Le piège était parfait 3
Pendant trois jours je n’ai pas eu le droit de quitter la chambre. Maître Frédéric venait une fois le matin et une fois le soir m’apporter mon plateau repas et me passer une pommade cicatrisante sur mes brûlures. Je devais tenir le repos avec l’obligation d’une hygiène corporelle parfaite et surtout veiller à être complétement épilé chaque jour. Il y avait dans cette grande chambre une salle de bain avec une petite baignoire. Je devais également faire une heure de rameur chaque jour pour garder la forme.
Je ne posais aucune question je me contentais d’obéir car je savais bien que tous les évènements qui se sont précipités ne me laisse aucune possibilité d’espérer autre chose que mon statut de soumise au service de Maître Frédéric. Mais j’étais tout de même totalement subjugué par mon état d’excitation malgré toutes les aberrations mentales que l’on me faisait subir.
Nous sommes le lundi 4 mars au matin et lorsque Maître Fréderic se présente dans ma chambre il est accompagné par un homme rouquin bien plus âgé que moi, il doit avoir la soixantaine bien sonné. Mon maître me dit : « Beryn, aujourd’hui nous allons passer à ton éducation proprement dite. Je te présente Daniel qui sera chargé de ton apprentissage de femelle soumise. »
Et sans me laisser le temps d’émettre une réponse, il poursuit :
« Ce matin je ne t’ai pas amené ton déjeuner car ta seule nourriture du jour sera de la semence humaine. Je veux que tu deviennes une experte dans ce domaine ! Mais selon les dires de ta femme tu adores ton jus alors je crois qu’aujourd’hui cela va être pour toi un 14 juillet avant l’heure. »
Les deux hommes se mettent à rire avec éclat. Je deviens rouge pivoine tant ces propos me bouleversent intérieurement.
Mais très vite Maitre Frédéric poursuit : « Daniel va t’emmener dans son palais et bien entendu tu lui devras complète obéissance. Il sera celui qui va rendre ta bouche digne de la chienne que tu es. » Puis Daniel s’approche et sans ménagement me passe un collier de chien autour du cou et m’ordonne de le suivre à quatre pattes en tirant sur la laisse. Maître Frédéric nous emboite le pas et me dit encore :
« Quand je vois ton petit cul, j’aurais envie d’en faire mon quatre heure tout de suite mais j’ai bien mieux pour toi. Je vais joindre l’utile à l’agréable et je vais mettre ton dépucelage aux enchères. Quand tu reviendras de chez Daniel on fera une belle cérémonie qui va me rapporter un max. » Et la Maître Frédéric conclut avec une perversion encore inusité :
« Je vais pouvoir commencer à recevoir les dividendes de mon investissement sur ton compte, Beryn. J’espère que tu es fier de pouvoir être utile à ton maître. » Ces propos m’horrifiaient mais au vu de la correction qui m’avait été administré par Nadège et Sophie je ne pouvais que lui répondre :
« Maitre c’est un vrai honneur de pouvoir vous être utile. » En plus mes propos hypocrites étaient validés par une érection phénoménale.
Après avoir descendu un escalier nous sommes arrivés dans un garage ou un moka noir de chez Opel nous attendait. J’étais complétement nu et de nouveau Daniel sans ménagement me fit monter dans le coffre ou m’attendait une couverture et un oreiller.
Avant de refermer le coffre, mon nouveau geôlier me dit : « Si tu es bien gentille et obéissante, tout se passera bien avec Tonton Daniel » Puis me caressant mon corps recroquevillé il conclut : « Le voyage ne sera pas long, j’ai trop hâte de tester mon nouveau vide couille. » Et il ferme le coffre. Et nous voilà parti.
Nous avons roulé une demi-heure environ avant que j’entende le moteur du moka s’arrêter. Mes pulsations cardiaques sont à leur maximum car l’angoisse me prend et je me demande ce que je vais devenir avec ce Daniel qui fait plus penser à un tonton flingueur qu’a un apollon comme peut l’être par exemple Maître Frédéric.
