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divine solange et moi

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Mon pote m’avait invité à passer quelques semaines dans sa maison de campagne, dans le sud de la France, en compagnie de sa famille. Il avait une sœur de 20 ans, Solange, que je trouvais vraiment charmante. Brune aux yeux bleus, à l’italienne, elle me charmait et m’excitait drôlement avec son petit cul et ses seins pointus. Elle n’était pas sans savoir l’état dans lequel elle me mettait parfois, lorsqu’elle s’amusait à vêtir légèrement pour résister au soleil de plomb. Souvent, et de plus en plus ces jours ci, je me surprenais à bander et à mouiller comme une bête en rut dans mon short, et lorsque son grand frère s’absentait, je ne me tracassais guère à cacher cet état d’excitation. Je sentais que cela l’amusait…

Ce matin là, je me réveillai vers neuf heure, comme à mon habitude. Avec Solange, pendant que le reste de la famille était au matin, on était sensé aller taper la balle sur le terrain de tennis situé non loin de la propriété. Avant même que je me réveille, Solange débarqua dans la chambre d’ami où je dormais, et me tapotant la tête, elle me signala qu’il était l’heure de se lever. Pas bien réveillé, j’ouvrais les yeux, et vit Solange regardant à la fenêtre. Je crus un instant halluciner… Solange portait des bas bleus et une mini-jupe ultra courte. Penchée à la fenêtre, il me sembla avoir vu sa culotte blanche. Je sentis immédiatement ma queue grossir et se durcir dans mon slip gris et fin qui me moulait odieusement les parties. J’étais torse nu, seulement en sous-vêtement, et je me sentais déjà hyper excité. Poussant le drap avec les pieds, je fis semblant d’avoir du mal à me réveiller, me dévoilant ainsi à Solange pour voir comme elle allait réagir. Elle prit de nouveau la parole : « Les autres sont partis au marché. On se retrouve tout seul… ». Elle leva alors sa mini-jupe et me dévoila son string blanc, mettant en valeur son beau petit cul, feignant se gratter le bas du dos. Elle semblait fixer ma queue en érection avec la plus grande attention.

Grimaçant d’une difficulté factice à me lever, je me caressai discrètement la queue de façon à me faire bien bander, et me lançai hors du lit. Je bandais comme un taureau. Le string en dentelle de Solange m’excitait plus que tout. Elle fixa sans pudeur la forme de mon pénis qui se dessinait sous le coton fin, et présageait une bite bien dure en parfaite érection. Je me dirigeai vers Solange, l’air de rien, de façon à mieux admirer son cul qu’elle me présentait en prenant la pause, une main posée sur le haut de ses fesses. Cette matinée particulièrement ensoleillée me donnait plus que jamais envie de baiser. Solange cambrait son bassin de façon à bien me présenter ses fesses fermes. Entre ses cuisses, il me semblait deviner les formes de sa chatte que le string moulait. Un aspect plus sombre qu’ailleurs ornait l’endroit où se cachait sa petite fente. Je me mis dès lors à mouiller. Je sentis une épaisse goutte de mouille couler hors de mon gros gland gonflé d’excitation, qui vînt humecter le coton gris. Cela me fit gémir. Mes yeux ne quittaient plus le cul et l’entrecuisse de Solange. Elle reprit alors la parole et me dit : « Tu m’as l’air en forme ce matin dis moi ! Tu bandes souvent comme ça ?! ». Je m’arrêtai soudain de m’approcher d’elle et de reluquer son cul. Je ne savais pas quoi dire.

Voyant qu’elle m’avait bloqué, Solange se mit à sourire et relevant encore un peu plus sa jupette, me lança : « C’est peut être à cause de mon petit cul que tu te mets dans des états comme ça ?! » et elle s’esclaffa de rire. Je ne savais pas quoi faire : lui sauter dessus, ou me barrer. J’optai inconsciemment pour une autre option, celle de lui dire ce que je pensais : « C’est clair que t’es hyper sexy et bandante comme fille ! ». Et pour lui renvoyer la pareille, je lui dis rétorquai : « Je ne savais pas que tu mettais la lingerie de ta mère… » en rigolant. Prise au mot, elle se mit à se passer une main sur ses fesses, et dit : « Tu crois que je suis une gamine, c’est ça ? … tu me fais mouiller depuis deux semaines avec ta grosse queue qui bande sans arrêt dès que j’écarte les cuisses ! Et si tu venais me la coller entre les fesses ?! ».

