu’il arrose mes intestins de son sperme.
Une fois qu’il s’est retiré je m’allonge sur les planches puis il fixe les sangles autour de mon cou, de mes poignets et de mes chevilles.
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Fatiguée je m’endors rapidement.
Le dimanche matin il est encore très tôt quand la porte s’ouvre.
Le chien d’Amandine se précipite dans la pièce et saute sur moi et me lèche surtout entre les cuisses qui sont écartées, je ne peux pas les refermer à cause des sangles qui m’immobilisent. J’apprécie sa langue qui tente de fouiller mon intimité.
Amandine me libère sans s’occuper de son chien qui se frotte contre moi. Je l’embrasse puis le caresse partout pendant un moment, je m’aperçois qu’il a un début d’érection.
Je le couche, je caresse ses testicules et son sexe qui prend de plus en plus de volume,il reconnait en moi sa femelle.
Je lèche consciencieusement son pénis puis je lui fais une fellation recueillant dans ma bouche le liquide qui s’échappe du sexe.
Je m’allonge sur le dos et replie les jambes en les écartant puis j’attire Max sur moi et je guide son pénis que je fais pénétrer dans mon intimité. Il remue rapidement sur moi et je sens son membre se déplacer en moi.
Quelques minutes plus tard du sperme coule dans mon vagin pendant que je sens qu’une boule grossit dans celui-ci, il remue encore pendant un instant puis vidé de sa semence il se retire avec un bruit de succion.
Avec une main je referme ma chatte mais ne peux empêcher le liquide de couler en me levant. Je nettoie mes fesses ainsi que le plancher que je dois lécher sur l’ordre de ma tortionnaire.
Bâillonnée et affublée des grosses chaînes ma tortionnaire m’emmène dans la maison ou Mathieu m’attend.
Amandine s’en va puis je fais sa pipe matinale à mon maître avant de déjeuner et de me laver.
Retour dans le chalet ou je suis sanglée et bâillonnée.
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Je suis très inquiète, les paroles de mon maître ne sont pas rassurantes.
Trois hommes arrivent avec des mallettes et des sacs. Ils déballent du matériel sur la table.
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Ils fixent des pinces munies de fils électriques sur mes tétons et les lèvres de ma chatte.
Ils collent des électrodes un peu partout sur mon corps, surtout sur les seins, mon ventre et mon intimité.
Ils enfoncent ce que je pense être une sonde électrique dans mon vagin et une dans mon anus.
J’ai très peur de la suite.
Je sais que cela va être ma fête si l’on peut dire.
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