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KIDNAPPING ET SOUMISSION TOME 3

KIDNAPPING ET SOUMISSION TOME 3



I. Punitions
Le lendemain à 08h00 tapante, elle était réveillée. L’homme versa dans une écuelle sa bouillie matinale et la posa au sol. Sweet Pussy se leva et se mit à quatre pattes pour manger sa pitance. L’homme resta dans l’encadrement de la porte et regarda la paire de fesses et ses lèvres pendantes et annelées qui bougeaient suivant les mouvements de tête de l’esclave.
« Dépêche-toi chienne car aujourd’hui il y a réunion spéciale. Elle pourra te servir au cas où te viendrait la même idée. »
« Maître, je voudrais aller aux toilettes, s’il vous plaît. »
« Ok, mais tu as 5 minutes, pas plus. »
L’homme attacha une chaîne au collier de Sweet Pussy et l’emmena toujours à quatre pattes dans un coin de verdure ensoleillé par les premiers rayons matinaux. Des centaines de mouches volaient dans l’air, une odeur de merde piquait les narines. Sweet Pussy regardait où elle mettait les pieds et les mains car elle vit des crottes qui jonchait le sol. Elle se positionna pour déféquer, l’homme attendait juste à ses côtés. L’esclave était bloquée de faire ses besoins devant un homme.
«Dépêche-toi, je n’ai pas que cela à faire. Si tu n’arrives pas à chier, je vais te dégorger le cul, moi ! »
Sweet Pussy poussa et l’homme se positionna derrière l’esclave et vit l’anus se distendre et un étron glisser de l’anus pour tomber dans l’herbe. Elle prit quelques brins d’herbe pour se nettoyer le cul.
L’homme l’amena à une salle qui était déjà bien peuplée. D’autres esclaves se trouvaient dans la salle toutes assises, ou plutôt liées chacune à une chaise. Une estrade se trouvait au beau milieu de la pièce. Des chaînes pendaient du plafond et un banc trônait dessous.
Maîtresse Aurore apparut vêtue d’un corset de cuir clouté, de bas résille et de cuissarde en cuir qui lui moulaient les jambes. Elle portait aussi des gants opéra en cuir.
« Esclaves, je vous ai conviées aujourd’hui pour que vous sachiez ce qui l’encourt à celle qui voudrait s’échapper de notre château. Que ceci vous serve d’avertissement ! »
Une porte s’ouvrit et Alexandre entra, suivit d’une esclave.
« Pour celles qui ne le connaissent pas, je vous présente Maître Alexandre, mon mari. »
Maître Alexandre monta sur l’estrade et amena une esclave sur celle-ci. Elle portait un collier avec quatre anneaux. Ses mains étaient attachées dans le dos. Un ball-gag obstruait sa bouche.
« Cette esclave a tenté de s’échapper du château. Ce manque flagrant de reconnaissance m’amène à la punir sévèrement. Attachez-la! »
Deux hommes se levèrent et attachèrent les bras de la pauvre esclave aux bracelets qui pendaient au plafond. Maîtresse Aurore appuya sur un bouton et l’esclave s’éleva dans les airs. Ses pieds battaient l’air pour essayer de se dégager. Les deux hommes prirent chacun un membre et les attachèrent à d’autres bracelets. L’esclave pendait comme un X.
« Enlevez-lui son ball-gag. »
L’esclave commença à crier sitôt sa bouche libérée.
« Détachez-moi s’il vous plaît, laissez-moi partir, laissez-moi !!! » criait l’esclave en pleurant à chaude larme.
Maîtresse Aurore prit alors un fouet accroché à un poteau. L’esclave ne voyait pas ce qui se passait dans son dos et dans la salle, on aurait pu entendre une mouche voler tant l’attention des autres esclaves et celle de Sweet Pussy étaient rivées sur ce qui se passait au centre de la pièce.
Maîtresse Aurore abattit le fouet sur le dos de l’esclave qui hurla sous le coup. Le fouet toucha l’esclave par dix fois. Les cris de la suppliciée rompait le silence de l’assistance. Maîtresse Aurore passa devant l’esclave qui, cette fois allait voir les coups arriver. Son ventre, ses seins furent châtiés sans pitié. Du sang coulait de la peau fine des seins. Elle fut descendue et attachée sur le banc. Les deux hommes lièrent solidement ses chevilles, ses mains, ses jambes, son dos pour que son corps ne puissent plus bouger. Maîtresse Aurore vérifia si sa suppliciée était bien arrimée au banc à plusieurs endroits. Assurée du bon travail de ses deux sbires, elle fit signe à l’un des deux hommes qui quitta la salle. Quelques instants plus tard, il revint roulant devant lui un brasero sur un chariot. Un mugissement se fit entendre dans la salle à la vue du brasero, par contre l’esclave hurla lorsqu’elle comprit ce qui allait lui arriver.
« Remettez-lui le ball-gag que je n’entendre plus ses jérémiades. »
Maitresse Aurore approcha du brasero et en sortit un tison rougeoyant qui se terminait par un A traversé d’un éclair et entouré d’un cercle. Elle passa avec le tison devant l’esclave qui hurlait à la mort dans son bâillon en voyant qu’elle allait être marquée comme un a****l.
S’adressant à l’assistance :
« Voici le traitement que l’on fait subir à celle qui tente de s’échapper de notre enceinte. »
Maîtresse Aurore posa le tison sur la fesse droite de son esclave qui hurlait comme une bête. La peau crépitait sous la brûlure du fer. Une odeur de cochon brûlé emplit la salle et des « ohh » d’étonnement se firent entendre. L’esclave s’évanouit sous la douleur. Maîtresse Aurore planta le tison dans le brasero et réveilla son esclave avec des sels. Quelques minutes plus tard, Maîtresse Aurore reprit en main le tison et l’assistance comprit que le marquage n’était pas terminé. Le tison fut posé cette fois sur la fesse gauche de la fugitive qui hurla de nouveau. Sweet Pussy fut horrifié par ce qu’elle voyait. Pourquoi tant de cruauté !
Maîtresse Aurore fit un signe et les deux hommes détachèrent l’esclave. Elle fut retournée sur le banc sans que ses fesses touchent celui-ci car un des plateaux avait au préalable été ôté. Elle fut attachée solidement sur le banc de dos. Maîtresse Aurore prit de nouveau le tison et le posa sans pitié sur le sein gauche de l’esclave. Quelques minutes plus tard, le sein droit subit le même châtiment. L’esclave n’était plus qu’une loque et les deux hommes la libérèrent de ses liens. Ils appliquèrent un onguent sur ses marques pour la cicatrisation.
« Avis aux amatrices de liberté ! »
Toutes les esclaves furent congédiées et ramenées dans leurs cellules. De légers murmures se firent entendre bien vite réprimées par Maîtresse Aurore.
Sweet Pussy fit des cauchemars durant la nuit. Elle voyait sa peau marquée au fer rouge et se réveilla plusieurs fois.
II. Nouvelle épreuve pour Sweet Pussy
Après sa collation matinale, Sweet Pussy fut emmenée dans la cellule de préparation pour y subir 5 lavements. Puis une esclave la conduisit dans une chambre cossue au milieu de laquelle trônait un banc. Maîtresse Aurore se trouvait à côté.
« Bonjour Sweet Pussy. »
« Bonjour Maîtresse. »
« En position d’inspection, chienne. »
Sweet Pussy mit ses mains derrière la tête, jambes écartées.