Ne sachant plus quoi dire ni quoi faire, je m’exécutai. Je m’approchai de Solange, qui semblait toute excitée à chaque pas qui me rapprochait d’elle. Une fois à sa portée, sa main se dirigea directement vers mon engin qu’elle s’empressa de caresser. Sentant cette chair dure sous ses doigts, elle se mit à gémir. Elle se mordilla les lèvres, avant de dire : « Putain ! Ce qu’elle a l’air dure et grosse… sors la moi ! ». J’étais plus excité que jamais. Je sentais mon cœur battre à se rompre. Jamais je n’aurais cru que la sœur de mon meilleur pote était aussi garce. Je baissai alors mon slip à mi-cuisses, faisant jaillir mes vingt centimètres de chair dure et brûlante. Solange la prit directement à pleine main, et la serrant fortement entre ses doigts frêles, se mit à me masturber en gémissant. « Putain qu’elle belle bite ! « s’exclama-t-elle. Elle me demanda alors d’approcher, et passant sa main dans mon dos, elle me colla contre elle, de façon à avoir ma barre de chair dure entre chaque fesse. « Huuuuuuumm !

J’aime sentir ta bite entre mes fesses Cédric ! Ca m’excite ! ». Je m’empressai pour enfin passer mes mains sur ses petits seins pointus qui dardaient autant que moi. ils étaient fermes et galbés comme je les aime. La fraîcheur de son corps m’excitait plus que tout. Elle se cambrait se façon à faire glisser ma belle queue entre ses fesses. Je lui ôtai son micro-débardeur banc, et passai ma main entre ses cuisses, lui caressant la chatte à l’en faire chavirer sa tête. Solange était chaude comme la braise, et prête à se faire baiser.

Elle ôta elle-même son string et s’allongea sur mon lit, sur le ventre. Appuyée sur son coude et me regardant, elle me présenta son cul et sa chatte. Elle me demanda alors : « Vite ! Prends un préservatif situé dans le tiroir de la commode ! Mets-le ! Vite ! ». Je réalisai à cet instant précis que j’allais enfin baiser celle qui me faisait tant bander depuis plusieurs jours, tout en ayant conscience qu’il s’agissait de la petite sœur de mon meilleur ami. Mais la voyant ainsi s’offrant à moi sans pudeur, et se caressant la chatte en me regardant, je n’eus aucun scrupule à vêtir ma belle queue d’homme d’un préservatif rose, me masturbant devant elle pour gonfler mon pénis au maximum, et ainsi lui faire part de mes réelle dimensions. Me débarrassant de mon slip auréolé de mouille, je me mis à genoux et lui écarta les cuisses outrageusement, presque sans tact. Sa rondelle et sa chatte à disposition, je me mis à lui bouffer l’entrecuisses comme un gros pervers. De longs coups de langue vinrent lui lécher la chatte et l’anus. Sa chatte complètement nue, sans poils, était un délice. Elle se mit à reluire en quelques instants. Découvrant la jouissance de ces préliminaires, Solange se mit à gémir bouche grande ouverte « Oh oui ! Lèche moi j’adore ça ! ». Cette petite garce avait l’entrecuisses en feu, n’hésitant pas à écarter ses petites fesses de pucelle pour que le bout de ma langue vienne lui titiller la rondelle. Ma langue s’attardait dans sa petite chatte que je préparais ainsi à une baise profonde.

Une fois bien humide, je me relevai et me mis au-dessus de Solange. Celle-ci garda sa position, désireuse de se faire prendre sauvagement en levrette. Sa chatte rose aux lèvres brunâtres m’excitait plus que tout. Elle était déjà entrouverte, prête à recevoir mon gros mandrin. Je me mis alors à titiller sa petite chatte avec mon gros gland gonflé à bloc d’excitation. Sentant qu’elle allait se faire pénétrer par vingt centimètre de chair dure d’un instant à l’autre, Solange était dans un état d’excitation optimal, les tétons tous sortis et sa main droite parcourant ses beaux petits seins. La sentant prête à m’accueillir, je me mis à la pénétrer doucement, dilatant sa fente humide et pourtant fragile. Elle sentit mon dard dur progresser en elle et écarter totalement son intimité, jusqu’à l’occuper totalement. Solange passa sa main sur mes fesses, les caressant pour m’inviter à la baiser. Une main pour m’appuyer, l’autre sur ses seins pointus, je me mis à aller et venir délicatement en elle. Sa chatte était odieusement bonne. Ma grosse bite la faisait clapoter de mouille, signe que Solange était en rut total.

