J avais 19 ans, c était mon 1er emploi dans un magasin de fringues à Paris dans un quartier branché homo.
Ce n était pas par hasard que mon patron m avait sélectionné, moi, le jeune trav…
Mon patron avait la trentaine, il était bi, tout comme moi ;Les mecs, les filles, les trav…tout y passaient, ensemble ou chacun de son coté.
Il me sautait ou me mettait à contribution, qui n était pas pour me déplaire.
Grasse à lui, j ai acquis une grande expérience dans la baise. Je n ai jamais autant bouffer de queux, de culs et de chattes qu avec lui.
Il m attrapait partout et n importe quand, même lorsqu il y avait du monde en boutique… Je pense que c est comme ça que j ai pris gout et aimer faire ça dans des lieux publiques.
Je suis passée sur et sous le bureau, dans la réserve au milieu des cartons de jour comme de nuit, dans le magasin sur le comptoir…
Dans la journée, il ne pouvait pas me pénétrer…Mais des pipes, j ai dû lui en tirer des kilomètres…
Pour les sodomies, c était le matin avant l ouverture, le midi pendant la pause déjeuner et surtout le soir à la fermeture, où, là j en prenais plein le cul…j aimais ça !!!
Cette boutique était pratique pour faire des nouvelles rencontres (Internet n existait pas).
Je n avais jamais de réflexion, si je ne respectai pas mes horaires de travail, même si certains jours je ne venais pas sans excuse …c était très libre, tout comme le sexe !
Un jour une représentante (je vous arrête tout de suite, non, on ne la pas baisés…elle était mariée et fidèle, encore une coincée du cul…) vieille et moche nous présentait des nouveaux articles de lingeries.
J étais « allumée »par tous ces articles qu elle nous présentait en sentant que lui aussi n y était pas insensible…
Nous étions excités tous les deux par toutes ces photos de mannequins qui les portaient en feuilletant les catalogues de la marque.
Nous étions tous les deux cotes à cotes d un coté du comptoir, et elle de l autre. Le comptoir était haut, il nous arrivait au dessus du nombril.
Il était penché vers l avant en appuis sur ses mains sur le comptoir. Moi, j étais debout, mes mains disparut sous le comptoir …
Ma main de droite c était occupée de lui avoir descendu sa braguette, sortie sa bite qu elle astiquait gentiment en jouant sur son décalottage…
Avec mon autre main, je me caressai la mienne à travers le tissu de ma jupe moulante…
Puis à un moment, elle nous dit qu elle doit retourner à sa voiture pour aller nous chercher des échantillons…
Elle eut à peine le temps de tourner les talons pour sortir de la boutique, que j’avais disparu sous le comptoir…
Il avait tourné d’un quart de tour sur lui-même dans ma direction, j’ai englouti toute sa bite dans ma bouche que je pompais frénétiquement… « Magnes toi salope, elle ne va pas tarder à revenir… »
Merde… J’ai entendu la porte, elle revenait, et je n’avais pas fini… Impensable de remonter à la surface.
Donc, je continuais en évitant de faire du bruit, j’avais réduit la vitesse, nous n’étions plus pressés maintenant.
Pour ne pas qu’ il « vienne » trop vite, je m’amusais à lui donner des petits coups de langue, en lui faisant une petite sucette que sur le gland… histoire qu’ il la garde bien droite…
Elle lui demandait où j’étais parti… Il lui répliqua que j’étais sorti faire une pause…
Heureusement pour moi, elle finissait sa présentation.
Couvert par le bruit de remballage des articles dans les boites dans lesquelles elle devait les ranger. J’en profitai pour reprendre les choses en mains (ou en bouche plutôt…). J’avais à nouveau son dard tout entier dans ma bouche… Et pour le finir, j’insistais avec ma langue sur le petit bout de chair très sensible que les hommes ont sous le gland !
J’avais une main qui lui pétrissait les couilles à travers son pantalon, et l’autre qui lui branlait le bas de la tige…
Il ne mit pas longtemps à décharger (il y en avait beaucoup…) dans ma bouche assoiffée de foutre…J’ai tout avalée au fur et à mesure des saccades…
Heureusement, elle ne s aperçue de rien, trop occupée à se baisser pour garnir ses boites.
Quand, elle fut parti, je me suis faite engueuler…
« Espèce de conne…tu n’es pas bien de faire ça, comme ça ! On aurait pu se faire griller ! » Il était furieux.
« Ho… calme toi, premièrement on ne c est pas fait griller, et secundo tu es bien content que je te dégorge le poireau ! »
On c est tirés la gueule toute la journée, Jusqu’ au soir…Où je m’en suis pris un petit coup dans le cul pour se faire pardonner, dans la réserve quand le rideau était tiré…
Bises Coquines
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