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Le journal de Maîtresse Ludivine … (Autobi

Le journal de Maîtresse Ludivine … (Autobi



Quelques lignes ici et là écrites au gré de l’actualité brûlante de mes envies et de mes pensées …
Un instantané de notre vie dont la spontanéité des mots et des phrases pallie certaines largesses prisent dans la qualité de l’écriture …
En gros c’est un journal intime … (sourit)

27 avril 2012 : Un seul être vous manque …

Southbeach – 1h36 : Lyssa mon amour tu me manques. Cela va faire quatre jours que nous sommes en Floride. Enfin quand je dis nous, je devrais plutôt dire « je ».
Alyssa est allée voir sa famille à Raleigh en Caroline du Nord tandis que je vagabondais dans tout le sud de la Floride pour un projet professionnel aussi imprévu que passionnant. Depuis que nous sommes ensembles nous ne sommes jamais restées aussi longtemps éloignées l’une de l’autre et, je dois l’avouer, je ne pensais pas que cela allait être aussi dur. Il va falloir que je m’y habitue un minimum car si mon projet prend forme de nombreux voyages m’attendent et Lyssa ne pourra certainement pas me suivre tout le temps.
De retour depuis hier dans notre futur chez nous, l’immense maison encore encombrée de quelques travaux me semble terriblement vide. Il va falloir que j’attende samedi pour que ma délicieuse poupée asiatique vienne combler mes manques. Samedi c’est demain mais ça me paraît tellement loin que je n’arrive pas à y mettre cette notion de temps, demain …
En attendant je me contente de ce que j’ai, c’est-à-dire dix doigts et de l’imagination à revendre. Il a fallu que j’attende d’avoir 25 ans pour découvrir les joies du sexe par téléphone. Chaque soir depuis que nous sommes là, chacune dans nos lits respectifs séparés par des centaines de kilomètres nous nous faisons jouir manuellement juste avec nos mots, nos respirations et nos gémissements. Peut-on appeler ça faire l’amour ? L’état de mon entrecuisses au moment où j’écris les premières lignes de ce journal me fait dire que oui. Je viens juste de raccrocher d’une de nos séances de « phone sex » endiablée et mes doigts encore luisants de mouille courent sur le clavier de mon ordinateur pour vous faire partager ce délicieux moment.
Il va falloir que je m’y habitue un minimum car si mon projet prend forme de nombreux voyages Je vais pouvoir aller me coucher un peu plus sereinement, libérée en partie du nœud qui me torturait le bas ventre depuis que je suis rentrée du resto. Vivement Samedi … Enfin vivement que demain se transforme en aujourd’hui !

27 avril 2012 : Une maison en travaux …

Southbeach – 12h30 : Je viens de recevoir une super nouvelle en concrétisant un projet professionnel qui va m’emmener aux quatre coins du monde (cf. ma page facebook).
Seule à la maison alors que Lyssa ne rentre que demain, je pensais me faire un peu plaisir en contemplant les ouvriers qui s’affairent dans le jardin pour faire les quelques travaux nécessaires avant notre emménagement prévu courant août. Le soleil est haut, la chaleur est forte et l’humidité ambiante est étouffante. De quoi mater par la fenêtre de beaux corps d’hommes musclés, bronzés et trempés de sueur me direz-vous ? Eh ben non … Je me retrouve avec un troupeau de yéti aux abdos made in Budweiser. La poisse !!! A croire qu’Alyssa les a choisis exprès pour m’éviter toutes formes de tentations (sourit).
Tant pis. Moi qui voulais faire mumuse à les faire baver je vais rester bien gentiment dans la chambre pour me faire du bien.
J’espère que Carole, notre soumise, va répondre. Adepte des roleplay, notamment sur Second Life, elle est très douée pour faire jouir à distance. En même temps elle a plutôt intérêt à être disponible de suite sinon la punition à notre retour sera à la hauteur de ma frustration.
Bon aller hop … Je ferme la porte à clé (je n’ai pas envie d’une première expérience zoophile avec un des ours qui montent la barrière autour de la piscine), je baisse ma culotte, je me connecte et j’envoi un texto à ma salope de soumise.
Et après je vais profiter de l’après-midi pour aller faire du surf en attendant la fiesta prévue ce soir avec les potes … La vie est dure ! (sourit).

28 avril 2012 : La future punition de Carole …

Southbeach – 3h31 : Depuis deux jours, impossible de croiser Carole sur msn ou sur Second Life. Elle répond bien à mes textos mais n’est jamais disponible au moment « m » pour me satisfaire.
La punition à notre retour devra être à la hauteur de son inefficacité. Une idée m’a traversée l’esprit alors que, comme raconté dans mon précédent post, je me masturbai sur mon lit. Idée à priori brillante vu l’enthousiasme qu’elle a suscité auprès de Lyssa à l’occasion d’une deuxième séance de branlette de minou en rentrant de mon après-midi de surf (les joies du sexe par téléphone … En attendant mieux (sourit)).
La punition aura lieu le 6 mai au soir. Cette petite salope de soumise recevra autant de coups que Sarko obtiendra de pourcentage au deuxième tour et c’est vous chers amis qui allez décider de l’objet qui servira à administrer ce châtiment.
Laissez-nous vos commentaires en choisissant entre la ceinture en cuir, la cravache, la baguette en bambou, le martinet ou le fouet … J’ai toujours dit de toutes manières : « Voter Sarko a fait mal au cul ! »
Sur ce je redescends au bord de la piscine. Je viens d’entendre hurler qu’on m’avait resservit un mojito … J’ARRRRIIIIIVVVEEE !!! (rit)

P.S. : Plus que quelques heures avant le retour de Lyssa … J’en peux plus !

29 avril 2012 : Mon amour est de retour …

Southbeach – 2h43 : Alyssa est rentrée en début d’après-midi et non je ne lui ai pas sauté dessus à peine la porte franchie. J’ai attendu … Un peu (sourit).
En fait c’est elle qui a lancé les « hostilités ». Moi, toute sage comme une image, je pris des nouvelles de sa famille et lui racontai ma semaine avec un peu plus de détails que lors de nos discussions téléphoniques. De Naples aux Everglades en passant par Miami et Key West, je lui détaillai mon périple photographique pour conclure par l’aboutissement de notre projet de guides touristiques à développer.

– « J’ai une petite idée sur la manière de te féliciter … » Me lança-t-elle.

Joignant le geste à la parole mon maillot de bain deux pièces ne fut rapidement plus qu’un souvenir jonchant le bord de la piscine aux pieds d’un des transats. Pour les câlins nous verrions plus tard et c’est sans préliminaires que sa langue piercée trouva ma fente déjà largement humide de désir. Faut dire que je me suis mise à mouiller dès que j’ai entendu la voiture franchir le portail.
Lyssa me dévora littéralement la chatte tout en se déshabillant elle-même. Je ne mis pas longtemps à jouir tellement mon envie de sexe et mon envie de retrouver les assauts de mon amour étaient grandes.
Le premier orgasme d’une longue, très longue série, lui inonda la bouche. Des jets de mouille s’écrasèrent sur sa langue et sur son visage. Je ne contrôle pas mes éjaculations, cela m’arrive de temps en temps sans que je sache vraiment pourquoi. Le manque devait y être pour beaucoup cette fois-ci.
Lyssa n’était pas peu fière d’en avoir provoqué une nouvelle et nous remîmes immédiatement le couvert. Elle vint sur moi, tête bèche, en m’offrant sa divine croupe. Nous nous fîmes jouir à plusieurs reprises mutuellement sans changer de position, en 69, jusqu’à ce que nos chattes respectives réclament une pause.
Nous plongeâmes alors dans la piscine et laissâmes enfin la place à des retrouvailles d’une infinie tendresse. Baisers passionnés, caresses langoureuses, mots d’amour enflammés réchauffèrent nos cœurs et nos âmes le temps que nos corps reprennent leur souffle.
La suite de la journée ne fut qu’une alternance d’ébats sexuels frénétiques et de câlins tous plus doux les uns que les autres. Nos joujoux étant, cette fois-ci, restés en France notre créativité fut mise à l’épreuve pour combler le moindre de nos désirs. Des bouteilles de bière vides remplacèrent au mieux nos habituels godes et quand cela ne suffisait pas ce sont nos mains entières qui remplirent nos vagins.
Au moment où j’écris ces quelques mots Lyssa vient de s’endormir. Nous venons juste de faire l’amour pour la neuvième fois depuis son retour. Ne me demandez pas le nombre d’orgasmes, j’ai rapidement arrêté de compter.
Je vais me glisser sous les draps et la rejoindre aux pays des songes en la prenant tendrement dans mes bras. Je l’aime tellement cette fille. Je suis amoureuse comme jamais je ne l’ai été auparavant et je pèse mes mots. Chaque jour est un rêve éveillé à ses côtés ou dans son cœur lorsque nos corps sont séparés. Wahou … J’en ai une larme de bonheur qui perle au coin de l’œil !

