Histoires de sexe à l'école Histoires de sexe en groupe Histoires de sexe soeur

L’auto stop

L’auto stop



Mon mari descend pour plusieurs jours dans le sud pour son travail.
Je lui demande si je peux l’accompagner, je visiterais Marseille pendant qu’il sera au travail.
Il est d’accord et prévoit pour moi une pension complète dans l’hôtel ou il a réservé une chambre.
Nous arrivons sur place le dimanche soir puis je passe deux superbes journées bien aidée par le beau temps.
Le mardi soir mauvaise nouvelle il doit partir à Saragosse en Espagne pour une urgence dans une usine du groupe.
Il se renseigne et me donne l’argent pour mon billet de train pour le retour car je ne peux pas aller avec lui.

Je reste à l’hôtel jusqu’au lendemain matin puis je me rappelle une phrase que mon mari m’a dit en plaisantant:
<>.
Bien que cela comporte des risques je décide de faire du stop.

De bonne heure un client de hôtel qui se rend à Marignane m’amène aux abords de la ville. Je suis vêtue d’une robe à bretelles très seyante qui me va à ravir et met mes seins en valeur, je tiens à la main un sac dans lequel j’ai mis des vêtements et ma trousse de toilette.

Je lève le pouce sur le bas côté pas loin de l’entrée de l’autoroute et rapidement une voiture s’arrête.
Un homme seul à bord, il ouvre sa vitre et me demande ou je vais. Il ne peut m’emmener que jusqu’à Lyon.
J’accepte et je monte dans son auto.
En route nous parlons et je l’observe, il n’est pas particulièrement beau mais cela ne me pose pas de problème vu les quelques heures que je vais passer en sa compagnie.
Son regard se porte de plus en plus sur mes cuisses car en m’asseyant ma robe a remonté.
Soudain sa main droite vient se poser sur ma cuisse gauche.
<>.
<>.
<>.
<>.
<>.
Il reste la bouche ouverte sans répliquer.
Il se ressaisit et sa main n’ayant pas quitté ma cuisse il la caresse. Enhardi, sa main s’insinue sous ma robe et caresse mon sexe par dessus le string.

Il continue sa route et finit par s’engager sur une aire de repos du côté de valence, il va se garer dans un chemin fermé par une barrière et qui doit servir d’issue de secours pour le personnel qui travaille sur l’autoroute ou quand il y a un problème.
Il occulte au mieux les vitres avec des serviettes pour nous procurer une certaine intimité.
Nous nous installons sur le siège arrière.
Rapidement ses mains se promènent sur mon corps et il cherche à m’embrasser, je réponds à son baiser et ma langue se mêle à la sienne.
Il déplace les bretelles de ma robe dont il descend le haut jusqu’à ma taille, il en fait de même avec mon soutien-gorge. je suis maintenant les seins nus devant lui, il les caresse et ses doigts agacent les tétons, il les tripote comme un mort de faim.
Il me demande de soulever mes fesses, il remonte ma robe jusqu’à ma taille et descend mon string le long de mes jambes que je soulève pour qu’il le retire.
Une main caresse mon sexe et des doigts le fouille.
Je ne suis pas décidée à faire des efforts avec lui n’ayant pas digérée sa phrase qui voulait dire « tu baises ou je te laisse sur la bande d’arrêt d’urgence de l’autoroute » surtout je n’étais pas contre le fait de satisfaire ses envies, j’ai déjà fait l’amour avec pire que lui.
<>.
Il ne se le fait pas dire deux fois. Il déboutonne son pantalon et le baisse, son slip prend le même chemin.
Je caresse son pénis de taille moyenne qui est en érection puis je le masturbe un peu.
A genoux sur le siège ma bouche avale son membre et je lui fais une fellation énergique en serrant au maximum mes lèvres sur sa tige pendant qu’il tripote mes seins et caresse ma chatte.
Il ne résiste pas longtemps très excité, sa queue prise de tremblements grossit encore et envoie des jets de sperme dans ma gorge. J’ouvre la portière et recrache sa semence à l’extérieur.
Je le masturbe un peu, il bande toujours. Je me couche au mieux en écartant les jambes. Il s’allonge sur moi et sa verge pénètre mon intimité, il me défonce à grands coups de reins, j’essaie de remuer avec lui mais c’est difficile car ma position n’est pas très inconfortable et je ne suis pas très motivée.
Je mouille un peu mais n’étant pas inspirée par lui ni par ce qu’il me fait je ne prends pas de plaisir.
Au bout d’un moment son corps se crispe, sa queue est agitée par des soubresauts et il éjacule dans mon vagin.
Il se retire et s’essuie avec une serviette, il me la tend et j’essuie au mieux ma chatte puis je me rhabille pendant qu’il en fait autant.
Satisfait il reprend la route.
Il me dépose au nord de Lyon sur une aire ou on peut se restaurer, ce que je fais rapidement, car je ne veux pas perdre de temps, après être passée côté douche pour laver mon sexe et changer de culotte car celle que je porte est souillée par le sperme qui coule de mon vagin.

Je recommence à faire de l’auto-stop à la sortie de l’aire de repos.
Une voiture avec deux hommes à bord s’arrête, ils vont jusqu’à Auxerre. Ils ont l’air engageant.
Je monte à l’arrière et nous prenons la route.
Pendant le parcours comme je le pressentais (car un homme est un homme et c’est son sexe qui commande son cerveau quand il est en présence d’une jolie femme) rapidement l’un se met à me draguer et voyant que je ne le rembarre pas le deuxième en fait autant.
Plus on approche d’Auxerre plus ils se montrent insistants et après avoir résisté pour la forme je finis par accepter de faire l’amour avec eux.
Sortis de l’autoroute ils stoppent devant un hôtel à bas prix.
Ils vont à la borne située à côté de l’entrée de l’établissement et en reviennent avec un badge. nous montons par l’escalier extérieur, ils ouvrent une porte et nous pénétrons dans une chambre sans charme.

