Bonjour Madame, je viens dépanner votre chaudière !
_Ainsi a débutée ma journée…
Je m’appelle Benoit, 30 ans et dépanneur chauffagiste depuis 10ans.
Jeune marié depuis 1 an, ma vie n’est pas tumultueuse.
Je travaille dans une grosse entreprise et je rentre souvent tard le soir, épuisé de ma journée. J’accorde une grande importance à la conscience professionnelle et à la satisfaction du client, comme me l’ont appris mes formateurs.
Question sexe, ce n’est plus vraiment l’éclate avec ma femme.
Je l’ai épousé au bout de 2ans de vie commune car je me sentais bien à ses côtés, nous avions beaucoup de points communs et de forts sentiments l’un envers l’autre.
Aujourd’hui nous vivons un amour régulier et linéaire; la routine peut-on dire.
Depuis le mariage, ma femme n’est plus aussi motivée sexuellement et nos rapports ont diminué, ce manque d’attention me pousse souvent à regarder des videos porno sur internet et me branler discrètement.
Je n’explique pas son changement de comportement, la pillule, le stress à son travail, est-ce moi qui ne l’attire plus ? Je n’ai jamais osé aborder le sujet par peur du clash.
Je pense être un homme normalement constitué, je mesure 1m75 pour 65kg. Pas un gabarit énorme mais dans la moyenne. Mon physique n’est pas celui d’un canon de beauté, je porte une petite barbe qui me donne un peu de virilité.
Je n’ai pas eu beaucoup de conquêtes dans ma vie car j’ai toujours été assez timide avec les filles.
Ce matin là, je sortais d’une nuit d’astreinte où j’étais en intervention entre 2h et 3h30 du matin, je n’avais pas pu beaucoup dormir et j’étais franchement creuvé.
Malheureusement, mon chef avait bien chargé le planning de ma journée et je savais d’avance que j’allais rentrer tard, une fois de plus !
Ma première cliente, Cynthia S. habitait dans un immeuble sur l’avenue Jean Jaurès, dans le quartier chic de la ville. J’arrivais donc devant la porte à 9h, la caisse à outils à la main.
La batisse était très belle, en pierre de taille dans un style Haussmannien. Je sonnais à la porte et remarquais du coin de l’oeil deux plaques métalliques brillantes à côté de l’entrée. Je n’eu pas le temps de lire, la porte s’ouvrit.
Une ravissante jeune fille, blonde, les yeux noisette, 25ans environ, pour 1m65, habillée d’un tailleur blanc à liserets noirs très classe et d’escarpins à talons se tenait devant moi.
Je fis mine d’être en pleine forme, me tenait bien droit et dis fièrement:
– Bonjour Madame, je viens dépanner votre chaudière !
Elle me fit un sourire qui me ravi, un rayon de soleil dont j’avais bien besoin après cette nuit irritante.
– Je vous en prie, entrez ! C’est au premier étage.
Je la suivi jusqu’à son appartement. Dans l’escalier je jetais un oeil furtif et discret à ses formes, mon dieu qu’elle était belle ! Sa courbure de son cul dans ce tailleur, sa posture de fille de bonne famille et son parfum ennivrant me plaisait terriblement !
Son appartement était immense, lumineux et haut de plafond, décoré avec gout dans un style moderne et épuré.
– Dois-je vous faire couler un café ? me demanda-t-elle poliement
– Avec grand plaisir, ça me permettra de me réveiller un peu. Lui répondis-je avec une pointe d’humour
Elle m’emmena dans sa cuisine digne d’un grand restaurant, me proposa une chaise haute face au plan de travail et fis le tour jusqu’à la machine à café.
Un peu gêné, je la questionnais sur ma venue, le chauffage n’avait pas l’air en panne, il faisait même bon.
Elle me dit:
– Un défaut est apparu hier soir sur la chaudière et je ne sais pas si c’est important ou pas. Je préfère laisser faire des professionnels !
– Aucun problème ! Je suis à votre service !
