Cette histoire est purement inventée. Si vous appréciez ce texte, faites le moi savoir et je continuerais les aventures de Valérie. Et si vous avez des situations dans lesquels vous voudriez voir évoluer notre héroïne, faites le moi savoir aussi. un ptit signe si vous avez aimé merci.
C’est avec une certaine anxiété que j’avais accepté de faire ce voyage à New-York afin de voir un client et assister à un congrès sur des nouveaux produits pharmaceutiques et des instruments chirurgicaux. Trop d’heures d’avion pour trouver une mégalopole surpeuplée d’inconnus. C’était un moyen pour montrer à mon supérieur mon envie de progresser professionnellement.
Mon avion atterrit à 12h heure locale. J’étais frigorifiée après ces 11 heures d’avion. Un taxi me déposa à mon hôtel, et malgré mon humeur maussade je retrouvai le sourire devant l’hôtel, ravie du choix de ma broîte, un hôtel 4 étoiles avec piscine intérieure, centre de fitness, sauna et hammam. Ma chambre était spacieuse avec un salon et une chambre avec un immense lit. A peine mes affaires sorties de la valise et rangées dans l’armoire, je sortis de ma chambre munie d’une serviette et d’un peignoir à l’effigie de l’hôtel direction le hammam. Je n’avais pas pris de maillot de bain, si j’avais su, mais comptais sur l’heure pour être seule. J’avais jugé juste. L’espace détente de l’hôtel était rien que pour moi. Pas question de se baigner nue dans la piscine bien sûr mais je pouvais au moins me glisser dans le hammam ou le sauna seulement enveloppée dans ma serviette et si par malheur une personne venait, je n’avais qu’à partir de suite.
Je me rendis donc dans les vestiaires, me dévêtis entièrement et m’enroulai dans la serviette. Je sortis des vestiaires en catimini. Toujours personne. Je me dirigeai directement dans le hammam, me posai dans un coin et pus enfin me détendre. Mon corps commençait à se réchauffer dans cette atmosphère moite. Plus je me détendais, plus je me rendais compte de ma nudité sous la serviette. Je n’avais pas l’habitude de me retrouver nue dans un endroit public et j’avais à la fois un sentiment de honte et d’excitation. Je sentais des gouttes de sueur se glisser entre mes seins, entre mes cuisses. Petit à petit, la honte disparaissait au profit de l’excitation. Je décidai d’enlever la serviette, de l’étaler sur le banc en céramique et de m’allonger sur le dos dessus. J’essayais de me détendre, d’évacuer cette excitation soudaine pour gagner de la sérénité. Mais malgré mes tentatives, je remarquais que les tétons de mes petits seins étaient gonflés de désir et le moindre effleurement dessus m’envoyait des petites décharges électriques dans tout le corps. Je passai la main prés de mon sexe, mes doigts passèrent dans ma toison noire et trouvèrent mon sexe humide. J’en restai troublée. Etre autant excitée simplement en étant nue, était-ce du au fait d’être dans un lieu public pouvant être découverte d’un instant à l’autre. C’était la première fois que ça m’arrivait, sans autre stimulus d’une autre personne.
Voyant que je ne pouvais me détendre, je me drapai dans la serviette maintenant humide et sortis du hammam, direction les vestiaires. Les lieux toujours vides, je pris le peignoir, jetais la serviette maintenant inutile, accrochais le peignoir à un porte-manteau et me dirigeai dans les douches. L’eau était plus froide que ma peau et cela me fit du bien. Mon excitation inexpliquée me quittait et bien qu’à la sortie de la douche j’avais toujours les tétons dressés, c’était à cause du froid.
