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Ma femme devient une pute Ch. 07

Ma femme devient une pute Ch. 07



Traduction d’un texte de Veri.

**************

Michelle jura et prit son sac à main. Elle sortit une cigarette et ses clés de voiture. Puis elle enroula une serviette autour de sa poitrine. Elle alluma la cigarette et sortit pour trouver sa voiture.

Elle regarda autour d’elle, personne dans le parking. C’était encore trop tôt. Alors qu’elle marchait sur ses talons, Michelle réalisa que c’était Derek qui l’avait emmenée ici. Sa voiture n’était pas là. « Merde » pensa-t-elle.

Au même moment, une voiture s’arrêta à côté d’elle. Deux gros blacks en sortirent. Ils ne devaient pas avoir plus de 19 ans.

– Regarde ce que nous avons là. Dit l’un à l’autre.

Michelle prit une profonde inspiration. Tony l’avait retiré de la rue mais ça ne voulait pas dire qu’elle avait oublié comment se conduire en pute. Elle souffla de la fumée au visage des deux adolescents, puis elle marcha comme une pute en balançant son corps. Elle laissa sa serviette tomber par terre et elle dit :

– Hé les garçons, cette fille a besoin d’une chemise.

Elle s’approcha du plus grand et remua sa poitrine. Puis elle posa sa main sur son débardeur et roucoula :

– Puis-je avoir ta chemise bébé?

Le gars tendit la main et caressa ses seins.

– Ça va te coûter!

Michelle sourit :

– Je n’ai pas beaucoup d’argent mais j’ai une chambre d’hôtel.

– Allons-y! Dit l’autre gars.

Michelle sourit et se retourna pour rejoindre la chambre. Elle balançait son cul et ses seins en marchant. Elle venait de passer la nuit comme salope d’un crétin arrogant qui lui avait distribué punitions et plaisir et qui l’avait faite pleurer. Elle n’avait jamais vécu ça et avait été troublée.

Mais ça. Être une pute. Ramasser des gars pour une baise dans une chambre d’hôtel. Elle savait faire. Elle s’arrêta devant la porte, éteignit sa cigarette et dit :

– Voilà les gars. Vous me donnez une chemise et vous pouvez me baiser pendant dix minutes. Ensuite vous me raccompagnez en voiture.

Le plus grand hocha la tête, mais le plus petit répondit :

– Pas d’accord.

Michelle fut surprise.

– 20 minutes chacun et tu suces ma bite à l’arrière de la voiture pendant que nous te ramenons. Ajouta-t-il.

Michelle était prête à conclure le marché mais le gars continua :

– Et puisque tu es une pute, nous vendrons ton cul à deux de nos amis. Nous gardons l’argent et nous te raccompagnons. Ok?

Michelle eut un sourire intérieur. Elle était peut-être en territoire inconnu avec Tony et Derek, mais elle savait très bien être salope et pute. C’était bon de revenir à quelque chose de familier. Michelle se retourna et dans sa meilleure démarche de prostituée, elle entra dans la chambre d’hôtel.

Ma femme se réveilla l’esprit complètement embrumé. Elle était allongée dans les bras d’un grand homme noir. Ils étaient tous les deux nus. L’homme avait un bras sur sa poitrine et il serrait un de ses seins. Michelle essaya de se concentrer. Les deux gars qu’elle avait ramené à sa chambre d’hôtel et qui devaient la raccompagner, avaient manifestement menti. Une fois dans la chambre, ils lui avaient donné une cigarette qui était surement dopée. Elle se rappela vaguement avoir eu l’impression d’être droguée alors que ses pensées devenaient erratiques. Elle savait qu’ils avaient passés des coups de téléphone et qu’après l’avoir baisée, il y avait eu un flot continu d’hommes dans la journée qu’elle avait dû satisfaire.