« Tu n’avais pas réussi l’épreuve de la traie alors nous allons recommencer aujourd’hui, mais j’y ai apporté quelques modifications. Esclave, attache-la solidement sur le banc. »
L’esclave prit Sweet Pussy et l’installa sur le ventre sur le banc. Elle prit soin de lier solidement ses poignets et ses chevilles, mais aussi son corps au niveau de son échine et du torse. Elle prit aussi deux chaînes qu’elle passa dans les anneaux des petites lèvres du sexe pour les attacher au banc en prenant soin de bien les écarter pour lui ouvrir la chatte. Sweet Pussy se retrouva donc positionné les fesses bien en évidence et la tête légèrement vers le bas. Ses globes fessiers bien écartés, son trou bistre s’ouvrait doucement.
Maîtresse Aurore s’approcha de Sweet Pussy et lui dit à l’oreille :
« Pour ne pas que tu aies mal au bras à force de branler des bites, je t’ai installée confortablement. Tu vas traire les 50 hommes mais cette fois-ci c’est ton cul qui va les traire. Ces hommes vont tous t’enculer et tu as intérêt à garder leur sperme dans ton cul et à serrer les fesses, si je vois du sperme couler de ton cul, je te corrige les fesses et la chatte. Je transformerai ta chatte en steak haché ! Et j’ai attaché les lèvres de ta chatte, pour qu’on voit ta jouissance. Ne bouge pas trop sinon tu vas te déchirer, petite pute !»
« Pitié, Maîtresse, pas ça, je ne veux pas me faire enculer ! Non, arrêtez ! » cria Sweet Pussy.
« Mettez lui un anneau dans la gueule, cela la calmera ! »
Un anneau fut posé entre ses dents, de la salive commença à couler de sa bouche. L’esclave prit un tube de gel anal et le plaça à 50 centimètres de hauteur par rapport aux fesses de Sweet Pussy. Elle appuya sur le tube pour faire couler du gel comme on verserait un thé à la menthe. Le gel se posa sur la raie du cul de Sweet Pussy et coula doucement vers son anus. Le premier homme se présenta devant le séant ouvert. Sa bite était déjà dressée et il la malaxait dans la main pour qu’elle garde toute sa raideur.
« Numéro un, tu vois cette paire de fesses et ce trou qui ne demandent qu’à se faire prendre ? Allez, encule cette pouffiasse ! Et toi tu diras merci Maître quand tu sentiras leur sperme tapisser ton cul de chienne !»
« Boui Maîtrèche. » dit Sweet Pussy entre deux sanglots.
L’homme plaça sa bite juste devant l’anus de Sweet Pussy. Il poussa son chibre. Sweet Pussy cria lorsque la bite força son cul. Elle glissa sans mal tant le travail du plug avait assoupli les sphincters. Mais Sweet Pussy criait, non pas que cette intromission lui fasse mal, mais le fait de savoir que 50 bites allaient lui labourer le cul.
L’homme poussa un cri lorsqu’il se répandit en elle.
« Merchi Maîtrche. » dit en pleurant Sweet Pussy au travers de son anneau buccal. Le numéro deux se présenta et enfourna sa bite. Il ne mit pas longtemps à jouir, puis vint le troisième homme et ainsi de suite. Maîtresse Aurore s’était placée juste devant les yeux de Sweet Pussy. La Maîtresse riait aux éclats alors que son esclave, elle, soupirait au travers de son anneau.
« Numéro 30 et n’oublie pas comment un Maître doit se comporter avec une esclave ! » cria Maîtresse Aurore.
L’homme au sexe piercé se présenta devant les fesses de l’esclave. Il pointa sa bite sur l’anus et enfila son sexe d’une seule traite.
« Tu la sens ma bite salope ? »
Sweet Pussy ne pouvait que marmonner un oui presqu’inaudible au travers de l’anneau.
L’homme répéta et lui cliqua les fesses.
« T’aime ça, hein salope ? Tu n’es qu’une pute tout juste bonne à être enculée. »
« Wwwouai Maîtrchhe »
La bite du numéro 30 allait et venait dans le cul de Sweet Pussy. Ses couilles alourdies par le ball-stretcher battaient les fesses et les lèvres pendantes de Sweet Pussy.
L’homme sentit sa bite gonfler et éjacula dans le cul de la soumise.
« Ahhh, prends ça salope… »
L’homme se retira du cul de la chienne.
« Suivant ! »
Sweet Pussy reçut les 50 salves de sperme sans que son cul n’en laisse échapper une seule d’entre elles ! Elle était exténuée tant ses fesses avaient travaillé.
« Serre tes fesses, pétasse, tu retournes sur la chaise métallique. »
Sweet Pussy fut installée sur la chaise pieds et poings liés. Une esclave vint avec le saladier qu’elle plaça sous le cul de Sweet Pussy.
« Maintenant tu peux ouvrir tes fesses ! »
Sweet Pussy s’exécuta et lâcha tout le sperme en elle. Une masse visqueuse coulait de son anus sans discontinuer, parfois des bruits intempestifs s’échappaient de son cul et des bulles de sperme sortaient de son cul.
Maîtresse Aurore posa un masque en latex noir ouvert aux yeux et à la bouche sur la tête de Sweet Pussy, puis le tube coudé. Deux ceintures bloquèrent les mouvements de sa tête.
Sweet Pussy savait ce qui l’attendait et avala sa salive plusieurs fois. Maîtresse Aurore fit couler le sperme dans l’entonnoir. Elle fit pivoter la vanne au coude du tube tout en regardant la réaction de son esclave et le liquide coula dans la bouche de Sweet Pussy.
« Je te conseille d’avaler, sinon, je te laisse te noyer dans ce sperme, salope ! »
Sweet Pussy avala le liquide. Ses doigts serraient fort les accoudoirs métalliques de la chaise.
L’esclave but tout le sperme qui venait de son cul. Sweet Pussy fut détachée et emmenée à sa cellule. Elle toussait de temps en temps du goût âcre qu’elle avait dans la bouche.
III. L’opération
08h00 sonna au château. Maîtresse Aurore vint personnellement réveiller Sweet Pussy, deux esclaves la suivaient avec un brancard.
Sweet Pussy se mit à quatre pattes pour attendre sa bouillie.
« Allonge-toi sur ce brancard, esclave. »
L’esclave obtempéra et les deux soumises en latex attachèrent solidement Sweet Pussy par les poignets, les pieds, le ventre, les épaules et la tête.
Maîtresse Aurore sortit une seringue de sa poche, et appuya sur le piston pour ôter les bulles.
« Qu’allez-vous me faire encore, non laissez-moi ! »
Maîtresse Aurore n’eut aucune attention à ce qu’elle disait et piqua au niveau du bras Sweet Pussy. Elle se débattait pour essayer de se détacher mais au bout de quelques minutes d’un combat perdu d’avance contre les liens.
« Aujourd’hui, c’est un grand jour pour toi Sweet Pussy. Tu seras une nouvelle esclave et bien bandante ! »
« Non laissez-moi, laissez-m…..! »
Sweet Pussy n’eut même pas le temps de finir sa phrase que l’anesthésiant faisait déjà effet et l’emportait dans les bras de Morphée.
Elle fut conduite en salle de soins. Maîtresse Aurore pratiqua elle-même l’intervention. Elle traça au crayon le tracé du scalpel, puis découpa les chairs du corps inerte. Elle découpa aussi autour de l’auréole du sein pour la remonter. Une prothèse en silicone fut introduite dans le sein. Celle-ci avait une contenance de 800 cm³, de forme presque sphérique. Maîtresse Aurore vit grand lorsqu’elle inséra la première prothèse dans le sein droit. La peau du sein était très tendue mais avec dextérité, elle parvint à l’insérer sous la peau et replaça la peau pour que le sein soit parfait. Il fallait aussi faire attention au piercing au travers du sein. L’opération se poursuivit avec le sein gauche. Maîtresse Aurore referma les chairs et fit les points de suture. Puis on conduisit Sweet Pussy en salle de réveil.
Sweet Pussy se réveillerait avec une poitrine de 120 bonnet G.