Au bout de pesantes minutes le coffre s’ouvre enfin et Daniel prend la laisse et m’ordonne de le suivre. Nous sommes également dans un garage et nous sortons à l’extérieur mais les graviers de la cour ne sont pas une partie de plaisir et nous arrivons dans une petite maison toute fleuri. Daniel me dit : « Ma femme va te préparer un rafraichissement mais avant cela je veux te voir t’astiquer la nouille. »
Et Daniel poursuit ironiquement en voyant ma queue reprendre de la hauteur : « Oh je vois que Tonton Daniel te fait de l’effet c’est ma femme qui va être jalouse. » Et à ce moment-là entre une femme forte a peu près du même âge que mon tortionnaire avec une écuelle pour chien dans les mains.
Elle dit : « Qu’est- ce qu’elle est mignonne notre nouvelle petite » Et la Daniel surenchérit : « Et en plus c’est une perle d’obéissance. Je crois que l’on va bien s’amuser. » Et la femme s’approche de moi en me disant : « Continue à te faire du bien ma poulette mais ne sois pas égoïste viens partager avec tata Mireille. »
Et là elle m’ordonne de m’allonger dos sur le carrelage et vient s’accroupir au-dessus de mon visage sa vulve a dix centimètres de ma figure car elle ne porte pas de culotte. Je suis totalement recouvert par sa jupe jusqu’ aux épaules.
Le spectacle est immonde j’en conviens mais ai-je une autre solution que d’obéir ? Très vite elle m’ordonne d’ouvrir la bouche et je dois goutter le champagne de Tata Mireille. C’est répugnant ! Mais tant bien que mal j’essaie d’avaler sans m’étouffer. Le supplice n’est pas long car très vite elle se relève et enjoué elle dit :
« Oh oui qu’est- ce qu’elle est docile, elle comprend tout, tout de suite. » Puis elle conclut : « Allez finit- toi comme cela tu pourras comparer ma pisse avec ton foutre. » Je m’exécute et rapidement mes jets de sperme viennent inonder le carrelage. Estomaqué Tata Mireille dit encore : « Tout cela pour nous, tu es vraiment une chienne incroyable ! Dommage que nous n’ayons pas suffisamment d’argent car nous t’achèterions volontiers à Fréderic. »
Ces propos de me voir devenir un objet me scandalisait mais je n’avais absolument aucune ressource pour résister. Tata Mireille reprend : « Bon allez maintenant nettoie tout cela avec ta langue et quand le carrelage brillera de nouveau, je te conduirai à l’étage ou t’attends Tonton. »
Pendant que je léchai avec répugnance l’urine de ma prédatrice j’appréciai ma semence avec délectation car le sperme est pour moi vraiment un met paradisiaque.
Tata Daniel vient faire un autre pipi dans l’écuelle. Et une fois qu’elle estime que j’ai bien astiqué le sol, elle me dit : « Tu vas monter l’écuelle avec les mains dans la chambre car avec Tonton cela peut être long et tu auras besoin peut être de te désaltérer. Mais surtout n’en renverse aucune goutte sinon Tata sera colère »
Sur ces mots je n’avais vraiment pas envie de voir Mireille en colère et je me suis appliqué à transporter l’écuelle au trois quart rempli sans en faire déborder une seule goutte. Arrivé à l’étage elle m’ouvre la porte d’une chambre à droite sur le palier. Je vois que Daniel est couché dans un lit. Je pose délicatement l’écuelle sur le parquet. Tata m’enlève mon collier et la laisse et me murmure dans l’oreille. « Sois bien gentille avec Tonton ! »
Immédiatement Daniel m’invite à venir le rejoindre sous la couette. Je me glisse dans le lit et Daniel avec un sexe imposant au garde à vous, tout excité de ma présence commence à me caresser de partout. J’essaie autant que possible de me décontracter malgré le physique repoussant de mon partenaire. Très vite Il commence à m’embrasser dans le cou et voyant mon manque d’entrain il me dit quelque peu irrité :
« Tu vas venir me rouler une bonne galoche salope » Avec un profond dégout, je viens entrer ma langue dans sa bouche mais au moment où nos langues fusionnent, Daniel vient me titiller la rondelle. Et là, ma queue reprend du volume.