A un moment donné, elle s’était remise un peu et elle avait demandé son téléphone. Mais au lieu de lui donner, ils lui avaient servi un verre dont le contenu avait mis le feu à son corps. Elle était devenue folle de sexe. Elle les avait entendus rire de la pute blanche mais elle avait été impuissante à faire quoi que ce soit. Elle voulait baiser avec tous les gars qui avaient acheté sa chatte. Finalement, elle s’était évanouie et maintenant elle se réveillait avec un étranger et un mal de tête.

Michelle commença à sortir du lit quand la main qui tenait son nichon la ramena en arrière.

– Où penses-tu aller Chérie? Demanda le gars.

Michelle se laissa retomber sur sa poitrine.

– J’ai besoin d’aller à la salle de bain.

L’homme posa la main de mon épouse sur sa bite.

– Prends soin de ton homme d’abord.

Michelle enroula sa main autour d’une grosse queue et la sentit se raidir. Elle s’assit et baissa les yeux sur la bite puis elle regarda le visage de l’homme.

Un frisson la traversa. L’homme éclata de rire alors que les yeux de Michelle s’écarquillaient.

Il s’agissait d’un des concierges de son cabinet d’avocats. Le noir s’appelait James. Il avait 27 ans environ et Michelle se rappela qu’on lui avait dit qu’il travaillait dans le cadre de réinsertion de détenus récemment libérés.

– Hé bien, regardez qui nous avons ici. Se moqua James en poussant sa tête sur sa queue.

Michelle se laissa faire et commença à lécher lentement la bite du gars. Puis elle leva les yeux vers lui et demanda :

– Quel jour sommes-nous?

– Mardi

Michelle gémit :

– Je dois aller au travail.

James mit ses mains dans ses cheveux blonds.

– Tu es au boulot salope. Maintenant prends soin de ton homme.

Michelle commença à le sucer. Elle réfléchit qu’elle allait le faire jouir rapidement, puis qu’elle sortirait de la chambre pour appeler son mari. Elle ne savait pas encore comment gérer le fait qu’une autre personne de son travail avait découvert sa seconde vie.

James jouait avec ses seins. Il bandait de plus en plus en laissant l’avocate de 41 ans sucer sa queue.

– Et oui, je nettoyais ton bureau la semaine dernière putain. Et regarde comme les temps changent. Je suis vraiment chanceux. Une avocate de grande classe hier, et aujourd’hui une pute à bon marché qui suce pour gagner sa vie.

Michelle ne dit rien. Elle ne voulut pas admettre ce qu’elle était. Elle espérait encore s’en sortir.

– Mes couilles salope! suce-les!

Michelle fit ce qu’on lui dit.

– Maintenant embrasse ma bite! dis-lui que tu l’aimes.

Michelle commença à embrasser la queue du concierge et elle répéta les mots qu’il lui demandait de dire :

– J’aime cette bite. Elle est tellement grosse et dure. Je l’adore.

– Maintenant regarde-moi avec tes yeux de pute pendant que tu me suces. Ordonna James.

Michelle leva les yeux et fit de son mieux pour paraître soumise à James pendant qu’elle enroulait ses lèvres autour du bout de la queue. Puis elle fit glisser sa bouche de haut en bas. Elle caressa ses couilles alors qu’elle le sentit se raidir. Elle ferma les yeux quand il se retira et gicla sur son visage.

Elle se leva et commença à se diriger vers la salle de bain mais James l’attrapa.

– Où vas-tu?

– A la salle de bain.

– Demande la permission à ton homme!

Michelle n’aima pas la façon dont James utilisait le terme « ton homme ». Elle savait ce que ça signifiait quand elle était avec le gang et Tony lui avait confirmé que ce terme signifiait la soumission d’une pute à son proxénète. Elle ne voulait pas avoir ce rapport avec James. Mais pour le moment elle avait vraiment envie d’aller à la salle de bain pour se nettoyer.

– Puis-je aller à la salle de bain?

– Qu’as-tu sur ton visage putain?

– Ton sperme.

– Le sperme de qui?

James éleva la voix d’une façon menaçante. Michelle baissa les yeux.

– Le sperme de mon homme.

James adoucit sa voix :

– Va te nettoyer! Nous avons du boulot.