Sweet Pussy se réveilla doucement encore l’esprit et la vision embrumés. Elle voulut se lever mais ses bras étaient attachés au lit et lorsqu’elle voulut lever les jambes, elle aperçut deux gros bracelets à ses chevilles. En respirant, elle ressentit une douleur et surtout une lourdeur sur la poitrine. Quelle ne fut pas sa surprise de voir un large bandage entourant sa poitrine lorsqu’elle leva la tête.
Maîtresse Aurore entra dans la pièce. Elle était habillée en latex de la tête aux pieds. Une longue jupe noire fendue sur les côtés, un chemisier transparent, laissant voir des seins annelés, surmonté d’un boléro noir et des gants d’opéra couvrant jusqu’aux coudes. Elle approcha du lit et leva la jambe pour la poser sur le bord du lit. Elle portait de magnifique bottes en latex à talons métalliques vertigineux, au moins 15 centimètres se dit Sweet Pussy lorsqu’elle les vit en levant la tête. Les jambes de sa Maîtresse étaient gainées de bas en latex noirs transparents. Sweet Pussy vit qu’elle ne portait pas de culotte car elle aperçut son sexe avec des lèvres annelées.
« Qu’est-ce que vous m’avez fait, j’ai mal dans la poitrine, j’ai mal partout ! »
« Je t’avais dit que tes seins tombaient et que c’était disgracieux. Alors tu as subi une opération de chirurgie plastique et une augmentation mammaire. Je vais te montrer tes seins maintenant. Ils sont encore gonflés car tu as eu cette opération hier mais tu vas voir, c’est très beau. »
Elle fit un signe et deux esclaves vinrent libérer Sweet Pussy de ses liens et la mirent en position assise. Sweet Pussy vacilla sous l’effet résiduel de l’anesthésiant mais les esclaves s’empressèrent de la maintenir pour éviter sa chute.
Maîtresse Aurore prit des ciseaux et coupa les pansements. Lorsque la Maîtresse enleva le pansement, Sweet Pussy aperçut dans le miroir des seins gigantesques, pour elle, par rapport à ceux qu’elle avait il y a encore une journée.
« Mais qu’avez-vous fait à mes seins, ils sont énormes, c’est horrible ! »
« Qu’oses-tu me dire !!! Je t’ai mis un tour de poitrine dont rêvent toutes les femmes, un 120 bonnet G et toi tu m’insultes ! Tu me paieras cher cette ingratitude, petite pute. Tu me le paieras très cher, tu peux me croire. »
« Remettez-lui de nouveaux pansements, mes gentilles petites esclaves et attachez-la au lit. Nous nous occuperons d’elle lorsqu’elle se sera remise de son opération. »
« Et toi, tu vas rester dans ta cellule attachée sur ton lit et tu vas me regarder les films que je te diffuserai au-dessus de la tête. Tu cogiteras à ce que tu viens de me dire. Et moi pendant ce temps-là je vais penser à de nouvelles épreuves et de nouvelles séances d’entraînement. »
IV. La visite d’esclave N°1
Sweet Pussy passa trois semaines dans sa cellule, le temps que ses nouveaux seins cicatrisent. Elle mangeait toujours sa bouillie mais des vitamines lui étaient administrées pour qu’elle reprenne des forces et pour aider son corps à cicatriser plus rapidement. Elle avait droit parfois à une promenade pour ne pas avoir une phlébite. Ces orifices continuaient de travailler car les plugs les comblaient. Lorsqu’elle était allongée sur le lit, des films étaient diffusés. Des femmes aux seins gigantesques étaient possédées comme de vulgaires objets par des hommes. Leurs seins énormes ballotaient dans tous les sens et on voyait leur peau se froncer sous le poids de ces seins.
Dans une scène, une soumise avec deux morceaux de corde autour des aisselles fut intégralement plastifiées, et un trou fut ouvert pour sa bouche. Ses bras étaient repliés sur eux-mêmes. Ses jambes aussi étaient repliées, les mollets touchaient les cuisses. Calée sur une chaise comme un vulgaire bibelot, deux hommes prirent des rouleaux de scotch rouge et commencèrent à lui recouvrir le corps. Au fil des minutes et des rouleaux de scotch qui se déroulaient sur son corps, il ne restait plus que sa bouche, sa chatte annelée et son anus apparents. Elle ressemblait désormais à une statue. Un tube fut enfoncé dans sa bouche et un des deux hommes posa du scotch autour du tube pour couvrir la bouche. Une fois la momification terminée, deux chaînes avec un crochet à chaque bout furent accrochées aux cordes et à l’aide d’une commande, le bibelot humain fut levé et ne toucha plus la chaise. Il se balançait dans l’air.
A ce moment-là, un des deux hommes prit un vibromasseur et le posa contre la chatte pendante. On entendait gémir la forme rouge qui se débattait dans les airs. Des cris provenaient du tube en latex qui dégoulinait de salive. L’homme stoppa le vibromasseur et le remplaça par un plug relié par deux fils électrique. Il l’enfonça sans ménagement dans la chatte de la femme et pour éviter que celui-ci ne tombe, il le bloqua à l’aide d’une corde reliée aux anneaux des lèvres du sexe. Il ne fallut pas deux minutes pour que la soumise laisse échapper un jet d’urine continu qui se déversa dans un seau placé au sol sous le bibelot humain. L’écran s’éteint soudainement, la porte s’ouvrit. On détacha Sweet Pussy et on l’emmena dans le salon de réception.
Elle n’avait pas encore mis les pieds dans cette pièce, une sorte de salle avec des divans le long des murs et une estrade au centre de la pièce. Des spots fixés au plafond éclairaient la pièce d’une lumière industrielle. Sweet Pussy vit aussi des anneaux pendants à une poutre métallique, poutre qui, elle-même, était reliés à une chaîne par un palan électrique. Elle vit aussi des anneaux sur le plancher de l’estrade. Sweet Pussy vit pour la première fois les autres esclaves assises près d’elle. Elle portait toutes des piercings à différents endroits. Elles arboraient aussi des tatouages tantôt sur les bras, d’autres sur les seins ou aux jambes.
Maîtresse Aurore prit la parole. Elle était toute en beauté ce soir, parée de latex, comme à son habitude, une combinaison violet et des bottes à talons d’au moins 20 cm avec semelles compensées. Elle prit un micro posé sur une étagère :
« Je vous ai toutes conviées car nous avons une visite importante, celle de ma première esclave, N°1, qui est revenue de sa tournée des clubs SM., et qui va donc passer plusieurs semaines au bercail. »
« Je vous présente donc N°1.» hurla Maîtresse Aurore dans son micro.
Une musique techno envahit la salle et une femme arriva par la porte du fond qui se trouvait dans la pénombre. Elle monta les marches de l’estrade et transperça la lumière des spots. Sweet Pussy aperçut une femme en combinaison latex noire et portant un masque en latex noir à liseré rouge troué au niveau des yeux et de la bouche. En sautillant sur les marches une natte à trois brins de cheveux blonds qui sortait du haut du masque virevoltait au gré de ses pas. Mais ce qui a surpris Sweet Pussy, c’était la dimension de ses seins. Ils étaient énormes, aussi ronds et gros que des ballons de basket ! L’esclave N°1 avait un tour de poitrine classique mais le bonnet !! Y avait-il une lettre pour donner la taille du bonnet ?
