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Loueuse mature

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Je devais commencer la Fac et c’était la dèche. Toutes les résidences d’étudiants étaient déjà pleines. Faut dire que je m’y prenais trop tard. J’avais passé l’été à longer la Costa Brava, à m’arrêter dans tous les bars et culbuter quelques petites Espagnoles par-ci par-là. Ah ça, je ne le regrettais pas. Par contre, j’avais complètement oublié qu’une fois la rentrée venue, je devrais bien me loger à Rennes, la ville dans laquelle j’allais désormais étudier.

Alors je me suis mis à faire les petites annonces. Y a rien de plus chiant (pour ceux qui ne connaissent pas). Je ne me prenais que des refus ou presque. J’ai fait des castings pour des coloc, à chaque fois on était au moins vingt candidats. Difficile de se faire prendre dans ce cas-là. Je commençais à désespérer lorsque j’ai moi-même passé une petite annonce décrivant ma situation. Je me suis dit que peut-être que quelqu’un aurait pitié, mais je n’y croyais pas vraiment.

Pourtant, le miracle eut lieu. Une dame m’appela le lendemain en me disant qu’elle avait une chambre de libre, dans le quartier chic en plus ! Malgré le prix élevé par rapport à mon petit budget, j’acceptai de suite de visiter. La chambre était cool, dans un grand appart au 11ème étage, et y avait une vu magnifique sur le centre-ville. C’était vendu ! Surtout que j’avais bien fait le gentil poli bien élevé devant la dame. Parlons-en de celle-ci, surtout qu’elle a un rôle important dans la suite de l’histoire. Elle devait avoir cinquante ans, les cheveux coupés au carré, bruns. Elle était encore mince et j’avais l’impression que ses formes devaient encore être fermes. Je n’étais pas spécialement axé matures, mais je me suis dit immédiatement que si elle voulait échanger une partie du loyer contre mes performances de jeune mec bien membré, on pourrait s’arranger.

Elle fut vite tentée. Comme je glandais et n’aimais pas les études, je squattais souvent toute la journée. Quant à elle, elle bossait à 80% et avait donc un long week-end du vendredi au dimanche. Après une semaine, elle me surprit en caleçon dans sa cuisine. Je ne pensais pas la croiser là car j’étais un peu à la masse et avais oublié qu’elle ne bossait pas ce jour-là. J’étais un peu méfiant car elle m’avait déjà fait chier deux-trois fois. Elle ne voulait surtout pas que je dérange ses petites habitudes. Mais elle ne m’engueula pas, au contraire, elle était souriante. Elle se mit à discuter avec moi et j’acceptai volontiers d’entretenir la conversation, même si ça me faisait chier. Soudain, elle se rapprocha de moi et me mit la main aux couilles d’un air décidé. Je n’y croyais pas ! Est-ce que j’étais en train de rêver ? Quand j’avais parlé de la sauter, c’était sans vraiment y croire. Je me fais si souvent des films. Mais là, j’étais bien réveillé, et cette vieille peau me tenait par les couilles. Je commençais à bander comme un porc.

En général avec les nanas, je suis très actif et dominant, mais là, j’étais tellement surpris que je ne bougeais pas. Avec le recul, si je m’imagine la scène, je crois que j’étais complètement béat, avec la bouche un peu ouverte. Je ne disais rien non plus. Dire que pendant l’été je m’étais tapé plein de petites minettes hispano, et là, je ne comprenais rien, j’étais tétanisé en la voyant se baisser, la bouche avide, c’est tout juste si elle ne bavait pas. En attendant, je ne l’ai pas empêchée de me descendre le caleçon. Mon Dieu, je ne m’étais jamais tapé de femme de plus de 30 ans, et là, une nana plus vieille que ma mère était en train de s’occuper de ma queue. Je n’osais regarder, mais je sentis évidemment le contact avec sa langue, puis avec l’intérieur de sa bouche. La vieille pute ! Elle était en train de me sucer, et pas discrètement en plus ! Les « sluuuurp » résonnaient dans toute la cuisine. J’étais tellement occupé à stresser et à me poser des questions que je n’avais pas encore pris la peine d’apprécier.

Mais ma conscience me dit enfin « Ecoute mec, de toute façon là elle est en train de te sucer comme une chienne. Ça te fait une nouvelle expérience. Dis-toi pas que la bonne femme est vieille, mais plutôt qu’elle sait mieux s’y prendre que les jeunes, vu qu’elle a sucé pendant des années déjà. » Et c’était vrai, je bandais comme un malade et la chiennasse suçait vraiment bien. Alors je me détendis et me mis à appuyer sur sa tête. Ahaaa, ça allait bien profondément. Déjà, je sentais le jus monter. Yeah, c’était bon ça. Mais la nana le sentit et se retira. J’eus heureusement le réflexe de me faire deux-trois coups de branlette, juste à temps pour inonder la face de ma logeuse. Hahaha, c’était l’extase. Elle le prit très bien et me fit un grand sourire. Elle me dit qu’elle allait se laver puis qu’elle se retirerait dans sa chambre. L’invitation était claire. Il me fallait la suivre et lui régler son compte. Comme j’étais à présent parfaitement remis, je fus plus dynamique et la suivis sans me poser de questions. J’eus ainsi la confirmation qu’elle avait la chatte en feu, et je la lui ai éclatée pendant des heures sans le moindre remord ni la moindre gêne. Et je ne lui ai pas laissé le moindre répit. Même lorsqu’elle m’a supplié de lui accorder une pause pour aller se refaire une beauté dans sa salle de bain, j’en ai profité pour la coincer contre le lavabo et l’enculer violemment.
Franchement, je me suis rarement fait quelqu’un d’aussi chaud alors je vous encourage à allumer les vieilles. Sachez que par la suite, nous avons continué à baiser comme des fous. Je crois que toutes les pièces de la maison ont servi de lieu de baise, que ce soit les toilettes ou même le balcon !!! Par contre, figurez-vous qu’elle ne m’a pas fait de rabais sur le loyer, cette salope.

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