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Le bonheur, simple comme un coup de fil

Le bonheur, simple comme un coup de fil



Une version « allégée » de cette histoire a été publiée dans le numéro d’Union du mois de mai, accompagnée de photos de nous deux. Nous ne pouvons que vous encourager à vous en procurer un exemplaire, tant qu’il en est encore temps… Nous tenions néanmoins à vous faire profiter de la version « intégrale » de ce récit 100% authentique… En espérant qu’il vous plaise.

Ce jour-là, une fois n’est pas coutume, je rentre à la maison plus tôt qu’elle. Afin de la surprendre, je décide de l’attendre nu sur le lit. J’att**** le dernier Union et commence à le feuilleter. Un récit attire mon attention, il s’avère très excitant. Mon sexe se gorge de désir, je commence à me masturber de ma main libre, cherchant plus à maintenir mon érection qu’à me faire jouir. Je me préserve pour ma chérie. C’est le moment que choisit mon portable pour sonner. Frustré, je laisse tomber la revue et je décroche. C’est Julien, un ami de longue date, et très bavard. Je sais que je vais en avoir pour une heure. Le temps passe…

Soudain, j’entends la porte d’entrée s’ouvrir. Sophie est enfin là. Je l’entends se déchausser… et je prends conscience que je suis à poil sur le lit, ma queue ramollie reposant contre ma cuisse, toujours pendu au téléphone. Pas le temps de me rhabiller, je reste immobile, allongé sur la couette. Ma chérie fait alors irruption dans la chambre, elle s’arrête quelques secondes sur le pas de la porte, interdite. Puis, elle pose son sac en soupirant, et reporte son attention sur moi en secouant la tête (qu’est-ce que c’est que ce travail ?). Piteux, je hausse les épaules, comme pour m’excuser que la surprise soit tombée à l’eau.

Elle me fait alors signe de garder le silence, puis elle baisse sa jupe et ses collants, emportant négligemment sa culotte avec… Elle est à présent à moitié nue devant moi, portant encore son haut et sa petite veste, mais me laissant admirer ses jambes et son sexe à l’air. Elle grimpe sur le lit, à quatre pattes, et s’avance lentement vers moi. Dans le reflet de la glace posée contre le mur, je contemple ses belles fesses rebondies et la naissance de son minou. Elle me fait de l’effet, certes, mais j’ai du mal à regagner en « forme » tant la situation est délicate. Je suis toujours en ligne, et mon pote semble ne pas vouloir s’arrêter de parler.

Elle est suffisamment proche maintenant pour att****r mon sexe. Elle le prend entre ses doigts, constate son manque de vigueur, fait la moue, puis se penche pour le mettre dans sa bouche, le gobant en entier. Je frissonne à ce contact et tente de masquer mon trouble à mon interlocuteur. Je distingue dans le reflet du miroir les doigts de ma chérie s’activer sur sa petite chatte, je n’en reviens pas. Tout en se caressant, elle aspire ma bite entre ses lèvres, faisant jouer sa langue sur toute sa surface, et ce petit manège porte ses fruits: me voilà en train de bien grossir entre ses joues. Elle retire ma queue bien enduite de salive de sa bouche, me gratifie d’une œillade satisfaite (ah, je préfère ça!) et se met à me branler.

Je me mords l’intérieur de la lèvre pour ne pas gémir. Julien s’étonne que je ne réponde plus que par des phrases sibyllines, voire de simples « oui » ou « non ». Il me demande si tout va bien. Les yeux rivés sur les doigts de ma chérie astiquant ma queue bandée, je balbutie que oui, puis je m’apprête à prendre congé de lui, mais Sophie pose sa main libre sur la mienne, bloquant avec autorité le portable contre mon oreille. Elle m’encourage du regard (continue, tu ne seras pas déçu), alors je m’exécute, relançant mon pote sur son sujet de prédilection : son ex. Là, je sais que j’en ai pour la nuit. Ma puce sourit, c’est exactement ce qu’elle voulait.

Alors que Julien se lance dans une de ses énièmes complaintes, Sophie se hisse au-dessus de moi, ses doigts serrant la base de ma verge avec force. Elle place son minou quelques centimètres au-dessus de mon gland. De là où je suis, mes yeux se perdent dans son décolleté. Ma main libre se pose sur ses fesses, cherchant à précipiter le contact entre nos deux sexes. Elle maintient sa position, ses sourcils froncés m’indiquant qu’elle tient à garder le contrôle des opérations. Elle s’abaisse alors de quelques centimètres, suffisamment pour que mon gland soit caressé par intermittence par ses petites lèvres déployées. Elle me fait sentir sa chatte pour mieux m’en priver la seconde suivante, elle sait que cela me rend fou.

Je ne sais plus où je suis. Mon pote continue sa litanie pleurnicharde, et je ponctue ses phrases par des « hum », des « et ouais » et des « ah ça » pas convaincants pour un sou. Flottant au-dessus de moi, Sophie poursuit sa séance de torture quelques minutes encore, puis, me posant un doigt sur la bouche, elle s’empale sur ma bite, qui disparaît en un instant entre ses cuisses. J’en reste baba. Elle doit être sacrément excitée pour que je fonde ainsi en elle. La voilà posée sur moi, ma queue bien au chaud dans son ventre, ses cuisses nues de part et d’autre de mes jambes, son haut et sa veste toujours en place, et elle me sourit. Et je suis toujours au téléphone. Et, à son regard, il vaut mieux que je ne raccroche pas.