Elle esquissa un sourire en coin et m’apporta mon café, il était délicieux. Je la remerciais du geste qui devient rare dans notre profession, les clients voulant économiser sur le temps de main d’oeuvre et nous proposant rarement quelque chose à boire
Nous avons un peu discuté, elle était la fille unique d’un père médecin de renom et d’une mère notaire, d’où les plaques métalliques à l’entrée. Tout le premier étage de l’immeuble était son appartement, elle y vivait seule et gérait la SCI fondée par ses parents.
En somme, une petite bourgeoise pourrie gâtée par la vie, née avec une cuillière en or dans la bouche !
Mais elle avait le mérite d’être gentille et terriblement craquante, j’osais à peine la regarder dans les yeux, tant son regard m’intimidait. Elle correspondait aux critères physiques de la femme parfaite.
Mon café terminé, elle m’emmena à la chaufferie qui était la plus belle et propre que je n’avais jamais vu chez un particulier. Une belle chaudière Viessmann trônait au centre et je fus rassuré car je maitrisais bien cette marque.
– Merci bien, je vais m’en occuper et je reviendrai vers vous pour vous faire mon diagnostic.
– Je vous en prie, je vais rester avec vous si ça ne vous dérange pas.
– Euh…. ok pas de soucis.
En fait, je n’appreciais pas quand les clients restaient derrière moi, ça me mettait une pression supplémentaire et je perdais ma concentration et mes moyens.
Le défaut affiché était un problème bénin venant du compartiment électrique Quand je l’ouvris, je tombais nez à nez avec un fil sectionné net.
Comment cela avait-il pu se produire ? Un fil ne peut pas se couper tout seul de cette façon, il faut vraiment couper à la pince pour y arriver ! Etais-ce du à une intervention ultérieure ou bien même du vandalisme ? J’étais surpris, c’était la premiere fois que je voyais ça.
– C’est un fil de commande abimé, je peux vous le remplacer, j’en ai dans ma camionnette !
– Très bien ! C’était rapide comme diagnostic, vous être très compétent ! dit-elle rassurée
– Ce n’est pas grand chose, ce sera vite fait !
– Je vous en prie, prenez le temps qu’il vous faut.
Mon planning débordant de la journée me revint en tête et je lui répondis :
– J’espère que mes prochains dépannages seront tout aussi faciles et rapides !
– C’est une profession très respectable que vous exercez, j’espère que vous avez encore de l’energie pour vous occuper de votre femme quand vous rentrez ! Me dit-elle, souriante.
Je garde toujours mon alliance sur moi, je pense qu’elle a du le remarquer. Je me fais peut-être des films mais je crois qu’elle me teste, ça me met mal à l’aise.
– Ca dépend des jours… lui dis-je avec un sourire crispé
Après un rapide aller-retour à mon véhicule, le fil en main, je revins face à la porte de l’appartement qui est restée entrouverte.
– Mademoiselle ? Y’a quelqu’un ? Je suis de retour !
Personne ne répondi. Je pris l’initiative de retourner à la chaufferie, changer ce fil et effectuer des tests complémentaires pour être sur que le problème soit réglé.
Au moment où je rédigeais le rapport d’intervention, la porte de la chaufferie s’ouvrit et la jeune femme apparut.
Pieds nus, vêtue en peignoir de luxe digne de grands hôtels, les cheveux attachés en queue de cheval, elle me regardait fixement.
Une sensation glacée traversa mon dos, j’étais gêné, je baissais les yeux et lui dit:
– Heuummm… Pardonnez moi, la porte d’entrée était ouverte et je ne vous ai pas attendu pour terminer. Votre chaudière fonctionne parfaitement, j’ai juste besoin de votre signature s’il vous plait.
Elle s’approcha de moi et me giffla d’une v******e inattendue ! Mon stylo tomba de ma main.
En moins d’une seconde elle me tenait fermement par la gorge et me dit :
– Tu vas rester avec moi, tu vas appeller ton chef et lui dire que tu te sens mal, ta journée est terminée, c’est bien clair ?
Ma joue me brûlait, j’étais tétanisé, son regard me rappelait celui de ma maitresse d’école sadique quand j’étais enfant. Elle prenait un malin plaisir à m’engueuler, me punir et me regarder pleurer.
