Plein hiver : je devais rendre la clé de mon local commercial et nous nous étions fixé rendez vous, avec la personne en charge des états des lieux de l’agence, directement au bureau dont je rendais la clé.
Cette « personne » est en fait une charmante femme, la petite cinquantaine, plaisante, joviale et toujours de bonne humeur. Je la voyais souvent au moment de payer mon loyer et c’est elle qui m’avait fait visiter le local, quelques années auparavant. Des entrevues régulières donc, au fil desquels j’ai pu constater qu’elle me « titillait » volontiers, tout en restant très respectueuse. Mais nous avions toujours un petit mot l’un pour l’autre, des sourires et des allusions cordiales mais sexy.
Le jour de l’état des lieux arriva. Nous avions souvent plaisanté autour de sujets « coquins » mais cette fois nous nous retrouvions les deux dans ce grand local vide, et nous étions du coup un peu gênés l’un et l’autre… Nous nous étions « chauffés » avec des mots, dans un bureau ou on savait bien qu’il n’allait rien se produire, mais là, la moindre plaisanterie aurait pris un sens nouveau. Et il faut le dire : à cinquante ans, elle avait 15 ans de plus que moi, mais elle m’excitait vraiment.
Brune, cheveux courts, assez fine et dotée d’une belle paire de seins que je rêvais de découvrir davantage, elle conservait vraiment un corps de jeune fille, auxquelles d’ailleurs elle pouvait sans doute apprendre des tas de choses.
Elle a une particularité marquante : sa bouche maquillée avec un rouge vif tranchait radicalement avec sa peau claire et lui donnait un irrésistible air de pute. Mais le reste de son accoutrement et son allure était globalement plus BCBG voire bourgeoise que « fille des rues ». Elle vivait d’ailleurs avec un homme plus âgé, que j’avais déjà croisé avec elle dans un restaurant.
Le rendez vous arrive donc. Nous visitons, aucun problème quant à l’état des lieux. Reste à relever les compteurs, eau et gaz, à la cave. Cave chauffée, peu éclairée et assez sale.
Nous nous trouvons donc tous deux au sous sol, face aux compteurs. Tout s’est déclenché à cet instant : nos regards se sont croisés dans cet espace clos, et son expression en disait beaucoup. J’imagine que son « vieux » ne lui en donnait pas autant qu’elle en voulait, du cul, elle qui conservait un corps fantastique, du moins de ce que j’avais pu en deviner.
Je me suis approché d’elle et à ma grande surprise, une fois collée contre moi, elle a dissipé tout doute sur ses intentions en me collant directement la main sur les couilles. J’étais excité et j’avais envie de la baiser, mais je pense qu’elle était encore plus dingue que moi. Nous nous sommes embrassés et j’ai immédiatement pensé à son rouge à lèvres puissant sur mon visage. J’ai dit « je prèfère sentir ton rouge à lèvres ailleurs ». Un simple sourire a précéder sa prise en main des choses…
Agenouillée face à moi, elle défit la braguette de mon pantalon de costume. Ce dernier tomba au sol à mes pieds, sous le poids de la ceinture. Un gros barreau (voir photo : ) dressait mon boxer de façon assez fulgurante, mais elle ne tarda pas à libérer ma belle queue…
Elle l’astiqua à la main, très doucement, pendant de longues secondes… Elle regardait mon gourdin avec plaisir, comme quelque chose qu’elle n’avait pas vu depuis longtemps… Un filet de « pré-sperme » commençait déjà à s’échapper de mon gland, laissant comprendre mon passable état d’excitation.
C’est alors qu’elle m’a pris en bouche, de façon assez profonde. Sa tête de femme mature prenait soin de mettre en bouche ma queue, pas géante mais pas vraiment « petite taille » non plus, au maximum. Elle gémissait déjà, agenouillée en lâchant un petit « mmmmmmm » à chaque fois qu’elle relachait ma queue du tréfond de sa gorge.
Me sentant totalement excité, et pourtant habitué à baiser régulièrement, je pris les choses en main pour « relâcher » un peu la pression sur mon plaisir, en me concentrant sur le sien. Ma queue était ruisselante de sa salive, et c’est avec peine que je lui soutirais pour me concentrer sur son corps de jolie salope.
Elle était en robe : facile ! Je la baisse et trouve alors son collant, pas super sexy, par dessus une culotte elle par contre du plus bel effet. Rôles inversés, je me trouve a genoux en train de baisser ses sous vêtements pour découvrir son minou brun, gentimment poilu et au toucher parfaitement humide.
