Les bandits ont essayer de cambrioler ma banque, Juste celle là, pas une autre agence. Je suis obligée d’aller au diable, vers la fin du monde, là où la terre s’arrête, enfin presque. Je fais des kilomètres pour rien ou presque. Ouf chez eux le distributeur fonctionne. Je laisse passer la première personne devant moi, une ma foi fort belle femme. Ses affaires terminées nous nous parlons un instant. Elle aussi est victime des bandits. Elle est à pied, je lui propose de la remmener au village.
Nous bavardons comme de vieilles connaissances.
L’après midi est bien entamée, elle m’invite à boire un rafraîchissement chez elle. Proposition acceptée. Il y fait bon, son séjour est confortable. Nous reprenons une conversation qui vole haut, très haut. Sur une petite table des préservatifs féminins. Je n’en ai jamais vu. Elle me montre leur fonctionnement. Ce qui me gêne est qu’il faut absolument le poser soit même. Pour moi se serait gênant. S’en suit une longue conversation sur l’utilité du préservatif. Je ne m’en sert pas, étant assez fidèle, elle au contraire sans sert souvent, elle a une vie amoureuse compliquée. Elle ajoute qu’elle fait l’amour en priorité avec des hommes.
Ce qui laisse supposer que des fois, l’occasion se présentant elle s’égare vers des rives plus libertines, avec d’autre filles, par exemple.
Elle en rougit un peu. J’ai donc raison. Pourquoi pas après tout, moi même j’avoue….
J’aurais du avouer que c’est avant tout les filles qui m’intéressent. Je ne peux faire un premier pas. C’est elle qui le fait.
Si vous voulez, je peux vous rendre ce service.
Quel service ,
En toute amitié des caresses intimes, bien sur.
Elle ne sait pas où elle s’engage. J’aime ce genre de caresses. La voilà près de moi, sa main sur une cuisse. Je regarde sa main ses yeux encore sa main. Elle sait qu’elle peut faire ce qu’elle veut que je veux. J’ai mon creux au bas ventre. Si elle ne commence pas, c’est moi qui vais l’embrasser.
Non, sa bouche se pose sur ma joue, elle y pose un petit bisou de rien du tout. Sa main caresse ma cuisse, vers l’intérieur. J’ai envie, j’aurais pu faire ce qu’elle fait avant elle : je suis l’invitée. Sa bouche se déplace doucement vers ma bouche. C’est moi qui l ’embrasse profondément. Nous nous levons pour nous enlacer. J’aime ces premiers contacts si prometteurs. Nous pouvons nous toucher partout ou presque. Sans que rien ne le laisse prévoir nos pubis se rencontrent. Et, et, et…… Nous sommes pratiquement nues allongée, nos mains dans les jambes de l’autre. Je mouille comme rarement elle aussi. C’est elle qui la première pose deux doigts autour de mon clitoris. Elle les manœuvre tellement bien que je ne résiste pas à son assaut. Rien n’arrête ses caresses, elle me fait partir plusieurs fois sans que je puisse lui rende tout.
Elle sait fort bien ce qu’elle manigance en venant à l’envers sur moi. Sa chatte odorante est sur ma bouche. Je n’ai qu’à y placer la langue. Je fouille toute sa fente. Mes doigts vont très loin en allant vers son petit trou que je ne fais qu’effleurer.
Sa bouche prend mon sexe, elle le mordille, fait bien sortir le bouton qui a enflé. Sa langue est douce sur moi, ses doigts caressent les fesses. Je les voudrais aussi dans la raie.
Arrive ce qui doit arriver, nous jouissons pratiquement ensemble. Je lui donne ma cyprine à flot dans sa bouche. Je me laisse aller, mon entrejambe sur sa bouche, la mienne sur sa chatte. Nous nous réveillons comme après une gueule de bois.
C’était trop beau, flamboyant, céleste. Il me reste son goût sur la langue. Elle vient me donner sa bouche encore : je peux la lécher, lui caresser les seins. Je vois ses yeux brillant d’une sorte de fièvre. J’aspire toute sa chatte, je lèche son clitoris, j’arrive à poser ma langue là où je n’avais pas oser en débutant.
Elle ouvre son anus, me laisse l’embrasser là, me laisse entrer ma langue. Je ne la sodomise pas, loin de là, c’est tout comme. Elle se relève à peine quand elle jouit. Elle retombe sur moi, m’embrasse le pubis, descend comme elle peux vers le périnée. J’ai droit à mon tour à sa langue dans le cul.
Un tout peit moment et je la mets pour que noous caressions nos entrées avec celle de l’autre. Un con est con est magique de plaisir, de soubresauts d’orgasme partagés. Pour elle c’est une première, pas la dernière.
Nous formons un drôle de couple de lesbiennes, de bisexuelles plutôt. Elle m’invite pour la soirée, elle sera seule avec son mari.
J’ai à peine le temps d’aller chez moi, de prendre une douche pour me débarrasser de la sueur, la mienne et la sienne. Je me fais belle avec ma jupe en cuir courte, mon t-shirt déchiré.
Son type est bien bâti, grand musclé. Il m’embrasse sur les joues, près de la bouche :
Ma femme m’a avoué qu’elle est redevenue lesbienne. Tant mieux. Nous pouvons nous aimer à trois, non ?
Je veux bien, tu me plais
Toi aussi.
Sa femme est presque nue, elle montre son cul en entier. Lui est vite nu : qu’elles tablettes de chocolats. Qu’elle belle queue, élégante, appétissante. Mais moi, je me sens malingre.
C’est elle qui engage, elle prend la queue de son mec, la lèche un brin, me la tend. Je fais connaissance avec un dard dur comme une branche, adaptable pareil. Je voudrais qu’il perle dans ma bouche. Non pas encore, sa femme prend le relais, elle passe sa main dans la raie, cherche à peine le petit trou ; La vache elle va vite en besogne, c’est de mon cul qu’il s’agit. La main de son mec est là aussi. Il passe sa queue : il veut me sodomiser. Je veux une suite sur ma chatte. Elle le sait, elle me lèche un peu, lèche beaucoup le bouton. Je suis prise pas le cul et léchée, le paradis. Je reste le jouet tant qu’ils veulent. J’ai orgasme sur orgasme. Ils le font exprès. Je ne peux leur donner ma langue ou mes mains, je suis là pour jouir.
Je ne sais combien de fois je suis partie. Je m’endors même un instant. A mon réveil ils se font l’amour : elle est sur lui, les jambes ouvertes, la queue dans le con. Ses mains à lui enserrent ses seins. Elle aussi jouit.
Je les regarde en me touchant à peine, je recommence à trop mouiller. Je me calme avec une nouvelles masturbation.
Depuis nous nous retrouvons entre filles, je préfère. Par contre nous utilisons beaucoup trop nos godes comme si nous n’avions pas assez de nos doigts nos mains, nos langues ou tout simplement nos cons.
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