« Voici donc Mon esclave N°1 avec son tour de poitrine de 150 bonnet K. »

En donnant les mensurations du tour de poitrine de son esclave, Maîtresse Aurore regardait Sweet Pussy qui baissa les yeux lorsque leurs regards se croisèrent. L’esclave N°1 enleva son masque. Elle montra alors sa longue natte blonde qui n’était pas postiche comme le pensait au début Sweet Pussy. Cette natte était bien réelle, elle faisait plus de 1.50 m de long. Mais ce qui était le plus surprenant, c’est la coupe de cheveu de N°1. A part sa tresse blonde, sa tête était rasée ! Sweet Pussy avait la même coupe ! Ses sourcils avaient été remplacés par des piercings noirs. Bien sûr son nez était piercé comme Sweet Pussy, ses oreilles aussi, ses lèvres. L’esclave passa sa langue sur ses lèvres, une langue qui portait 3 piercings. Sweet Pussy s’interrogeait et regardait esclave N°1 mais voyait son propre visage à la place…

L’esclave N°1 s’avança vers Sweet Pussy et ôta son soutien-gorge juste sous ses yeux. Sweet Pussy put voir alors deux gros anneaux d’une épaisseur d’au moins 1 centimètre en travers de ses tétons, mais ces anneaux ne passaient pas directement dans sa chair mais dans un flesh tunnel d’un plus grand diamètre. Mais derrière ces deux anneaux monstrueux, deux autres piercings, verticaux dans le téton, étaient aussi bien visibles. Ils étaient de la même épaisseur. Ses tétons étaient vraiment distendus d’une longueur de plus de deux centimètres, mais elle prenait plaisir à les pincer entre ses doigts comme pour inviter les soumises spectatrices à les toucher mais aussi à porter des piercings de cette dimension. Elle se positionna devant Sweet Pussy et prit sa main pour qu’elle touche ses seins. Sweet Pussy était gênée de ce geste, elle qui n’avait jamais touché une femme de sa vie. La peau de ses seins était douce et très tendue. Un tatouage représentant un crâne sur lequel un rat ouvrait la gueule ornait chaque sein. Sweet Pussy vit alors deux autres piercings dans les seins de N°1, les mêmes que les siens à la base des seins, mais à une différence près, l’épaisseur de ces piercings. Les deux barres qui lui traversaient les seins avaient un diamètre de trois centimètres !
L’esclave N°1 glissa les fermetures éclair de sa combinaison de latex qui se trouvaient aux épaules. La fine peau de latex glissa sur son corps. Un corps tatoué sur la totalité des bras apparu, un soleil noir ornait son nombril. Lorsqu’elle fit glisser sa combinaison sur ses jambes, les spectatrices purent voir son sexe. Ses lèvres, grandes et petites, portaient 10 anneaux chacune, et son capuchon portait lui aussi un piercing. Son clitoris aussi avait été piercé. Tous ces anneaux étaient aussi de belle dimension. Ses lèvres, son capuchon et son clitoris pendaient bien bas. L’épaisseur des anneaux était aussi de l’ordre du centimètre. Ses lèvres devaient mesurer environ 4 centimètres. N°1 se tourna et montra son dos.
Son échine arborait un tatouage tribal de belle dimension. Ce qui attira l’attention de Sweet Pussy fut le plug qui était fiché dans l’anus de N°1.
Mais à peine, Sweet Pussy avait-elle fixé des yeux ce plug que N°1 passa sa main sur le plug et le fit glisser pour le retirer de son fondement. N°1 se contorsionna et un plug de 20 centimètres de long par 12 centimètres de diamètres sortit des entrailles de N°1. Elle amena ce plug à la bouche et le suça lentement en fermant les yeux et en passant sa main libre dans son sexe annelé pour se caresser. Certaines « spectatrices » criait pour avoir les faveurs de la star du soir et goûter elles aussi au plug mais N°1 se plaça devant Sweet Pussy lui montrant le plug et son sexe annelé. Elle se pencha et voulut embrasser sur la bouche Sweet Pussy mais celle-ci détourna la tête pour éviter ce baiser lesbien.
Maîtresse Aurore fustigea Sweet Pussy du regard qui baissa les yeux pour éviter cette colère oculaire. Maîtresse Aurore reprit le micro pour mettre fin à cette soirée de bienvenue. Les esclaves furent conduites dans leur cellule respective.
« Reste là Sweet Pussy. »
La salle se vida dans un calme olympien.
« Sweet Pussy, je t’ai fait venir à cette soirée pour que tu vois ce que je veux faire de toi. Je lis en toi comme dans un livre ouvert, tu es de celles qui n’ont pas peur des challenges. Voici ton challenge. » dit Maîtresse Aurore en montrant du doigt N°1.
« Non, jamais. Je ne veux pas ressembler à votre monstre de foire ! Vous m’avez déjà augmenté les seins, cela suffit ! » »
Pour toute réponse, Sweet Pussy reçut une gifle magistrale qui la déséquilibra.
« Pour ta peine, demain je ferai tatouer tes deux globes fessiers et tu participeras samedi à la soirée que je donne pour plusieurs Maîtres et Maîtresses. J’ai besoin de servantes. Ramenez-là dans sa cellule et équipez-la de plugs dans son cul et sa chatte. Cela la fera réfléchir.»
Sweet Pussy dormit mal la nuit par la présence des deux godemichés dans ses orifices mais aussi parce qu’elle se demandait ce qui allait lui arriver…
Le lendemain matin après sa bouillie, Sweet Pussy fut emmenée dans le studio de tatouage. Elle fut couchée sur le ventre et attachée sur le siège de travail. Le tatoueur arriva et posa le motif de Maîtresse Aurore sur ses fesses : un rat sur un crâne. Sweet Pussy passa sa journée à entendre les aiguilles peindre la peau de ses fesses.
V. Soirée spéciale
La journée de Sweet Pussy fut calme sachant que la soirée serait son épreuve. Elle passa la journée attachée au lit avec pour seule compagne, la télévision qui lui diffusait toujours des films SM en boucle. Seuls des lavements lui furent administrés en milieu d’après-midi.
Maîtresse Aurore entra dans la cellule accompagnée de deux esclaves. L’une était habillée de rouge, l’autre de noir. Elles portaient chacune une combinaison de latex. Un masque avec seulement deux petites ouvertures de la taille des pupilles des yeux, deux petits trous pour les narines. Elles avaient un ball-gag dans la bouche en forme de pénis à l’extérieur. Ce pénis en latex comportait un trou dans le gland factice. Leur respiration difficile se faisait entendre dans la cellule. Des gants rouges pour l’une, l’autre noirs recouvraient leurs mains et des bottes rouges ou noires à semelles compensées et talons vertigineux aussi chaussaient leurs pieds. Elles portaient des bracelets aux chevilles et aux poignets. Elle avait une posture altière car leur tête était rehaussée d’un collier corset avec 4 anneaux. Leur taille était restreinte par un corset avec des anneaux. Une sangle passait devant leur sexe et leurs fesses, des plugs de bonne taille obstruaient leurs orifices. Sweet Pussy se demandait comment elles pouvaient marcher avec de telles bottes. L’une d’elle portait un plateau sur lequel étaient posés plusieurs habits et autres accessoires que vit Sweet Pussy.
« Assez rêver, Sweet Pussy debout. Il est temps de servir mes invités. Je vais te préparer. Je ne veux pas entendre un seul mot durant le dîner. Tu fais exactement ce que l’on t’ordonne, tu dois obéir à toutes les demandes. Si on me remonte des plaintes, je vais m’occuper de toi personnellement. Tu as bien compris, esclave ? »
« Oui, Maîtresse. »
Maîtresse Aurore prit une ceinture de chasteté qu’elle plaça autour de la taille de son esclave. Sweet Pussy regarda cet attirail avec curiosité. La ceinture avait une sangle métallique qui passa sur le sexe de l’esclave. Une sorte de grille vint se positionner juste sous les lèvres de Sweet Pussy. La sangle passa sur ses fesses et fut cadenassée sur la sangle de la taille. Sweet Pussy se mit à quatre pattes suivant l’ordre de sa Maîtresse et elle sentit alors une métallique intromission dans son cul. Maîtresse Aurore venait de lui enfoncer un spéculum qui laisser son anus toujours ouvert. Ce spéculum fut fixé sur la sangle à l’aide de 4 petites goupilles.
