Voyage en Espagne
Chapitre I – Départ
On me propose 4 journées en Espagne, tout compris, excursions et visites, les repas, midi et soir, avec petit déjeuner du matin, en hôtel * * * *
Un prix remarquable, un petit supplément éventuel pour une chambre single, car Romain a un salon du livre, c’est son dada…
Pour l’instant je suis seule….
Le matin de très bonne heure, le car fait un circuit et vient chercher les clients dans les villages aux alentours de Montpellier, ce qui m’arrange bien, car l’arrêt prévu est proche de ma villa, juste en bord de mer…
Nous sommes deux à l’heure prévue…
L’autre, une dame que je ne connais pas, la cinquantaine, souriante et nous échangeons immédiatement pour faire passer le temps…
Nos portables sonnent ensemble à quelques secondes près, retard estimé du car 7 minutes, désolés…
Très pro, sympa…
– Tu es solitaire dans ce voyage ?
– Oui, toi aussi, je vois… Petite valise comme moi, en avance, sourire aux lèvres… Se l’espoir dans l’air, le vent de l’aventure ?
– Tu es géniale, oui, exactement… Mon ami a autre chose à faire, et donc je suis libre comme l’air et j’ai l’habitude d’en profiter car il me connaît et respecte ma liberté…
– Tu as de la chance d’avoir rencontré un ami aussi ouvert d’esprit.
– Oh, oui, Romain est délicieux dans tous les sens du terme…
– Mum… Tu es sans doute très connaisseuse en plus… Moi, divorcée, deux enfants mariés, loin, je ne vois mes 3 petits que rarement, aux vacances lorsqu’ils décident de descendre de leur Paris…
– Moi, c’est Annecy mes deux petits déjà grands… Je n’ai eu qu’une fille, je monte le plus souvent possible. Divorcée de mon Paul il y dix ans, j’ai rattrapé le temps perdu avec un de ses collègues, ce fut Romain, et oui… On a fait un échange surpris chacun de notre côté en train de forniquer avec la femme de l’autre… Alors j’ai mis les choses au point… Et ce fut à 4 que la soirée a repris… Chacun a trouvé du plaisir dans ce partage ouvert, Romain est toujours mon ami après dix ans…
– Moi, c’est plutôt retraite anticipée, 53 ans, seule abandonnée, bonne à jeter… J’ai des amies, des clubs et associations pour marcher, faire la fête, des week-ends, de la cuisine, etc…
J’ai deux amies, deux voisines, entre lesquelles je partage mon temps, shopping, mais surtout drague… J’aime les hommes, et ce qui va avec bien entendu…
Parfois une femme vient réveiller ma libido endormie…
– Oui, nous sommes sur la même longueur d’onde. Tu parles de femmes tu es lesbienne ?
– Je le suis devenu pendant mon divorce, un concours de circonstances. Avant ce fut très bref, juste de quoi apprendre, mais pas de relation suivie…
Je la détaille, blonde, cheveux bien coupés, teints, racines impeccables. Elle porte un ensemble pantalon et veste dans les tons à la mode, sombres, marron, très jolis, chemisier ou top, fleuri, un peu ouvert sur une jolie poitrine… Elle fait pareil à la dérobée, le car apparaît…
Le chauffeur prend nos valises, je garde un sac, elle aussi et comme nous montons ensemble, nous prenons une banquette, je lui laisse la fenêtre…
La douceur du car me berce et je sombre dans un rêve, l’autoroute m’aide à oublier où je suis, avec le parfum de ma voisine…
Arrêt pipi trois heures plus tard, café, croissants, un relais d’autoroute classique, les gens se croisent, courent, reviennent, nous prenons une table pour déguster un café pour moi, et un thé pour elle…
D’autres personnes du voyage nous ont suivies, des couples de retraités, un homme seul, veuf ou célibataire… Pas trop mal, qui vient plaisanter élégamment…
Musique dans le car, direction la frontière, puis la côte…
Nous échangeons quelques banalités, le sommeil nous gagne, 5h30, c’est tôt…
Il est convenu de gagner l’hôtel, puis de s’installer avant le repas de midi. Une sortie est organisée chaque demi-journée, dont Barcelone le lendemain après-midi, Gérone le samedi matin avec marché en option. On a une visite des stations de la Costa Brava, de points remarquables, répartis sur le reste du séjour… Le soir, repas et danse avec deux niveaux, accordéon au sous-sol, rock et danses modernes au bar central, terrasse et piscine à portée…
La chambre est magnifique, propre, vaste, deux lits en 110, salle de bain géante. Clim, télé, coffre et petit frigo… Mais je n’ai plus faim en remontant prendre mes affaires pour l’après-midi. Je retrouve ma voisine, sa chambre est proche de la mienne au troisième étage… La vue est superbe, mer, plage, soleil, palmiers…
Le car nous prend et nous conduit dans une petite station balnéaire, très jolie que nous visitons avec notre accompagnateur, qui nous distille l’histoire de la ville et des environs…
Claudia est attentive, ravie et souriante, son intérêt se porte sur un couple, dont elle me dira dans le car en revenant, qu’ils s’embrassaient très étroitement dans le parc que l’on a visité…
– Cela m’a ouvert l’appétit, ils ne me voyaient pas…
– Oh, rien que ça ? Tu as joué les voyeuses !