Alors que je me dirigeai vers le peignoir, la porte s’ouvrit sur une femme en tailleur. Elle resta devant l’embrassure de la porte à me regarder. Une fois l’effet de surprise passé, je me jetais dans mon peignoir, et partie vite fait me changer les yeux fixés au sol pour ne pas croiser le regard de l’intruse, qui, par ailleurs était rentrée et commençait à se changer. Je m’habillais dans la précipitation, sans mes sous-vêtements que je plaçais dans les poches de mon peignoir et quittais la pièce. Avant de refermer la porte derrière moi, je lançais un petit « désolée » et la personne me répondit presque du tac-o-tac « mais il n’y a pas de quoi ». C’est une fois dans l’ascenseur, que je m’aperçus que la femme m’avait répondu en français, et sans accent. C’était bien ma chance, une française nue démasquée par une autre française dans un hôtel New-yorkais. Je regagnai ma chambre, commandai au room-service un repas léger. Une fois rassasiée, je m’allongeai sur le lit et glissai dans un doux sommeil.
Je me réveillai à 21h30. La télévision ne passait que des talk-shows américains, des documentaires à la gloire des américains et des clips musicaux vulgaires où des rappeurs balancent des liasses de dollars à des filles dénudées. Comment pouvait-on laisser ce genre d’images machistes ? J’éteignais la télé et descendis au bar. Je m’assis au bar et commandai un bloody Mary. Il était très bien dosé, bien épicé et bien alcoolisé. Cette première gorgée réveilla le souvenir de mon aventure de l’après-midi, et je souris d’avoir été aussi idiote.
Alors que je buvais tranquillement mon cocktail, une femme s’assit près de moi et me dit :
– « Re-bonjour, ou plutôt bonsoir »
Je faillis m’étouffer avec ma boisson en reconnaissant la femme du vestiaire.
– Heu… oui, re-bonjour, répondis-je sans pouvoir empêcher mes joues de rougir.
– Je n’ai pu m’empêcher de remarquer que vous étiez comme moi, française et je me suis dis que ‘l’on pouvait faire connaissance non ?
– Heu, … oui si vous voulez, pourquoi pas ?
– Ah, au fait, j’ai votre petite culotte, disant ceci, elle me tendit le slip noir que je portais ce matin. Elle est tombée lorsque vous êtes partie précipitamment tout à l’heure. »
Je lui arrachai des mains mon slip et l’enfouis profondément dans la poche de mon jean, et mes joues repassèrent directement à l’écarlate.
– « Ne soyez pas gênée, ne vous en faites pas j’ai l’habitude ?
– L’habitude ?
– Oui, je me présente Amélie C. journaliste de mode, spécialisée dans la lingerie. Et c’est en gros, mon métier de regarder des jolies femmes nues ou en tenue légère.
– Ah… heu…
– Et vous ? Qu’est ce que vous faites à New-York ?
Et ainsi, je fis connaissance d’Amélie, jolie blonde d’1 mètre 78, avec de jolis yeux verts. Nous bûmes quelques autres cocktails ensemble, racontant chacun notre vie, et comment on se retrouvait à discuter à ce bar. Elle affichait une sensualité débordante et aimait s’en amusait. Totalement libérée, elle réussit à me détendre et à me faire raconter le pourquoi de mon trouble. Elle me racontait des choses que je n’aurais pu raconter à une inconnue, sa vie sexuelle débridée, et une personne au fond de moi l’enviait.
Alors que l’on discutait de choses de plus en plus intime, je la vis enlever deux boutons de sa chemise blanche, et en bombant légèrement le torse fit sortir légèrement son soutien-gorge noir. Je me surpris à regarder sa poitrine dévoilée et sentis l’excitation de l’après-midi poindre le bout de son nez.
-« Est-ce que tu aimes jouer avec les mecs ? me demanda-t-elle
-C’est-à-dire ?
-Regarde discrètement sur ta gauche, il y a quatre mecs qui nous matent et rigolent entre eux. C’est une attitude que je déteste chez ce genre de mecs.
Je pris mon verre et je lançai un regard autour de moi. Je vis le groupe d’hommes. Ils riaient en nous regardant, l’un trouva mon regard, me souris en levant son verre.
– En effet, oui.