2 mai 2012 : Welcome back …

Levallois Perret – 9h50 : De retour de Floride. Le voyage est toujours plus long au retour c’est bizarre non ? A moins que ce soit psychologique (sourit).
Nous étions quand même impatiente de retrouver notre soumise. J’avoue que c’est une situation très excitante d’avoir notre petite chienne à domicile. En plus ça nous dispense des corvées ce qui n’est pas non plus pour nous déplaire.
Enfin bref, Carole nous attendait bien sagement agenouillée dans l’entrée lorsque nous sommes rentrées. Entièrement nue comme nous lui avions ordonné de rester durant notre absence elle ne portait que son collier de soumise. Notre retour lui arracha un large sourire que nous remarquâmes immédiatement.

– « Oh mais c’est qu’elle à l’air heureuse de nous revoir dis donc ! » Dis-je en regardant Lyssa.
– « Elle a intérêt quand même. » Répondit mon ange en déposant un baiser sur le front de Carole.

Je fis de même avant de lui ordonner d’un claquement de doigt de porter nos valises à l’intérieur et de fermer la porte. Nous nous retrouvâmes ensuite au salon. Alyssa et moi avachies sur le canapé, épuisées par ce voyage.

– « Carole … Donne moi un coca. Tu veux quelque chose mamour ? »
– « Un jus d’orange bien frais. » Me rétorqua Lyssa.
– « Et un jus d’orange bien frais. T’as entendu ? »
– « Bien Maîtresse Ludivine … » Obtempéra notre soumise déjà dans la cuisine.

Nous passâmes une bonne heure à siroter nos boissons tout en discutant. Notre chienne à nos pieds nous prîmes de ses nouvelles tout en lui racontant notre semaine.

– « J’ai réceptionné deux colis à votre nom Maîtresse Ludivine. » M’informa Carole.
– « Bien ! Certainement les tenues qu’on a commandées pour toi. Nous verrons ça en temps et en heure ma chérie. » Lui répondis-je.
– « Bien Maîtresse. Je suis impatiente d’être habillée selon vos désirs. »
– « T’as discuté un peu avec Luca sinon ? » Me renseignai-je.
– « Pas beaucoup Maîtresse Ludivine. Je ne l’ai croisé que rarement. »
– « Il a dû partir pour le pont du 1er mai … Tu lui as donné quand même un peu de plaisir ? »
– « Non Maîtresse Ludivine. Il était souvent pressé lorsque nous nous croisions. »
– « Tu ne t’es pas branlée de la semaine alors ? » S’amusa à demandé Alyssa.
– « Non Maîtresse Alyssa … »
– « Presque deux semaines sans orgasme … Tu dois être une pile électrique. » Renchéris-je en souriant.

Carole se mit à rougir en baissant la tête.

– « On va aller dormir un peu. On est crevées. On verra ce qu’on peut faire pour toi plus tard si t’as été sage. »
– « Bien Maîtresse Alyssa … Je vous en remercie d’avance. »
– « Pendant ce temps tu vides nos valises et tu fais tourner une machine avec nos affaires sales. »
– « Bien Maîtresse Alyssa. Je vais m’en occuper. »

Nous montâmes dans la chambre et après avoir mit le réveil nous nous écroulâmes comme des masses sans demander nos restes. Six heures plus tard nous émergeâmes. Alyssa et moi fîmes l’amour tendrement encore à moitié enveloppées dans les limbes du sommeil, et c’est les yeux brillants de plaisir que nous descendîmes au salon pour voir notre soumise attelée à faire un bri de ménage.
Alyssa se saisit alors de la laisse et sans un mot alla l’attacher au collier de Carole. Elle la fit s’agenouiller et l’attira sur la terrasse qu’elle rejoignit à quatre pattes.

– « Ouvre la bouche salope ! J’ai envie de faire pipi … » Ordonna Lyssa tout en écartant de sa main libre l’entrejambe de sa culotte.
– « Bien Maîtresse Alyssa … » Répondit Carole avant d’obéir.

Sans autre forme de procès mon amour libéra sa vessie qui se vida en un long jet d’urine sur le visage et dans la bouche de notre soumise. Pour ma part je regardai avec délectation cette scène avant que Lyssa, ayant terminé, ne se tourne vers moi.

– « T’as envie poussin ? »
– « Non ça va pour le moment merci mamour. » Lui répondis-je.

Elle ordonna alors à Carole de la lécher, se servant de sa langue comme elle le ferait avec du papier toilette.

– « Nettoie la sol et va te laver après Carole ! »
– « Bien Maîtresse Alyssa … » Répondit notre chienne après avoir lécher la chatte de Lyssa avec application.

Nous passâmes le reste de la journée tranquillement. Nous vérifiâmes avec bonheur que les courses et le ménage avaient été parfaitement fait.
Nous prîmes un malin plaisir à faire croire à Carole que nous allions lui donner du plaisir mais sans jamais franchir le pas. Dans la soirée, alors que nous étions assises sur le canapé en train de regarder Dr House, nous ordonnâmes à Carole de nous masturber pendant la redif d’épisodes que nous avions déjà vus. Lyssa avait la tête posée sur mon épaule tandis que je lui caressais délicatement les cheveux. Nos regards fixés sur l’écran mais les cuisses grandes ouvertes et nos pieds posés sur la table basse nous subissions avec délice les assauts de Carole. Cette dernière, agenouillée devant nous, avait ses doigts fichés dans nos chattes respectives. Je fus la première à sentir le plaisir monter dans mon ventre et laissai ainsi échapper quelques soupirs discrets.

– « Accélère Carole … Ludivine va jouir … »
– « Bien Maîtresse Alyssa … »

Elle se mit alors à branler Lyssa frénétiquement essayant ainsi de déclencher nos orgasmes le plus simultanément possible. Ce fut presque le cas même si du coup mon ange jouit quelques secondes avant moi. Nous nous servîmes de ce prétexte pour faire comprendre à Carole qu’elle allait devoir patienter avant de prendre son pied.
Pour lutter contre les effets du jetlag Lyssa prit un cachet pour dormir avant d’aller se coucher. Pour ma part j’allais sur msn et discutai un moment avec certains d’entre vous en attendant de trouver un sommeil qui allait être long à venir.
J’eu bien envie à un moment de réveiller Carole pour qu’elle me donne mon somnifère préféré mais je restai sage comme une image et allai me coucher à mon tour vers 2h du matin.
Une journée de retour bien banale ma foi … (sourit)

3 mai 2012 : Une nouvelle étape de franchie …

Levallois Perret – 10h50 : Hier ce fut un grand jour pour Carole et pour cette relation si particulière qui s’est tissée entre nous. Même si elle a déjà vu ma fille, cela a été sa première rencontre avec elle en étant à notre service. En sa présence notre soumise doit se comporter comme notre domestique. Je dois pouvoir savoir si je peux compter sur elle. Je veux être sûre qu’elle peut tenir ce rôle sérieusement, en séparant bien ses deux existences : celle se soumise et celle de domestique. C’est le seul rôle crédible qui nous permettrait d’offrir à Carole ce qu’elle souhaite le plus ardemment, c’est-à-dire être à 100 % auprès de nous.
Elle nous a déjà prouvé que les petits incidents de notre première tentative il y a quelques mois n’étaient plus que de vieux souvenirs. Il faut maintenant franchir un nouveau palier. Ce dernier allait être encore plus difficile avec la présence d’Annabelle, ma sœur, qui nous ramenait ma puce après l’avoir gardée durant notre absence. Même si elle se laisse parfois tenter, Babelle n’est pas vraiment une adepte du BDSM surtout quand celui-ci est poussé à l’extrême ce qui est largement le cas entre Carole et nous.
Nous avons eu toute la matinée pour préparer notre soumise à cette échéance et à cette occasion nous ouvrâmes un des colis reçu pour en sortir l’une des tenues que nous avons acheté pour Carole. Robe noir à bretelles avec un joli tablier blanc noué autour de la taille, porte jarretelles et bas associés avec pour finir des chaussures vernies du plus bel effet.