– Il me semblait entendre quelques soupirs, comme un a****l blessé, avant d’arriver dans ce petit coin de verdure… J’ai eu le temps d’apercevoir la robe retroussée sur ses cuisses claires, et la main sous le chandail, le temps d’un mouvement de repli…
Ils ne m’ont pas regardée, comme si je n’existais pas. Mais quand ils sont montés dans le car, j’ai croisé son regard et son sourire… Lui n’a rien fait de plus, sinon lui lâcher la main…
Le soir, nous voici descendant les marches pour la soirée accordéon, pas que j’adore, mais les valses et tangos attirent les mâles en quête de partenaire de piste… Dans un premier temps…
Le dîner était parfait, un buffet très riche, varié, pour tous les goûts, avec poissons et viande à griller par des mains expertes…
Le tout compris a du bon, le vin est à discrétion, mais nous n’abusons pas…
La salle de danse est classique, une estrade, du matériel, et un accordéon dans les bras d’un expert…
Les couples se forment, puis évoluent sur la piste, les jupes tournoient, les robes flamboient… On vient me demander pour un premier tango…
Claudia me regarde prendre place dans les bras de mon danseur, et la musique guide nos pas, une douceur de conduite, je lui souris, il n’est pas mal, dans la soixantaine… Il se présente, moi aussi, il est français, avec des amis dans un voyage de 4 jours, moi aussi…
On enchaîne deux danses, je croise Claudia avec un bel homme brun, elle évolue avec grâce…
Il surprend mes yeux, je lui indique ma copine de voyage… Il la reluque encore…
Il est venu seul, sa femme ne l’a pas accompagné, il est donc heureux de pouvoir danser et m’en remercie…
Arrive un nouveau morceau, je ne sais pas danser en ligne, cha-cha-cha ou autre, je décline et retourne à ma place en le remerciant…
Claudia arrive ensuite, elle a chaud, soif… Nous nous approchons du bar et commandons en indiquant notre table…
Il y a du monde maintenant, la salle s’éteint presque, un premier slow…
Nous voici invitées par deux hommes dans la quarantaine… Je ne refuse pas d’être surclassée… Claudia me lance une œillade complice et disparaît…
Michel et Phil, deux copains en vacances à l’hôtel…
Je me présente aussi, partage quelques banalités. Ils sont sans femme pour un voyage d’affaires de 5 jours, 4 nuits…
La première a fini au bar désert… Ils sont venus en car, affrété par leur entreprise.
Mariés, tous les deux, 1 garçon de 12 ans pour lui, Michel. Le danseur de Claudia a deux filles de treize et quatorze… Ils sont ingénieurs agronomes et viennent de Savoie.
Pas de quoi… Il est charmant, dans très bien, souplesse et dextérité… Mais il aime le rock et les musiques plus modernes… Le tango, le paso-doble et parfois la valse, mais rien de plus… Sauf le slow…
Au deuxième slow, il est plus proche de mon oreille, plus souple contre moi, il me parle doucement. Je dis ma situation de retraitée, active, divorcée, aimant la vie, les voyages…
Au troisième slow, je vois Claudia abandonnée dans les bras de Phil, la tête dans son cou, il est grand, ils discutent aussi…
– Ta copine a l’air de trouver Phil à son goût…
– Oh, on s’est rencontrées à l’arrêt du car, on a papoté, puis on s’est retrouvées côte à côte pour les chambres…
– Ah, tu veux dire que les choses se présentent bien ?
– Pourquoi pas ? J’aime la vie et suis là pour la vivre avant de tomber malade, de devenir moche, etc…
– D’après ce que je peux voir, tu as de grands espoirs devant toi…
– Merci, c’est gentil… Toi, tu es marié et tu aimerais tout de même avoir une aventure ?
– Euh… C’est direct comme question…
– Je te l’ai dit, je suis toute simple, et ne m’embarrasse pas de préambule… On est deux adultes, homme plus femme, dès qu’on danse un slow, on ressent un peu un retour…
– Je vois, tu es coquine… Mais c’est la nature. Même si je n’y pensais pas, cela se manifeste… Pour vous c’est bien plus discret…
– Oh, certes…
– Oui, je suis marié, mais si l’occasion se présente et que la personne me plait…
– J’ai bien compris. D’ailleurs Claudia en est au même point, si ça matche entre eux, mais il faut attendre d’être certaines de notre cavalier, même pour quelques heures de plaisir…
– Tu es franche et sans détour et cela me plaît, c’est rare venant d’une femme, surtout jolie, intelligente, et libre de surcroît…
– Oh, il est fini le temps de la cour, le temps de la découverte, gnagna… Moi je suis pour le « On se plaît, on est d’accord, alors on y va »…
J’ajoute que si tout est réuni, propreté, niveau, on aime encore une drague avec les formes, l’humour, le plus qui nous fait craquer…
– Ok, OK !.. Je ne te serre pas trop fort contre moi ?
– Non, ça va, j’ai eu ce que je cherchais… Je fais de l’effet, même à 20 ans de moins…
– Non ?
– Si, hélas…
– Bluffant… Je ne te croyais pas lorsque tu parlais de retraite, de soixantaine, etc… Je pensais que tu me testais… Regarde nos amis, ils ont franchi la ligne…
Claudia, enlacée, embrassée, emportée, plane sur la piste, dans son slow super lent, collée, rivée, attelée à un Phil impressionnant d’aplomb, la prenant dans ses bras, commençant à la peloter gentiment…
Alors mes yeux montent vers ceux de mon futur amant qui reçoit le message, et ses lèvres se collent aux miennes, en plein milieu de la piste, et je ressens en moi tout ce que je disais tout à l’heure, les choses vont vite, le sort en est jeté…
Je parle souvent du point de non-retour lorsque mon corps est en train de réagir aux caresses et que l’on sait qu’on va y passer car on ne peut plus revenir en arrière…
Là c’est le point de départ, le baiser scelle l’accord tacite, on vient d’en parler, c’est clair, on va le faire…
Où, quand, comment, je ne sais pas encore, mais en tout cas, il caresse mes reins, glisse sur une fesse, il y va à fond, d’autres en sont au même point et échangent des baisers sensuels, une tendre ambiance de flirt s’installe, mais je sais que c’est le dernier slow et que la magie va s’arrêter… Comme on disait dans le temps, je suis chaude bouillante…
La musique s’arrête comme je l’avais pensé, la lumière revient, nous regagnons notre table tous les 4…
– On peut aller prendre nos verres et rester en votre compagnie ?