Elle me lança un regard coquin et bougea légèrement de son siège pour que les hommes puissent voir son décolleté plus que provocant. Je ne savais absolument pas comment tout cela allait se terminer mais je sentais en moi comme une barrière de l’interdit qui tombait et qui me laissait dans l’inconnu. J’en étais tremblante.
Amélie continuait à faire la discussion tout en lançant des regards et autres sourires aux quatre gars. Elle les allumait tout simplement. Et moi qui ne voulais absolument pas finir la soirée avec des machos qui ne penseraient qu’à nos culs.
Soudain Amélie se leva de son tabouret, me prit par la main et m’emmena vers les mâles. Je la suivis, plus par dépit, quand elle s’arrêta net à mi-chemin du groupe. Elle se tourna rapidement vers moi, prit ma nuque dans sa main et m’embrassa.
Totalement prise au dépourvu, je me laissai faire, fermai même les yeux, subjuguée par les sensations ; la douceur de ses lèvres, le goût de son rouge à lèvres, la caresse de sa langue sur mes lèvres. J’entrouvris les miennes et sa langue passa dans l’ouverture. Ma langue vint timidement à sa rencontre. Je sentais le rhum qu’elle avait bu précédemment.
Aussi soudainement elle arrêta son baiser, et repris sa marche vers les hommes ébahis tout en m’emmenant. Passant prés des hommes, elle leur dit « Sorry gentlemen, good night ». Et nous sortîmes du bar. Elle m’emmena vers les ascenseurs.
– « Je crois qu’ils ne l’oublieront pas de sitôt » et elle ria. Je commençais à me remettre de ce baiser et esquissai un sourire « oui, c’était marrant ».
– On boit un dernier verre ?
– Ou ?
– Soit dans ma chambre soit dans la tienne ! Peu importe, demain je ne travaille qu’en fin d’après-midi
– Moi aussi … peu importe. » Oui, il me fallait bien un verre pour me remettre de ce baiser doux, sensuel et enivrant.
– Allons dans la mienne, comme ça je pourrais enfiler quelque chose de plus confortable.
Et ainsi, je suivis Amélie dans sa chambre. Nous continuâmes à discuter, allant même nous raconter notre première fois. Toutes ces discussions me rendirent d’humeur coquine et lorsque je racontais mes souvenirs je commençais à raconter des choses de plus en plus inavouables, enfin pour moi, allant à avouer que je disais à mes amants que ma position favorite était la position de l’amazone alors qu’en vérité c’était la levrette, jusqu’à raconter en détail ma première fois et comment j’étais étonné de ce sexe d’homme dressé tel un appendice tout droit sorti d’un film d’alien, et une fois l’acte sexuel terminé, comment j’avais joué avec la verge afin d’en connaître le secret.
Tout en racontant sa première expérience sado-maso, Amélie se leva et allant vers son armoire, défit sa chemise et la laissa tomber au sol. Je ne pus détourner mes yeux de sa poitrine, beaucoup plus grosse que mes petits 90B. Elle me vit la regarder et dit :
– « C’est vrai que je t’ai vu nue cet après-midi, il faut que l’on soit quitte » et avant que je puisse répondre quoi que ce soit, dégrafa son soutien-gorge et le lança.
o Il retomba sur mes genoux. Je ne savais pas quoi dire. Ses seins étaient magnifiques avec de grosses auréoles. Sans le soutien-gorge, ils retombèrent légèrement, signe d’une poitrine lourde. Elle défit les boutons de son pantalon qui glissa jusqu’à ses chevilles. Elle ne portait pas de culotte. Elle était totalement nue devant moi. Je ne savais quoi regarder. Elle avait un corps superbe, une peau claire presque blanche, des jambes fines, des cuisses musclées, des hanches parfaitement dessinées, un sexe épilé, totalement démuni de poil pubien, un ventre plat où se dessinaient ses abdos, des seins parfaits, et ses magnifiques cheveux d’or qui retombaient en cascade sur ses épaules.
