La fille s’occupait du recensement sur la commune et dans le village. J’ai préféré ne pas lui donner d’âge. Elle était brune à cheveux longs et lisses. Ses hanches étaient assez prononcées, c’est ce que j’ai noté en l’invitant à entrer dans ma maison.
Il était 18h, plus ou moins. Elle s’appelait Emilie. Elle a accepté la bière que je lui ai proposée. Le temps que je ramène les cannettes et les verres, elle s’est assise dans le canapé de mon salon. Elle portait une chemisette sans manches, très sobre, blanche, une jupe noire assez courte ; les cuisses nues et des bottines en daim marron. Un soutien-gorge rouge foncé dont une bretelle dépassait de sa chemisette.
J’ai rempli les verres de bière et me suis assis à ses côtés, à sa droite. Et j’ai répondu à ses questions. Rapidement, j’ai allumé une cigarette. Elle en alluma une aussi, puis continua de cocher des cases sur le formulaire imprimé qu’elle avait plaqué sur une chemise cartonnée qui avait la même couleur que son soutif.
Tout en répondant à ses questions, je regardai ses cuisses. Elles étaient assez claires, pour ne pas dire blanches. J’imaginais sa chatte poilue sur cette peau. J’imaginai aussi ses seins, assez volumineux, visiblement.
Je fais partie de cette catégorie d’hommes qui ne peuvent pas s’empêcher d’imaginer à poil certaines personnes qu’ils croisent ou qu’ils côtoient de près. Leurs seins, leur chatte, mais aussi leur cul et les vices qu’elles peuvent avoir. Leurs préférences. Leurs envies inavouables.
Et tout en répondant aux questions de cette fille, ce soir-là, je n’ai pas pu m’empêcher de me demander si elle aimait sucer des bites. Si elle avalait le sperme et si elle acceptait les pénétrations non protégées. Avec des inconnus en particulier. Des inconnus comme moi.
Au terme du questionnaire, elle accepta une deuxième bière. Et c’est en amenant deux nouvelles canettes de Leffe que j’appris son âge : seize et demi. Je me suis rassis près d’elle et nous avons trinqué. Elle était en première S et faisait du théâtre. Elle avait de très grands yeux et une très fine bouche.
J’avais envie qu’elle déboutonne sa chemisette.
J’avais envie de la voir en soutif.
J’avais envie de savoir si sa culotte était assortie au soutif, ou pas.
J’avais envie de la voir enlever sa culotte dans mon salon, en me tournant le dos. J’avais envie de voir son cul.
Je n’ai jamais voulu de mal à aucune femme, ni aucune fille. Mais je suis un homme, alors voilà : il n’est pas rare que je ressente l’envie de pénétrer la chatte d’une femme que je croise sur mon chemin.
C’est la nature, c’est notre nature.
Le sexe fait partie de la vie et il occupe une grande partie de nos envies. S’en suivent souvent des histoires d’infidélité, d’adultère, et d’autres histoires encore, comme par exemple ce soir-là, avec cette fille venue me voir pour me poser tout un tas de questions, dans ma maison, dans mon salon. Cette fille qui me laissa prendre son sein droit dans ma main à un moment donné, sans rien dire. Elle se contenta de regarder ma main.
Je ne lui avais rien dit. Elle ne s’y attendait pas, mais elle s’est laissée faire. Un gros sein, bien ferme. Puis la peau de ses cuisses, bien douce. Et enfin sa langue sur la fente de mon gland, un peu plus tard.
Elle s’est laissée faire.
Et ma queue toute entière dans sa bouche, tandis que je faisais sauter les uns après les autres les boutons de sa chemisette blanche.
Elle s’est laissée faire.
Puis le bouton et la fermeture éclair de sa jupe. Sa culotte était assortie à son soutif. Rouge comme une tomate un peu trop mûre. Et transparente. On voyait sa fine touffe de poil au travers.
Elle s’est laissée faire.
Au moment de la pénétrer dans mon canapé, elle a pris ma queue entre ses doigts en disant :
« Je préfère que vous mettiez un préservatif. »
Mais je n’en avais pas, alors elle a dit :
« Laissez faire. »
Et j’ai enfoncé ma queue dans sa moule toute mouillée.
Un peu plus tard, je l’ai sodomisée. Elle était alors complètement à poil, et je me souviens que ses seins se balançaient dans les mouvements.
Et moi, je me répétais :
« Seize ans et demi, seize ans et demi… »
J’ai déchargé dans son cul, tout en lui tripotant les nichons.
Je me suis retiré et le sperme s’est mis à couler.
Au moment du recensement suivant, c’est une femme d’une soixantaine d’années qui est venue frapper à ma porte. Elle était très aimable, mais ce fut différent. Elle n’aimait pas l’alcool et n’avait pas de poitrine. Les collants marrons qu’elle portait étaient plissés et je me suis assis à l’écart.
Au fil des réponses que je lui donnais, je me suis efforcé de ne pas être désagréable. Seulement, j’avais clairement en mémoire l’image de ma queue qui pénétrait la chatte et l’anus d’une fille de seize ans et demi.
Je n’ai jamais su d’où elle venait.
Je ne l’ai jamais revue.
Je me branle souvent en pensant à elle.
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