– Vous devinez mes pensées, mais dans quelques minutes, le temps de nous repomponner…
– OK, à tout de suite…
Devant la glace de la salle de bains…
– Eh, bien, tu as aimé… Le second a été le bon ?
– Un baiser n’engage à rien… Et toi aussi tu es allée très vite…
– Parce que je t’ai vue l’embrasser… Je me suis mise en position et dans la seconde, il a posé ses lèvres sur les miennes, c’est un rapide…
– Il t’a… caressée ?
– Les reins, un peu les fesses… Et toi ?
– Les seins… Je sentais sa bite sur mon ventre, je n’ai plus l’habitude…
– Tu veux continuer ?
– Pourquoi pas, on est là pour ça non ? Se faire sauter… Et puis ils sont doux et tendres, mariés et pas ennuyeux, sensuels et pas mal du tout, et il sent bon…
– C’est vrai… On les suit s’ils le proposent ?
– Je pense que c’est un bon plan, je suis déjà trempée… Et…
– Oui, Claudia ?
– J’aimerais qu’on soit ensemble, je me sentirai en sécurité, je veux dire au moins dans la même chambre, si cela te convient…
– J’allais te le proposer…
– Tu as déjà fait l’amour à 4 ?
– Oui… Et toi ?
– Parfait… Tu aimes les femmes seules aussi ?
– Cela m’est arrivé… Je ressens quelque chose avec toi, tu es si sensuelle…
– Alors allez, c’est parti, on va baiser comme des salopes…
– Oh ! Juste des femmes de notre temps qui prennent la vie à pleine dents…
– Bien dit cela… Maintenant j’en ai envie, ce n’est pas possible !…
Ils sont là, et discutent, je pense de la suite… Comme nous, ils ont envie de saisir l’opportunité de baiser deux femmes dans le même hôtel, deux le même soir, et en plus elles n’ont pas dit non…
– Marika ?
– Oui, Phil ?
– Michel m’a parlé et je pense que nous sommes tous les 4 sur la même longueur d’onde…
– Je le pense aussi… On vous suit ?
La montée dans l’ascenseur, le long couloir, il est déjà près de minuit…
J’ai pris mon sac, j’y avais glissé des capotes, des mouchoirs, du papier, et une culotte…
Deux lits de 110 ou 120, c’est super grand pour nous 4…
– On reste ensemble ici ? Vous l’avez déjà fait avec un autre couple ?
– Euh… Oui, une fois. Mais j’étais plus jeune…
– Ça te dérange d’être dans la même chambre, Claudia ?
– Non, je, ce sera nouveau pour moi…
– Bon, on éteint la lumière et on se déshabille ?
– J’aime être chouchoutée, encore plus dans le noir…
– Viens de ce côté Claudia, le lit n’a pas été défait…
– Les filles vous êtes merveilleuses, on va vous croquer…
– Attention, j’ai la peau dure…
– Et moi, j’ai peur du loup…
– Viens, je vais te montrer sa queue pour te rassurer…
– Celle que j’ai sentie en dansant ?
– Tout à fait, espèce de pervers…
– Marika, tu es là ?
– Oui, je suis debout dans le noir, j’ai peur aussi du loup, je n’ose traverser la forêt…
– J’arrive, je… Voilà, une épaule, des hanches… Viens…
Il m’a déshabillée dans le noir, posant mes vêtements sur la table, puis il est venu me chercher, il est nu aussi, bien en forme d’après ce que je peux ressentir, il me serre contre lui, nous nous embrassons au pied du lit…
Cette fois j’en suis certaine, je vais y passer…
Je suis excitée comme une puce de sentir ce sexe qui bat la chamade contre ma cuisse et à chacun de nos mouvements…
Il respecte ce que l’on disait, c’est un gentleman. Il attaque les préliminaires… Ses mains me prennent aux épaules…
Sa bouche glisse sur un téton qu’elle dévore, les mains descendent ensemble… Son baiser est brûlant, parfumé, tendre… Il masse mes seins, glisse une main sous mes fesses, dans mes reins, remonte, redescend… Je tremble de désir…
Je craque et cherche le fautif de cette excitation, je le prends dans ma main, le caresse, le serre, le berce, puis le coulisse doucement…
Il devient dur, je m’approche et je l’aspire dans ma bouche sans ambages…
La caresse est longue, tendre, délicate, sensuelle, une fellation de moi c’est de l’extase assuré… Il me cherche, caresse mes seins, me veut…
Il m’allonge sur le dos, ouvre mes cuisses et là, le bal commence…
Je tressaille, chuinte, il est partout… Ses mains empaument mes seins et les massent, tandis que sa langue lape mon clitoris, découvre mes trésors, ouvre les grandes lèvres de ses doitgs, il est délicat, je suis sa chose…
Les premiers râles de Claudia s’élèvent dans la chambre, ce qui le booste… Ses doigts me font délirer, je gémis… je le veux en 69… On se poste, on s’ouvre, on se suce, se lèche, se découvrent, s’offrent…
Il s’attarde sur mon clito, mon ventre ondule contre sa bouche, suit sa langue, demandant plus encore et un doigt s’infiltre en moi, et plonge dans mon océan de désir…
Il est doux, attend ma réaction à chaque étape…
Il me masturbe avec deux doigts, je le pompe avec toute ma science…
Il est temps…
Je m’étends sur le dos et lui offre ma vulve, cuisses écartées, offerte…
Il me dévore, je jouis en commentant avec de grands « Heu ! », mon plaisir qui monte et m’envahit…
Je commence à bouger d’impatience…
Je m’offre, écartant mes cuisses, l’invitant à s’y nicher… Il vient contre moi, l’autre couple dont les soupirs sont amplifiés, a passé une étape, elle jouit en feulant son plaisir d’être pénétrée par ce sexe tant désiré…
La verge est là… Prête, bandée, dure… Mon bonbon s’est ouvert, détrempé, je sens le gland écarter mes lèvres, s’infiltrer dans ma vallée, jusqu’à ma grotte…