« Debout esclave. »
Sweet Pussy se releva délicatement et sentit le spéculum dans son fondement.
« Tu peux toucher si l’envie t’en dit, petite enculée. »
Sweet Pussy osa une main sur la sangle et toucha son anus distendu par l’engin.
Maîtresse Aurore prit alors une jupe en latex noir qu’elle passa dans les jambes de son esclave. Cette jupe était tellement mini que l’on pouvait voir la naissance des fesses de Sweet Pussy ainsi que ses tatouages. Maîtresse Aurore prit alors un carcan en latex épais qu’elle passa autour des nouveaux seins de son esclave. Ce carcan ressemblait à un soutien-gorge mais sans bonnet car deux sangles circulaires entouraient ses seins. Il comportait aussi un collier avec deux anneaux sur les côtés. Maîtresse Aurore ajusta le carcan. Elle prit ensuite un plateau en bois vernis noir qu’elle attacha sur la taille et le fixa aux anneaux de ses seins.
Des bracelets épais en latex furent fixés aux poignets de Sweet Pussy, ceux-ci furent attachés à la ceinture de chasteté. Maîtresse Aurore gaina les jambes de son esclave de bas auto-fixants et chaussa son esclave d’escarpins à semelles compensées équipés de bracelets. Maîtresse Aurore prit alors deux bracelets qu’elle posa sur le haut des cuisses. Elle tira sur les lèvres intimes et attacha les anneaux des lèvres sur les bracelets par de petites chaînes. Sweet Pussy gémit car ses lèvres étaient volontairement étirées pour maintenir son attention et sa soumission. Maîtresse Aurore finit par un :
« Voilà qui est parfait, prête pour le room service. En avant servante ! » Dit Maîtresse Aurore en poussa Sweet Pussy par une tape amicale sur ses fesses.
Maîtresse Aurore et ses trois esclaves se rendirent au château. Sweet Pussy grimaçait à chaque pas car les chaînes tiraient sur ses anneaux intimes et le plateau bougeait en cadence de ses pas. Son poids tirait sur ses tétons. Sweet Pussy découvrit alors une immense salle à manger. Quelques tapisseries couvraient les murs de pierre. Une cheminée dans laquelle crépitait des bûches chauffait la pièce. Sweet Pussy eut un frisson en voyant les flammes. Elles lui rappelèrent le marquage au fer rouge de l’esclave. Huit tables circulaires étaient préparées. Les convives étaient attablés et discutaient entre eux. Les hommes portaient un smoking brillant, les femmes des robes de couleurs différentes, des longues, des courtes. Tous étaient habillés en latex.
Un bar se trouvait dans un angle de la pièce. L’esclave habillée en noir prit Sweet Pussy par le bras et l’amena devant le bar, quant à elle, elle passa derrière pour servir. Une esclave totalement recouverte de latex jaune, vint passer une commande.
« Les Maîtres et Maîtresses de la table N°5 veulent 3 whiskies, 2 coupes de champagne, 1 gin et 2 martinis. »
L’esclave en latex noir prépara les huit verres. Sweet Pussy avait le regard qui parcourait toute la salle du sol au plafond pour observer la décoration.
La « barwoman » prit les verres et les posa sur le plateau de Sweet Pussy. Les huit verres pesaient leur poids et Sweet Pussy grimaça.
« Table N°5 Sweet Pussy, et ne renverse pas sinon, Maîtresse Aurore va se charger de toi car c’est sa table. »
Sweet Pussy marcha doucement pour éviter les douleurs sur ses anneaux mais aussi pour ne pas renverser son plateau. Les convives regardaient les servantes et les jugeaient selon leur physique. Tous pouvaient juger de leurs cuisses, fesses et poitrine. Elle arriva à la table et les Maîtres et maîtresses se servirent. Maîtresse Aurore prit son whisky. Chaque table avait sa servante ou soubrette plutôt. Sweet Pussy vit un homme à quatre pattes assis à côté d’une Maîtresse. Elle lui donnait le gras des petites tranches de jambon et les peaux des rondelles de saucisson que la Maîtresse mangeait. Sweet Pussy vit que plusieurs Maîtresses avaient son esclave mâle à leurs côtés.
Sweet Pussy retourna au bar lorsque son plateau fut vide et attendit sagement qu’on lui remplisse son plateau.
L’esclave vint avec une nouvelle commande. La table N°5 voulait une bouteille de whisky avec 5 verres et une bouteille de champagne et 3 coupes. Sweet Pussy eut toutes les peines du monde à garder droit son plateau tant il était lourd. Ses tétons étaient très étirés par les 3 kilos de poids. Mais, c’est sans faute qu’elle servit les Maîtres et Maîtresses de sa table.
L’heure du repas arriva et les soubrettes durent débarrasser les verres. Les plateaux furent emplis de verres vides et de bouteilles tout aussi vides pour laisser place au repas.
Maîtresse Aurore frappa dans ses mains et une double porte s’ouvrit.
Des esclaves mâles amenèrent le plat de résistance. Puis ils sortirent par où ils étaient entrés. On fit signe à Sweet Pussy pour amener des boissons à sa table. Sweet Pussy amena une bouteille de vin rouge. A peine avait-elle tourné les talons qu’un des Maîtres lui mis la main aux fesses et tata ses globes et sa ceinture de chasteté. Sweet Pussy sursauta surprise de cet attouchement intime. Elle se sentait violée. Elle voulut réprimer ce geste mais en se retournant, elle vit Maîtresse Aurore qui la regardait. Sweet Pussy s’en alla au bar résignée. Le manège continua encore deux heures. Sweet Pussy sentaient les mains des Maîtres et Maîtresses aller sur ses fesses, ses seins. Les anneaux de ses seins furent étirés, des doigts fouillèrent sa bouche, elle dut se courber pour montrer sa ceinture de chasteté. Une Maîtresse glissa ses doigts dans son rectum ouvert par le spéculum. Un Maître prit sa cravache et l’enfonça dans son cul. Il fit aller et venir sa cravache dans son intestin. Sweet Pussy dut lécher la cravache. Maîtresse Aurore l’appela. Sweet Pussy obéit et s’approcha de sa Maîtresse. Maîtresse Aurore retira le plateau. Une Maîtresse voisine saisit de suite l’occasion pour la saisir par le bras et l’amener devant elle. Celle-ci tira sur son collier, Sweet Pussy dut se courber sous la contrainte. Un regard malicieux de la Maîtresse vers un Maître servit de message pour le début de caresses obscènes en duo sur le corps de l’esclave. La Maîtresse et le Maître caressèrent Sweet Pussy dans son entre-fesses. La Maîtresse caressa ses seins. Elle tira ses anneaux, les vrilla, les lécha même. Les mains du Maître s’insinuèrent sous la ceinture de chasteté occultant son sexe. Il tira les anneaux de ses lèvres. La Maîtresse tritura à son tour les seins de Sweet Pussy, elle tira sur les tétons, tira sur les lèvres intimes. Sweet Pussy fermait les yeux et les crispaient de temps à autre sous la douleur. Le Maître, quand à lui, fouillait le cul de la soumise, il faisait glisser une fourchette dans ses intestins. La Maîtresse ordonna à Sweet Pussy de s’agenouiller, elle écarta ses cuisses, prit sa tête et lui intima l’ordre de lui lécher la chatte. Sweet Pussy résistait pour que sa bouche n’aille pas au contact de la chatte de la Maîtresse mais Maîtresse Aurore tira violemment sur sa tresse.
« Lèche moi cette chatte, petite pute sinon gare à toi. »
Sweet Pussy hésita à sortir sa langue, mais Maîtresse Aurore la rappela à l’ordre par un coup de cravache bien senti sur ses fesses. Sweet Pussy sursauta sous la douleur et commença à lécher le sexe de la Maîtresse pour éviter d’autres coups. Le sexe était glabre, annelé et avait une forte odeur. Il n’avait certainement pas été lavé depuis plusieurs jours. Le Maître caressait toujours le corps de Sweet Pussy.
