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Argent et famille (14)

Argent et famille (14)



J’étais installé sur le lit juste derrière Sandrine. Nous étions tous les deux assis, les jambes écartées, et son dos était appuyé sur mon ventre. J’avais ses seins dans mes paumes, que je lui carressais tout en titillant par moment ses mamelons. Sa poitrine était douce et généreuse.
La télévision devant nous passait en boucle les images de Marion, en train de se masturber vigoureusement devant la photo de Sandrine. C’était la troisième fois que l’on regardait.
– Regarde, elle va bientot jouir. Vois comme elle te regarde en se mordant la lèvre… Comme elle tend doucement sa chatte en avant… Là ça y est elle accélère…
Je donnais de petites tapes sur les mamelons de Sandrine, tandis que sa fille jouissait à l’écran. Je mis en pause, et continuais de caresser ses seins.
– Alors, ça te fait quoi… Je veux savoir…
J’avais demandé à Sandrine de regarder en silence. Je ne voulais pas qu’elle se carresse non plus. Juste qu’elle soit simple spectatrice de sa fille se masturbant jusqu’à jouir pour elle.
– J’ai honte de regarder ça… J’ai peur d’imaginer ce que tu lui as demandé pour qu’elle le fasse.
– Elle a fait ça comme une experience. Et ça l’a fait jouir… Très fort.
– Ca c’est passé quand ? demanda Sandrine.
– Il y a moins d’une heure. Elle était assise là où nous sommes assis.
On resta un moment silencieux. Puis après quelques instants, je fis :
– Je pense que je vais lui faire recommencer demain. Et j’ai envi de l’enculer… Encore… A moins que…
Sandrine leva un peu la tête pour écouter mieux.
– A moins que tu te décides de m’appartenir complètement.
– C’est déjà le cas, non ?
– Non, tu es là parce que je te contrains de rester. A plusieurs occasions, j’ai pu voir que tu as cherché à t’enfuire. Ou à résister.
– Tu veux quoi ?
– Que tu acceptes d’être à moi. Que je n’ai plus besoin de t’enfermer.
Sandrine écoutait. Elle attendait que j’en dise plus.
– Si tu acceptes, je n’irai plus voir ta fille. Je ne chercherais plus à la contacter.
– J’ai ta promesse ?
– Oui.
Promesse facile à tenir, Marion ne voulait plus me voir à partir de ce soir. Mais cela, Sandrine ne le savait pas.
– Tu ne m’enfermeras plus ?
– Non. A moins que tu te remettes à désobéir.
– Je pourrais aller où ?
– N’importe où dans la maison, pour un temps. Et puis on sortira ensemble, si tout se passe bien.
– Ta famille n’habite pas ici ?
– Oui.
– Ils vont me voir ?
– Oui. On leur dira que l’on est ensemble. Que l’on est tombés amoureux.
– Ta mère et ta soeur vont croire ça ?
– Elles vont le croire, car on va être crédibles. Tu vas te montrer amoureuse de moi. Je suis sur que tu vas même finir par devenir copine avec ma mère…
– Alors que j’ai été en couple avec ton père… Ca risque plutôt d’être tendu.
– Ca ne le sera pas.
– Et si je leur dis tout ?
– Tu ne le feras pas. J’imagine que tu n’as pas envi de te retrouver enfermée pendant des semaines. Avec tout le temps que cela me laisserait pour m’occuper de ta fille.
Je fis une pause et continuais.
– Tu peux en parler à ma soeur ou ma mère. Je nirai. Et au pire si elles découvrent que tout cela est vrai, il y a de la place dans la panic room pour elles aussi.
– Tu les enfermerais ?
– Si tu m’y obliges. Mais tu ne le feras pas…
– Tu sembles bien sur de toi.
– Tu renoncerais à une vie sans problème d’argent ? Tu aurais accès aux plus beaux magasins, aux plus beaux restaurants. Tu aurais une vie sexuelle plus qu’épanouie. Dans ta vie d’avant, tu n’étais rien. Tu vivotais pour aider mon père. Tu voyais à peine ta fille. Tu n’avais pas d’ami. Au contraire, tu étais harcelée en permanence par les huissiers. Ici, personne ne pourra t’importuner, ou ils auront à faire à moi.