Il l’ouvre, je ne peux retenir un long gémissement de plaisir quand il me pénètre et plonge lentement au fond de mon vagin…
Je grogne, car il ressort déjà… Mais il plonge de nouveau… Premier mouvement, il se délecte de mon fourreau, sa verge est grosse, longue, et je commence à délirer sous ses allers-retours…
Il rampe sur moi, j’ai ouvert mes cuisses à 180 degrés, il me plante son dard en cadence, je fonds…
Il me fait l’amour, l’amour que j’aime, l’amour tendresse, le ressac de l’océan, mouvement éternel… Je l’embrasse, il me reprend de plus belle…
– Oui, viens, prends-moi, baise-moi toute la nuit… J’aime ton sexe…
Je me sens bien, il est en moi, ne bouge plus, il attend…
Claudia gémit, le lit bouge, grince, elle doit savourer le piston qui la lutine…
Du coup, Michel continue et une longue litanie s’élève, j’exprime mon plaisir, embrochée, son pieu va et vient, ses lèvres cherchent les miennes…
Il est contre moi, sur moi, en moi…
Oh !… Que j’ai envie de lui…
Il m’a tournée sur le coté, puis m’a pénétrée de nouveau, ouvrant mes cuisses en ciseau, et ses mains viennent me caresser, s’insinuent, excitent, augmentent mon plaisir…
Il me savoure doucement, puis accélère, puis se calme et attend que je jouisse de nouveau…
Il me mord le lobe de l’oreille, je griffe son dos, plaque mes fesses contre lui, il coulisse plus vite durcit… Je l’arrête… J’en veux encore, mais pas encore…
Claudia vient de jouir de belle manière, s’envolant dans les aigus, retombant en plainte langoureuse et pénétrante… J’en jouis pour elle, Michel se dédouble et me pistonne à nouveau…
Mais la cavalcade s’arrête, je me mets à genoux, et l’invite en levrette…
Fou de bonheur, il me prend d’un seul coup, un vrai étalon, sa bite explose en moi presque immédiatement, il n’a pas pu se retenir, fou de désir… Et j’ai senti le coup de rein rageur, et son plaisir infini en me prenant par les reins pour mieux s’enfoncer dans mes entrailles…
Nous restons ainsi, lovés l’un dans l’autre, embrassés, enlacés, son sperme dégorgeant de mon minou rassasié pour un moment…
Il masse mes seins, heureux de m’avoir fait gémir et portée à l’extase, même si ce fut bref, comme un éclair, mais si intense que j’en ai crié sous l’onde de choc…
Le calme et le silence sont retombés dans la pièce obscure… J’ai soif…
Je me lève, cherche de quoi me couvrir, mais il fait chaud dans la pièce… J’arrive dans la salle de bains, trouve un verre propre, bois une gorgée… La semence coule sur mes cuisses, je m’essuie, la porte s’ouvre sur Claudia, nue, radieuse, décoiffée…
– Eh, bien, quelle soirée !… Ils sont géniaux, j’ai joui comme jamais… Il avait tellement envie qu’il a explosé de suite…
– Moi aussi, ils vont se calmer et nous offrir autre chose…
– Tu crois ? J’adore… Il est si entreprenant, percutant, j’ai eu plusieurs orgasmes, en le chevauchant… On se lave un peu ?
– Oui, tiens, commence…
La chambre est allumée lorsqu’on sort, il y a 4 verres, du coca, du whisky, orangeade… Nues toutes les deux, propres et nettes, une serviette autour de la taille comme seule défense… Ses seins gonflés comme les miens leur en jettent de toutes les couleurs, ils ne savent plus ou regarder pour rester de marbre…
Nous buvons, assis sur nos lits, face à face…
Michel va à la salle de bains, allume l’applique, et vient éteindre la chambre…
– Oh, super, on peut bouger un peu, on se croirait en boîte…
Vrai, la lumière tamisée, discrète, laisse deviner sans éblouir, ni éclairer la pièce…
Je sens la main de Michel, il m’entraîne dans le lit, je le mets sur le dos, et monte sur lui, à califourchon, de part et d’autre de son bassin… Je chéris le sexe, avant de le présenter au mien et de l’engloutir…
Je me pénètre avec délicatesse, il glisse et je ressens du plaisir…
Je bouge, d’avant en arrière, il me lutine, me prend, me baise…
Je le sens grossir, durcir, je jouis pleinement…
Je continue de me faire du bien, engloutissant sa grosse verge en fermant les yeux…
Puis je me retourne, et je recommence, je me reprends en cadence regardant droit devant moi en savourant le sexe qui me remplit… Il m’aide en accompagnant mes hanches, triche en serrant mes seins, puis ses doigts plongent dans mon sexe, se mêlant au débat en cours…
Lorsqu’il tourne son doigt sur mon clitoris, je pousse un cri, l’orgasme m’emporte au paradis du plaisir !!!
Que de sexe, que de rêve…
Il me câline dans ses bras, je sens ses doigts dans mon jardin secret, activer ma porte arrière, dispenser ses effets…
Je n’ai pas de grief contre lui, il a été digne de mon petit trou…
Je lui offre simplement, lui présentant mes fesses, et je le sens pénétrer, hésiter, saliver, puis glisser lorsque la porte est franchie… Il est sur moi, et me baise en macho avéré…
Chapitre II – Jour 2
La visite de Barcelone l’après-midi fut magique.
La découverte du quartier gothique, avec tant de secrets enfouis… Puis l’agitation des Ramblas, ces torrents envahis d’un peuple cosmopolite… Belle ville qui mériterait bien plus que quelques heures…
Claudia est pensive, nous prenons le temps de la visite, écoutant les explications éclairées de notre guide.
