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La vengeance de Lola

La vengeance de Lola



Ce soir-là, je suis passé à l’improviste chez mon pote Fred pour lui rendre des DVD. J’ai sonné à sa porte, mais ce n’est pas lui qui a ouvert, c’est sa copine Lola. J’ai tout de suite vu qu’elle n’avait pas la grande forme.
On s’est fait la bise et elle m’a dit :
« Fred n’est pas là et il risque de rentrer tard. »
« OK. Je passais dans le quartier. Je venais juste lui rendre des films et éventuellement lui en chiper d’autres. »
« Entre. »
Je suis entré et on est allé vers le salon. La télé était allumée, mais le son était très faible. Il y avait un verre de vin presque vide sur la table basse.
« Ça va ? ai-je demandé à Lola. »
Elle a dit :
« Bof… Tu veux boire quelque chose ? »
« Je ne veux pas te déranger. »
« Tu ne me déranges pas. Du vin rouge, ça te va ? »
J’ai hoché la tête :
« Oui, parfait. Je jette un œil dans les DVD. Je ne m’attarderai pas. »
Elle est partie vers la cuisine chercher un verre et je me suis mis à fouiller dans les centaines de films que Fred possédait. Je le connaissais depuis la fac, mais c’était souvent lui qui venait chez moi. Lola était un peu spéciale, assez froide et toujours stricte sur elle. Les soirées en sa présence n’étaient jamais très drôles. Je ne la connaissais pas si bien que ça, en fin de compte.

Elle revint dans le salon avec un verre et je suivis ses gestes du coin de l’œil. Elle portait des collants noirs, une jupe noire qui lui arrivait à mi-cuisses et un petit chemisier gris foncé en soie. Elle n’était pas très grande, mais son physique était agréable, proportionné. Elle a rempli mon verre.
« Il n’y a rien de grave ? ai-je demandé. »
Elle a soupiré en se rasseyant dans le canapé, devant son verre. Elle a pris une gorgée de vin et répondu :
« Des soucis avec Fred. »
« OK… Je ne veux pas être indiscret. »
« Oh, a-t-elle fait, je suppose qu’il t’en parlera quand tu le verras. »
Je n’ai rien dit. Je suis revenu aux rangées de DVD. J’en ai choisi un premier, puis un deuxième. En général, j’en prenais trois ou quatre et je les restituais à Fred la semaine suivante, quand il venait chez moi.
J’en ai sélectionné un troisième, puis je me suis approché de la table.
J’ai pris une gorgée de vin et Lola m’a dit :
« Ne reste pas debout. »
En disant ça, elle avait posé une main à plat sur le canapé, m’invitant à m’asseoir à sa droite.
J’ai hésité, puis je me suis assis à cinquante centimètres d’elle.
Elle a repris son verre et dit :
« J’ai surpris Fred avec une fille. »
J’ai répondu :
« Mince… »
« Ici, dans le canapé, a-t-elle ajouté. J’avais des petits soupçons, et ce jour-là j’ai fait en sorte de revenir du boulot beaucoup plus tôt que prévu. Je suis entrée sans faire de bruit et je les ai surpris. »
Je n’ai rien dit. J’étais très embarrassé, et aussi très étonné qu’elle me raconte tout ça. On discutait rarement ensemble, Lola et moi. C’était la nana d’un pote, mais on n’était pas vraiment du même monde.
Elle a continué :
« Ils étaient carrément en train de s’envoyer en l’air, putain… »
Elle a vidé son verre et l’a rempli aussitôt.
« Tu la connais ? ai-je demandé. »
Elle a hoché la tête :
« C’est une collègue à lui. Elle est déjà venue dîner chez nous avec son mec, cette salope. Carole, elle s’appelle. »
Je ne voyais pas qui c’était, et Fred ne m’avait pas parlé de cette histoire. J’ai supposé que c’était récent, ou qu’il avait souhaité garder ça pour lui.
« L’enfoiré… a dit Lola. »
J’ai répondu bêtement :
« Je suis désolé. »
Elle n’a rien dit. Elle fixait son verre des yeux. Elle le faisait tourner entre ses doigts. Elle avait un très léger décolleté qui révélait tout juste la naissance de ses seins qui devaient être volumineux, mais pas énormes.
Je n’avais jamais fantasmé sur Lola. Non pas parce que c’était la nana d’un pote, mais parce qu’elle m’avait toujours refroidi. C’était ainsi. Et Fred ne faisait jamais allusion à leur vie sexuelle.
Puis elle s’est tournée vers moi et m’a dit :
« Tu accepterais de me toucher ? »
J’ai cru avoir mal entendu :
« Je te demande pardon ? »
Elle a répété :
« Est-ce que tu accepterais de me toucher ? Je comprendrais que tu ne veuilles pas, puisque Fred est ton pote. Mais si tu acceptes, je te jure que ça restera entre nous. J’ai besoin de me venger. J’aurai l’esprit plus léger. »
Je me suis raclé la gorge et j’ai vidé mon verre d’un trait.
Puis j’ai dit :
« C’est très embarrassant, Lola. »
« Je sais. Excuse-moi de te demander ça. Tu dois te dire que je suis une salope. »
« Je n’ai pas dit ça. »
« Ce serait normal que tu le penses, a-t-elle dit en me regardant toujours dans les yeux. Je comprendrais même que tu me le dises. Traite-moi de salope et touche-moi, si tu as envie. »
Elle a porté son verre à sa bouche et j’ai laissé mon regard dévaler son corps. Je voyais bien ce qu’elle avait en tête, mais c’était délicat. Néanmoins, les paroles qu’elle venait de prononcer venaient de faire basculer quelque chose en moi : je m’étais mis à bander. Je n’ai pas bougé tout de suite. Je l’ai laissée poursuivre.
Elle a dit :
« Quand tu as sonné à la porte, j’étais sur le point de sortir. Si tu ne veux pas me toucher, c’est ce que je ferai. Dès que tu seras parti, j’irai dans un bar et j’attendrai qu’un homme vienne m’aborder. Il faut que je me venge, tu comprends ? »
J’ai fait oui de la tête et elle a ajouté :
« Je ne vois pas pourquoi je m’interdirais d’être salope, puisque Fred est un salaud. J’ai même étudié ma tenue. J’ai mis des bas, et je ne porte ni soutien-gorge, ni culotte. Si ce n’est pas toi qui en profites, ce sera un autre homme, dans un bar. Décide-toi, s’il te plait. »
Je bandais vraiment fort. Je n’avais jamais désiré cette nana, mais le fait qu’elle me propose de la toucher changeait tout.
J’ai dit :
« Qu’est-ce que tu veux, au juste ? »
« C’est toi qui décides, a-t-elle dit en prenant la bouteille. Tu peux me demander tout ce que tu veux. Tout ce qui te passe par la tête. Je te sers un autre verre, ou pas ? »
J’ai inspiré en la regardant. Puis soupiré :
« Je veux bien un autre verre. »
Elle a rempli les deux, puis s’est tournée vers moi en disant :
« Tout ce qui te passe par la tête. N’hésite pas. Je suis ta salope. »
Alors je me suis décidé.
Je lui ai dit :
« Enlève ta jupe. »
Elle n’a pas hésité une seconde. Elle s’est mise debout, a défait un petit bouton et fait glisser une fermeture située à la taille. La jupe est tombée sur le sol et je me suis retrouvé nez à nez avec la chatte de la nana de mon pote. Elle était épilée. Un mince de trait de poils très court juste au-dessus de lèvres assez volumineuses.
Elle a dit :
« Continue. »
J’ai dit :
« Tourne-toi. »
Elle a pivoté et j’ai cru tomber dans les pommes. Son cul était superbe. J’ai aussitôt approché un doigt de la jonction de ses fesses et je lui ai touché l’anus. Il était un peu moite. Avec mon autre main, j’ai libéré ma queue et j’ai dit à Lola :
« Enlève ta chemise. Ensuite, tu te mettras accroupie et tu me suceras. »
Elle a obéi. La chemise a rejoint la jupe sur le sol, puis Lola s’est tournée vers moi et mise accroupie. Elle a saisi ma bite et donné des petits coups de langue sur la fente de mon gland. Je lui ai d’abord caressé le haut du crâne, puis je me suis penché pour prendre un de ses nichons à pleine main.
J’ai chuchoté :
« Espèce de grosse salope. »
Et elle a enfourné ma queue dans sa bouche. Elle m’a sucé ainsi pendant une longue minute, et je lui ai dit :
« Je n’ai pas de capote. »
Elle a levé la tête vers moi et répondu :
« Je m’en fiche. »