« Il suffit, salope. » Dit-il en tirant l’esclave par le bras. Il ôta les pressions à l’entrejambe de son pantalon de latex noir et sortit une bite de belle dimension à demi tendue. Sweet Pussy se retrouva devant le sexe du Maître.
« Suce-moi la bite, petite pute. »
La maîtresse appuya sur la tête de Sweet Pussy et elle dut prendre en bouche la bite. Elle prit la tresse et fit des allers et venues sur le sexe qu’elle suçait. La Maîtresse lâcha la coiffe de Sweet Pussy et prit alors un gode ceinture qu’elle attacha à sa taille.
« Maîtresse Aurore ? Puis-je enlever le spéculum de cette pouffiasse pour que je puisse l’enculer avec ce gode. »
« Faites donc Maîtresse Hiliana, je vous en prie. » Dit Maîtresse Aurore qui sortait de la salle.
Sweet Pussy, sentait qu’on lui enlevait le spéculum de son cul, elle couina en passant sa langue sur le sexe tendu.
La Maîtresse se positionna derrière Sweet Pussy et l’empala d’une seule traite. Sweet Pussy ferma les yeux sous la douleur, elle crut qu’on lui déchirait le ventre tellement le gode était imposant. Sweet Pussy suçait la bite tout en se faisant enculer par la Maîtresse.
Maîtresse Aurore fit son entrée avec son esclave. C’était Manu ! Nu et toujours avec son ball-stretcher au scrotum. Elle l’avait équipé de poids aux seins. Un harnais ornait sa taille. Un plug de bonne taille avait été inséré dans son cul. Maîtresse Aurore tirait Manu par une laisse attachée à l’anneau de son sexe. Elle s’approcha de la table N°5 et se plaça juste à côté du Maître qui se faisait sucer par Sweet Pussy.
« Maîtresse Aurore, je vous félicite. Cette salope est une sacrée suceuse ! »
La Maîtresse tira violemment sur la tresse de Sweet Pussy qui leva la tête. De la salive coulait à la commissure de ses lèvres et un filet de bave reliait la bite du Maître à la langue de Sweet Pussy qui tirait la langue pour tenter de lécher la bite du Maître. Elle vit alors son mari qui la regardait surpris de la voir se débaucher de la sorte. Sweet Pussy fut si stupéfaite de voir son mari que ses yeux se brouillèrent de larmes, elle aurait voulu se prendre la tête dans ses mains mais elles étaient toujours attachées à la taille. Ces larmes coulèrent sur ses joues mais déjà la Maîtresse lui faisait replonger la tête sur le sexe du Maître.
« Tu vas enculer cette salope et n’oublie pas comment on traite des putains de cette sorte ! »
La Maîtresse se retira du cul de Sweet Pussy et Maîtresse Aurore mit un préservatif en latex épais sur le sexe de Manu. Celui-ci était noir et avait des picots sur toute sa surface. Maîtresse Aurore conduisit Manu pour le positionner derrière sa femme.
« Allez esclave. Encule ta salope de femme sur mon ordre et fais la gueuler ! »
«Oui, Maîtresse. » répondit Manu.
Manu pointa sa bite recouverte de latex sur l’anus de sa femme et attendit les ordres de Maîtresse Aurore.
« Allez vas-y, enfile-lui toute la longueur de ta bite d’un seul coup ! »
Manu poussa sur l’anus de sa femme qui cria lorsque son sphincter s’ouvrit violemment sous l’assaut et que les picots du préservatif raclèrent l’anus de Sweet Pussy.
Manu allait et venait dans le cul de son épouse et l’insultait de salope, de petite pute, de traînée, de pouffiasse suivant les ordres de sa Maîtresse. Sweet Pussy hurlait à chaque mouvement de la bite de son mari mais suçait la bite du Maître lorsque son mari restait immobile dans son cul.
« Tu ne jouis pas dans son cul surtout. Tu jouiras dans sa gueule de chienne. Maître Pierre ? »
« Oui Maîtresse Aurore ? »
« Pouvez-vous aussi tapisser sa gueule de votre foutre ? »
« Bien sûr, ce sera avec plaisir. »
Manu et le Maître se désaccouplèrent de leur esclave qui fut mise à genou par Maîtresse Aurore. Elle prit la tresse de Sweet Pussy et l’attacha à un crochet fixé au sol. La tête de l’esclave était tendue vers l’arrière. Le cou de Sweet Pussy lui faisait mal tellement sa tête était rejetée en arrière. Manu et le Maître se mirent de chaque côté de la bouche de Sweet Pussy.
Maîtresse Aurore interrompit les ébats voisins :
« Mes chers confrères, venez jouir sur le visage de cette pute et dans la bouche de cette salope. Elle attend votre semence. Ce sera son premier bukakke en public ! »
S’adressant à Sweet Pussy :
« Toi, tu ouvres ta petite gueule de pute et tu attends. Ta bouche va servir de réceptacle à foutre. Tu seras leur vide-couille. »
Des sifflets et des « waooouuuww » se firent entendre dans la salle ! Les Maîtres entourèrent Sweet Pussy et commencèrent à se branler sur le visage de l’esclave qui attendait bouche ouverte les giclées.
Manu fut le premier à jouir et déposa son sperme dans la bouche de sa femme. Maître Pierre le suivit, il branla sa bite et gicla sur le visage de Sweet Pussy et dans sa bouche. Il essuya sa bite sur ses joues. Les Maîtres se suivirent. Sweet Pussy reçut des giclées de sperme sur le nez, dans les yeux, sur les joues. Les Maîtres faisaient glisser leur bite sur son visage pour récolter le sperme et le faire tomber dans sa bouche. Certains secouaient leur chibre pour que leur esclave n’en perde pas une goutte. Quand le dernier Maître éjacula, la bouche de Sweet Pussy était presque pleine de sperme. Son visage était couvert du liquide poisseux.
« Gargarise-toi avec ça, chienne ! » éructa Maîtresse Aurore.
Sweet Pussy fit des bulles avec le sperme en se raclant la gorge. Le sperme bouillonnait comme de la lave dans le cratère d’un volcan.
« Avale maintenant. »
Sweet Pussy avala le liquide âcre. Elle toussa, eut des spasmes de dégoût mais but la liqueur des Maîtres.
« Que ceux qui ont envie de pisser, lui pissent dessus ! »
Certains Maître ne se firent pas prier et revinrent pour entourer de nouveau l’esclave. Ils tinrent leur bite dans leur main. La bite d’un Maître commença à gicler et Sweet Pussy reçut l’urine sur son corps. Le jet mouilla ses seins son ventre ses cuisses. Le Maître joua avec sa main pour diriger son jet vers le visage de Sweet Pussy qui reçut la pluie dorée. Sweet Pussy était comme en transe car elle ouvrait volontairement grand la bouche pour recevoir l’urine. Les Maîtres défilèrent et urinèrent sur l’esclave. Puis, les Maîtres la laissèrent en plan pour se rhabiller. Manu n’en croyait pas ses yeux de voir le comportement de sa femme. Manu fut raccompagné dans une salle attenante et attaché à un anneau. Sweet Pussy fut relevée par Maîtresse Aurore et conduite dans la même salle, son corps dégoulinait de pisse et le sperme coulait sur son visage. Quand Manu et Isa furent ensemble, ils se prirent les mains. Isa pleurait, Manu la consolait.