– « Faut que j’aille faire quelques courses mon cœur. » Dis-je à Alyssa.
– « Vas-y poussin. Je m’occupe de Carole. »

Lorsque je revins notre soumise s’était métamorphosée en parfaite soubrette.

– « Je l’ai faite jouir pendant qu’elle était sous la douche histoire qu’elle soit bien concentrée cet après-midi. » M’informa Lyssa.
– « T’as bien fait mamour. En plus elle méritait quand même une petite récompense. »

En attendant l’arrivée d’Annabelle et pendant que Carole préparait la table et faisait la cuisine je me connectai sur msn et sur notre blog pour faire quelques mises à jour. Je fus heureuse de retrouver Luca avec qui je n’avais pas discuté depuis un moment. Je lui racontai notre semaine en développant un peu mon projet professionnel tout en m’amusant à le chauffer un peu.
C’est à 13h que ma sœur arriva avec l’amour de ma vie qui me sauta dans les bras. Bon sa première phrase fut pour demander ce qu’on lui avait ramené comme cadeaux mais ce fut avec un grand sourire alors je ne lui en veux pas (sourit).
Carole très tendue a leur arrivée se révéla tout au long de l’après-midi une très bonne domestique et son entente avec ma fille fut une très bonne surprise. Pour ce qui est d’Annabelle ce fut un peu plus difficile. Son côté féministe extrême eut du mal à comprendre comment une fille pouvait prendre du plaisir à cette condition de soumise. Nous avions prévu avec Lyssa de lui faire profiter des talents les plus évidents de Carole en soirée lorsque ma fille serait couchée mais elle ne put rester.
Je n’ai même pas eu l’occasion de lui faire l’amour. Ca fait un moment qu’on ne s’est pas fait un gros câlin et il va falloir remédier à cela.
Ce n’est qu’en fin de soirée, après le débat, que la situation dériva vers une certaine luxure. Je me connectai à nouveau sur msn et y retrouvai Luca pour partager avec lui une de nos séances. Sur la terrasse, Alyssa et moi étions assises devant la table en osier sur lequel je posai le pc. Carole, toujours habillée, était docilement à nos pieds. Il ne fallu pas longtemps avant que Lyssa fasse redresser notre soumise et lui baisse la culotte à mi-cuisses, un des pêchés mignon de Luca.
Passant alors le clavier à Carole, cette dernière commit une faute lorsqu’Alyssa la déconcentra d’un doigt dans le cul à sec. Le fait d’oublier de nommer le nom d’une de ses Maîtresses en le remplaçant par le mot « elle » est une erreur qui demandait une réparation et c’est l’offensée qui décida bien naturellement du châtiment. Après quelques minutes dans la maison mon ange revint munie d’une pince crocodile et dont la morsure pouvait s’apparenter à celle du saurien. C’est le clitoris de Carole qui subit la punition en se retrouvant enserré entre les dents métalliques de la pince.
Les humiliations et le traitement que subissaient notre soumise excitaient Luca au plus haut point et nous lui fîmes choisir laquelle de nous deux allaient se faire lécher la première. C’est Lyssa qui fut l’élue et qui écarta les cuisses pour accueillir sur sa chatte la langue de Carole. Ne voulant pas être en reste, je déchirai l’entrejambe de mon collant et vint me placer debout au-dessus de notre bouffeuse de chatte. Dos à Alyssa qui termina de mettre mon nylon en lambeaux je me soulageai la vessie. Mon urine coula à flots continus sur la tête de Carole qui n’interrompit pas, heureusement pour elle, son broutage de minou.
Après avoir intervertit nos places et profité pendant quelques minutes à mon tour des faveurs buccales de notre chienne, Alyssa envoya cette dernière chercher deux godes pour nous finir. Mais avant de lui faire exercer ses talents manuels, mon amour fit subir à Carole la deuxième partie de sa punition. Elle la bâillonna pour éviter que ses hurlements de truie ne réveillent ma fille qui dormait à l’étage et après un décompte terriblement pervers, lui arracha d’un coup sec la pince qui pendait à son clitoris. Carole, dans un puissant cri étouffé, ne put résister et s’écroula à genoux sur le sol.
Luca, qui se branlait de plus en plus fort, n’allait pas tarder à jouir et nous voulions partager ce moment avec lui. Avec un gode dans chaque main, c’est notre soumise qui allait nous finir. Debout et penchées en avant sur la table, Lyssa et moi continuâmes à tchater tant bien que mal tandis qu’elle nous ramonait nos chattes avec application.
Mon amour fut la première à jouir, Luca lui emboitant le pas peut de temps après. Je mis pour ma part quelques minutes de plus à atteindre l’orgasme laissant le temps à Lyssa d’emboucher mon sein gauche qui ballotait sous les assauts plus intenses de Carole.
Cette nouvelle délicieuse soirée prit fin vers 3h30 du matin dans un bon bain chaud. Alyssa et moi y fîmes à nouveau l’amour, seules cette fois, tandis que notre domestique nettoyait les traces de nos ébats sur la terrasse.
Une nouvelle étape franchie avec succès pour Carole. Elle est vraiment parfaite. Mais chut … Il ne faut pas lui dire (sourit).

4 mai 2012 : Marquée et humiliée …

Levallois Perret – 13h49 : Le week-end s’annonce torride alors que cet après-midi je vais déposer ma fille chez une de ses copines pour qu’elle aille quelques jours s’oxygéner à la montagne.
Son absence est le signe pour Carole que de parfaite et agréable domestique son statu va se transformer jusqu’au retour de mon bout de chou en celui de défouloir pour Maîtresses perverses.
Evolution commencée dès ce matin d’ailleurs puisqu’avant qu’elle ne parte pour la fac nous l’avons marquée comme il se devait. Avec un marqueur noir spécialement prévu à cet effet, juste avant qu’elle ne s’habille, nous lui avons inscrit sur différentes parties du corps quelques mots pour qu’elle n’oublie pas ce qu’elle est avant tout. Sur le bas ventre avec une flèche orientée sur son sexe « chatte à baiser », sur les fesses « grosse salope » et sur la poitrine « chienne soumise ».
Bien entendu nous avons prit soin Lyssa et moi de lui choisir la tenue parfaitement adéquate. C’est-à-dire une mini-jupe écossaise blanche et noire lui arrivant à mi-cuisses et un débardeur avec un décolleté dont l’ouverture sera sensible au moindre mouvement. Dépourvue de culotte et de soutien gorge nous lui souhaitâmes de manière assez sadique une bonne journée en lui stipulant, s’il en était nécessaire, de garder près d’elle son portable.
Plusieurs fois au cours de la journée nous lui avons ordonné via sms de se baisser les jambes bien tendues où qu’elle se trouve au moment de notre ordre ou encore de faire un tour rapide sur elle-même afin de faire virevolter sa jupe.
Durant sa pause déj qu’elle passa dans un fast food proche de son université je l’appelai et l’obligeai à manger tout en gardant sous la table un doigt dans sa chatte. Je voulais la savoir trempée, prête à jouir mais sans lui permettre d’aller au bout. Elle me demanda bien la permission d’aller aux toilettes en sentant un orgasme approcher mais je le lui refusai.
Au moment où j’écris cela fait trente minutes que Carole a reprit les cours. J’adore la savoir dans cet état. Elle se sent humiliée par les inscriptions que porte son corps et excitée de se savoir sous notre contrôle.
Avant de partir faire un peu de shopping pour rhabiller ma fille qui grandit de jour en jour, j’envois un nouveau texto à Carole :

« Dans l’heure qui suit je veux recevoir une photo de ton cul avec deux doigts dedans. Tu as jusqu’à 14h50 petite salope. »

Va-t-elle réussir ? Vous le saurez certainement lors de mon prochain post.