Je l’ai d’abord prise par devant, dans le canapé. Sa moule était trempée et mon gland n’eut aucune peine à s’enfoncer dedans. Sans cesser de lui tripoter les nichons, je me suis mis à faire des va-et-vient dans sa chatte. Lola se caressait le clitoris et nos regards se croisaient par moments, brièvement. Elle n’avait qu’une seule chose en tête : baiser. Si ça n’avait pas été avec moi, ç’aurait été avec le premier venu, dans un bar. Et je pense que je me serais mordu les doigts d’avoir refusé sa proposition.

Ensuite, je lui ai demandé de se tourner et de se mettre à quatre pattes au bord du canapé, de bien écarter ses cuisses et de continuer à se branler. J’ai enfilé sa chatte tout en collant mon ventre sur son dos afin de tripoter encore ses nichons qui se balançaient dans les secousses.
Mais je n’ai pas eu le temps de l’enculer, car j’ai senti que je devais éjaculer. Alors j’ai enfoncé ma queue le plus profond possible dans sa chatte, pour bien la faire gonfler, puis Lola a joui.
Je me suis retiré juste à temps. J’ai collé mon gland contre son anus, puis je me suis mis à gicler. Les coulées se sont répandues jusqu’à la chatte de Lola qui les a étalées, puis je me suis redressé pour la regarder faire.
Pour finir, elle m’a sucé délicatement, en me regardant dans les yeux.

Puis on s’est rhabillé.
On a fini nos verres et j’ai pris les DVD.
Avant de partir, j’ai dit à Lola :
« Comment tu te sens ? »
« Soulagée, m’a-t-elle dit. Je te remercie. »
« Tu me promets que ça reste entre nous ? »
Elle a secoué la tête énergiquement :
« Oui. Et je te demande aussi qu’on n’en reparle jamais ensemble. Ce qu’on vient de faire n’a pas eu lieu, et on ne le refera jamais. »
« OK. »
Je suis reparti.

A mon retour chez moi, j’ai envoyé un SMS à Fred, qui disait :
« Je suis passé chez toi en coup de vent pour te prendre des films. Lola était là. »
Il m’a aussitôt répondu :
« Tu as bien fait. Bonne soirée l’ami. »

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