« Qu’allons-nous devenir ? Te rends-tu compte de ce que nous sommes obligés de faire ! »
« Je sais ma chérie. Mais que veux-tu faire, refuser avec ce qui en découle ? Regarde tes seins et tes cheveux ! »
Maîtresse Aurore entra dans la salle et emmena Sweet Pussy. Isa essaya de s’agripper à Manu mais elle dut lâcher prise. Elle fut reconduite en cellule, on lui enleva sa ceinture de chasteté…
Isa pleurait toujours amèrement de la situation. Manu l’avait vu sucer un autre homme, il l’avait enculé sauvagement et pour finir, Maîtresse Aurore l’avait transformée en réceptacle à foutre et elle avait dû boire le sperme des Maîtres. Elle se demandait jusqu’où irait sa déchéance, jusqu’où Maîtresse Aurore pourrait la transformer. Malgré l’odeur de sperme et de pisse sur son corps, Sweet Pussy s’endormit sous la fatigue.
VI. Douceurs matinales
Sweet Pussy fut réveillée par des baisers sur le visage et de douces caresses sur le corps. Lorsque Sweet Pusssy ouvrit les yeux, elle vit le visage masqué de l’esclave N°1 qui la cajolait. L’esclave N°1 embrassait les joues, le front, le nez de Sweet Pussy malgré la forte odeur de pisse que sa peau renvoyait. Sweet Pussy se sentait bien et se rappela que Manu faisait la même chose parfois le matin pour la réveiller en douceur. L’esclave N°1 passa ses lèvres sur le front à l’endroit des piercings et descendit doucement vers son nez. Puis la bouche de l’esclave embrassa les lèvres de Sweet Pussy. Elle ne refusa pas le baiser, et ouvrit la bouche. Leurs langues piercées se touchèrent et tournèrent dans un fou baiser langoureux. La main droite gantée de latex rouge de N°1 frôla le sein gauche de Sweet Pussy et descendit vers son sexe. La main gantée de rouge s’immisça dans le sexe de Sweet Pussy. Trois doigts allaient et venaient entre ses lèvres au plus profond de son vagin. Sweet Pussy commençait à ressentir le plaisir et gémissait lentement. Les doigts ramonaient de plus en plus vite le sexe de Sweet Pussy. Un jet de cyprine et de pisse jaillit de son sexe dans un râle sexuel.
« Viens, je vais m’occuper de toi et te nettoyer sous la douche. »
N°1 prit par la main Sweet Pussy et l’emmena vers la salle d’eau. N°1 déchaussa ses bottes vinyles rouges, sa combinaison de latex rouge et son masque. Sa tresse jaillit de son masque. Ses seins annelés à la peau tendue par les implants apparurent une nouvelle fois aux yeux de Sweet Pussy. Une fois nue, l’esclave N°1 prit Sweet Pussy par la main et elles pénétrèrent toutes les deux dans la grande cabine de douche.
N°1 fit couler l’eau et testa de la main pour obtenir une bonne température. N°1 amena Sweet Pussy sous le jet de la douche qui ressemblait à s’y méprendre à une pluie. N°1 mit du savon liquide dans sa main et l’appliqua délicatement sur la peau de Sweet Pussy. N°1 frotta délicatement de ses mains la peau douce de Sweet Pussy. Les coulures de sperme séché disparurent sous l’effet de l’eau chaude et du savon. N°1 savonna la moindre parcelle du corps de Sweet Pussy. N°1 s’agenouilla et ses doigts enduits de savon pénétrèrent le sexe de Sweet Pussy pour un nettoyage minutieux. Sweet Pussy, surprise de cette intrusion, émit un petit cri. De ses mains, N°1 incita Sweet Pussy à se retourner et après avoir enduit ses doigts de savon, N°1 força doucement l’anus de Sweet Pussy pour lui nettoyer le fondement. Sweet Pussy se cambra pour faciliter le passage. Elle prit ensuite un pommeau de douche « spécial lavement » et l’enfonça dans le cul de Sweet Pussy. Son ventre commença à gonfler et elle gémit pour signaler qu’elle ne pouvait plus contenir plus de liquide dans son ventre. Le pommeau ressortit et le liquide s’échappa du cul de Sweet Pussy pour arroser N°1. Le sexe de Sweet Pussy reçut aussi le lavement. N°1 prit ensuite de la mousse à raser et un rasoir pour lui raser les jambes. Sweet pussy se sentait bien, elle fermait les yeux et était sur un petit nuage. N°1 rasa ensuite son sexe. N°1 se leva et rasa les aisselles. N’ayant pas encore eu de séance laser, N°1 prit ensuite de la mousse dans sa main et l’étala sur la tête de Sweet Pussy. Le rasoir passa sur son crâne pour obtenir une peau douce. N°1 tenait délicatement la tête de Sweet Pussy entre ses mains et la diriger pour éviter au rasoir d’entailler la peau de Sweet Pussy. Elle passa la main sur la tête pour s’assurer du parfait rasage. Elle fit pivoter Sweet Pussy. N°1 embrassa tendrement sa « cliente ». N°1 prit un peu de mousse à raser dans ses doigts et en appliqua sur les sourcils. Sweet Pussy voulut empêcher ce rasage mais doucement N°1 lui dit :
« chuuuut, laisse-toi faire, tu seras divine comme cela. » N°1 embrassa les lèvres de Sweet Pussy pour la faire changer d’avis et le rasoir passa sur les sourcils.
N°1 lâcha ses instruments et prit dans ses bras sa compagne et l’embrassa langoureusement. Sweet Pussy se laissa aller et serra fortement N°1 dans une étreinte fougueuse. Elles échangèrent des caresses sur leurs corps. Leurs mains fouillèrent leurs sexes, caressèrent leurs seins, leurs doigts pénétrèrent leurs culs.
N°1 s’agenouilla et lécha le sexe de Sweet Pussy, elle prit la tresse de N°1 et en la tirant vers son sexe elle l’incita à la fouiller le plus loin possible. N°1 arrêta l’eau et les deux femmes se couchèrent sur le carrelage de la douche et tête-bêche se ruèrent dans un cunnilingus mutuel. Les lèvres de leur sexe furent étirées par les anneaux. N°1, qui portait 10 anneaux épais à chaque lèvre, avait une chatte béante et des lèvres pendantes qui s’écartaient facilement sous les doigts de Sweet Pussy. La bouche de N°1 allait du sexe à l’anus de Sweet Pussy. Sa langue s’enfonçait dans les orifices génitaux et Sweet Pussy facilitait le passage en tournant ses cuisses et poussant ses sphincters pour que son cul s’ouvre largement. Sweet Pussy gicla sous les caresses et N°1 fut éclaboussée de cette jouissance.
« Humm, tu es vraiment spéciale tu sais Sweet Pussy. Viens avec moi, nous allons nous éclater à deux dans les clubs. »
Sweet Pussy léchait avidement la chatte de N°1, elle aspirait le clitoris piercé et entre deux caresses, Sweet Pussy lâcha :
« Oui N°1, je veux bien essayer. »
Sous ces caresses et cette acceptation, N°1 ne tarda pas à jouir dans un cri retenu.
N°1 en fut pour une douche supplémentaire. Après ses ébats torrides, les deux esclaves sexuelles se séchèrent mutuellement et N°1 remit sa combinaison et ses chaussures, Sweet Pussy la regarda amoureusement toute ivre des ébats auxquels elle venait de goûter. N°1 raccompagna Sweet Pussy, non dans sa cellule, mais dans la fameuse salle de soins. Maîtresse Aurore attendait dans la salle. N°1 passa devant la Maîtresse et fit assoir Sweet Pussy. Puis N°1 chuchota quelque chose à l’oreille de Maîtresse Aurore.
« Je vois que tu es dans de très bonnes dispositions avec N°1. Nous allons parfaire ta beauté ma petite salope. Fraîchement rasée, tu vas avoir tes piercings noirs. »
Le pierceur prit position devant Sweet Pussy et marqua l’emplacement des piercings des sourcils.
Le pierceur demanda à Maîtresse Aurore si cela lui convenait. La Maîtresse inspecta minutieusement les marques.