Je la plaque contre le mur (sale) et lui lèche comme je peux le minou en triturant son petit trou du cul d’un doigt agile… mais il faut le reconnaître, le lieu, l’état de saleté ne permettent pas un grand confort. Je la retourne comme une crêpe, elle plaque ses mains contre le mur et j’écarte ses deux belles fesses.
Elle a un cul fantastique : certes à peine mou, les années sont là, à peine gros, mais vraiment rien de tragique. J’écarte donc son beau cul et découvre une raie idyllique. Pas un poil et un joli petit anus brun. Je lèche cette merveille en la doigtant et je la sens décoller : aucun doute, cette belle chiennasse aime se faire remplir le cul. Ça tombe bien, j’adore ça.
Mais là, suprise. Elle me stoppe et revient face à moi. Je suis ridicule, a genoux dans la poussière et le froc aux chevilles. Elle me dit « arrête, tu ne vas pas me baiser là, on prendre le temps. En plus je n’ai pas de capotes. Et j’ai trop envie de sucer ta queue, elle est superbe ». Flatteuse !
Je suis toujours raide et un liquide transparent coule de mon membre. Elle me ressaisit en bouche et commence à me limer doucement.
Cette fois ci j’ai vraiment envie de cracher et son rythme lent, même bien profond, ne suffira pas à me faire envoyer la purée facilement. Je met ma main à l’arrière de sa tête et active donc le mouvement, lui baisant la bouche comme une bonne pute. Elle ne rechigne pas.
Sa robe est toujours baissée et je cesse de lui baiser la bouche pour relécher à nouveau la raie de son cul, délicieusement odorante : ça sent la femme. Je titille son minou trempé et rage de ne pouvoir fourrer ces trous fantastiques, humides et larges… mais je sais que si je devais la fourrer, je jouirais en 2mn… C’est certes un peu gâché. Mais sa langue a déjà fait des ravages et comme elle veut ma crème, je vais lui donner.
Je l’excite donc comme une bonne chienne qu’elle est et ne peut m’empêcher malgré tout de lui faire sentir mon calibre entre ses deux fesses : je ne la penêtre pas mais je frotte ma queue dans toute sa longueur entre les deux globes de son cul et sur sa chatte… Pas de capote : je ne pense pas que cette respectable bourgeoise soit un nid à maladie, mais en ce domaine, et elle me le prouve aujourd’hui, les apparences sont parfois trompeuses…
Lassée d’être excitée et devenue totalement dingue, elle revient à la pompe à foutre en rebranchant ma pine au fond de sa gorge… entre temps j’ai fait sauter son pull et découvert, derrière un soutien gorge léger, sa paire de boules : mieux que dans mes pensées les plus folles… Cette femme a 50 balais et a plusieurs enfants, elle conserve des nibards de jeune fille, gros, à peine affaissés avec deux tétons arrogants.
L’heure est venue de cracher la purée et elle m’avale le foutre comme une morte de faim. Il y a longtemps qu’elle n’avait pas eu pareille rasade et j’ai l’impression qu’elle va m’arracher la pine à force de vouloir récupérer chaque goutte… Dire que certaines jouvencelles n’avalent pas sous des prétextes bidons…
Cette brune mature a produit chez moi une érection énorme et mon membre victorieux n’en fini pas de produire chez elle l’admiration. Elle me lèche sous les couilles, me reprend en bouche, j’ai même l’impression qu’elle cherche à me lécher le trou du cul. Je me trompe peut être.
Du sperme et de la bave trônent sur mon menton, on se croirait dans un film de boules… Nous sortons les kleenex, j’essuie mon manche, elle vient m’embrasser gouluement, toute poisseuse, je ne crais pas. Je me frotte le tour de la bouche, elle en fait autant et on remballe notre matériel.
On plaisante un peu et on sait qu’on va se revoir bientôt. Je la rappelerais pour un rendez vous dans une chambre d’hotel et nous allons tous deux faire une prise de sang pour pouvoir baiser tranquilles.
J’ai hâte d’enfourner sa chatte béante mais je sais déjà que c’est son trou du cul qui recevra mes prochaines décharges. Et sa face de belle mature aussi.
Les semaines ont passé depuis et j’ai du mal de donner de la queue partout. Une femme aimante et ouverte qu’il faut arroser copieusement et quelques pipeuses de ci de là… Ma belle mature va pourtant ramasser un de ces jours… Ce sera peut être l’occasion d’un nouveau récit ?
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