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Lentement le train se détache du quai.

Lentement le train se détache du quai.



Lentement le train se détache du quai.

PARTIE Nº1 Lentement le train se détache du quai. Nous roulons vers Paris en TGV pour un Weekend gourmand.
Pour le voyage tu as choisis un tailleur rouge, la veste est cintrée, la jupe courte, tes pieds sont enchâsisés dans de superbes chaussures rouge à talons démesurés qui allongent encore tes jambes. Tu portes cette lingerie délicate en dentelle blanche récemment offerte. Tes bas couleurs chair sont retenus par un porte jarretelles que l’on devienne quand la toile de ta jupe se tend.
C’est l’été et une touffeur matinale nous paralyse malgré la clim. Il est cinq heures du matin. Nous sommes installés là où les fauteuils se font face. Quelques passagers montés comme nous à Avignon, sont bien calés sur leur siège et nous savons qu’il n’y aura aucun arrêt avant notre arrivée.
Je fais glisser le zip de ta jupe pour que tu sois plus à l’aise. C’est les yeux mi-clos que tu esquisses des mouvements pour la quitter entièrement. Je t’accompagne dans cette manipulation avec comme récompense le plaisir de te voir parée de ce porte jarretelle jusque-là invisible.

Malgré le confort de la première classe ton sommeil est agité. C’est sur le dos, et les jambes repliées que tu t’apaises. Je ne résiste pas au désir de me rapprocher. Je viens m’agenouiller près de toi et le plus lentement possible, détache les boutons de ta veste libérant ainsi instantanément, les ogives de tes seins que je contemple sans les toucher. Du bout de ma langue je frôle les mamelons que je sens durcir instantanément entre mes lèvres.

La porte du compartiment s’ouvre et la casquette du contrôleur s’approche lentement, tu choisis de simuler un sommeil profond. Je me délecte de la surprise que le préposé de la SNCF va avoir dans quelques secondes, quand ses yeux se poseront sur toi.
Je me suis levé pour lui tendre nos billets, il est étonné et peut-être un peu gêné de nous avoir surpris. Penaud, il s’excuse pour la climatisation défectueuse et comprend tout à fait le besoin de se dévêtir, dit-il en hoquetant.
Tout en parlant de la pluie et du beau temps prévu à Paris, je te tiens les chevilles le plus possible écartées, autant que le permet la banquette, libérant ainsi la vue sur ton petit string nacré.
« Votre femme est charmante » dit-il pour sortir de sa torpeur. Il reste immobile, et semble apprécier le spectacle offert, alors je décide de lui en donner un peu plus. Je glisse une main sous l’élastique de ton string et le fais riper sur le côté, découvrant ainsi ton sexe parfaitement lisse et attirant.
Notre homme desserre le nœud de se cravate tandis que mes caresses provoquent des mouvements ondulants de ton bassin. D’une main tu te caresses un sein provocant, de l’autre tu viens remplacer la mienne pour cajoler ton clitoris…

PARTIE Nº2 Nous sommes arrivés, le taxi nous dépose à notre hôtel. Les valises sont prises en charge par un groom et nous nous dirigeons vers l’ascenseur accompagnés d’une hôtesse pour visiter notre chambre.

Nous avions, par le passé, déjà fantasmés sur le moyen de provoquer une panne d’ascenseur mais celle-ci fut inopinée
Après avoir contacté le service de dépannage par l’interphone, nous nous apprêtons à passer une heure au moins avant l’intervention des secours. Nous nous regardons tour à tour et j’observe que les traits de notre guide sont fins. Elle est petite, de type asiatique et bien proportionnée. Vous vous souriez, je me suis déplacé derrière toi et te tiens par la taille. La cabine est faiblement éclairée d’une lueur rouge par le bouton d’alarme. Tu n’opposes aucune résistance quand je caresse prudemment ton ventre.
J’ai en mémoire le souvenir de ton corps exposé dans le TGV et je défais ici aussi, le zip de ta jupe qui tombe à tes pieds et que tu repousses d’une talonnade.
La petite, très réactive, déboutonne sa blouse qui laisse apparaître comme unique sous-vêtement, un micro string sur une peau mate. Ses petits seins qui nous regardent, ont les bouts tendus, ils m’excitent rudement. Elle se colle devant toi et de mes mains libres je viens lui pincer les tétons et la force à s’agenouiller. Elle fait coulisser ton string jusqu’à tes chevilles et tu attires sa tête entre les jambes que tu écartes. Elle te lèche bruyamment, tu en trembles de plaisir.
J’ai retiré mon jean et mon çalecon et je sens des mains concurrentes qui cherchent mon sexe déjà bien bandé. Finalement, c’est l’asiatique qui, mieux placée, s’en empare et entame une branlette en règle, la langue toujours dans ta chatte. Tes tremblements s’amplifient comme mon érection.

