Qu’elle nuit agitée pour nous tous et surtout pour mes filles. Pour aller se coucher, elles se sont jetée dans les bras l’une de l’autre et sont allées dormir dans la même chambre.
Avec David et Patricia nous avons fait de beaux rêve dans la chambre conjugale. Au réveil le lendemain, Je vois Patricia qui taille une pipe à mon homme, mais pas de David dans le lit. A pas de velours, je quitte la chambre, laissant Alain et Patricia à leurs ébats matinaux et fille vers celle de Séverine ou je me doute que David s’est glissé.
J’entrebâille la porte et je constate que David est en plein ébat avec mes deux filles qui semblent y prendre énormément de plaisir. J’ai une envie folle d’entrer et de participer avec eux mais, à ce moment, je préfère jouer la voyeuse.
David bande comme un âne et les pelotes outrageusement, alors que mes deux filles se gouine copieusement. Je suis très excitée et me caresse le minou en les regardant. Je suis un peu jalouse quand je vois David écarter une jambe de Séverine et Isa qui guide cette verge désirée vers l’entrée de son vagin. David s’enfonce en douceur dans le doux fourreau sous les gémissements de plaisir de ma plus jeune fille. Il entame alors un va et viens voluptueux pendant qu’Isa lui pelote les couilles et lui met un doigt dans le cul. Leurs gémissements ne font qu’amplifier mon plaisir. Je savais que mes filles étaient chaude mais de les voir s’éclater comme ça avec David est quand même étonnant pour moi. Je ne pensais pas qu’elles aimaient autant se faire mettre. David a de l’endurance et quand Séverine joui, c’est au tour d’Isa de savourer cette belle verge tendu et luisante de la cyprine de sa sœur. Je l’entends lui demander :
« Comme j’ai mes règles, je préférerais que tu me sodomise David. »
Elle se met en levrette, se cambre et aidé de Séverine qui lui écarte le cul, David vient sur elle et d’une poussée progressive, il pousse sur la rosette d’Isa et la pénètre progressivement jusqu’à la garde.Isa sous cette dilatation grimace et serre les dents pour ne pas crier. Il s’immobilise un instant avant de commencer à lui bourrer le cul. Séverine s’occupe des seins et du clito de sa sœur. De mon côté je me masturbe comme une damnée. Puis Séverine se met à côté de sa sœur en levrette et en se cambrant elle suplie David de venir l’enculer à son tour. Ni une ni deux David sort du cul d’Isa et s’enfonce dans celui de Sév qui cri de bonheur. Puis, il se met à passer joyeusement d’un cul à l’autre accompagné d’un petit cri à chaque pénétration. Autant dire qu’à se rythme David ne tient pas longtemps et au moment d’exploser, il leur dit :
« Tournez vous les filles, je vais vous juter sur la gueule ! »
Au moment où ils les asperge de sa crème, je joui en serrant les dents pour qu’ils ne m’entendent pas et file à la salle de bain pour prendre une bonne douche.
Quand je rejoins la cuisine pour déjeuner, tout le monde est déjà attablé. Nous sommes tous resté nus. Mais je suis la seule à être clean. Les autres sentent le stupre et je ne manque pas de leur dire :
« Vous auriez au moins pu passer par la salle de bain avant de venir manger ! »
Ils rigolent tous ne sachant pas que je les ai vu baiser ce matin. Alors que pour me provoquer Alain malaxe allègrement les mamelles de Patricia, David me dit :
« T’es jalouse Michèle ? Peut-être que me sucer te ferait le plus grand bien ! »
« Je vais certainement pas te sucer ! T’as vu l’état de ta bite ? Il y a à boire et à manger dessus ! »
Alain intervient sur un ton outré :
« Michèle ! Comment ose tu parler comme ça à notre in vité ! Suce le c’est un ordre sinon tu sais ce qui t’attend ! »
Le ton ne demande pas de réponse et je me penche sur cette bite infâme où sperme, cyprine et reste de menstruation de mes filles lui donne un aspect peu ragoûtant.
Pour ne pas vomir, je l’enfourne complètement et me met à le pomper presque sauvagement.
« Merde ! Qu’elle ardeur ! » Dit-il.
Il prend rapidement une dimension convenable et en me prenant les cheveux il donne son rythme et m’oblige à des gorges profondes. Au bout de dix minute le voilà qui éjale au fond de ma gorge en éructant :
« Avale putain ! »
Les autre m’encourage et je dégluti sous les applaudissements.
Mes filles me feront la confidence ensuite d’avoir bien aimé cette soirée et ce petit déjeuné souhaitant faire parti de notre groupe.
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