P.S. : En tous cas elle vient de répondre à l’instant « Bien Maîtresse Ludivine. »

5 mai 2012 : Annabelle, la convertie …

Levallois Perret – 9h52 : Notre week-end de luxure a commencé tambour battant hier soir. Dès que Carole est rentrée des cours nous l’avons fait mettre à poil. Il faut dire qu’il n’y avait pas grand chose à retirer.

– « Alors ma salope ? Ca te plait d’être marquée comme une truie qui nous appartient ? » Lui lança immédiatement Alyssa.
– « Oui Maîtresse Alyssa. C’est très excitant. » Lui répondit Carole visiblement énervée et tendue.
– « Tant mieux parce que tu vas rester comme ça tout le week-end. » Enchaînai-je tout en lui attachant la laisse à son collier.
– « Je suis sûre que tu as fantasmé sur tous les mecs que t’as croisé. Tu te serais bien fait baiser dis nous ? »
– « Oui Maîtresse Alyssa. J’avoue que l’envie était grande. »
– « J’ai bien reçu ta photo mais t’étais où quand tu t’ais mit les doigts dans le cul (voir le post du 4 mai 2012) ? » Demandai-je.
– « J’étais dans une salle de classe vide Maîtresse Ludivine. »
– « T’aurais pu aller aux toilettes ? »
– « Il y avait du monde Maîtresse Ludivine. »
– « Et alors ? Tu ne l’aurais pas fait si je te l’avais demandé ? »
– « Si … Si … Maîtresse Ludivine … » Souffla une Carole Hésitante.
– « Il y a intérêt ! »

Nous eûmes à peine le temps d’arriver au salon avec notre chienne à quatre pattes que l’interphone sonna. La tête de Carole se décomposa lorsqu’elle constata que nous ne lui demandions pas de se relever et de se rhabiller. Bien que nous l’ayons déjà exhibée à certains couples d’amis faisant partie de notre réseau nous l’avions toujours prévenue un minimum à l’avance.
Pendant qu’Alyssa alla accueillir notre invitée à la porte je saisis violemment Carole par les cheveux pour la prévenir.

– « T’as intérêt à te montrer sous ton meilleur jour ma salope. J’ai convaincu ma sœur de t’essayer … Alors ne me déçois pas ! » L’avertis-je en accompagnant mes paroles une jolie gifle sur sa joue droite.
– « Haaaaa ! Je ferai de mon mieux Maîtresse Ludivine … »
– « Coucou chérie ! La forme ? »

J’enlaçai Annabelle dans mes bras tout en gardant la laisse dans ma main.

– « Coucou toi. Ca va et toi ma puce ? » Me répondit Babelle.

Nous prîmes place dans le salon et Alyssa envoya notre soumise faire le service. Cette dernière reprit place à genoux à nos côtés alors que nous trinquâmes.
Ce n’est que pendant le repas que le sujet de la soumission, du BDSM et de Carole vint dans la conversation. Annabelle était réticente à l’idée qu’une fille puisse prendre du plaisir à se comporter comme notre soumise le faisait. D’autant plus que sa soumission était totale et non juste un jeu occasionnel.
La valse de nos arguments face à ses contres arguments dura un moment sans que l’une ou l’autre n’emporte la mise. Carole, toujours à genoux et attachée à ma chaise, écoutait sagement.
Impudique, tout en continuant à disserter, je me redressai sur ma chaise et retirai ma culotte avant de me rassoir en soulevant ma robe.

– « Viens me lécher Carole ! La mauvaise foi de ma sœur m’énerve ! » Ordonnai-je en écartant les cuisses.
– « Bien Maîtresse Ludivine … »

Elle disparu sous la table et se mit à l’œuvre immédiatement. La scène fut un électrochoc pour Annabelle qui d’un coup fut gagnée par un silence compromettant à l’égard de sa position sur le sujet.

– « Je crois qu’une démonstration vaut mieux que toutes les paroles … » S’amusa Alyssa.
– « J’hallucine ! Vous n’avez pas la même version mec ? » Ironisa Annabelle dont l’humour lui servait souvent à reprendre le dessus.
– « Non … Hummm … Mais je peux lui faire enfiler un gode ceinture si tu veux … ? » Dis-je en gémissant sous la langue de Carole.
– « Je voudrais pas te priver. Tu deviens ronchonne quand tu jouis pas. » Se moqua ma sœur.

Je pris Carole par les cheveux et la tirai de dessous la table. Prenant alors sa laisse je l’amenai près du canapé.

– « Viens t’asseoir Babelle … »
– « Pourquoi faire ? » Répondit-elle à mon invitation.
– « Pour faire une scrabble cette bonne blague … »

Elle rejoignit le divan et s’y assit tout en essayant de donner le change. J’ai rarement vu ma sœur aussi désarçonnée et son habituel humour noir teinté de chambrage ne trompait personne.

– « Laisse faire les choses chérie … » Lui dis-je.
– « Est-ce que j’ai l’air de bouger ? » Grogna-t-elle.
– « Carole … Occupe toi de ma sœur et fait le bien ! » Ordonnai-je.
– « Bien Maîtresse … »

Alyssa vint se blottir amoureusement dans mes bras tandis que debout devant le canapé je contemplai la scène. Un sourire d’excitation aux lèvres nous regardâmes les Converses, les chaussettes, le jean et la culotte d’Annabelle disparaître au fur et à mesure sous les gestes pleins de dextérité de notre soumise.
Lorsque la tête de Carole se colla entre les cuisses de ma sœur les doigts de Lyssa se faufilèrent sous ma robe. J’écartais légèrement les jambes et lui rendis la pareille tout en l’embrassant tendrement.
Tout en nous donnant mutuellement du plaisir, Alyssa et moi ne perdions rien de ce qui se passait sur le canapé, persuadées que les certitudes de Babelle volaient encore plus en éclat à chaque coup de langue de Carole.

– « Insiste bien sur son clitoris salope ! Elle adore ça … » Dis-je à notre soumise en lui donnant un coup de pied sur son cul offert.
– « Bien … Maîtresse Ludivine … »
– « Donne-lui des ordres Anna si tu veux quelque chose en particulier. C’est rien d’autre qu’un sextoy. » Lança Alyssa dont les doigts voyageaient maintenant allègrement dans mon vagin.
– « C’est … Oh oui continu bébé … C’est marqué dessus en plus … » Insistai-je en gémissant.

Annabelle glissa encore plus dans le canapé et releva au maximum ses jambes à l’aide de ses mains.

– « Bouffe-moi la rondelle pendant que tu me doigtes ! » Dit-elle à Carole sur un ton qui trahissait le plaisir que lui procurait en réalité ce jeu.
– « Bien Mademoiselle Annabelle … »

Le « Mademoiselle Annabelle » électrisa encore plus ma sœur dont les dernières résistances disparurent comme par enchantement, et c’est sous une flopée d’insultes adressées à Carole qu’elle jouit. Légèrement taquines, Alyssa et moi couvrîmes ses cris d’orgasme par des applaudissements et des sifflements moqueurs.

– « Effectivement … Vu comme ça … » Lança Annabelle en reprenant son souffle.
– « Une convertie de plus … » Nous répondîmes avec un sourire en coin.