« Très bien, allons-y ! »
Le pierceur prit sa pince et serra la peau à l’endroit de la première marque sur le sourcil droit. L’aiguille transperça la peau et Sweet Pussy grimaça sous la douleur, le premier anneau noir fut posé. Le pierceur continua sa tâche et posa les 20 anneaux.
Puis Sweet Pussy subit un nouveau stretch de ses piercings. Les barres qui transperçaient ses seins de part en part avaient maintenant une épaisseur de 4.5 mm. Pendant le stretch, Sweet Pussy revoyait les seins de l’esclave N°1 avec ces barres de 3 centimètres de diamètre, elle repensait à ses ébats du matin. Elle s’imaginait pendue par les seins à chaque échec de sa part avec Maîtresse Aurore qui lui cravachait les fesses, les lèvres de son sexe distendues par des boules de pétanque qui virevoltaient dans l’air à chaque mouvement de son bassin après l’impact de la cravache sur ses fesses. Elle se demandait aussi combien elle devrait supporter de stretching pour avoir des barres comme celles de l’esclave N°1.
Elle sentit son sexe s’humidifier à ces pensées. Le pierceur parla dans l’oreille de Maîtresse Aurore.
« Alors Sweet Pussy, te piercer te fait mouiller comme une chatte en chaleur ! »
Sweet Pussy fut gênée par cette remarque.
« Tu vas pouvoir jouir avec l’épreuve que tu vas passer aujourd’hui. Ne me déçois pas ! D’abord bois toute cette bouteille d’eau.»
« Oui Maîtresse Aurore. »
Sweet Pussy but la bouteille d’eau et vit ensuite des esclaves amener une sorte de portique qui fut vissé sur sa chaise métallique. Ce portique était équipé d’anneaux sur presque toute la longueur du tube horizontal. Les esclaves s’affairaient suivant les ordres de Maîtresse Aurore et de fines chaînes furent attachées sur les anneaux des seins de Sweet Pussy. Les esclaves passèrent les chaînes dans les anneaux de la poutre métallique horizontale. De petits seaux furent attachés à l’autre bout de chaque chaîne. Deux bombonnes de 5 litres d’eau furent attachées à des anneaux au plafond de telle sorte que le goulot de celles-ci soit au-dessus de chaque seau.
Un ball-gag fut enfoncé dans la bouche de Sweet Pussy. Celui-ci était aussi relié par une chaîne à un seau vide. De même un seau fut attaché aux grandes lèvres de son sexe par son anse.
Des plugs métalliques vinrent obstruer les orifices de Sweet Pussy. Les esclaves posèrent deux bandes sur ses seins. Les câbles électriques des plugs et des deux bandes sur ses seins furent reliés à une centrale électronique.
« Ces bombonnes sont placées pour travailler l’élasticité de tes seins. Pour le ball-gag, surtout ne le lâche pas ! Sinon tu vas avoir une surprise ! Esclaves, ouvrez les bombonnes. »
Les esclaves ouvrirent les vannes et l’eau des bombonnes commença à se déverser doucement dans les seaux. Un mince filet d’eau se fit entendre ce qui donna à Sweet Pussy l’envie d’uriner. Au bout de quelques minutes, ne pouvant plus se retenir, Sweet Pussy urina et le seau sous sa chatte se remplit de sa pisse. Elle sentit que ses lèvres étaient étirées par le poids du liquide. Elle vit aussi ses tétons qui commencèrent à tirer sur ses chairs. L’eau remplissait aussi doucement le seau relié au ball-gag. Sweet Pussy mordait le plug en latex pour que celui-ci ne s’échappe pas de sa bouche mais le poids de l’eau commençait à se faire sentir. Ses dents lui faisaient mal. Et Sweet Pussy ne put que lâcher le plug lorsque ces dents ne supportaient plus le poids de l’eau. Le seau descendit et toucha une plaque de cuivre posée au sol. Le contact entre le seau et la plaque fait, des impulsions arrivèrent dans la chatte et le cul de Sweet Pussy. Ses seins furent aussi parcourus par des impulsions électriques. Sweet Pussy criait sous la douleur. Puis le cycle s’arrêta et l’esclave retrouva son calme. Par contre ses tétons étaient tellement étirés qu’ils en devenaient écarlates. La peau de ses seins était tellement étirée par le poids de l’eau mais aussi par les implants que l’on voyait les vaisseaux sanguins au travers de la fine peau distendue. Son souffle emplissait la cellule et Sweet Pussy pensait que ses tétons allaient être arrachés mais Maîtresse Aurore stoppa l’écoulement de l’eau. Mais elle prit dans un petit établi quelques aiguilles qui firent gémir Sweet Pussy. Maîtresse Aurore piqua le téton droit une première fois. Le téton gauche fut piqué de la même manière. Puis le cycle des impulsions reprit, et le corps de Sweet Pussy fut pris de spasmes. Quelques minutes plus tard, la séquence d’électrostimulation s’arrêta. Les esclaves enlevèrent tous les ustensiles de l’épreuve. Sweet Pussy était exténuée. Maîtresse Aurore et N°1 la soulevèrent de la chaise mais Sweet Pussy défaillit et fut rattrapée in extremis pour ne pas chuter.
Elle fut ramenée à sa cellule et fut cajoler longuement par N°1.
« Voilà, ma belle petite chienne. Tu es presque comme moi. Demain nous partirons pour finir la tournée de club. Je vais m’occuper de toi pour les spectacles. Dors maintenant. »
Sweet Pussy s’endormit dans les bras de N°1. Elles restèrent toutes les deux dans le lit dans les bras l’une de l’autre…
Au petit matin, Maîtresse Aurore vint les réveiller. Sweet Pussy mangea sa bouillie et fut conduite par Maîtresse Aurore dans un dressing. Sweet Pussy n’en croyait pas ses yeux. Elle se trouvait dans une salle immense. Des étagères et des casiers à vêtements recouvraient les murs. Sweet Pussy voyait des combinaisons latex de toutes les couleurs, des noires, des vertes, des mauves, des combinaisons ouvertes au niveau des seins, du sexe. Il y avait des jupes de toutes formes et longueurs. Des masques étaient posés sur des têtes de mannequins. Dans les casiers étaient rangées toutes sortes de paires de chaussures à talons, des bottes, des cuissardes. Toute la panoplie d’une Maîtresse mais aussi d’une esclave était en exposition.
Maîtresse Aurore prit une combinaison mauve semi-transparente. Cette combinaison avait des pieds et gants. Elle avait deux ouvertures au niveau des seins, ouvertures renforcées par des tubes sur le pourtour qui les faisaient ressembler à des hublots. Maîtresse Aurore tira la fermeture éclair.
« Entre là-dedans Sweet Pussy. Ce sera ta couleur fétiche. »
Sweet Pussy passa les pieds dans la combinaison et s’habilla de sa seconde peau. Elle passa ses gros seins dans les ouvertures, puis ses bras et ses mains dans les gants collés aux bras de la combinaison. Maîtresse Aurore tira sur la fermeture et Sweet Pussy fut moulée de mauve semi-transparent.
Maîtresse Aurore prit un masque mauve sur une tête et passa ce masque sur la tête de son esclave en prenant soin de mettre sa mèche de cheveux dans le petit tube au sommet du crâne, puis elle serra le lacet.
Maîtresse Aurore alla chercher des bottes noires en vinyle à semelles compensées et chaussa son esclave.
« Voilà, Sweet Pussy, en voiture ! »
Elles passèrent par la porte au fond du dressing et se retrouvèrent dans le garage. N°1 attendait au côté d’un gros 4×4 noir et la fit monter. La combinaison mauve de Sweet Pussy tranchait devant le rouge de N°1.
Le 4×4 démarra et partait pour un club SM en Belgique….

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