Le désir aidant je continue à faire prolonger notre premier baiser interminable. Et j’ose enfin sans tabou prendre à pleine main son sexe.
Mon anus est vraiment une zone érogène phénoménale et Daniel l’a bien compris. En continuant à me titiller mon intimité, il fait de moi une vraie chienne opportuniste. Et alors je quitte sa bouche et rapidement je viens le sucer.
C’est la première queue que je prends en bouche de toute ma vie et je suis subjugué, fasciné, envouté. Et Daniel enserrant ma tête de ses deux mains m’incite à poursuivre mon pompage. Je suis en transe quand sa semence laiteuse gicle dans ma bouche et s’écoule dans ma gorge. Mon Dieu que c’est bon !
Daniel est aux anges de me voir complètement aspiré, nettoyé sa verge. Il me dit : « Tu as un don salope ! Je n’ai jamais vu quelqu’un qui aime le foutre comme toi. Tu vas faire fureur avec mes amis ce soir. »
Puis reprenant ses esprits Daniel me dit : « Pour les pipes tu te débrouille à merveille mais je veux que tu sois plus entreprenante. Il ne faut pas que l’on soit obligé de te toucher le trou du cul pour que tu deviennes énergique. Tu es docile et obéissante mais je veux plus de spontanéité car il y a des personnes qui vont laisser de l’argent pour que tu les câlines et il faut qu’il soit heureux en te quittant. D’accord ? »
Savoir que j’allais devenir une vraie pute m’impressionnait grandement mais je ressentais par ailleurs tellement d’excitation qu’il fallait bien que je fasse confiance en mon destin. Et ma réponse fut sans équivoque : « Oui Tonton je ferais mieux la prochaine fois. » et je viens de nouveau me coller contre lui en lui caressant les cuisses. Et au bout de quelques secondes il me dit :
« Bon on va tester si tu as bien compris ! » Et la se retournant il m’offre ses fesses en disant : « Viens me lécher le cul putain, et fais ça bien ! »
Piégé je ne pouvais qu’obtempérer, je retiens ma respiration et viens fourrer ma langue dans son intérieur. Apres des premiers passages quelque peu amers, la suite était plutôt agréable surtout que je sentais que Daniel appréciait fortement ma caresse et que son sexe reprenait de l’ampleur. Et là je décide tout en lui léchant le fion de le branler avec ma main droite.
Immédiatement Daniel m’encourage : « Allez chienne va jusqu’au bout fais-moi gicler de nouveau. » Et au bout de quelques minutes Daniel dans un paroxysme de plaisir s’écroule sur le lit. Dès qu’il se remet sur le dos je m’empresse de tout lécher sa semence et de rendre son sexe neuf comme celui d’un bébé.
Daniel me dit jovialement : « Bon moi tu m’as comblé et même si te déchirer ta rondelle de pucelle me plairait beaucoup ! Mais bon c’est interdit ! Alors va maintenant proposer ta langue a Tata Mireille qui sera que trop contente que je lui prête mon bon jouet. »
J’allais me diriger vers la porte de la chambre quand il me dit :
« Surtout avant, bois toute sa pisse et ramène lui la gamelle vide en lui proposant un nouveau millésime car là, elle sera trop contente ! Et quand Mireille est heureuse c’est une journée de soleil pour tous ceux qui l’entourent.