Sandrine tourna la tête vers moi.
– Il y a juste une chose. Je ne t’aime pas.
– Il va falloir faire semblant alors.
On resta silencieux un moment sur le lit. Pour mettre un peu plus la pression à Sandrine, je remis en lecture la vidéo de Marion. Puis une fois qu’elle eut joui une fois de plus, je me levais, et fis signe à Sandrine de me suivre.
– C’est bon, tu retournes dans la pièce maintenant.
– J’ai pris une décision, me fit Sandrine.
Je lui fis un signe du menton pour qu’elle s’exprime.
– Si je fais ce que tu me demandes, tu ne verras plus ma fille ? On est bien d’accord ?
– Tu n’es pas trop en position d’exiger des choses, mais oui, je ne la verrai plus.
– Alors considère que c’est d’accord.
J’allais vers une comode, et ouvrit un tiroir, d’où je sortis une petite clé. Je m’approchais de Sandrine, et m’accroupit pour atteindre ses menottes aux chevilles. Je les retirais en un léger cliquetis. Je fis demi-tour, et rangea ces dernières dans le même tiroir.
Sandrine resta assise sur le bord du lit. Elle n’avait pas cherché à partir en courant. Je pense qu’elle devait se poser mille questions. Déjà, en étant enfermé aussi longtemps, il y avait de quoi être particulièrement désorienté. Je pense aussi qu’elle devait être soulagée pour sa fille, et qu’elle avait pris cette décision en grande partie pour m’éloigner d’elle.
– Viens m’embrasser. Mon amoureuse.
Sandrine se leva doucement, fit quelques pas, pas vraiment surs, dans ma direction. Elle continuait de marcher à petits pas, par habitude. Elle vint jusqu’à moi, nue, et me regarda.
– Embrasse moi.
Sandrine approcha doucement, nos corps se touchèrent, et nos bouches vinrent doucement se coller l’une à l’autre. Je laissais Sandrine m’embrasser pour l’évaluer.
– Plus de passion, Sandrine. Fais comme quand tu embrassais mon père. Je t’avais vu faire. C’était beau. Fais pareil.
Sandrine vint m’embrasser avec plus de douceur de de passion. Elle colla ses seins contre moi.
– Continue… Et dis moi que tu m’aimes.
Sandrine termina un doux baiser, éloigna un peu sa tête, et les yeux un peu embués par les larmes, et murmura :
– Je t’aime.
– Dis le en te masturbant.
Sandrine passa sa main sur sa chatte et commença à se carresser. Elle répéta presque automatiquement :
– Je t’aime.
– Embrasse moi.
Sandrine vint coller à nouveau ses lèvres sur les miennes, tout en continuant de se masturber. A mon tour je me mis à l’embrasser longoureusement. Je l’entrainais vers le lit. Elle se laissa tomber en arrière, et je vins m’allonger sur elle. Je lui écartais les cuisses, que je lui mis sur mes épaules, et présenta ma queue gonflée sur sa chatte. Je me mis à taper fort à l’interieur de sa fente. Elle était trempée.
– Dis moi que tu m’aimes.
– Je t’aime, répéta Sandrine, tandis que ma queue lui défonçait la chatte avec force.
Je me laissais venir, et éjaculais dans sa fente. Sandrine put ainsi me sentir me répendre au fond d’elle par plusieurs saccades. J’entrais sous les draps du lit, et lui fis signe d’en faire de même. Je la pris dans mes bras.
– On va dormir toutes les nuits ensemble. Ce sera mieux, quand même, que sur ton matelas enfermée là-bas. Et demain, je te ferai un petit dejeuner au lit. Pour changer, c’est moi qui te servirai.
– Ca te gène, si je me prends une douche ?
– Non pas maintenant. Tu vas dormir avec moi. Et j’ai envi que tu gardes mon sperme un moment en toi. Au moins jusqu’à demain soir…
Comme elle ne disait rien, je l’enlassais et pris son sein droit dans ma main.
– Bonne nuit mon amour, lui dis-je.
– Bonne nuit mon amour, répéta t-elle.

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