o Elle s’avança vers moi, se pencha et m’embrassa. Je fermai les yeux et me laissai faire. Elle se mit à califourchon sur moi. Je sentais ses seins contre moi. Je lançai timidement une main vers un de ses seins quand elle me plaqua la main sur l’un d’eux. Elle appuya avec force, m’indiquant que je ne devais pas hésiter.
o Je sentais son téton dur dans ma paume. Je le pris entre deux doigts et jouai avec, chose que j’adorais que l’on me fasse. Elle me répondit par un petit halètement, elle aussi.
o Soudain, elle se leva, me pris par la main et m’emmena vers son lit. Là elle me fit allongée et me dit dans le creux de l’oreille « je vais t’attacher, mais n’aies crainte ». Totalement perdue, je me laissai faire.
o Elle m’attacha les mains au montant du lit avec deux foulards noirs, sans doute sa couleur préférée. Elle s’assit à califourchon sur moi et m’embrassa à nouveau, cette fois-ci avec un peu plus de fougue et une pointe de sauvagerie. Elle se redressa et enleva les boutons de ma chemise. Elle découvrit ma petite poitrine dans son écrin de dentelle blanche. Déjà qu’elle n’était pas très grosse mais comme j’étais allongée, elle était ridicule à côté des seins d’Amélie. Elle abaissa mon soutien-gorge pour mettre à nue ma faible poitrine avec ses tétons dressés, durs de désir. Elle les caressa, « hum, aussi dur qu’un sexe d’homme » puis les embrassa, je sentis ses dents me mordiller.
o Sa bouche descendit sur mon ventre et s’arrêta à mon pantalon. Elle enleva rapidement mon jean, fallait dire que je l’aidai au maximum de mes capacités. Elle embrassa mon sexe à travers mon slip et caressa mes cuisses. Soudain, elle arracha ma culotte faisant jaillir ma toison sombre. Elle passa sa main dans mon sillon et ce contact m’électrisa, je ne pus contenir un petit gémissement.
– « Mais dis donc tu es toute humide, déjà… ». je sentais ses doigts jouer avec mon sexe, ouvrir mes lèvres intimes, rentrer légèrement en moi, remonter effleurer mon clitoris. Ses contacts se furent de plus en plus pressent et mes hanches commencèrent à bouger au rythme de ses doigts. Elle retira sa main et amena ses doigts à ma bouche. C’était la première fois que je gouttais à ma propre « liqueur ». C’était chaud et doux.
– Elle mit sa tête entre mes cuisses et commença à me lécher tout en me pénétrant avec deux doigts. Sa langue savait jouer avec mon bouton intime et ses doigts palpaient l’intérieur de mon sexe. Je sentais la jouissance m’envahir. Je gémissais de plus en plus jusqu’à l’éclair aveuglant. Une décharge électrique se déversa dans tout mon corps. Je sentis mon vagin se contracter plusieurs fois et je m’entendis crier.
– Je repris lentement mes esprits, j’avais enfin trouvé la quiétude que je désespérai trouver ce matin à ma descente de l’avion. Amélie se releva et m’embrassa. Sa bouche était remplie de ma cyprine.
– « J’ai adoré merci, lui dis-je, je voudrais bien te rendre la pareil »
J’étais toujours dans la chambre d’Amélie, sur son lit, nue et encore tremblante de l’orgasme offert par la belle blonde. Elle s’était retirée dans la salle de bain, où elle prenait une douche. La vapeur sortait par la porte restée ouverte. Reprenant mes esprits, je me redressai, passant une main sur mon sexe, ma toison était poisseuse. Oui j’avais besoin d’une douche. C’était donc tremblante par le désir et la timidité que j’entrai dans la salle de bain.