Je m’attends à ce qu’elle entame des va-et-vient sur ma bite gorgée de désir, mais elle reste immobile, bien plantée sur moi, et je sens ses muscles se contracter autour de ma verge. La coquine, elle sait que j’adore ça. Ses mains se posent sur mes épaules, elle ferme les yeux, se concentre, puis commence à masser ma queue de l’intérieur. D’habitude, elle ne me le fait que pendant quelques secondes, au milieu d’une pénétration normale, mais là, elle semble vouloir aller plus loin. Je sens ses cuisses se tendre, elle contracte son visage et rejette petit à petit sa tête en arrière. Elle contrôle sa respiration pour ne pas que mon pote entende quoi que ce soit, mais moi, j’ai bien du mal à masquer mon souffle court.

Et ça dure… Deux minutes, cinq minutes. Ses doigts se crispent sur mes épaules, son corps entier se prépare à l’explosion. Elle me malaxe avec sa chatte, elle me fait me dresser avec encore plus de vigueur, je sens des jets de sa mouille venir frapper la longueur de ma verge, je suis aux anges. Ses lèvres soyeuses humectent mon pubis jusqu’à mes couilles, je sens l’odeur de son nectar taquiner à mes narines. Soudain, je la sens partir. Elle fuit littéralement sur mon entrejambe, ses muscles palpitent, ma queue se retrouve comprimée dans son écrin humide et bouillant, et voilà qu’elle jouit, se mordant les lèvres, respirant fort par le nez, ses ongles plantés dans ma peau. Je la regarde hypnotisée, me rendant compte (sans vraiment m’en soucier) que je n’écoute quasiment plus rien de ce que me dit Julien.

Tout son corps finit par se détendre. Sa poitrine se soulève par à-coups, des gouttes de sueur perlent à l’intérieur de son décolleté. Elle rouvre les yeux et se fend d’un large sourire. Je suis sur le point de jouir à mon tour. Ce bain chaud et poisseux dans lequel se trouve ma queue stimule tellement mes sens que je jurerais sentir mon sperme affluer le long de ma verge, comme si Sophie était en train de me « traire » de l’intérieur. J’éjacule en elle, enfin. Ma semence s’écoule en de longs jets épais et chauds dans son ventre, nous frissonnons de concert. Saisi de spasmes, je tente désespérément de garder le silence. Ma chérie me porte assistance, apposant délicatement sa main sur ma bouche pour masquer ma respiration rauque, me souriant d’un air espiègle et bienveillant.

La voix de mon pote nous parvient toujours par l’écouteur. Si seulement il savait ce qu’il vient de se passer. Une fois les effets de mon orgasme dissipés, Sophie dépose un bisou sur mon front, me caresse la joue, puis se retire, laissant s’écouler mon sperme chaud le long de ma queue encore raide. Mon pubis est entièrement couvert de nos jus mêlés. Elle s’écarte, baisse les yeux vers son entrejambe, récupère une épaisse goutte de sperme qui perle à l’entrée de son minou, la porte à ses lèvres et l’avale, malicieuse. Elle reporte son attention sur moi, constate l’étendue des dégâts, hausse les épaules (débrouille-toi, maintenant) et descend du lit. En gardant les cuisses serrées, elle enlève le reste de ses vêtements, les jette négligemment sur le sol et sort de la pièce. Je reste interdit, quelques secondes, puis je finis par me rendre compte que mon pote s’inquiète de mon silence par de grands « allô ? ».

Au loin, j’entends l’eau se mettre à couler dans la salle de bains. Je tente de reprendre mes esprits, prétextant une perte de réseau pour expliquer mon soudain détachement. Quelques secondes plus tard, Sophie repasse la tête par la porte, nue comme un ver, et lance d’un air insolent : « C’est qui ? » Moi, amusé : « C’est Julien. » Elle, toujours goguenarde : « Ben, tu lui passes le bonjour, alors ! » Elle tourne les talons et disparaît. Je l’imagine s’immerger dans son bain, mon sperme s’écoulant encore de son minou rose et odorant… Moi, sous le charme : « Tu as le bonjour de Sophie… » Julien : « C’est gentil, tu lui renvoies… Elle va bien ? » Moi, après un temps : « Oui, elle va très bien… » Je souris intérieurement, échange deux trois autres banalités et mets fin à mon appel.

Je reste encore quelques minutes prostré, mon bas-ventre couvert de son nectar et de mon sperme mélangés, et je remercie ce qui peut bien se trouver là-haut de m’avoir donné une femme aussi imprévisible et passionnée… Je suis un homme très chanceux. Une main posée sur mon entrejambe poisseux, je m’extirpe du lit, gagne la salle de bains et découvre ma puce allongée dans la baignoire, ses seins aux tétons rosés émergeant de sous la mousse. Elle pose ses yeux sur moi. Est-ce une lueur lubrique que je devine dans son regard ? Ou est-ce le fait qu’elle se mordille la lèvre ? Je lui souris et ferme la porte derrière moi.

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