– Je suis vannée…
– Moi aussi, je n’ai plus l’habitude d’être torturée de la sorte et de n’avoir dormi que quelques heures, et encore…
– J’ai aimé, jouissant tant et plus, bien au-delà de mes amants épisodiques… Maintenant ils me paraîtront fades, insipides…
– C’est certain, nous avons eu la qualité dès ce soir, le summum… Je ne regrette pas d’avoir cédé si vite à ma libido qui me poussait sur la piste de danse à m’ouvrir à ses caresses… J’ai ressenti comme un souffle qui me poussait à coller mon ventre au sien…
– C’est pareil, souvent c’est le second soir que je cède…
– Tu es aussi coquine que moi…
– Tu es pareil que moi, autant portée sur le sexe, aimant te faire plaisir, aimant te donner, savourer le sexe qui va et vient en toi…
– Je coule, rien que d’en parler…
– On remet ça ce soir, on monte direct chez Michel après le repas…
– Oui, neuf heure trente, on n’a pas besoin de se changer, au contraire…
Le retour c’est dodo dans nos fauteuils, jusqu’à notre hôtel.
Chacune dans notre chambre qui me semble triste et vide, je tape à sa porte…
Elle vient m’ouvrir, me sourit en regardant ma robe…
– On en devait pas s’habiller ?
– Non, juste de quoi exciter le mâle… J’ai envie de me laisser déshabiller en silence, lentement effeuillée…
– Je trouve la plante à mon goût !
Je me tourne et lui demande de faire glisser la fermeture éclair…
Le reste vient naturellement, on se retrouve en culotte, face à face, et nos lèvres se rapprochent, et le baiser est intense, nos langues se déchaînent, nos mains explorent, découvrent, glissent, massent, jusqu’au 69 qui nous permet de goûter au sexe de l’autre et de comprendre pourquoi ils ont tant aimé nos délices parfumés, quintessence de la femme, une adorable vulve déjà transpirante de désir sous nos langues avides…
Nous flirtons ainsi, puis faisons l’amour, prenant tour à tour le contrôle des ébats, ouvertes, lesbiennes jusqu’au bout de nos seins, éprouvant ce ressenti magique au contact d’une autre femme, de son corps alangui, abandonné à notre délire, pour notre plus grand plaisir.
Claudia ne triche pas, Claudia plaque son sexe dans le mien, écartelées toutes les deux, ressentant cette chaleur intime, cette douceur, ce partage intense, cette tendresse et sublimées par notre besoin de jouir…
Ses doigts forment un sexe dans mon vagin et me portent à plusieurs extases en quelques minutes…
Je me laisse aller, délirer, elle est majestueuse, juchée sur moi, possessive, royale et nous conduit à notre dernière extase, juste par le frottement de ses seins sur les miens…
La fin est divine, lovées dans le lit, nues et enchevêtrées…
Il est temps de nous souvenir que nous sommes censées être en pleine forme dans un quart d’heure…
Son baiser est divin, je le lui rends avant de passer la porte de sa chambre…
– Tu es sublime, je… Je n’ai jamais eu de rapports aussi forts avec une autre femme…
– Tu tombes amoureuse de moi ? Je le suis déjà séduite par ton corps parfait, par ta bouche sensuelle, par ton sexe qui va s’ouvrir de nouveau, de désir, devant un membre viril et désireux de t’emporter dans un monde masculin, où la femme devient soumise, chienne, lascive, mais aussi active parfois jusqu’à l’extase et s’offre à son mâle sans retenue aucune, sans limite, sans tabous…
– Tu en parles bien… J’aime tes idées, j’aime ton corps, je t’aime…
Dans le couloir qui mène à la chambre, elle m’embrasse une dernière fois… Me disant combien elle était heureuse de m’avoir rencontrée et qu’elle aimerait devenir mon amie et partager d’autres moments intimes…
Je tape doucement à la porte, ils sont souriants, et nous accueillent par de nombreux baisers et quelques caresses avec des questions sur notre journée…
Ils ont préparé à boire, nous servent un délice de cocktail aux fruits frais…
Michel se montre délicat, me fait asseoir sur la seule chaise de la pièce, tandis que Claudia s’assied contre Mike sur le lit le plus proche de la table…
Nous racontons notre journée, ils posent des questions, puis nous prennent dans leurs bras… On danse sans musique, on s’embrasse, on se serre, on se caresse…
Je n’ai pas parlé d’échanger nos amants avec elle…
Mes seins sont libérés, ma robe ouverte, prête à tomber…
Claudia aussi, ils se rapprochent de nous, face à face, Claudia m’embrasse tendrement, je lui rends son baiser, et dans cet élan, nous tombons toutes deux sur le lit…
Aussitôt, elle vient sur moi, glisse une cuisse entre les miennes, embrasse mes seins, et me défait de mes vêtements…
Elle s’en libère aussi et nues nous offrons un échange lesbien de premier plan à nos hommes interloqués, ravis, le sexe à la main…
Le regard rivé sur nos courbes qui ondulent devant eux, les bruits de succion, et nos plaintes qui s’élèvent…
Nous refaisons ce que nous venons de vivre, accentuant les effets sonores, trichant un peu avec nos râles, et nos geignements…
Ils en bavent de désir…
Notre 69 fait monter la tension dans la chambre, à voir les yeux exorbités de Michel assis au pied du lit, lorsque mes doigts provoquent un orgasme à Claudia…
Elle ne fait pas semblant de jouir, perdant même le contrôle un moment, quand mon petit doigt s’est insinué dans son derrière, et qu’elle m’a rendu la chose, en me léchant tout, puis glissant son doigt dans mon anus à mon tour…
Nous sommes donc, prêtes, à point, et le premier c’est Mike, qu s’installe entre les cuisses ouvertes de Claudia, et glisse son dard vers son entrée secrète… Elle explose de plaisir lorsque le membre ouvre sa voie, et plonge au fond de ses entrailles…
Michel est venu de ce temps contre moi, m’a invitée à recommencer un 69 avec lui… Je m’exécute avec dextérité tenant le membre d’une main ferme tout en salivant abondamment, en le minaudant avec tendresse…
Sa langue devient velours, je jouis longuement, avec mes « Heu !… » lancinants, longues giries, de chatte en chaleur…
Il est prêt à me fourrer sa longue bite dans mon con…
Vulgarité ?
