Je suis sur l’autoroute depuis deux heures quand je m’arrête sur une aire de repos quasi vide. Seuls deux semi-remorques y sont garés. Il est 19h. Un des routiers est en train d’inspecter ses pneus mais je ne vois pas l’autre. En effet je le retrouve dans les toilettes, ayant une grosse envie d’uriner je m’installe deux pissotières plus loin et me libère sans trop faire attention à lui. Une fois fini je m’aperçois que l’homme est toujours là. Je le détaille, il est dans la cinquantaine, plus petit que moi et assez enrobé. Il ne semble pas pisser, je vois sa main qui s’agite au niveau de son sexe. Il s’aperçoit que je le regarde. Gêné, je remballe mon matériel, lui s’écarte de la pissotière et me montre son membre à demi gonflé et me lâche : « Branle moi ! ».
Depuis longtemps j’attendais une situation comme ça pour passer à l’acte sans jamais la provoquer moi-même et je gardais toujours cette idée à chaque toilettes publiques visitées. Voilà, c’était le moment. Je jette quand même un regard autour de moi mais je sais qu’il n’y a personne à part l’autre routier qui avait l’air occupé et je n’ai entendu aucun autre moteur arriver, je ne mets pas longtemps à saisir sa bite que je commence à branler doucement. Il a bien vu que je n’avais pas beaucoup hésité et me lance un « t’aimes la bite toi, salope » qui me fait répondre un « oui » un peu gêné.
_Vas y, branle-moi bien.
Je m’applique en enroulant ma main autour de sa queue, je caresse son gland découvert avec mon pouce. Je l’astique un moment, son sexe durcit entre mes doigts. Je suis fasciné par cette queue épaisse, je ne vois pas qu’il lève son bras et pose sa main sur ma nuque. Il appuie dessus, je comprends à ce moment là que je vais devoir sucer ma première bite et que je vais aimer ça, là devant les pissotières d’une aire d’autoroute. Tout en continuant mes va et vient sur sa queue, je me mets à genoux, je sens par terre de l’humidité qui traverse mon jeans.
_Ouvre ta bouche, connasse !
Je ne sais pas si c’est l’insulte ou le ton qu’il emploie mais j’obéis sans broncher et j’ouvre mes lèves devant sa bite gonflée. Je pensais lécher son gland d’abord et ensuite le prendre en bouche doucement mais il a d’autres envies et me prend la tête par les cheveux, il s’enfonce d’un coup dans ma gorge, me bloquant tout recul, il maintient mon nez contre son pubis, son ventre proéminent s’écrasant sur mon front. J’ai les yeux qui pleurent, j’étouffe, il continue de maintenir la pression pendant des secondes qui me paraissent une éternité. Quand il relâche la pression, je peux enfin respirer. j’aurais pu dire stop, me relever et partir mais devant sa grosse queue tendue et pleine de ma salive, je l’ai repris en bouche avec avidité.
L’homme a compris à qui il avait à faire, il me pousse contre le mur, j’ai la tête entre deux pissotières, il s’enfonce à nouveau en moi et me pilonne la gorge à grand coups de queue. Moi je suis accroupi, le dos au mur et je me maintiens en m’agrippant à ses jambes. De temps en temps il sort sa bite et me frappe le visage avec tout en me traitant de chienne. Je bande à l’intérieur de mon jeans. Je reçois un crachat sur le front, suivi d’un autre qui me fait fermer les paupières. il continue de me bourrer la gorge pendant un moment, puis il arrête de bouger, je sens qu’il jouit dans ma bouche, je reçois des grosses saccades de sperme directement au fond de ma gorge que je suis obligé d’avaler. il se retire et je peux enfin respirer. L’autre routier est là, je ne l’avais pas vu, il se branle en regardant le spectacle, je ne sais pas depuis combien de temps. Sa queue est bien dure, il s’avance vers moi en continuant sa branle, il s’arrête à quelques centimètres et décharge de longues giclées sur mon visage. Il repart directement sans avoir dit un seul mot. Le premier est toujours là, devant moi avec sa bite molle désormais. Je lève les yeux vers lui avec un regard interrogateur.
_Attends sale pute, dit-il
Je reçois un jet chaud sur les cheveux, il me pisse dessus. Il sourit
_Tu dois aimer ça aussi non?
Je suis complètement humilié et dégradé mais j’avoue que je suis très excité, je me branle en même temps et je jouis pendant qu’il finit de m’arroser la gueule, puis il s’en va. Je me retrouve seul dans les chiottes, entièrement mouillé, souillé de sperme et de pisse. J’imagine la tête du type qui rentrerait maintenant … Je me lève péniblement et me dirige vers le lavabo pour essayer de me nettoyer un peu. C’est à ce moment là que le premier routier revient, il me tend un papier et un stylo.
Tu m’écris ton nom, ton tel et ton mail. Je ne réfléchis pas, je m’exécute.
_Très bien , je te dis à bientôt ma salope. On va se revoir.
_D’accord.
En cinq minutes, j’étais devenu une vraie salope à routiers et je savais que ce n’était que le début d’une longue succession de queues.
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