Le reste de la soirée se déroula avec une Carole spectatrice. Lyssa, Annabelle et moi fîmes plusieurs fois l’amour devant elle sans l’inviter à participer avant de l’envoyer au lit. Elle devait bouillir, être en feu, voire nous maudire et c’était exactement le but recherché.
Le week-end est encore long si on compte le pont du 8 mai et elle va avoir tout le temps de se ratt****r avec en point d’orge une soirée électorale dont elle va avoir du mal à se remettre.
D’ailleurs ça commence maintenant … Au moment même où j’écris Annabelle vient de se lever. Je vais lui envoyer Carole de suite ! (sourit)

5 mai 2012 : Bouffeuse de chatte portative …

Levallois Perret – 23h45 : Toujours en ayant l’air de ne pas s’être laissée influencée, Annabelle prend vite goût à la présence de Carole.
Dès son réveil hier matin, après l’expérience de vendredi soir, je lui envoyai notre chienne lui brouter le minou pendant qu’elle prenait son petit-déj. Et elle ne se fit pas prier pour écarter les cuisses (sourit).

– « Et en plus elle aime la moule pas fraîche … »
– « Putain ils y en a qui mangent Babelle ! » M’écriai-je toujours pas habituée après 25 ans de vie commune au manque de délicatesse de ma sœur.
– « Elle n’a pas à aimer ou ne pas aimer. Elle obéit, c’est tout ! » Précisa Alyssa en souriant.
– « T’iras te laver Carole après. On a décidé avec Alyssa de retirer les inscriptions sur ton corps. » Informai-je notre soumise.
– « Bien Maîtresse Ludivine … » Me répondit-elle en interrompant son broute minou.
– « Vas-y maintenant ! » Continua Annabelle qui la repoussa alors qu’elle allait reprendre son œuvre.

Carole se retourna alors vers moi en quête d’une approbation que je lui donnais d’un signe de tête.
Plus tard dans la matinée nous retrouvâmes toutes Luca sur msn alors que nous mettions à jour notre blog. Durant une discussion ma foi très agréable, Carole, que l’on prenait plaisir à humilier eut le malheur de demander la permission pour aller aux toilettes faire un petit pipi … Et c’est dans la litière du chat, devant tout le monde qu’elle dû uriner. Mais comme un malheur n’arrive jamais seul elle laissa tomber quelques gouttes au sol en se relevant.
Une énorme négligence qui lui valu une terrible fessée d’Alyssa qui de sa main leste lui rougit le cul de manière écarlate. Annabelle n’en croyait pas ses yeux tandis que Carole hurlait de douleur sous les violents coups de sa Maîtresse.
Ma sœur se remit vite de ses émotions et prouva, s’il en était encore besoin, que ses diatribes contre la soumission n’étaient plus qu’une anecdote. Après que Luca ait suggéré que notre soumise vérifie l’état de la culotte d’Annabelle et qu’elle ait constaté que cette dernière ne comportait aucune trace de mouille nous suggérâmes que ce manque d’excitation était dû à une faiblesse de Carole. Cela entraînant immanquablement une punition je suggérai à ma sœurette de la gifler. La surprise vint de la force du coup qui mit la joue de notre soumise dans le même état que ses fesses quelques minutes auparavant.
Nous étions toutes les trois très excitées et il nous fallu une grande retenue pour ne pas céder à l’envie de nous jeter les unes sur les autres pour baiser comme des diablesses. Luca, de l’autre côté de l’écran était dans le même état et dû, lui aussi, se retenir.
Nous passâmes le reste de la journée au cinéma, nous avons été voir « Radio star », et dans les magasins. Aux Galeries Lafayette je dis à Carole de choisir une robe, peu importe laquelle, et d’aller dans une cabine d’essayage. Annabelle, Alyssa et moi fîmes de même pour la rejoindre chacune notre tour dans la cabine où elle était. Notre petite salope adorée nous fit jouir à la chaîne, chacune notre tour avant de ressortir les lèvres aussi brillantes que nos yeux après ces délicieux orgasmes.
C’est bon d’avoir sa bouffeuse de chatte portative non ? … Aller je vous laisse … La nuit n’est pas finit (sourit) !

6 mai 2012 : Un nouveau jeu …

Levallois Perret – 16h45 : Annabelle et moi avons été voter ce matin et avant d’accompagner Carole qui est inscrite à Bondy pour faire son devoir électoral, je prends un peu de temps pour vous raconter notre délicieuse nuit (sourit).
Nous avons créé un nouveau jeu avec Alyssa mais sans arriver à lui trouver un nom pour le moment. Le but ultime étant de faire en sorte que Carole nous supplie d’arrêter. La première à y arriver gagne un dîner dans le resto de son choix.
Les règles sont simples. On a juste besoin d’un dé spécial jeu de rôle à douze faces qui correspondent chacune à un objet et des deux trous de Carole accompagnés d’un tube de gel lubrifiant si nécessaire. On met la table basse bien au milieu du salon et c’est partit !
Notre soumise monte sur la table de laquelle elle ne doit pas descendre ce qui est le signe de la victoire pour celle qui introduit l’objet et nous procédons au tirage au sort.
C’est Alyssa qui ouvre le bal et qui en jetant à nouveau le dé fait un 7. Chiffre impair, ce sera donc le cul de Carole qui sera le premier terrain de jeu. Mon ange relance le dé et fait cette fois un 3 qui correspond à trois doigts.

– « Met toi à quatre pattes la truie ! » Dit-elle à Carole en passant derrière elle.
– « Bien Maîtresse Alyssa … »

Une fois en place Lyssa cracha sur l’anus de notre soumise et lui enfonça sans ménagement son majeur, son index et son annulaire dans le fion. Carole grimaça et serra les dents mais ne dit rien.

– « C’est le genre de jeu qui peut ne faire qu’un tour ça. C’est juste une question de chatte aux dés … » Fit remarquer Annabelle.
– « C’est pas faux … Et c’est à toi sœurette. » Répondis-je en souriant.

Babelle lança deux fois le dé pendant qu’Alyssa reprenait sa place en pestant contre son manque de chance. Elle sortit un 3 et un 6. Le fion de Carole allait encore être visité et cette fois ci par un vibromasseur.
Comme Lyssa, ma sœur n’y alla pas de main morte et planta le vibro sans ménagement dans le l’anus de notre soumise où il disparu presque entièrement. Un petit gémissement accompagna la progression rapide de l’objet mais sans plus.

– « Vous savez pas y faire les filles … » Dis-je moqueuse tout en soufflant sur le dé.

Un 8 pour le premier jet, chiffre pair, indiqua la chatte de Carole comme cible de mon prochain assaut. Puis un 5, me donnant beaucoup d’espoir quant à une éventuelle victoire, sorti de mon deuxième envoi.

– « Pas la peine de faire la maline. Elle s’est déjà faite fister cette salope. » Dit une Lyssa mauvaise joueuse.
– « Oui mais il y a une différence entre se faire fister après une dilatation progressive et se prendre une main directement dans la chatte … » Lu retournai-je un brin provocatrice.

Comme vous l’avez deviné le 5 correspond à la main entière.

– « D’autant que j’ai jamais dit que j’allais mettre du gel … » Renchéris-je tout en m’approchant de Carole.

Je lui ordonnai de se retourner pour s’allonger sur la table les cuisses relevées et grandes ouvertes. Bonne joueuse comme je suis et pour que le jeu dure un peu plus longtemps je tartinai la fente de ma soumise avec du lubrifiant. Ce fut mon seul geste de courtoisie car c’est par contre sans aucun ménagement que je lui déchirai la chatte en enfonçant ma main d’un trait jusqu’au poignet. Carole poussa un cri strident alors que sa vulve se distendait. Tout au long de ma brève progression dans son ventre elle fit trembler les murs. Mon retrait fut moins sonore mais à priori tout aussi douloureux.

– « Ai-je … Ai-je … Le droit de jouir pendant le jeu Maîtresse Ludivine ? » Demanda Carole en haletant.

Je regardai Lyssa avant de répondre pour savoir si nous étions sur la même longueur d’onde et répondit par l’affirmatif à notre soumise. Son premier orgasme arriva quelques tours plus tard lorsque je sorti un 8 et un 10. Ce nombre correspondait à notre énorme gode noir d’un diamètre assez hallucinant qui dilata complètement le vagin de Carole. Je reconnu au milieu de ses cris de douleur l’arrivée de son plaisir.

