Une belle journée de début d’été, je me promène en 4×4 sur le Larzac.
Brusquement le ciel s’obscurcit et l’orage éclate. Continuant mon chemin à vitesse réduite je remarque un frêle silhouette sur le bord du chemin. Arrivant à sa hauteur la tête de ce randonneur se tourne vers moi, c’est une randonneuse. Je m’arrête à sa hauteur, elle ouvre la porte se vent froid et humide envahit la voiture. Montez vite ! Elle jette son sac à dos à l’arrière et s’installe.
Quel temps !
« Bonjour, je suis Pierre »
« Et moi Chevronne, c’est Irlandais ! »
« Vous êtes trempée vous allez att****r froid »
Pour la première fois je la regarde. La première chose que je vois sa chevelure, courte très courte , rousse presque carotte. Des taches de rousseur constellent son visage et ses yeux d’un vert profond me regardent. Sa chemise de coton, à carreaux verts et blanc, sans manche, lui colle à la peau. Je reste muet, ce spectacle me bouleverse, j’ai brutalement très chaud, je sens une brulure dans le bas ventre et mes tempes battent. Elle remarque mon trouble en souriant.
« J’ai une couverture à l’arrière, si vous voulez vous pouvez l’utiliser pour vous réchauffer »
Elle passe entre les sièges s’appuyant au passage sur mon épaule en la serrant fortement. Quelle poigne ! Je reprends lentement la route, jetant un coup d’œil dans le rétroviseur je vois son dos, nu. Elle est en train de se débarrasser de ses vêtements trempés. Elle s’enroule dans la couverture et s’assied au milieu de la banquette face au rétroviseur, son sourire est encore plus craquant.
Et si nous nous arrêtions en attendant que l’orage passe ? Je guète sa réaction dans le rétro. Le sourire ne change pas et le regard vert intense me fixe.
« Bonne idée ! »
Il y a un petit chemin de pierres sur la droite je m’y engage, et au bout d’une centaine de mètres la voiture est à l’abris des regards. J’ai le souffle court, je n’ose pas y croire mais mon désir est si fort …
Je laisse le moteur tourner pour garder le chauffage, je me retourne pour la regarder directement.
« Vous allez rester devant ? »
Je passe entre les fauteuils et me retrouve assis à coté d’elle. Elle semble avoir encore froid.
« Tournes toi je vais te frotter le dos ! »
Encore un sourire (elle semble accepter ce tutoiement), et elle se retourne. Je frotte son dos par dessus la couverture, c’est un plaid de laine fine très doux, vraiment très doux. Je sens ses muscles sous la laine, fermes bien dessinés. Mes mains remontent sur ses épaules et comme pas hasard la couverture descend un petit peu. Je découvre sa peau, claire, si claire, avec des millions de taches de rousseur. Une peau très douce, très fine. Je tire un peu plus sur la couverture et son dos se découvre tout entier. Elle a un taille fine, très fine et le sillon de sa colonne vertébrale est profond, tonique. Mes mains se posent sur sa taille, mes grandes mains en font presque le tour. Du bout des doigts je sens son ventre. Mes mains remontent jusqu’à doucement soutenir ses seins. Hauts perchés, fermes avec des aréoles fine au toucher et dressées. Je dégage mes mains.
« Retournes toi Chevronne j’ai envie de te regarder »
Doucement, très doucement elle me fait face, complètement dégagée de la couverture. A toucher c’était parfait, à regarder … J’ai le cœur qui cogne. Ses seins sont comme de petites poires, ses aréoles son très claires leurs pointes durcies me regardent. Je me penche et les embrasse, ma bouche s’entre-ouvre et ses petites pointes dures sont entre me lèvres. Si proche, je sens enfin son odeur, douce et forte une vraie odeur de rousse. Je me sens maladroit, comme si c’était ma première fois, mon désir est si fort. Son ventre est plat, on y devine les abdominaux. Mon regarde s’y attarde un moment avant de regarder plus bas. Sa toison n’est pas épilée, et tant mieux ! Quel bonheur à regarder, des poils carotte fin comme des cheveux.