Oui, je deviens vulgaire quand une autre de ces queues sublimes vient demander la permission de me baiser le cul !!!
Mike tape à ma porte, Claudia me regarde en souriant, il se glisse en moi, tandis que Michel savoure mon étui pénien…
– Ah !… Oui !… Allez-y, baisez-moi…
Claudia savoure mes seins, jouant avec les pointes érigées, tandis que ces messieurs me pilonnent en cadence, elle me donne des baisers à me faire chavirer…
– Oh, ouiiiii !… Venez mes chéris, prenez-moi ensemble… Je suis à vous, j’aime vos bites, je les sens me pourfendre, je ressens mon plaisir monter, délivrez-vous, en moi…
– Oui, vas-y, baise-là, Mike… Comme avec moi hier soir…
– Continuez, baisez-ma chatte, sodomisez-moi, giclez votre foutre, je suis là pour ça, pour vous vider les couilles…
J’aime être prise en double, j’aime faire la pute, devenir soumise, exploitée, j’aime vos queues dures qui m’envoient au paradis de la baise !…
Claudia, demain tu les prendras aussi, ensemble… Ils sont beaux, ils sont efficaces, je sens l’orgasme arriver, allez-y, remplissez-moi de sperme, jouissez…
Oui ! Oh ! Oui !… Encore ! Ah !… C’est brûlant, oui !… Je…
Je retombe dans le lit, vidée d’énergie, transpirante, dégoulinante de toutes parts…
Claudia s’installe entre mes cuisses et vient boire ce jus d’amour, mélange de nos sucs…
Mike regarde son arrière-train offert, tandis qu’elle se trémousse pour nettoyer leurs traces. Il ne peut résister et amène sa bite ragaillardie, et l’enfile d’un coup sec dans un vagin détrempé de désir…
J’entends le bruit de succion quand il la prend en cadence, j’entends ses râles, j’entends son orgasme, ses cris de chatte, je m’endors…
La nuit a été courte, nous sommes revenues chez nous, enfin dans ma chambre où elle avait laissé ses affaires, nous prenons une bonne douche…
– J’ai craqué tout à l’heure…
– Je te comprends, c’était sublime ce soir, il m’a emmenée au septième ciel. J’avais envie qu’il ne s’arrête pas de me pilonner, que je jouisse toute la nuit de sa bite énorme… Mike est super bon…
– Tu aimerais changer ce soir ?
– Oui, cela me plairait, l’un, l’autre, les deux… J’étais jalouse de toi quand ils te prenaient ensemble et que Mike te faisait jouir autant que moi… Je veux être embrochée par la queue de ton mec et qu’il me baise avec autant de fougue… Tu jouissais sans cesse, écartelée, en levrette, te donnant sans réserve en beuglant de plaisir…
– Ils m’ont transcendée… J’ai senti leurs queues me défoncer en même temps, c’était génial, j’ai perdu pied, me rappelant mes frasques d’antan…
– On exagère non ?
– Parfois je me dis que oui, puis je me dis que l’on est là pour le plaisir, alors, j’ai envie de plus, car ils sont respectueux, et savent jusqu’où nous mener…
– Tu penses à quoi ?
– Ben, plusieurs copains…
– Ah !… Un gang-band ? Etre prise à la chaîne par des inconnus ?
– Peut-être pas jusque-là, mais plusieurs de leurs collègues solitaires, en mal de sexe…
– Tu me mets l’eau à la bouche… Tu l’as fait déjà ?
– Oui, dans mes soirées torrides, avec mon groupe d’amis, mon club….
– C’est bon d’être prise par plusieurs hommes, de jouir comme une truie ?
– J’aime le début, quand il te pénètre, tremblant, puis s’active, démolissant ta chatte ou ton cul en vrais machos conquérants, et la fin, quand tu le sens se raidir, et qu’il jouit en toi, à grands coups de reins rageurs, heureux de se délivrer…
Chapitre III – Jour 3
La journée passe très vite, plusieurs villages visités, pas mal de petits sommes, entrecoupés…
Le retour est sans moi, je dors profondément au bout de dix minutes, appuyée sur Claudia…
La douche me fait du bien, on dîne de bon appétit, puis nous nous changeons, je passe un string, c’est rare… Pas de soutif, un top arachnéen, une jupe courte fleurie… je prends un châle par pudeur…
Claudia est comme hier, belle, simple, dorée, craquante…
Elle me donne un long baiser, mouillé, atroce pour la ficelle qui me sert de culotte…
Je relève la jupe, elle siffle d’étonnement…
– Bien, tu mets le paquet, si on te voit comme ça, sans le haut, quoique, il ne cache pas grand-chose et même dessine tes seins de façon outrageuse… On a envie de te sauter sans calculer…
La porte s’ouvre, deux hommes se lèvent pour nous saluer… Nos copains nous présentent, j’avais raison je crois, je sentais le vent venir…
– Deux collègues qui s’ennuient dans ce grand hôtel et cherchent un peu de compagnie… André et Jo, nos voisins de chambre… Vous comprendrez qu’ils soient intéressés… Ils ont eu le son cette nuit, ils aimeraient l’image… Est-ce que vous acceptez leur présence avec nous ?