Depuis tous ces jours où nous voulions jouir, notre fusion de sexe était pour nous comme une délivrance. Solange dévoilait enfin son vice. Excitée et amusée d’exciter ma queue tous ces jours durant, elle s’offrait désormais sans pudeur aucune, en levrette, dévoilant tous les aspects de son intimité. Cette petite salope n’avait pas autant froid aux yeux que je pus le penser ; elle n’avait attendu que la première occasion pour me faire savoir ses besoins. Je sentais son petit cul de rêve frotter et s’écraser contre bassin, à chaque fois que mes assauts venaient pilonner en longueur et en profondeur sa belle petite chatte. Je pensais un moment donné à ses parents que je côtoyais à longueur de journée… me disant qu’ils ne pouvaient croire que leur petite fille adorée puisse se faire baiser ainsi comme une chienne en rut. Sa chatte à la fois tendre et serrée ainsi que ses seins de rêves m’excitaient plus que tout. Les couilles pleines depuis déjà plusieurs jours, je sentais l’orgasme arriver.

Pour profiter encore des plaisirs que Solange m’offrait au travers de son corps, je me retirai, et me mettant de nouveau accroupi, je me mis à lui bouffer la chatte. Celle-ci était odieusement dilatée par mes longs coups de bite, et surtout luisait de mouille. Passant ma langue depuis son clitoris jusqu’à sa petite rondelle, faisant gémir Solange au passage, je m’attardais ensuite sur sa fente que je faisais clapoter avec ma langue. Son goût suave et moite m’enivrait. Titillant son clitoris, puis fouillant sa fente le plus profondément possible, Solange gémissait et criait presque à se sentir ainsi parcourue de fond en comble. J’avais de la mouille tout autour de la bouche, épris d’une pulsion bestiale de la faire jouir. Reprenant ma grosse bite entre les doigts, je la réinsérai, luisante de mouille, dans sa fente, et me mis à la pilonner plus puissamment que jamais. Le lit se mit à grincer, et les fesses de Solange à claquer même parfois contre mon bas ventre, tellement que je la pénétrais en profondeur. Nos ébats étaient purement sexuels… comme une quête vers la jouissance et un soulagement. Solange se caressait les fesses, puis les miennes, tout en se faisant pilonner, les yeux fermés et dans un état d’excitation complet. Je l’insultais, en la questionnant : « Tu aimes ça, hein… petite salope ! » ; je lui pelotais les seins pour l’exciter plus encore. Solange s’offrait merveilleusement, les cuisses amplement écartées. Je me voyais ainsi la culbuter, son corps fin et fragile, face à mes muscles et mon chibre que je retirais totalement et réinsérais dans son vagin de temps à autre de façon à lui faire ressentir son antre à la fois vide et totalement occupée. Sa chatte était plus dilatée que jamais. Ma belle queue glissait à merveille à l’intérieur. Solange était toute mouillée, ruisselante entre ses petites lèvres et sur son clitoris.

Sentant l’éjaculation arriver d’une seconde à l’autre, je me faiblissais pas, quand soudain, mon phallus se raidit, prit d’une décharge électrique. Je me mis alors à jouir en Solange, qui sentant mon orgasme, me saisit une fesse qu’elle serra fortement. Je me vidais enfin les couilles, profondément inséré en elle, son cul de rêve caressant mon bas ventre. Solange avait les pommettes toutes rouges, et semblait excitée à l’idée d’avoir un homme jouissant en elle. une fois l’éjaculation terminée, je repris mes esprits. J’étais en Solange, c’est-à-dire la petite sœur de mon meilleur ami, offerte comme une chienne. Je me retirai et enlevant le préservatif, je la regardai. Elle semblait toute éreintée, ne disant plus rien. J’avais comme peur de ce que je venais de faire. J’entendis soudain les parents revenir. Je m’empressai de partir dans la salle de bain, abandonnant Solange à son triste sort. Elle remit son string et se rhabilla et partit dans sa chambre avant que ses parents ne la surprenne nue et la chatte en feu dans mon lit. Une heure plus tard, on se retrouvait dans la cuisine, l’air de rien mais un tantinet gênés. Les parents semblaient surpris de nous voir là, alors qu’on était sensés jouer au tennis. Je prétextais m’être levé plus tard que l’horaire prévu. La mère de Solange sembla deviner que quelque chose s’était passé entre sa fille et moi, vu notre état étrange. Elle grimaça d’interrogation, mais avec comme un léger sourire. Sa mère m’adorait et pensait de moi en bien. Je venais de culbuter sa petite chaudasse de fille comme un sauvage. Elle avait apprécié plus que tout. On laissa tomber finalement la partie de tennis. Je partis voir mon pote afin de m’adonner à d’autres activités. Heureusement, il ne restait plus que quelques jours à vivre ainsi, avant le retour sur la région parisienne…

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