Elle était superbe sous la douche, des formes gracieuses et bien que je n’ai pas d’attirances particulières envers les femmes, je voulais parcourir son corps avec ma bouche et mes doigts. Elle me vit et d’un clin d’œil me fit signe de m’approcher. Je rentrai dans la douche, frémis sous le jet d’eau brûlante. Amélie se colla contre moi et ses mains commencèrent à me caresser. Elle prit du gel douche et commença à me laver. Je fis de même.
Je passai délicatement les mains couvertes de gel douche sur le corps de la belle. Je remontais à son cou, redescendais entre ses seins, fis le tour de sa poitrine commençant par le bas et remontais à ses tétons. Elle se retourna et me montra son dos. De sa nuque ma main suivit les contours de sa colonne vertébrale jusqu’à ses fesses. Je n’osai aller plus loin, Amélie le ressentit, se retourna, m’embrassa et guida ma main sur son sexe. Quelle sensation extraordinaire que de toucher, de caresser le sexe d’une autre femme. Son pubis était d’une douceur saisissante. Ses lèvres intimes étaient beaucoup plus grosses que les miennes, je laissai mon majeur s’insinuer entre ses lèvres. Il trouva immédiatement l’entrée de son sexe. N’osant pas y aller de suite, je le fis remonter à la recherche de son clitoris. L’ayant trouvé, gros et dur, je le fis délicatement tourner du bout du doigt. Amélie me gémissait dans l’oreille « vas-y je suis à toi, explore, ma belle. » Elle se retourna de nouveau et se pencha légèrement en avant, se tenant au mur. Elle s’offrait à moi, dans une position sans équivoque.
Je parcourais son dos de caresses, et cette fois-ci mes mains ne s’arrêtaient pas à la naissance de ses fesses. Frôlant à chaque passage son anus (excitant de toucher cela, je m’étonnais moi-même), je glissais et remonter jusqu’à son clitoris. Je sentais sa liqueur sur la main malgré l’eau chaude de la douche. De temps en temps, j’introduisis un puis deux doigts dans son vagin. C’était doux et chaud, et j’aimais faire tourner mes doigts dans son intimité.
J’avais une parfaite vue sur ses lourd seins qui gigotaient au rythme de mes caresses et une pulsion me fit prendre l’un de ses seins en pleine main, serrant fort, laissant son téton passer entre deux de mes doigts. Une autre pulsion me fit enfoncer deux doigts bien plus profondément qu’avant et je les fis aller et venir, simulant le va-et-vient d’une verge. Je la voyais, les yeux fermés, bouger, suivre mes mouvements de main. Je changeais de doigts maintenant c’était mon pouce qui l’a pénétré tandis que mon majeur jouait avec son clitoris. Ma deuxième main laissa son sein et je commençai à caresser ses fesses, glissant de temps en temps un autre doigt dans son sexe.
Je ne résistai pas longtemps avant de vouloir l’explorer de ma bouche. Je posai mes lèvres sur son sexe, mon nez prés de son anus. Je fermai les yeux et ne prêtai attention qu’aux sensations de ma langue. Elle s’insinua à travers les lèvres de son sexe et s’enfonça dans son vagin. Je dardai la langue le plus loin possible pour tenter de la remplir. Je sentais tout son corps vibrer sous les mouvements de ma langue. Elle écarta ses jambes pour que je puisse encore plus m’enfoncer dans ce délice. Elle ne mit pas longtemps à jouir et je fus surprise par le petit jet de cyprine que je pris dans ma bouche. Elle me releva et m’embrassa.
Nous restâmes quelques instants sous l’eau chaude à reprendre nos esprits. Enfin, nous sortîmes de la douche et enveloppées chacune dans un peignoir nous regagnâmes le salon de sa chambre. Nous restâmes longtemps ainsi, à discuter de choses intimes. Puis voyant l’heure tardive, je pris congé de la belle Amélie. C’est en me regardant me rhabiller, qu’elle vit le sort qu’elle fit à ma pauvre culotte et me promit un dédommagement. Après s’être délicatement embrassées une dernière fois, nous nous quittâmes.
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