– « Elle va jouir … Je la termine … » Dis-je à Alyssa et Annabelle qui se caressaient mutuellement en regardant la scène.
– « Oui … Donne lui … » Souffla mon ange.
– « Viens ma puce … Jouis ma chérie ! » Encourageai-je Carole en la branlant tant bien que mal avec l’énorme braquemar.

Nous lui laissâmes reprendre ses esprits, le temps pour nous de nous donner du plaisir. Je rejoignis ma sœur et mon cœur sur le tapis et nous fîmes l’amour mettant largement à profit la multitude d’objets sortis pour l’occasion. Chacune de nous eut le droit à sa double pénétration grâce aux deux godes ceintures que nous avons.
C’est les yeux brillants de plaisir que nous reprîmes le jeu qui ne dura plus très longtemps lorsqu’Annabelle sortit un 5 et un ultime 12.
Une tonne de gel fut obligatoire pour préparer l’anus de Carole qui se déchira dans une longue plainte tandis que ma sœur y insérait avec un minimum de précaution le cul d’une bouteille de vin de 75cl.

– « Stop … T’as gagné Babelle. » Intervins-je au moment où Carole se tut alors que des larmes coulaient sur ses joues.
– « Retire la bouteille doucement. Elle est partit grave la puce … » Continua Alyssa qui caressa tendrement la joue de notre soumise tout en déposant des baisers sur son front.

Le cul de Carole était béant et mit du temps à reprendre forme. Une flaque d’un mélange de mouille et d’urine s’était formée sous elle, entre ses cuisses. C’est moi qui lavai tout ça, notre petite puce n’étant pas en état de le faire. Elle dormit avec nous cette nuit et nous prîmes toutes les trois bien soin d’elle.
Nous avons décidé de reporter sa punition liée aux résultats des élections. Au lieu d’aujourd’hui (dimanche), elle aura lieu lundi soir.
Carole est vraiment une soumise exceptionnelle et c’est pas Annabelle qui dira le contraire vu qu’elle lui a fait gagner un resto … (sourit)

8 mai 2012 : 48 coups de martinet …

Levallois Perret – 10h13 : La nuit est tombée. Le martinet que vous avez élu est prêt. Il est là juste devant nous. Carole est là aussi, nue, suspendue au plafond par les poignets. Elle ne repose au sol que sur la pointe des pieds et son équilibre précaire va être mit à rude épreuve.
Qui se souvient encore de la raison de cette punition ? Même nous nous ne la savons plus. Le nain de jardin a fait plus de 48 % au deuxième tour et dans notre grande bonté nous avons arrondit à l’unité inférieure.
48 coups, soit 6 séries de 8 ou encore deux passages chacune puisqu’Annabelle s’est décidée à participer. C’est Alyssa qui va donner la première salve de coups. Elle va ouvrir le bal et être la première à meurtrir la peau blanche de Carole. Pendant que mon ange se prépare je bâillonne notre soumise avec une boule de latex enfoncée dans sa bouche et attachée derrière sa tête par une lanière en cuir.

– « Tend bien ton cul salope ! » Grogna Alyssa en se plaçant derrière notre soumise.

En la voyant armer son bras je comprends qu’il n’y aura aucune pitié et le bruit qui accompagne des lanières qui s’abattent pour la première fois sur les fesses de Carole ne fait que le confirmer. De multiples striures rouges vives, voir pour certaines légèrement violacées lui apparaissent immédiatement sur la peau tandis que l’intensité de son cri étouffé exprime la douleur qui doit lui parcourir le corps à ce moment précis.
Les sept autres coups sont du même acabit. Le bras de Lyssa ne fatigue pas, il ne se relâche aucunement. Carole subit son châtiment en hurlant dans son bâillon de plastique. Elle ne repose plus sur le sol et se balance suspendue au plafond comme un morceau de viande pendu à un crochet de chambre froide. Ses jambes l’ont lâchée dès le deuxième assaut du martinet.
Fière d’elle, Alyssa contemple son œuvre avant de se positionner devant Carole.

– « Plus que 40 … C’est tranquille pour une truie comme toi ! » Lui dit-elle avant de lui cracher à la figure.

Lyssa me tend le martinet tandis que je me place à mon tour devant notre soumise.

– « Je vais laisser reposer ton petit cul … Moi c’est tes nichons qui m’intéressent … » L’avertis-je avec un regard sadique en lui pinçant un téton.

Carole sait que cela va faire mal, très mal. Son regard ne trompe pas. Mon premier coup est raté et les lanières de cuir s’abattent plus sur ses cotes qu’autre chose. Le second par contre, comme les six suivants, sont parfaits et s’écrasent sur ses tétons turgescents.
Notre soumise se tortille dans tous les sens en hurlant. Je regarde ses mains qui, ne pouvant compter sur le soutien de ses jambes qui la lâchent, deviennent violettes à cause des entraves à ses poignets.
Comme Alyssa, après mon dernier coup je lui crache à la gueule avant de passer l’objet de torture à ma sœur. C’est elle qui lui arrache ses premières larmes en visant son cul déjà meurtri. Les 8 coups tout aussi violents que les nôtres tombent sur les premières striures de la soirée. Les fesses de Carole changent de couleur au fur et à mesure d’autant que Lyssa, pour son deuxième tour, frappe au même endroit. Notre soumise pleure maintenant à chaudes larmes et ses cris s’accompagnent de lourds sanglots qui inondent ses joues.
Pendant ce temps je me branche sur msn. Luca va partager avec nous la fin de cette punition. Nous discutons un peu avec lui le temps que je laisse notre défouloir reprendre un peu ses esprits. Je veux la savoir complètement consciente et concentrée pendant que je vais lui exploser les seins. Car c’est bien sur cette zone que je vais à nouveau exercer mes talents.
Carole a juste le temps de le comprendre en me voyant me placer devant elle. La terreur naît dans son regard humide au moment où j’arme mon bras. Ses yeux se ferment et elle hurle sa douleur à pleins poumons lorsque le cuir lui déchire les tétons.
Annabelle et Alyssa ne perdent pas une miette et je vois à leur comportement qu’elles sont tout aussi excitées que je le suis. Ce n’est pas une très bonne nouvelle pour notre soumise car cela veut dire que nous y prenons un énorme plaisir et que ce plaisir appelle à un renouvellement de l’expérience.
C’est Babelle qui termine le bal et qui, vicieuse comme elle est, choisit un endroit ultra sensible que nous avons oublié jusque là. Dès le premier coup sur l’intérieur de ses cuisses, Carole part dans une demi-inconscience. Alyssa doit lui maintenir les jambes ouvertes pour permettre à ma sœur de terminer son œuvre.
Il est aux alentours de 1h30 du matin lorsque le calvaire de notre soumise prend fin. Nous la détachons du plafond et la câlinons avec la plus grande tendresse pour la faire revenir parmi nous.
Elle a bien mérité de jouir vous ne trouvez pas ? Et c’est Luca qui, sans le vouloir, donne le signal de l’orgie en demandant à Carole si elle a toujours mal au cul suite au jeu de la dilation deux jours auparavant (cf. « Un nouveau jeu … »).
Alyssa saute sur l’occasion et répond qu’elle va s’empresser de vérifier. Elle s’harnache alors de notre plus gros gode ceinture et, après l’avoir lubrifié avec du gel, encule notre chienne à quatre pattes. Ses cris sont différents lorsque l’intense douleur de la pénétration anale se mélange à un plaisir non dissimulé.
Cette scène finit de me rendre folle et je plonge immédiatement entre les cuisses ouvertes de ma sœur. Pendant qu’elle discute et excite Luca je lui bouffe la chatte avec gourmandise avant de fourrer ma langue dans sa rondelle.
A côté de nous Carole jouit une première fois sous la sodomie que lui administre Alyssa. Cette dernière la retourne alors comme une crêpe avant de lui labourer le con à grand coups de bite en plastique.
Annabelle, au bord de l’orgasme, lâche le clavier et je reprends Luca qui se branle sans ménagement. Ma sœur est allongée par terre, le pc juste devant ses fesses. Je suis au-dessus d’elle, en 69, et lui offre ma croupe à déguster. J’alterne entre sa chatte délicieusement juteuse que je dévore sans retenue et l’ordinateur pour amener la queue de Luca à cracher sa jute.
Carole vient de jouir à nouveau et Lyssa ne lui laisse pas le temps de souffler. Elle retire la gode ceinture et ordonne à notre soumise de s’en équiper. Les rôles s’inversent ; c’est elle qui va baiser ma femme maintenant.
Annabelle est la première à atteindre l’orgasme. Son ventre se contracte tandis que je lui astique le clitoris. Elle se soulève, tente se resserrer ses jambes, se tortille dans tous les sens sous mon corps alors qu’elle jouit dans un long cri de plaisir.
Luca éjacule juste après. A travers l’écran nous ressentons ma sœur et moi son foutre chaud gicler sur nos peaux respectives comme une douche bienfaisante.
C’est à ce moment que Babelle se déchaîne et me défonce la chatte avec ses doigts pour me finir. Je jouis à mon tour accompagnant le plaisir qui me ravage le bas ventre d’une longue plainte.
Alyssa arrive quelques minutes plus tard sous les coups de reins de Carole.
Il est presque 3 heures. Nous venons de prendre congé de Luca et notre soumise termine de ranger le salon. Nous la laissons faire et lui ordonnons d’aller se coucher à l’issue de sa corvée. Ma sœur, mon ange et moi montons dans notre chambre. La nuit n’est pas finit et nous avons encore envie de faire l’amour …