Michelle se dirigea vers la salle de bain en se demandant ce qu’il voulait faire. A son retour, James était habillé et regardait son téléphone portable. Elle essaya de l’att****r mais James la repoussa.

– Je regarde tes emails. Tu as été une salope très occupée. Ces vidéos sont géniales.

– Donne-moi mon téléphone James.

Le noir posa le téléphone et regarda mon épouse.

– Ne me dis jamais ce que je dois faire!

Michelle avait remis son jean. Elle cherchait le débardeur pour lequel elle avait été baisée. Puis elle voulut prendre son téléphone.

James la gifla violemment. Michelle fut plus surprise que blessée, bien que la gifle lui fît venir les larmes aux yeux.

Le téléphone était toujours sur la table. James fixa ma femme en la défiant de le prendre. Michelle tendit la main. James frappa encore plus fort, la faisant tomber. Elle se mit à pleurer. James avança sur elle. Il lui mit une de ses bottes devant le visage.

– Ma pute a besoin d’apprendre les bonnes manières. Fais briller ma botte avec ta langue, vieille pute.

Michelle leva les yeux vers lui :

– S’il te plaît. Je dois aller travailler. Je ne dirai rien à personne.

James resta impassible :

– Ne me fais pas le demander deux fois chienne!

– James, j’ai de l’argent que je peux te donner si tu…

Michelle ne put finir sa phrase. James attrapa ses cheveux et la traina à travers la chambre. Elle essaya de se relever mais elle trébucha et tomba, renversant une chaise.

– Lève-toi! Ordonna le noir.

Michelle se redressa. James la frappa encore plus violemment, la faisant retomber sur le sol. Ma femme sentit du sang dans sa bouche. Quand elle rouvrit les yeux, elle vit la botte de son tortionnaire.

– Fais briller ma botte putain!

Michelle pleurait. Elle avait compris qu’elle était en mauvaise posture. Quand elle travaillait pour le gang, dans la rue et dans le bar, les membres avaient toujours compris qu’elle le faisait volontairement. Bien sûr ils la commandaient, mais ils avaient compris qu’elle vivait un fantasme. Alors ils prenaient l’argent et la laisser promener son cul sur leur territoire. En ce temps-là elle était volontaire et pouvait partir quand elle le voulait.

Là, c’était différent. Personne ne l’avait jamais frappé ainsi auparavant. Elle leva la tête et regarda James. L’homme attrapa ses cheveux. Elle leva la main et retira lentement celle de James. Puis elle baissa la tête, sortit sa langue et lécha lentement la botte. Le noir la regarda. Elle donna encore trois coups de langue avant qu’il ne lève la semelle. Michelle sortit de nouveau sa langue et lécha le dessous de la botte. Elle allait le refaire quand James s’éloigna.

– Lève-toi putain, on doit aller au travail.

Ma femme obéit et se dirigea vers la salle de bain pour se laver le visage. Puis elle sortit.

– Nous allons marcher jusqu’au club Diamond’s. Il est à une vingtaine de mètres d’ici. Tu vas remuer ton cul et tes seins et tu vas me faire gagner de l’argent. Tu travailleras tout le reste de la journée et dans la soirée jusqu’à ce que j’aie assez d’argent. Ensuite nous rentrerons chez moi, toujours en remuant ton cul et tes seins. Tu nettoieras mon domicile, tu feras le diner, puis tu prendras soin de moi.

Michelle hocha la tête. Puis elle leva les yeux.

– Si tu veux de l’argent… Je gagne plus en tant qu’avocate… Je peux aller à ma banque…

James la gifla à nouveau. Elle tomba en arrière sur le sol.

– Quand je te donne des ordres, la seule chose que je veux c’est que tu te bouges le cul en restant muette. Compris? Cria James.

Michelle se releva en pleurant. Elle hocha la tête.

– Qu’est-ce que tu es?

Michelle renifla :

– Une pute idiote!

– Tu as encore quelque chose à dire à ton homme?

Michelle secoua la tête pour dire non.

