Estelle entre dans la cuisine. La mère est là à poil près des plaques de cuissons qui réchauffe les raviolis dans une grande casserole. Elle fait un pas en arrière.
– Tu fais quoi là ?
– Je réchauffe les raviolis pour dîner.
– Et tu fais ça à poil ?
– Cela te gênes ?
– Non, mais je ne t’es jamais vue nue et là, j’ai du mal à comprendre.
Elle tourne la tête vers la grande salle ouverte sur la cuisine. Elle nous regarde tous. Son frère en train de branler Ben, qui suce Marc, que je doigte. Je la salue d’un…
– Bonjour, ru viens jouer avec nous ?
– Ce n’est pas vrai ? C’est devenu quoi chez nous ? Et toi tu es en train de branler Ben au lieu d’être au lycée.
– Et alors, il n’y à pas que toi qui à le droit de jouer avec la bite de ben. Hein Mic ?
– Oui ma belle, et ta mère à l’esprit de famille, alors fout toi a poil et viens nous rejoindre.
– Mais papa doit rentrer plus tôt, aujourd’hui.
– Et bien on lui dira de participer à notre réunion de famille. Allez ne fais pas ta chochotte.
– Oui, on sait que tu te fais mettre par les mecs du quartier.
Je l’att**** par la main et la tire vers moi. Je glisse ma main sous sa mini, la salope n’avait pas mis de culotte. Je sens une moule lisse. En plus elle se rase. Mes doigts glisse entre les lèvres, c’est humide. Je soulève la mini et découvre un joli abricot, tout frais, tout gonflé. Je tends la langue. Elle se colle à ma bouche. Ma langue cherche à s’enfoncer. Je lui tiens les fesses pour mieux la plaquer contre mon visage. Elle approche ses mes de chaque coté de sa vulve et écarte. Hummm ! Je la bouffe doucement, mon nez heurte un clito près à éclater. Mes doigts s’agrippe à ses fesses, les écarte. Son frère, dégrafe la ceinture de la mini et la retire par le haut en même temps que le tee-shirt. De belles poires apparaissent, tout de suites palpées par Marc. Son frère est déjà raide. Il se colle à elle, glissant entre ses jambes sa fine queue qui heurte mon menton. Je suce la sœur et le frère coup sur coup. Elle gémit. Son frère recule, prend sa queue en main et la glisse entre les fesses écartées de mes mains. Il ne cherche pas longtemps et plante sa bite à l’orée du cul d’Estelle qui donne un petit mouvement en arrière. C’est parti, il entre comme dans du beurre.
– Je l’avais bien dit qu’elle se faisait bourrer par le quartier. Lance Marc.
– Ben oui quoi, je veux rester vierge pour mon mariage. Alors vas y petit frère défonce ta sœur.
La mère à arrêté de chauffer sa casserole. Elle est là, une jambe sur une chaise, l’autre par terre, la main sur sa chatte, armée du concombre resté sur la table, elle se le passe doucement, le lèche, puis se l’enfonce.
– On mangera plus tard, j’ai trop envie. Dit elle.
– Met toi le dans le cul maman, je vais te bouffer la chatte pendant que mon frère m’encule. Dit Estelle.
Marc, Ben et moi sommes sur le canapé à les regarder. C’est beau l’esprit de famille. Joli tableau. On est là tous les trois à se caresser mutuellement. Les couilles vident qui pendent bien. La mère, ce ramone le cul avec le concombre. La fille a genoux sur une chaise broute sa mère pendant que son frère lui ramone le cul a grands coups de bite bien raides. Ses bourses tapent ses fesses. Ses gros nichons bien ferment pointent. Son frère tire sur ses tétons bien tendus obligeant les seins à s’étirer sur les côtés, le salop lui fait mal, mais plus il tire, plus elle remue du cul en grognant.
Un grincement, la porte s’ouvre et c’est le père qui entre. Stupeur, il est là, referme la porte et s’appuie contre elle.
– C’est quoi ça ?
– Ben on baise, chéri, vient avec nous.
– Oui Ppas, donne moi ta grosse queue dit le fils.
Le père ne bouge pas, il reste collé à la porte. Comme étourdit, sans un mot. Je me lève vers lui. M’approche et je vois une bosse dans son pantalon. Secoué, mais excité. Je passe ma main sur la bosse, baisse la fermeture, il ne dit rien. Je sort un gros morceau à la tete violacée. Ma main glisse à l’interieur et palpe des grosses couilles mollent qui doivent bien oendre. J’att**** le paquet et le sort sous la bite. C’est trop gros pour moi, j’aime les belles, fines, même molles. Les grosses bites ne m’attirent pas plus que ça. Une sucette c’est bien, branlé ok, mais sans plus. Alors que les petites, j’adore… Petites, pas trop. Disons moyennes et qui à quatre pattes pendent bien devant de belles couilles qui se balancent aussi au moindre mouvement. J’adore les contempler, tâter, caresser, prendre en main, tirer dessus et bien sur en bouche. Voilà, c’est dit.
Je le tire vers la grande pièce. Il ne dit rien, mais ça bite est bien raide maintenant. Je le fais asseoir entre Marc et Ben, qui aussitôt le masturbe à eux deux. Il regarde sa femme enculée par elle-même se faisant brouter par sa fille enculée par son frère. Estelle commence à joui et balance un jet d’urine en même temps. Son frère, se retire, elle se retourne, prend la pine sale en bouche et le suce quelques instant. Il joui lui aussi très fort dans la bouche de sa sœur, qui avale promptement. Elle revient vers Ben et s’empale de nouveau sur sa bite. La mère retire son concombre, vient vers Marc et s’empale aussi sur la bite tendue. Le fils, regarde l’énorme bite violacée de son père.
– Je peux dit il en s’installant sur le gros gland que j’ai pris en main pour le guider.
Et à mon grand étonnement, le fils, n’est pas à sa première sodomie. Il écarte ses fesses, s’assied sur le nœud et s’enfonce doucement. Et ça rentre complètement. Je suis devant eux, la bite à la main à les regarder s’empaler ensemble, chacun sur une bite. Je vais aller d’une bouche à l’autre pour me faire sucer jusqu’à ce que je décharge mon foutre. La dernière scène ce sera passé sans un mot, juste des râles, des soupirs, pas de quoi alarmer les voisins. Ainsi s’achève cette aventure démarrée par une simple réunion associative annulée. J’espère que les lectrices ou lecteurs auront aimé cette aventure. D’autres pourront suivre, peut être en billet pour pouvoir les illustrer. Il ne tient qu’à vos encouragements pour que de nouveaux exploits soient raconté par Pepere66, vous pouvez proposer des sujets… A bientôt et merci de vos commentaires.
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