10 mai 2012 : La souillon …

Levallois Perret – 10h25 : J’aime jouer à distance avec Carole. Hier, alors que nous étions au par cet que je regardais ma fille faire tourner en bourrique Alyssa, j’ai eu envie d’embêter notre soumise. Elle était en cours et je lui ai envoyé un texto :

« Préviens-moi juste avant de partir de la fac. C’est clair ? »

La réponse ne mit pas longtemps à arriver. Elle sait très bien que nous ne tolérons aucun délai dans ce cas.

« Bien Maîtresse Ludivine. »

Nous étions toujours au grand air lorsque mon portable vibra. Ma fille s’étant faîte des copines, Alyssa était maintenant à mes côtés sur un banc.

« Je me dirige vers la sortie Maîtresse Ludivine. »

Alyssa me demanda ce que j’avais dans la tête.

« Vas aux toilettes. Rentre dans une cabine et préviens-moi quand tu y es. »

5 minutes plus tard Carole m’envoya un nouveau sms.

« J’y suis Maîtresse Ludivine. »

J’eu un sourire en coin en essayant d’imaginer sa tête lorsqu’elle allait recevoir le suivant.

« Pisse en gardant ta culotte. Tu rentres à la maison comme ça. Et interdiction de l’essorer. C’est clair ? »

Tous les jours c’est nous qui choisissons comment elle s’habille et ce matin Alyssa lui a fait porter une robe rose et blanche fleurie, une culotte blanche à rayures bleues en coton, des chaussures à larges talons et un petit gilet blanc.
Carole mit plus de temps à répondre. Son cerveau dû se mettre à bouillir au moment où elle reçu mon ordre.

« Bien Maîtresse Ludivine. Je vais faire selon vos désirs. »

Alyssa et moi nous mîmes à sourire en imaginant notre soumise en train d’uriner dans sa culotte. Pendant qu’elle vide sa vessie elle doit penser à son trajet. Il lui faut bien entre autres 35 minutes de métro pour rejoindre Levallois Perret. Elle doit penser à sa pisse qui risque de lui couler sur l’intérieur des cuisses, à sa robe sur laquelle pourrait apparaitre des auréoles si elle a le malheur de s’asseoir ou de s’appuyer contre la porte et à l’odeur de jeune fille négligée qui pourrait alerter les voyageurs.

– « La prochaine fois que tu as ce genre d’idées préviens moi. On lui fera porter un jean le matin … » Me souffla Alyssa en riant.
– « Ca m’est venu juste maintenant mais je retiens l’idée … » Lui répondis-je avant de l’embrasser.

Nous attendîmes encore un petit quart d’heure avant de prendre le chemin du retour. Pendant le trajet j’envoyai un nouveau message à Carole.

« Préviens-nous quand tu sors du métro. »

Arrivées à la maison nous eûmes le temps de préparer le goûter à notre puce avant que mon portable ne me signale l’arrivée d’un sms.

« Je suis à la sortie du métro Maîtresse Ludivine. »

Je montrai le message à Alyssa en lui demandant si elle pensait qu’on avait besoin de quelque chose.

« Va au Monop et ramène moi un deux bouteilles de Coca. Je suis sûre que tu dois commencer à puer ma salope ! »

Carole répondit rapidement.

« Bien Maîtresse Ludivine. Oui ça sent un peu quand je m’arrête Maîtresse. »

Je conclus alors notre échange de textos par un dernier.

« Dès que tu rentres tu vas sous la douche et tu ne mets pas ta culotte au sale. Tu la retire mais tu la garde prêt de toi. Je viendrai te voir. »

Un ultime « Bien Maîtresse Ludivine » fit écho à mon ordre téléphonique. Carole rentra un quart d’heure plus tard et, après avoir déposé le Coca dans la cuisine, alla directement dans la salle de bain. La présence de ma fille nous obligeait à des jeux plus discrets que lorsqu’elle n’est pas là. Cette situation nous oblige Alyssa et moi à nous montrer plus perverses que violentes, plus imaginatives aussi et c’est tout aussi excitant.
Lorsque j’entendis l’eau de la douche arrêter de couler je rejoignis Carole. Enveloppée dans une grande serviette elle s’agenouilla respectueusement lorsque je fermai la porte à clé.

– « Alors comment te sens-tu ma petite truie ? » Demandai-je à voix basse.
– « Terriblement honteuse Maîtresse Ludivine … » Me répondit-elle en rougissant.
– « Va falloir te décoincer ma chérie. C’est rien ce que je t’ai fait faire. J’ai plein d’autres idées beaucoup plus humiliantes. »
– « Je ferai tout ce que vous désirez Maîtresse Ludivine … »
– « Bien … Pour le moment tu vas enfiler un jean et un tee-shirt et prendre ta culotte à la main. Et tu vas aller la déposer sur la place en bas de l’immeuble à un endroit où elle pourra être trouvée. T’as compris ? »
– « Heu … Oui Maîtresse Ludivine … »
– « Magne toi et reviens me voir quand c’est fait. »
– « Oui Maîtresse Ludivine. »

Je suivis la progression de Carole de la terrasse et la vis déposer discrètement le morceau de tissu souillé de pisse sur le rebord d’un bac à fleur entourant la fontaine.
Lorsqu’elle revint je lui ordonnai de rester sur la terrasse et de ne pas perdre de vue sa culotte.

– « Interdiction de rentrer tant que personne n’a remarqué ta culotte c’est clair ? »
– « Bien Maîtresse Ludivine … »

Ce fut le cas 30 minutes plus tard. Je l’accueillis avec un sourire alors qu’elle pénétrait dans le salon.

– « Va rejoindre Alyssa au premier. Elle a besoin de toi pendant que je donne le bain à ma fille. »

Mon jeu pervers avec notre soumise eut le don d’exciter mon ange et je savais qu’en envoyant Carole la rejoindre elle allait utiliser les talents de cette dernière pour se faire du bien.
Les yeux brillants et la démarche chancelante d’Alyssa lorsqu’elle descendit les marches pour venir m’embrasser avec passion ne firent que confirmer ce que je savais : Carole est une experte pour faire jouir ses Maîtresses … (sourit).