– Viens ici!

Elle se dirigea vers James et il l’embrassa.

– Tu es mon bébé. Je dois t’apprendre à respecter et obéir à ton homme. Une fois que tu auras appris, ça ira. Ce n’est plus comme avant, quand tu étais avocate et que je nettoyais ton bureau. Maintenant tu es ma pute…

Michelle hocha la tête et laissa James l’embrasser à nouveau. Elle avait honte. Elle était perdue. Elle avait peur. Il fallait qu’elle échappe à son emprise, mais il avait son téléphone, son argent et son sac à main avec ses papiers. Elle était prise au piège.

Ils marchèrent dans la rue, James se trouvant 2 ou mètres derrière elle. Elle remua son cul et ses seins pour attirer les hommes pendant que son nouveau proxénète la regardait.

Ils passèrent devant un groupe d’hommes buvant de la bière à l’extérieur d’un bar. Michelle regarda James qui lui fit signe de s’arrêter. L’un des hommes se leva et tapa dans la main de James.

– Que fais-tu ici mon pote? Demanda-t-il en détaillant Michelle de haut en bas et en grimaçant.

– Ton pote est de retour dans le métier avec une bonne salope. Dit James avec fierté.

Puis il ajouta :

– Elle travaillait comme avocate dans des bureaux de merde que je nettoyais. Mais maintenant elle est à moi. Je suis de retour. Tu veux goûter?

Le gars regarda Michelle et tendit la main pour tripoter un sein.

– Combien?

– 20 pour une pipe, 50 pour la baiser.

– que dis-tu de 10 pour une pipe rapide?

James fit un signe de tête à Michelle. Elle accompagna le gars dans une ruelle, s’agenouilla et lui tailla une pipe rapidement.

Puis elle se releva, ajusta son haut, retourna vers James et lui tendit l’argent. James caressa sa joue :

– C’est le premier argent que mon bébé donne à son homme. Et ce n’est surement pas le dernier.

James rigola et claqua son cul. Puis ils se dirigèrent vers le club.

Deux fois encore, Michelle fut arrêtée et James négocia un accord rapide. Les deux fois, ma femme fit comme il lui ordonna.

Quand ils entrèrent dans le club, Michelle sentit que tout le monde la regardait. Elle était la seule femme blanche de l’endroit. Elle resta tranquillement debout et fuma une cigarette que James lui avait donné — il avait même pris le contrôle de quand elle pouvait fumer — pendant qu’il parlait au gérant du club. Deux strip-teaseuses s’approchèrent d’elle et lui demandèrent son nom. Elles ne voulaient pas qu’elle travaille au club et vole leurs clients.

James et le gérant du club vinrent vers elle. James présenta Michelle à JJ, qui avait à peu près l’âge de son proxénète et qui était le fils de l’homme qui possédait le club.

– Voilà l’accord. C’est cinq euros la danse dans la journée, 10 euros après 19 heures. Le club prend 20 euros l’heure et la moitié de ce que tu gagnes en dansant. Si les clients veulent plus, tu les emmènes à l’arrière. Le club obtient la moitié de ce que tu gagnes et tu dois négocier le paiement avec Big John qui gère la salle arrière. Compris?

Michelle hocha la tête. Elle fixa James qui laissa échapper un faible sifflement :

– 20 euros l’heure, c’est cher. Allez la pute, négocie un peu. Tu es avocate non?

Michelle regarda JJ :

– Peux-tu baisser un peu le tarif?

L’homme rigola :

– Ou quoi? Que vas-tu faire salope? Ton homme te dit de travailler dans ce club pour lui gagner de l’argent. Tu n’as pas le choix. A moins que…

Michelle sut ce qu’il voulait. Elle remua sa poitrine et dit :

– Je peux vous offrir ça.

JJ passa ses mains à l’intérieur du haut et sortit ses seins :

– Pas mal pour une vieille salope. Mais je peux avoir tout ce que je veux.

– Que veux-tu bébé? Une chatte blanche? Demanda Michelle en essayant de parler comme les strip-teaseuses noires.