– Au plus on est de fous…
– Oh, on en aurait eu besoin pour continuer hier soir après, quand vous dormiez…
Tout le monde rit de bon cœur, Mike nous présente…
Ils sont sympas tous les deux, rieurs, et Claudia semble avoir choisi son second… André…
Bon, nous convenons de nous mettre à l’aise…
Je commence devant les nouveaux…
Leurs yeux semblent sortir de leurs orbites lorsque je quitte mon châle…
Puis, même nos anciens semblent perturbés, lorsque ma jupe tombe à terre et révèle mon string, mes fesses semblent rebondir, et mes seins apparaissent, dodelinant à leur habitude…
Me voilà nue, avec un string pour rien… Alors je pose un pied sur le lit et demande qui veut l’enlever…
C’est Mike qui a été le plus prompt. Il se positionne derrière moi, les autres viennent devant, sur le côté du lit. Les mains glissent sur mes globes boursouflés par le désir naissant… Je tourne la tête vers lui, nos lèvres se joignent, Claudia se laisse aller dans les bras d’André…
Mike s’est déshabillé, je sens la verge pointer, ses doigts viennent au contact de la fragile pièce de tissus…
Il me mordille l’oreille…
Je saisis son vît, qui m’a défoncée la nuit passée…
Il agrippe la ficelle sur mes hanches et tire doucement. Je repose ma jambe au sol pour le laisser agir…
Je coulisse lentement sa bite, il tire doucement… Je l’aide en envoyant balader l’ensemble d’un coup de pied… Puis je repose mon pied sur le lit, offrant mon intimité à leurs regards et à sa main…
Il se glisse sous moi, et sa langue parvient au contact de ma chatte…
Je ferme les yeux d’aise…
Que c’est délicieux ! Je réagis au quart de tour, tandis que Claudia, écartelée, est en train de se pénétrer avec le pieu d’André, allongé sur le dos au milieu du lit, présentant un objet de concours ! Le pire c’est qu’il disparaît entièrement dans la chatte distendue…
Michel, attiré par ses râles, lui tend sa verge qu’elle absorbe avec gourmandise…
Il me sourit, mon Michel, fourrant sa bite entre les lèvres de ma copine…
Jo masse mes seins, me tenant par derrière, il les empaume et excite mes tétons érotiquement dressés…
Mike le laisse profiter un peu de moi, je me retourne pour l’embrasser et suis surprise par un baiser délicieux… Jo est bien mon type…
Je cherche sa verge, la prends dans ma main et la coulisse lentement…
De l’autre main, je me saisis de celle de Mike… Un devant et l’autre dans mon dos, je leur joue une entrée en matière qu’ils apprécient en grognant…
Mike m’étend sur le lit, ils m’encadrent… Nous reprenons nos ébats, Jo me présente son sexe, j’ouvre mes lèvres… Il pousse…
Je sens alors la main de Mike farfouiller ma grotte en entendant le bruit de ma succion…
Mais oui, je coule de désir mon ami…
Allez, rentre tes doigts dans ma chatte…
Je lui ouvre largement mes cuisses, sa main commence un ballet infernal, ses doigts me pénètrent à loisir, il me masturbe comme un pro, glissant sur mon clitoris à m’en faire bramer de plaisir…
Je sens soudain la main de Jo sur mon petit trou…
Je me tourne de coté, écarte mes cuisses pour Mike, je m’y empale, puis je bombe les fesses, attendant le bon vouloir de Jo qui s’installe et commence…
Les deux compères qui me possèdent vont s’en donner à cœur-joie…
Jo, me pénètre avec un dard peu commun, une pine de sorcier vaudou, et je me pâme sous l’effet du plaisir que je ressens…
Il me hisse sur lui, et me reprend sans souci, plongeant de nouveau dans mon derrière, son membre merveilleux…
Je suis allongée sur le dos et m’empale avec autant de désir, qu’il me sodomise…
Ma chatte pleure… Elle est convoitée par Mike, qui approche sa bite et me reprend lentement, il se cale entre mes cuisses, je soulève un peu mon bassin, il y est, ils y sont…
Le trio commence leur récital et leurs pistons me clouent, me rivent à leur sexe infernal… Chacun sa spécialité, j’ai des mains partout, des lèvres qui m’embrassent, des doigts qui s’insinuent, des pincements aux tétons, je jouis simplement, longtemps emportée par les délices de l’amour pluriel…
Leur rythme est lent, sensuel, je me croirais sur un matelas pneumatique, bercée par les vagues… Indolente…
Ils arrivent à combiner leurs deux pénétrations, afin que je profite au maximum de chaque sexe…
Je gémis chaque coup de rein, griffe les draps, ils sont délicieux…
Claudia est allongée sur un, pénétrée par l’autre par derrière, elle jouit, ils l’accompagnent aussi, nous vivons des instants magiques, ensemble, les mêmes exploits sexuels, le même plaisir dans un abandon total…
Elle gémit sans s’arrêter, prononce parfois des mots sans suite, caresse une tête, se donne à l’autre, revient se lover, s’encastrer, fébrile, et jouit son orgasme à fond, entre ses 2 amants, qui s’activent de plus belle…
Epuisés par cette débauche d’énergie, nous avons soif.
Une heure de fornication ininterrompue, nous a mis à plat, je suis entrelacée avec mes deux compères, abandon total, sexe de haute qualité…
Jo se dévoue, s’habille et se rend dans sa chambre commander des boissons. Discret, serviable, terriblement efficace…
Claudia en profite pour s’endormir un moment au milieu du lit, je fais comme elle…
Nos nudités exposées aux trois hommes qui sont assis par terre, nous plongeons dans nos rêves, même pas la force de laver les traces de nos assaillants.
Lorsque j’ouvre un œil, je suis attachée au lit. Claudia est dans la même position, poignets liés par une corde.