12 mai 2012 : Vilaine fille infidèle …

Levallois Perret – 10h20 : La nuit précédente j’ai fait un rêve. C’est rare que je m’en souvienne, d’habitude il ne m’en reste pas la moindre bribe. En fait c’était plutôt un revival. J’ai revécu plusieurs moments de ma vie en une seule courte nuit. Tous avaient le même sujet, mon mariage, ou plutôt l’échec de mon mariage devrais-je dire.
Je me suis mariée jeune, trop jeune, avec un garçon dont j’étais persuadée être éperdument amoureuse. Je l’étais, j’en suis persuadée, mais je me suis vite rendue compte que je ne le connaissais pas si bien que ça. Cet homme qui m’était apparu comme drôle, attentionné, actif et plein de vie s’est révélé au fil du temps tout le contraire. Son meilleur ami est devenu le canapé et son amante la manette de la console.
Je travaillais chez National Geographic à l’époque. J’étais photographe (je le suis redevenue d’ailleurs) et je voyageais énormément. J’ai tout fait pour essayer de lui faire partager cette vie, de l’emmener le plus souvent avec moi mais ce fut peine perdue. Au contraire, il voulait absolument que j’arrête pour que je me transforme en parfaite femme d’intérieur. Dans un premier temps mon refus fut catégorique et la situation de notre couple continua à se détériorer jusqu’à ce que l’inéluctable se produise.
En novembre 2007 j’étais en Chine pour un shooting. Mon équipe et moi étions dans les montagnes à la recherche d’une espèce extrêmement rare et en voie d’extinction, la panthère de Chine ou panthère des neiges. Nous avions passé cinq jours et quatre nuits sous la neige à tenter d’apercevoir ce magnifique félin sans réussite. Nous avions froid, nous étions fatigués et énervés lorsqu’à cinq mètres de nous, apparue comme par magie dans la nuit noire à peine éclairée par notre feu de camp, une somptueuse panthère nous regardait de des yeux ronds et curieux. Un silence de plomb se fit avant que je saisisse délicatement, en évitant le moindre bruit, mon appareil photo. Le reste ne fut que féérie. La magnifique créature m’offrit toutes les poses dont je rêvais. Elle n’avait pas peur de nous et elle nous récompensait pour notre persévérance et nos efforts en s’offrant à mon objectif. Une demie heure plus tard elle disparue dans la pénombre en nous gratifiant d’une dernière danse féline.
Nos cris de joie rebondirent sur les parois des montagnes qui nous entouraient. Toute la région due nous entendre hurler de bonheur et de soulagement. La fatigue et l’énervement accumulés disparurent comme un enchantement. Je me mis immédiatement au travail pour faire un premier tri dans double centaine de clichés que je venais de prendre. Toute mon équipe et nos guides allèrent se coucher pendant que je continuais à m’activer.
Seul Laurent, mon assistant logistique, resta avec moi. Depuis le temps qu’ont bossaient ensembles je savais que je l’intéressais sur un tout autre plan que le simple domaine professionnel. Il ne s’en était jamais caché d’ailleurs et ne se gênait pas pour me le faire comprendre. J’aurais pu le dégager de mon équipe mais il était gentil, jamais lourd. C’était même devenu un jeu qui nous servait aussi à nous taper des bonnes tranches de rire. Il était aussi mignon que tchatcheur et sa drague, parfois lourdingue, n’était jusqu’à là restée que des paroles. Il n’avait jamais essayé de me toucher, jusqu’à cette nuit.
Alors que j’étais assise à côté du feu il arriva dans mon dos. Avec le crépitement des flammes je ne l’entendis pas et sursautai lorsqu’il m’enserra délicatement dans ses bras. Mon cerveau se mit immédiatement à bouillonner et des millions de questions inintelligibles m’embrouillèrent. Pourtant je ne réagis pas, ne le repoussai pas non plus. Aucun son, aucun mot de protestation ne sortit de ma bouche.
Laurent resta un moment sans essayer d’aller plus loin. Seuls quelques baisers du bout des lèvres arrivaient par moment sur mes cheveux. La situation était tendue, très tendue. Il connaissait la situation de mon mariage et à quel point je vivais mal cette situation. J’espérai inconsciemment que quelqu’un sorte d’une des tentes pour fumer une clope et nous interrompe car moi je n’en avais pas la force. Ni la force ni l’envie d’ailleurs.
Rien ne se passa et quelques minutes plus tard je me retournai pour faire face à Laurent. Je posai mon index sur ses lèvres alors qu’il voulait dire quelque chose, je ne voulais plus rien entendre, il était trop tard. Notre premier baiser fut timide, le deuxième fut fougueux alors que nos dernières inhibitions volaient en éclat.

– « Viens Laurent … J’ai envie de toi … » Lui soufflai-je entre deux baisers toute langue dehors.
– « Oh putain moi aussi … Depuis tellement longtemps … »

Joignant le geste à la parole je posai ma main sur son entrejambe et massai fermement sa queue à travers son épaisse combinaison.

– « J’ai tellement rêvé de ton corps Ludivine … » Grommela Laurent qui avait abandonné l’idée de me parler de mon mari pour laisser place à ses instincts.
– « Tu vas l’avoir … Tu vas l’avoir entièrement bébé … » Lui répondis-je en l’entraînant vers le campement.

Etant la seule fille de l’expédition, j’étais la seule à avoir une tente individuelle. Nous déshabiller dans un endroit aussi restreint fut toute une aventure. Laurent se retrouva nu avant moi et devant l’apparition de son sexe bandé dont j’avais terriblement envie j’abandonnai l’idée de retirer mes chaussettes. Je me contorsionnai rapidement le pris en bouche sans autre forme de procès. Je me mis à le sucer comme une dingue.

– « Haaa … HAAANN … Stop … STOP ! » Me supplia Laurent au bord de l’éjaculation.

Je me redressai et lui roulai une pelle tandis que sa main trouva en même temps le chemin menant à ma chatte. Après une nouvelle prouesse physique pleine de souplesse la tête de Laurent se retrouva entre mes cuisses. Sa langue fit des merveilles sur mon clitoris pendant de longues minutes et il me fit jouir une première fois de cette manière.
Habituée à multiplier les partenaires des deux sexes avant mon mariage, c’était la première fois depuis cette date qu’une autre personne que mon mari me procurait un orgasme. Ils étaient rares et les multiples séances de plaisirs solitaires auxquelles je m’adonnais ne remplaçaient pas la chaleur d’un corps désiré.

– « Viens … Viens Laurent … J’ai envie de ta queue en moi … Viens me faire l’amour … » Suppliai-je en gémissant.

Il enfonça deux de ses doigts dans mon vagin mais ce n’était pas ce que je voulais.

– « Prend moi bébé ! Prend moi avec ta queue ! » Insistai-je en me malaxant les seins avec férocité tellement le désir était grand.
– « J’ai … J’ai pas de capotes Ludivine … » M’avoua-t-il avec une certaine gêne.

Je savais que j’allais faire une connerie mais même dans ce cas je ne pus résister. Je saisis alors tendrement le visage de Laurent entre mes mains en le fixant d’un regard brûlant.

– « Viens Laurent … J’ai envie que tu me fasses l’amour … » Murmurai-je avant de l’embrasser avec douceur.

Je l’attirai sur moi en écartant les cuisses au maximum. La lueur de la lune et du feu encore vif quelques mètres plus loin illuminaient nos corps au moment où, dans un profond soupir, j’accueillis sa bite bandée au maximum au fond de mon vagin.
La première partie de mon rêve s’arrêta au moment où son sperme envahit mon vagin. Son éjaculation fut comme un électrochoc qui me sortit de mon sommeil. Je restai à demi dans les vaps pendant un temps indéterminé avant de me rendormir. La suite est beaucoup moins claire dans mon esprit. Je me souviens juste d’avoir retracé dans les bras de Morphée la suite de mes infidélités et la fin de mon mariage.
La seule chose de bien qu’a réussi mon ex-mari c’est de m’avoir mise enceinte quelques semaines après mon voyage en Chine alors que nous étions en Grèce pour prendre quelques vacances. Je pensais, naïve que je suis, que le fait d’être papa allait lui mettre un coup de pied au cul et que j’allais retrouver le garçon dont j’étais tombée amoureuse. La déception fut à la hauteur de l’espérance, c’est-à-dire forte, et c’est dans les bras de Laurent que je me réfugiai. Lors de notre s

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