Rapidement ils me déshabillent et une fois que je suis nue ils m’embrassent chacun leur tour, je réponds à leurs baisers et je mêle ma langue à la leur.
Ils me caressent partout frénétiquement tout en se déshabillant.
Je me retrouve à genoux sur le lit avec les fesses au bord de celui-ci.
L’un des deux s’assoit devant moi sur le lit et me présente son sexe que je prends tout de suite dans ma bouche et lui fais une fellation pendant qu’il caresse ma poitrine et agace les tétons.
L’autre est derrière moi et sa queue pénètre dans mon intimité, il me prend en levrette à grands coups de reins et masturbe mon clitoris.
Le plaisir monte en moi mais rapidement je sens le pénis de l’un deux grossir dans mon vagin et agité de tremblements y envoie des jets de sperme, l’autre ne tarde pas à en faire autant dans ma gorge, ne pouvant faire autrement j’avale le liquide.

Ils échangent leur place, nouvelle fellation pendant qu’une queue défonce mon intimité. Ils torturent mes tétons et mon clitoris, le plaisir que je ressens devient plus fort et prise de spasmes je jouis pendant que de la cyprine sort de mon vagin.
Je reprends la fellation que j’avais arrêtée le temps de ma jouissance. La queue qui occupe ma chatte n’a pas arrêté ses va-et-vient, elle enfle et est agitée par des soubresauts puis arrose mon intimité.
J’accélère la fellation et quelques minutes plus tard du sperme frappe le fond de ma gorge. J’avale de nouveau la semence.

Ils se couchent sur le lit, je me mets à genoux entre eux et je masturbe leur pénis, quand le premier rebande je suce un peu.
Couchée sur le dos celui que j’ai remis en forme s’allonge sur moi et me pénètre, je remue en même temps que lui tout en masturbant la queue de son compère qui finit par rebander.
Cela se complique pour moi car ils se relaient en évitant d’éjaculer, les coups de boutoirs dans mon intimité font monter le plaisir dans mon ventre, je ne peux plus me retenir et je jouis avant que l’un se décide à se soulager dans ma chatte, ensuite c’est au pour de l’autre d’arroser lui aussi mon vagin.
Le temps m’a paru très long avant qu’ils finissent par se soulager dans ma chatte mais la quantité de sperme qui coule de leur verge est nettement moins importante lors de cette dernière éjaculation.
Ensuite c’est direction la salle de bain.
Nous nous rhabillons et quittons l’hôtel.
Nous remontons en voiture, ils m’amènent à l’entrée de l’autoroute et je lève de nouveau le pouce.

Je ne fais pas de stop bien longtemps, une auto s’arrête à ma hauteur, le conducteur rentre dans la banlieue Parisienne mais il n’est pas très chaud pour m’amener jusqu’à une porte dans Paris car j’envisage de prendre le métro.
Je prends mon air de salope, je lui dis que je serais très gentille avec lui et que je le récompenserais s’il consent à me déposer là ou je veux.
Il accepte, ouvre la portière avant droite et je monte.
En route il parle beaucoup de tout et de rien et lance quelques allusions concernant le sexe.
Je finis par lui répondre que les hommes ont toujours une arrière pensée quand ils prennent une femme en stop mais que si je n’étais pas consciente de ce qui allait se passer je n’en ferais pas.
Arrivés du côté de Fontainebleau il sort de l’autoroute et s’engage dans un chemin en forêt et stoppe.
<<à mon avis tu désires quelque chose de ma part>>.
<>.
<>.
<>.

Je déboutonne son pantalon et descend le zip, il se soulève pour que je descende le pantalon et le slip.
Une belle queue se dresse, je la caresse et la masturbe un peu.
Je me penche et l’introduis dans ma bouche puis lui fais une fellation. Mon nez vient toucher son pubis. Je m’active et ma bouche fais des va-et-vient rapides sur sa verge. Je n’attends pas longtemps avant qu’il ne se crispe, son pénis grossit encore et pris de tremblements il déverse sa semence dans ma gorge. J’ouvre la portière et recrache le sperme.
Nous sortons de l’auto, il dénude mes seins en baissant ma robe et mon soutien-gorge puis caresse ma poitrine,j’enlève ma culotte, il retrousse ma robe et caresse mon sexe. Couchée le dos contre le capot et les jambes écartées sa verge pénètre ma chatte qu’il défonce à grands coups de reins tout en triturant mes tétons. Il ne met pas trop longtemps avant d’éjaculer en moi.
Il n’est pas satisfait et me retourne, j’ai les seins collés au capot, il me prend en levrette et pilonne longtemps mon vagin ses mains agrippées à mes hanches, je mouille et le plaisir monte sans que j’arrive à l’orgasme puis il arrose encore mon ventre.
Nous nous essuyons avec des kleenex et j’en place dans ma culotte car le sperme va couler de mon vagin.Nous rajustons notre tenue.
Il reprend la route et m’amène jusqu’à une station de métro à la périphérie de paris.

Vue l’heure bien avancée je n’ai pas le temps de flâner si je ne veux pas être obligée de passer la nuit à Paris.
j’achète un ticket et en métro je vais à la gare du nord ou j’achète un sandwich et une boisson puis je prends un des derniers trains afin de regagner mon domicile ou j’arrive très tard.

Avec le recul je sais que j’étais inconsciente et ne mesurais pas le danger encouru.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire