Ca y est le jour est arrivé. C’est l’après-midi où ma belle va me dévoiler son petit jardin secret, son petit coin secret où elle se donne du plaisir.
Ma femme porte sa fameuse petite robe qui s’ouvre sur le devant (très pratique). Elle ne porte pas de soutien-gorge et je suppose pas de culotte non plus.
Nous enfourchons nos vélos et nous voilà partis sur les chemins.
L’air est chaud, il fait beau et la campagne est sublime.
Pendant le petit parcours je suis placé derrière ma femme et le vent me permet de vérifier qu’elle ne porte effectivement pas de culotte.
J’imagine le contact et les frottements de la selle sur son petit minou.
Nous prenons un petit chemin et je remarque déjà le champ de maïs en question. Il se trouve à 100 m du bord de la route.
Nous mettons pied à terre, nous laissons nos vélos sur le bord et nous nous engouffrons dans le champ.
A environ 50m du bord, en plein milieu des épis, ma belle s’est aménagée une petite clairière pour se détendre tranquillement.
Elle s’installe, elle fait comme si je n’étais pas là.
Elle dépose sur le sol une couverture puis sors de son sac son jouet favori.
Elle s’assoit, écarte les jambes et elle daigne enfin m’adresser la parole :
« Tu vois maintenant où tout cela se passe, je suppose que tu veux à présent assister au spectacle ? »
Je lui réponds par l’affirmative et je la laisse faire.
Elle écarte encore plus ses jambes, elle déboutonne sa robe et elle se caresse les seins et elle tire sur ses tétons tout durs.
Elle me regarde et me lance : « Tu ne vas pas rester planté là comme un piquet. Sors ta queue devant moi et branle-toi. Je veux te voir pendant que je me caresse la chatte. »
J’obtempère à sa demande, j’ouvre mon pantalon et je sors ma queue qui est toute gonflée…
« Et ben j’ai l’impression que ça te fait de l’effet… »
Je la regarde se caresser et je commence à me branler face à elle.
Ma femme se laisse aller, elle a la chatte humide. Elle att**** le god qui se trouve près d’elle et elle se caresse les seins avec, elle le porte à sa bouche et le suce en me regardant droit dans les yeux. Puis elle le descend vers sa chatte et elle commence à se caresser le clito avec. Elle est trempée. C’est à ce moment qu’elle décide de se planter le god dans sa minette.
Elle ne me regarde plus dans les yeux, elle regarde uniquement ma queue qui est bien raide et qui est pleine d’excitation. Elle matte ma main qui fait des vas et vient sur mon membre. Elle calque le rythme du god dans sa chatte sur le rythme de ma main sur mon sexe. Elle est très attentive à ce qu’elle fait, elle se mord les lèvres pour ne pas gémir trop fort.
Au bout d’u moment elle n’en peut plus. Elle se met à genou toujours avec le god dans la chatte et elle me demande de m’approcher. Elle att**** ma queue et l’avale entièrement. Elle continue de se pénétrer avec le god. Devant la scène, je ne peux m’empêcher de poser mes mains sur sa tête et de la forcer à me sucer encore plus profondément.
Au contact de mes mains sur ses cheveux, elle ne peut s’empêcher de pousser un soupir de plaisir et elle avale encore plus ma queue.
Je suis obligé de la stopper sinon elle va me faire jouir rapidement et notre petite séance de plaisir va s’arrêter net.
Je lui demande de se mettre à quatre pattes, j’ai envie de la prendre comme ça mais elle ne veut pas. C’est elle qui commande aujourd’hui.
« Laisse toi faire, couche toi sur le sol » me lance-t-elle.
Je m’exécute, je suis sur le dos et la queue fièrement dressée.
Elle vient se positionner au-dessus de moi et se caresse la chatte en écartant largement les jambes.
Puis elle commence à descendre et je me dis qu’elle va s’empaler sur ma bite.
Non, elle se dirige vers mon visage. Elle vient positionner sa chatte au niveau de ma bouche et me dit :
« Je veux sentir ta langue m’explorer, bouffe-moi la chatte ».
Je m’exécute et je l’observe.
Elle est là, à ma verticale, elle a les yeux fermés. Elle porte encore sa robe mais elle est totalement ouverte. Je peux voir ses seins magnifiques qu’elle caresse. Elle prend son pied.
Quand elle ouvre les yeux, elle semble fixer quelque chose qui se trouve derrière moi et à chaque fois qu’elle ouvre ses yeux, elle est de plus en plus chaude et de plus en plus coquine.
C’est sans doute le petit massage que je lui impose avec ma langue qui la rend aussi excitée et excitante.
A bout de quelques minutes, elle décide que c’est assez.
Elle se retire de mes lèvres et elle glisse doucement vers ma queue.
Elle fait un 180° de telle sorte que je puisse admirer sa chatte et son anus.
Elle att**** ma queue et l’a fait glisser dans sa chatte. Pas besoin de lubrifier, elle dégouline de plaisir.
Mon sexe entre sans résistance dans son intimité, elle s’empale d’un seul coup dessus.
Cela lui procure un râle de plaisir.
Elle semble apprécier mais ce n’est pas assez. Elle semble en vouloir plus, ma queue ne va pas assez loin. Elle écarte ses fesses et s’empale encore plus profondément. Cette fois je sens ma queue cogner au fond de son vagin. J’adore cette sensation et visiblement elle aussi.
Et cette vision… Je vois ma queue qui rentre totalement dans sa chatte et son anus est totalement exposé. Il est tout humide, il semble m’appeler.