JJ répondit :

– Maintenant tu sais parler. Ok. Quand tu voudras faire une pause dans quelques heures, fais le moi savoir et je te prendrai à part. Nous verrons à quel point tu peux faire baisser le tarif.

Michelle secoua son cul.

– Bien bébé. Tu vas adorer le cul de cette pute.

Puis elle s’éloigna, sachant que JJ rêvait déjà de la baiser. Puis elle revint et dit à James :

– J’ai besoin d’autres vêtements pour ce club.

Elle portait toujours son jean et son gilet. James répondit :

– Merde, je devrais te foutre à poil et te faire travailler comme ça.

Il regarda JJ :

– Quel genre de pute blanche vient bosser sans ses vêtements de travail?

Les deux hommes rigolèrent. JJ désigna une porte :

– Va là-bas, c’est le vestiaire. Vois ce que tu peux trouver.

Michelle commença à partir et James claqua son cul en disant :

– Dépêche-toi salope. Regarde l’heure, il est déjà 20 heures

Ma femme se dirigea rapidement vers le vestiaire. Elle avait l’habitude de facturer 295 euros l’heure d’honoraire d’avocate. Et à présent, elle facturerait des danses pour cinq euros qu’elle donnerait à un proxénète qui la frappe. Elle recommença à pleurer. Tout s’était mal passé. On était mardi. Le mardi, elle avait un cours de yoga qu’elle aimait bien après le travail. Puis nous allions généralement au restaurant. Et là, elle était coincée dans un club de quartier noir. Elle aurait voulu être ailleurs.

Il y avait trois danseuses dans le petit vestiaire. L’une d’elle l’a ignorée tandis qu’une autre l’a traitée de salope.

– J’ai besoin de vêtements. Dit-elle en essayant de stopper ses larmes.

– Et moi j’ai besoin que ton cul de pute aille voir ailleurs que mon lieu de travail. Ricana une danseuse.

Michelle baissa les yeux et vit une pile de vêtements dans un coin. Elle fouilla dedans quand une des femmes vint la gifler.

– Ces choses ne sont pas à toi, chienne. Qui t’a élevée? Si tu veux emprunter quelque chose, tu le demandes.

La claque lui avait fait mal. Michelle avait été battue aujourd’hui plus que tout le reste de sa vie. Elle regarda le sol et lutta pour retenir ses larmes.

– Je suis désolé. Puis-je emprunter des vêtements s’il vous plaît?

– Je vais te les vendre salope! Déclara la femme.

– Je… Je n’ai pas d’argent. Dit Michelle.

Elle avait envie de pleurer. Elle n’avait rien. Le peu qu’elle avait, James lui avait pris. Elle dépendait de lui pour tout.

La danseuse lui tendit une petite jupe sale et un soutien-gorge déchiré.

– Tu prends ça et tu me donnes 20 euros avant de partir. Et une danse.

Tout d’un coup, 20 euros semblèrent beaucoup d’argent pour une femme qui avait l’habitude de distribuer des pourboires sans réfléchir. Mais Michelle réalisa qu’elle n’avait pas le choix.

– Tu veux que je danse? Pour toi?

Michelle n’était pas sûre de comprendre ce que voulait cette femme.

– Oui putain je veux une danse.

La strip-teaseuse s’assit. Michelle commença à bouger son corps en rythme avec la musique. Elle enleva son haut et ses gros seins se balancèrent. La femme saisit un de ses mamelons rouge et gonflé.

Michelle grimaça mais continua à danser alors que la femme jouait avec sa poitrine. Puis la musique s’arrêta et Michelle tourna le dos.

– Où vas-tu? Tu ne t’es pas complètement déshabillée. Si tu veux les vêtements, continue!

La musique redémarra sur une autre chanson. Michelle se remit à danser puis s’arrêta et enleva ses hauts talons ainsi que son jean. Elle remit ses talons et recommença à danser, nue. La femme sourit et l’attrapa, alors que les autres femmes dans le vestiaire regardaient.