Je ne me satisfais plus des seule caresses de la chinoise, et viens me placer derrière elle profitant de sa position cambrée. Je lui relève les fesses et la remplie jusqu’à la butée après avoir installé un petit manchon sur ma queue. Les coups que je lui assène t’obligent à te caler le dos jusqu’au fond de la cabine. Je devine sa langue te fouiller à chaque coup, un peu plus profond. Je ne tarde plus à jouir tant la volupté est grande. Et tu crie ton plaisir quand l’ascenseur redémarre…

PARTIE Nº3 Nous voilà installés dans notre chambre confortable.
Face à la notre, un couple est installé. J’ai surpris plusieurs fois le regard de l’homme te regarder subrepticement sans doute sensible à tes charmes. Nous nous accordons une sieste réparatrice avant de ressortir ce soir.
Après une douche fraîche tu t’allonges nue sur le lit. On toque à la porte, j’accueille notre voisin qui nous propose de sortir dîner avec eux. La porte s’est ouverte grande et je le vois lorgner au dessus de mon épaule. Pour tester sa hardiesse je lui propose de rentrer discuter dans notre chambre. Tu t’es recouverte du drap pour cacher ta nudité mais nous distinguons tes formes aux bras et jambes bien ouvertes, vision aussi indécente et ravissante que si tu posais nue. Nous nous asseyons sur le bord du lit.
Tout en parlant nos regards convergent vers tes formes en reliefs sous le drap et je te frôle distraitement les cuisses, jusqu’à venir appuyer le drap dans la fente de ton fruit intime que je caresse maintenant avec application. Notre voisin paraît ravis et mes mouvement s’accélère, une tâche de mouille grossit avec bonheur.

Je suis juste entrain de te branler au travers d’un drap devant un type que je ne connaissais pas, il y a cinq minutes!

Je ne résiste pas à l’envie de relever la toile lentement, découvrant une jambe finement galbée, une cuisse et la naissance de ton abricot imberbe et brillant.
On toque de-nouveau. C’est la compagne de notre ami, qui le cherche. Je réponds que nous ne l’avons pas vu, croyant me débarrasser d’elle. Elle insiste, réclame mon aide pour une connexion informatique. Je n’ai pas d’autre choix que de la suivre pour l’éloigner de notre porte. Et c’est en la suivant que j’observe la tenue légère puisque ses sous vêtements sont à peine couverts par un déshabillé aguichant.
Je règle rapidement son problème d’ordinateur, pendant le redémarrage de celui-ci je l’observe, brune, plus petite que toi, aussi mince, une belle poitrine , un sourire ravageur. Elle s’est approche si près de moi que mon bras, ma main sont venus la frôler en pianotant sur le clavier.
Je me lève du fauteuil, elle fait mine de se retirer, je l’att**** par la taille et la pousse sur son lit défait. Je l’immobilise ainsi, à quatre pattes et je lui baisse son string .

L’idée de t’avoir laissé seul avec cet inconnu, m’inquiète et m’excite tout à la fois. Je baise la dame sans ménagement ce qui lui plait à n’en pas douter tant elle se cambre se tend et gémit son plaisir.
Je me détache d’elle et ouvre la porte de notre chambre.

Je découvre ton visiteur la tête entre tes cuisses. Sa femme qui ma emboîté le pas, vient récupérer son homme et nous nous donnons rendez-vous à vingt heure…

Je m’échappe et cherche mon chemin pour me retrouver au sous-sol exactement à l’aplomb de notre table. Nos regards se croisent lorsque tu te penches sur le côté de ta chaise et que tu fais rouler ton string jusqu’a tes pieds, tu déposes celle-ci dans le creux de la main .Je lis dans tes yeux de la surprise quand elle me rejoint et je la découvre en string et soutien-gorge, je comprends alors, ton étonnement d’autant que le bout des seins et son sexe sont bien visible dans cette lingerie ouverte et sexy.

Avec une vision parfaite sous la table, j’ai le plaisir de mater ton sexe, comme tu tenais tes jambes largement ouvertes. Ta main caresse à présent ta chatte, et il s’est rapproché de toi pour participer à tes câlineries. Il a remplacé ta main et il te fouille sans discrétion. est collée derrière moi et ne rate rien du tableau. Elle cajole ma verge déjà gonflée, de sa main dans mon jean.
N’y tenant plus je la plie en deux et la fornique debout par son string ouvert , les yeux rivés sur son cul, car tu es à présent sous la table entrain de sucer l’autre.

chloé

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