C’est alors que ma femme me ramène à la réalité :
« Tu mattes quoi petit coquin ? Mon petit cul ? Tu voudrais lui faire quoi ? Hein ? Dis moi. Mets-moi un doigt dans le cul ! »
Même pas besoin de lubrifier mon doigt, il rentre tout seul. Cela provoque une râle de plaisir de ma belle. Elle prend son pied. Je pense qu’elle apprécie plus cet après-midi que la précédente où elle était seule. Je fais quelques mouvements dans son cul puis rapidement elle retire mon doigt, je me dis que j’ai dû lui faire mal mais non. Elle veut plus gros. Elle att**** son god posé sur son sac et le présente à l’entrée de son petit trou.
J’observe la scène attentivement, en même temps je suis aux premières loges.
Il rentre difficilement, mais il rentre quand même. Cela doit être douloureux car je ne l’entends plus, elle est concentrée. Et puis cela va mieux, elle reprend la cadence et elle se remet à gémir.
Ma belle se fait remplir, je sens sa chatte qui se resserre à chaque fois qu’elle rentre le god dans son cul. C’est une sensation agréable pour moi et pour elle aussi apparemment.
Nous ne faisons plus attention du lieu où nous sommes, du moment de la journée qu’il est.
Je suis ramené à la réalité par un bruit provenant de derrière moi.
Je me contorsionne pour regarder. Et là, je vois un homme caché derrière deux lignes de maïs. Il ne perd pas une miette de notre partie de jambes en l’air. Il a baissé son pantalon et son caleçon, et il se branle en nous matant.
Ma femme sent que je regarde derrière et elle me lance :
« Sois un peu à ce que tu fais, continue de me baiser »
Elle sait qu’il est là, elle le sait depuis le début.
Tout à l’heure quand je lui dévorai la chatte et qu’elle se caressait les seins, il était déjà là et elle l’a vu.
Que dois-je faire ? M’offusquer de la situation et interrompre ce moment fort agréable ou continuer et faire profiter du spectacle cet homme qui se branle dans mon dos.
Devant l’état d’excitation de ma coquine de femme je décide d’obéir à ses injonctions.
Je reprends de plus belle mes coups de queue dans sa chatte. Elle gémit encore plus fort.
Elle accélère le rythme sur mon sexe, elle accélère encore et encore. Je sens qu’elle va jouir dans un instant. Et je ne me suis pas trompé, elle jouit en s’empalant une dernière fois totalement sur ma bite. Je suis au fond de sa chatte. Cette dernière pénétration profonde a eu raison aussi de moi. Je jouis en elle.
Et notre voyeur ? Et bien il s’est déplacé mais avec le bruit que nous faisions nous ne l’avons pas entendu. Il s’est placé face à ma femme toujours derrière la première ligne de maïs. Il est lui aussi en train de jouir, il envoie de grosses giclées de sperme sur le sol à quelques centimètres de ma femme.
Ma femme se couche sur moi, le dos sur mon torse. Nous sommes tous les deux épuisés.
Nous reprenons doucement nos esprits et pendant ce temps l’homme s’est déjà rhabillé et il est sur le point de partir.
Je suis en train de caresser le corps de ma belle, elle lui fait un petit signe de la main pour le saluer.
Il s’en va.
Nous restons quelques minutes sans bouger, sans rien dire puis je décide d’engager la conversation :
« Tu…
– Non, ne dis-rien. Tu veux savoir si j’ai fait des choses avec cet homme ? Et ben non. Il m’a surprise la dernière fois où je suis venue. Je commençais à jouer avec l’épis de maïs et il est arrivé.
– Et…
– Il m’a observé, il ne m’a pas touché, je lui ai expliqué ce que je faisais et il comprenait.
– Mais…
– Il s’est branlé devant moi comme aujourd’hui et il voulait pouvoir éjaculer devant moi. J’ai accepté.
– Alors…
– On a discuté ensuite et je lui ai proposé de venir nous observer car je savais que je t’amènerai ici un jour ou l’autre. Comme il passe tous les jours pour faire sa petite promenade quotidienne, je lui ai dit que le jour où il verrait mon vélo sur le bord du champ, il pourrait revenir mater en toute discrétion.
– Donc…
– Donc voilà comment tout s’est déroulé depuis le début. Tu as aimé ?
– Oui… C’était un peu inattendu.
– Je peux te demander un truc sans te choquer ?
– Euh… (elle ne me laisse pas le temps de finir).
– J’aimerais refaire cela avec cet homme, cela m’a beaucoup excité. J’ai beaucoup mouillé. Mais de voir cet homme se branler devant moi, j’ai eu envie de prendre sa queue dans ma main, de la caresser, de la branler… mais pas de pénétration. Tu serais d’accord mon amour ?
– Cela t’exciterait ?
– Oui c’est un fantasme mais seulement si toi aussi cela t’excite, me répond-elle.
– On va voir… Je ne dis pas non mais je ne dis pas oui.
Nous ramassons ses affaires, nous retournons à nos vélos. Et nous voilà sur le chemin de la maison.
Pendant le trajet, j’étais derrière elle et je matais son petit cul sous sa robe.
J’ai remarqué sur le retour qu’elle s’empalait sur la selle du vélo. Je la voyais disparaître dans sa chatte humide.
Petit coup d’accélérateur, je me cale à côté d’elle :
– Ca va tu t’amuses bien ?
– Oui c’est trop bon.
Cette vue m’a redonné beaucoup d’ardeur, ma queue était redevenue toute raide.
En arrivant, à peine le temps de ranger les vélos, que je la prenais en levrette dans la cabane.
Au moment de jouir, je me suis approché de son oreille et je lui ai promis qu’on réaliserait son fantasme…
(A suivre…)
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