Ma femme chevaucha la strip-teaseuse. Elle ferma les yeux quand la danseuse posa ses mains sur ses seins. La femme prit un nichon dans sa bouche et suça le mamelon. Elle fit tourner sa langue autour, faisant gémir Michelle.

– Tu aimes ça bébé?

Michelle hocha la tête. La femme la tira vers elle et lui donna un doux baiser, puis un autre. Mon épouse garda la bouche fermée alors que la femme noire essayait de la pénétrer avec sa langue.

– Allez bébé! Laisse-moi goûter à cette bouche blanche.

La strip-teaseuse embrassa Michelle dans le cou et mordit doucement son oreille. Michelle gémit et se sentit mouiller. La femme essaya de l’embrasser à nouveau et elle se laissa faire. La langue pénétra dans sa bouche. Une main chatouilla légèrement l’un de ses seins alors qu’une autre main frotta son entrejambe.

Michelle gémit et la danseuse augmenta la pression sur sa chatte. Michelle se demanda brièvement ce que les autres femmes diraient si elles la voyaient avoir un orgasme, puis elle cessa de s’en soucier.

Elle jouit quelques secondes plus tard. Elle embrassa passionnément la strip-teaseuse et ouvrit les jambes pour lui permettre un meilleur accès à sa chatte.

Enfin Michelle s’effondra. La femme noire lui caressa la tête et roucoula à son oreille :

– Tu es mon bébé. Reste avec moi et je prendrai soin de toi. Laisse-moi juste ta chatte de temps en temps.

Michelle se débattit et échappa à l’emprise de la danseuse. Elle se pencha pour ramasser la jupe sale et le soutien-gorge déchiré. Elle les enfila alors que les autres femmes la regardaient silencieusement. Puis elle ramassa ses autres vêtements et se dirigea vers la sortie.

Juste avant de quitter les vestiaires, elle se retourna et dit :

– Merci pour les vêtements, je te paierai avant de finir ce soir.

Elle sortit sur ses talons hauts, la jupe courte couvrant à peine ses fesses. Elle tremblait sur ses jambes et était encore sous l’effet de son orgasme. Elle regarda la salle du club et vit James près du bar. Elle devina qu’il resterait là pendant qu’elle travaillerait. Elle était sa pute tant qu’il ne la laisserait pas tomber. Elle sut qu’elle allait travailler pour lui dans ce club très souvent.

James la regarda de bas en haut et dit :

– Tu te moques de moi? C’est ce que tu peux faire de mieux?

Michelle hocha la tête misérablement. A la maison, elle avait un placard plein de vêtements. Elle réalisa alors qu’elle n’avait plus de chez elle et que c’était de sa faute. Elle avait voulu jouer à la pute et elle était piégée et prostituée contre sa volonté. Son vrai travail n’existait plus et son mari ne lui pardonnerai jamais. Tout semblait perdu.

James frappa Michelle légèrement au visage.

– Réponds moi salope!

– Oui c’est le mieux que j’ai pu faire. Et j’ai dû promettre 20 euros.

Inconsciemment, elle tira sur la jupe sale qui laissait voir sa chatte presque dans toutes les positions. James rigola :

– Les filles ont profité de ton cul stupide. Je croyais que tu étais une bonne avocate. Je suppose que non?

Michelle baissa la tête.

– je ne suis que ta pute idiote. Mais je vais m’améliorer.

James prit les autres vêtements et les fourra sous le tabouret où il était assis.

– Ok salope, va me gagner un peu d’argent. Tu as pas mal de dettes maintenant. 20 euros par heure pour le club, 20 euros pour les vêtements et tu ne m’as rien donné encore.

Michelle tourna sur ses talons et commença à arpenter le club un peu bondé. Il ne fallut pas longtemps avant qu’elle ne soit assise sur les genoux d’un homme et qu’elle ne se déhanche sur la musique pendant qu’il la tripotait pour dix euros qu’elle ne serait pas autorisée à garder.

Elle se demanda si les choses pouvaient encore empirer.

A suivre…

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