Je m’agenouille au bord du siège tout en la contemplant. elle comprend ma manœuvre et se laisse glisser sur le siège. Mes mains se posent sur ses seins et mon visage s’approche de cette toison. Mon nez rencontre ces fils oranges et ma bouche se pose juste en dessous. Doucement elle écarte ses cuisses blanches et douces. Je me recule un instant pour jouir du spectacle. Un bel abricot comme je les aime. Renflé comme il faut bien fermé ne laissant rien voir posant mes deux mains sur ses cuisses je les caresse, presque un effleurement. Le bout de mes doigts s’égare tout en légèreté sur ses grandes lèvres, je souffle très doucement un air chaud. Mes doigts s’appuyant un peu plus, j’écarte peu à peu ces lèvres douces. Tout en haut je distingue son capuchon long et rose avec à son extrémité un petit bouton. Je pose ma bouche grande ouverte par dessus. Elle se cambre un peu, juste ce qu’il faut pour bien coller sur ma bouche. Ma langue continue d’écarter ses lèvres et plonge entre elles. Ce gout ! Un nectar ! elle est déjà très humide, j’ai envie de la boire.
« Chevronne, je vais m’allonger sur le dos et tu chevaucher ma bouche »
« Oui Pierre j’adore ça »
En un instant me voilà allongé sur la banquette, elle vient se placer sur moi plaquant son intimité sur mon visage. Je suis au paradis je lèche tout ce sexe offert m’attardant sur son bouton puis découvrant tout son entre jambes jusqu’à un autre bouton de rose tout fin et tout serré. Pendant ce temps, tout en gardant une position parfaite pour moi, elle se penche en avant et déboutonne mon jean. Un à un les boutons sautent, je me cambre un peu pour l’aider et des ses mains fortes et douces elle dégage d’un coup mon jean et mon slip. Ma queue si raide depuis si longtemps jaillit brutalement. Elle a un petit sursaut et de sa voie gaie :
« Bonjour toi ! »
Ses mains caressent l’intérieur des mes cuisses et remontent jusqu’à mes boules dures et pleines. Je jurerai qu’elle me fait cela avec des plumes tant ses mains sont douces légères et décidées. Mes doigt se sont égarés entre ses jambes, un pouce est au fond de son vagin trempé, gluant et parfumé, son jus coule dans ma bouche et je l’avale gorgée après gorgée. Mon index de l’autre main joue avec la souplesse de son anus. Elle ondule au dessus de moi et j’ai bien du mal à garder ma langue sur son bouton dur tout rouge maintenant.
D’un coup elle avale mon sexe complètement, la chaleur de sa bouche la fermeté de ses lèvres me font pousser un cris de bonheur et d’excitation. Elle a compris que je ne vais pas tenir longtemps elle arrête d’onduler au dessus de moi, me livre son bouton je le lèche en restant bien sur lui, mon rythme reste bien sur sa cadence. J’écoute sa respiration je suis complètement avec elle. Je sens qu’elle commence à perdre le nord, moi aussi je suis au bord de la jouissance, elle accélère son mouvement, je fais de même. Nous ne sommes plus qu’une seule langue et un seul sexe. D’un coup ses cuisses me serrent la tête son sexe m’écrase et elle est secouée de soubresauts. elle n’a pas lâché mon sexe, je sens du fond de moi partir ces giclées puissantes. Elle m’avale en continuant à jouir sur moi. Nous sommes trempés de sueur, les vitres de la voiture son opacifiées par la buée.
Elle pose sa tête sur ma cuisse en se soulevant un peu.
Ravie de te rencontrer Pierre, quel bel orage …
Et si nous faisions plus ample connaissance ?
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