On m’apporte à boire, on me ressert, on me donne des barres énergétiques, des gâteaux, des fruits…
– Tu veux un excitant ? Doux et naturel, rassure-toi, voisin du gingembre et du bois-bandé… C’est ce que l’on utilise et il fait les deux sexes…
– Merci, je pense avoir encore de l’énergie, mais pourquoi les liens ?
– Vous avez aimé être dégustées par 2 mecs, tendrement, fermement, longtemps…
– Oui…
– Bien, en effet…
– Ce que je propose maintenant est différent, on ne viole pas, on va vous faire planer au-delà de ce que vous connaissez… Toi aussi Claudia, tu as prouvé que tu aimes le sexe, que tu le pratiques avec délice, recherchant sans cesse le plaisir de ton partenaire… Nous allons vous aimer… Les yeux bandés, le corps en attente de nouvelles sensations, de nouveaux plaisirs, laissez-vous emporter sans retenue, acceptez nos hommages, nos caresses, sans crainte, nous ne ferons que vous aimez…
Ils viennent de chaque côté, deux pour moi, deux pour elle… Ils sont toujours nus, mais mâchent une pâte, un caramel…
Ils nous mettent un bandeau, et je reste seule au milieu du lit…
Je sens alors une plume sur mes seins… Coquine, excitante, sournoise… Une autre vient dans mon cou, mes oreilles, une autre plume descend vers mon ventre, suis la ligne, court sur mon pubis, passe à l’intérieur des cuisses…
Mes cuisses sont ouvertes, la plume s’y glisse, une langue et des mains viennent me donner du plaisir…
Claudia semble recevoir le même traitement, ses soupirs puis ses gémissements le démontrent…
Lorsque plusieurs doigts récitent une mélodie sur mes seins, je commence à jouir, je suis prisonnière de mon amant, de mes amants qui sucent mes tétons, chacun d’un côté…
Puis un sexe arrive sur mes lèvres…
Au même instant, la plume se pose à l’entrée de ma grotte… Je suis ouverte, coule, savoure, écarte, je ne peux att****r, caresser, aider…
Je sens leur présence, touche leur peau, entends leurs souffles…
Tout mon corps est en éveil, je gémis et tremble de désir…
La verge ouvre mes lèvres…
Une langue s’affaire dans ma chatte…
La bite dans ma bouche devient dure, grossit, entre et sort, j’accompagne la fellation avec la tête…
J’entends Claudia feuler de plus en plus fort… Puis elle jouit…
La langue s’arrête, on me prend, on me met sur le côté, le sexe me pénètre, juste avec le contact dans mes reins, qui me pilonne…
La fellation arrive au bout, le sperme jaillit dans ma bouche…
On me baise sans répit, puis on jouit en moi…
Alors, une autre bite vient sur mes lèvres, un corps s’installe dans mon dos, sexe en érection, il me prend lentement, plus fort, plus gros, m’envahit, me défonce… Jusqu’au bout à grands coups de reins… Puis un autre, et un autre et Claudia qui rugit, qui parle sous la contrainte…
– Oui, venez, encore… Baisez-nous comme des salopes, comme des chiennes… Entrez vos queues dans nos vagins détrempés, et défoulez-vous… On est là pour vider vos couilles… Dans nos bouches, dans nos chattes ouvertes par les bites de vos prédécesseurs, bientôt dans nos culs, tenez, je me tourne malgré mes liens, venez me sodomiser, me voilà en position, vous n’avez qu’à placer votre bite sur ma rondelle et pousser, je suis trempée, ça glissera…
– Oui, j’aime les bites qui se succèdent, moi aussi… J’en veux encore, je veux être couverte de semence, inondée de sperme, l’avaler, sentir gicler vos sexes gorgés… Oui, viens, oui, pousse, oh, que c’est bon… Allez, tu es au fond, vas-y baise-moi le cul, pilonne-moi, tu es le premier ce soir, ici… Oui !…
– Oh, que c’est magique, vous voulez me prendre à deux, alors venez, oui… Ouvre mon cul, toi… Viens dans ma chatte et tape fort, encore, je te sens bien, toi aussi, allez-y perforez-moi, ensemble, comme ça, oui ! Oui ! Oui !… Ah !….
– Ils t’ont remplie Marika ? En duo ? Que c’est bon d’être baisée, de sentir le sperme chaud sur nos seins, sur le ventre… Si tu me détaches, je peux te masturber entre mes seins et suis certaine de le faire cracher de nouveau dans ma bouche…
Lorsque on me détache, je vois Jo et Mike, Claudia dort profondément…
– Tu as aimé cet épisode ?
– Bof, je connaissais… Vous savez, baiser à la chaîne c’est pas valorisant, mais bon…
Nous on a filmé ; et le film est top ça rend bien… Putain que vous êtes bonnes toutes les deux, vous prendre des queues comme ça, même une femme est venue vous lécher la chatte au début, tandis qu’elle se faisait démonter le cul par son mari…
– Oui, nous étions avec des gens de notre groupe… On les connaît bien, donc pas de souci. On leur a expliqué ce qu’on voulait… Les hommes sont faibles…
– Et le couple ?
– Oh, c’est elle qui a voulu… Elle aime aussi les femmes… Lui il s’est mis à bander comme un âne en regardant sa femme pliée en deux entre vos cuisses… La tentation a été trop forte, il l’a sodomisée, puis il a baisé Claudia après sa femme, alors elle est venue me remercier dans l’autre chambre…
C’est une véritable chienne, si vous la voulez, elle doit y être encore…
Nous avons dit adieu à tous nos amants.
La journée de retour a été très rapide, endormie 10 km après le départ, Claudia m’a réveillé devant l’arrêt du bus, je n’ai eu qu’à traîner ma valise quelques mètres…
La nuit a été parfaite, calme et longue…
Ce voyage éclair restera dans ma mémoire dans la catégorie « Voyage au bout du sexe »…
FIN
Marika842010 – Novembre 2018
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