Je m’exécute et une nouvelle fois je bois le champagne de Mireille mais cette fois il est froid et c’est horrible. Seulement docilement j’avale cet affreux élixir. Puis me levant pour sortir de la chambre, Daniel me précise encore :
« Alors, ma salope, je te fais confiance, tu n’as plus de laisse, tu peux te déplacer dans toute la maison mais surtout n‘essaie pas d’en sortir. Tu n’irais pas loin car j’ai deux chiens très féroces qui sont en liberté à l’extérieur. Ceci dit je te fais confiance va retrouver tata Mireille. »
Je sors de la chambre avec ma gamelle à la main et je pars a la recherche de Mireille. Je la trouve facilement assise sur un canapé regardant la télé. Je m’approche d’elle et lui dit :
« Tonton Daniel m’a demandé de venir vous tenir compagnie. » Elle me répond avec un rayon de lumière dans son regard : « Oh il est trop chou ! »Et je poursuis mon hypocrite demande :
« Tata Mireille, j’adore votre champagne et j’aimerai dès que cela sera possible que vous m’en refassiez une gamelle. »
« Oh quelle gourmande ! Mais avant je veux savoir si tonton ne t’as pas trop épuisé et si t’es capable de bander encore ? Je me lève et devant Mireille je me masturbe jusqu’à que ma queue reprenne sa pleine autonomie. » Et elle me lance :
« Alors si tu me fais bien l’amour je t’offrirai encore de mon champagne. » J’étais une nouvelle fois prisonnier, de mes bonnes intentions et le couple pervers en profitait bien. Je suis donc Mireille dans une chambre attenante à la cuisine. Là elle me dit : « Enlève moi mes chaussures et lèches-moi les pieds chérie. » Je m’exécute ses pieds sont d’une puanteur extrême. Mais après l’urine je ne suis plus à cela près, et je lèche aussi bien que possible les deux pieds de ma tortionnaire. Mireille me dit ensuite :
« Maintenant ma truie, monte, viens jusqu’à ma chatte. » Ma langue après avoir fait le tour de ses grosses jambes, mollets et cuisse arrive jusqu’ au sexe de Mireille et je m’enfonce dans cet orifice gluant de mouille. Très vite je la sens complétement euphorique et elle me dit sur un ton suppliant : « Vas- y salope prends moi. »
Et en pensant à la bite de Daniel qui m’avait tant régalé, je pénètre Mireille et la lime du mieux que possible. Elle explose enfin transi de jouissance, m’abandonne complétement pendant quelques minutes extatique. J’en profite pour me retirer d’elle.
Quand elle reprend ses esprits, elle est enchanté et me dit : « Tu es vraiment une perle ! On va beaucoup te regretter. » Puis se levant elle vient me donner un baiser sur le front en me disant : « Merci chienne. »
Tonton Daniel arrive sur ce fait et dit : « Il est l’heure d’emmener notre amie vers le lieu de rendez-vous. Tu m’accompagnes Mireille ? » Et la réponse de Mireille ne se fait pas attendre : « Oh oui mon cœur, j’ai trop envie de voir comment la petite va se débrouiller. » ET Daniel me regardant me dit :
« Ce soir tu vas sucer, sucer encore sucer. Je t’emmène dans une soirée un peu spéciale où tu devras être très disponible. Mais je ne t’en dit pas plus. » Cela me laissait très songeur mais le fait de penser que j’allais devoir avaler des litres de sperme me réjouissait fortement. Je reprends ma place dans le coffre de la voiture et nous voilà parti.
Là, le voyage me parut bien plus long, une heure, une heure et demie. Quand Daniel ouvre le coffre immédiatement il me met un bandeau et c’est Mireille qui me prend le bras pour me guider. On arrive à un portail et j’entends Daniel dire : « C’est nous on arrive avec notre bouche à foutre. »
Et instantanément je sens une truffe qui vient me renifler les fesses. Et là Mireille me dit jovialement : « Je te présente Sultan il adore se faire sucer par les chiennes. » Et la hors de moi : « je dis non pas cela ! » Je reçois une baffe magistrale de la part de Mireille et elle m’enserre les parties génitales fortement et me dis a l’oreille :
« Encore un mot de ta part et je te promets une raclée monumentale mais surtout ne nous fait pas honte, notre honneur et entre ton obéissance. » Et la de vraies larmes perlent sur mon visage mais je dis tout même malgré l’humiliation extrême :
« Pardonnez-moi tata je ferais tout ce qu’il faudra. » Et à l’issue de ses paroles elle desserre sa pression sur mon sexe et à la place elle me caresse affectueusement mon organe génital. Elle reprend avec douceur :
« Tu verras Sultan est très gentil si l’on est gentil avec lui. » et là on me fait descendre un escalier et me pousse dans une espèce de cage à l’intérieure d’une grande pièce vu l’ambiance surchauffée qui y règne.
Alors Mireille m’ordonne d’enlever mon bandeau et je me retrouve effectivement dans une cage, comme au cirque avec une scène et un public nombreux tout autour.
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