– Je… Je ne peux pas! D’autres clients compte sur moi !
Elle me remis une énorme baffe et appuya sur mes épaules pour me faire tomber à genoux.
Je voyais des étoiles, le choc m’avait donné le vertige. Que me voulait cette folle ?
Me prenant par la machoire, elle approcha son visage du mien et me dit doucement :
– Si tu refuse de faire ce que je te demande, je ferai de ta vie un enfer. Tu n’as qu’à demander à ton ex-collègue Jonathan quel est le meilleur choix à faire.
Jonathan avait été licencié 2 mois plus tôt pour faute grave, mais nous n’avons jamais su pour quelle raison. Dans la foulée sa femme l’avait quitté et des bruits de couloirs racontaient qu’il était en psychiatrie pour tentative de suicide. Cette salope s’était occupée de son cas, elle savait où tirer les ficelles et elle ne plaisantait pas. Ce n’était pas du bluff.
Tout ce que je risquais de perdre se bousculait dans ma tête: mon métier, ma femme, ma maison à crédit.
Je sortis le téléphone de ma poche et appellait mon chef.
D’une voix tremblante je lui dis:
– C’est Benoit, Je ne pourrais pas continuer les dépannages, je ne suis pas en état.
J’avais espoir qu’il me questionne et qu’un appel au secours puisse se faire sentir, mais bizarrement, il fut direct et me répondit:
– OK, c’est noté, préviens moi quand tu reprendra le travail, salut !
Un mélange de déception et de d’angoisse me traversa.
Mon chef ne cherchait pas du tout à savoir ce qu’il m’arrivait, je me démenais au travail et c’était sans aucun remerciement, j’étais en mauvaise posture face à une folle qui venait de me frapper et me faisait du chantage et aucune aide pour me sauver.
Elle me prit le téléphone des mains et le rangeât dans la poche de son peignoir.
Avec l’autre main elle me pris par les cheveux et bascula ma tête en arrière.
J’étais en position de faiblesse, étourdit, à genoux, les yeux fixant le plafond, impuissant.
– C’est bien, tu vas être un bon toutou maintenant ! Dit-elle d’un air satisfait
– Qu’est-ce….. qu’est-ce que vous me voulez ?? la suppliais-je les larmes aux yeux
D’une voix suave au creux de l’oreille, elle me répondit:
– Je veux que tu deviennes mon nouveau larbin, tu fera ce que je te demande sans broncher, tu répondra à mes désirs et sera entièrement à mon service ! Est-ce que c’est bien clair ?
Sa nouvelle personnalité autoritaire m’intimidait. Je n’arrivais pas à expliquer la sensation qu’elle me procurait. Je ne la pensais pas digne d’une telle poigne vu son physique aguicheur et sa voix d’ange.
J’acquiessais d’un discret signe de tête, ne sachant pas à quoi m’attendre.
Elle plongea son regard chaud dans le mien, me regarda fixement et me dit:
– Tu vas commencer par me bouffer la chatte !
Elle ouvrit son peignoir, elle était nue en dessous comme je l’imaginais.
Je ne pu à peine observer la fine ligne de poils sur son pubis qu’elle me plaquait contre avec vigueur, me tenant toujours par les cheveux. Je pris une grosse inspiration par surprise.
– Lèche moi bien, comme le bon chien que tu es ! M’ordonna-t-elle
Une pensée pour ma femme traversa mon esprit, étais-ce la tromper ? Je n’avais pas vraiment le choix.
Je me mis à la tâche. Elle était déjà trempée, sa mouille avait un gout sucré et délicieux de fruits exotiques, probablement sortait-elle de la douche.
Elle balança la tête en arrière et avança le bassin pour que je la lèche plus fort, sa respiration se faisait de plus en plus halletante.
Ma langue ondulait entre son clito, ses fines lèvres et son vagin.
Quand je regardais vers le haut, je voyais ses jolis petits seins aux tétons raides par l’excitation. Le traitement qu’elle me faisait subir la rendait terriblement chaude.
Elle fut prise de petits spasmes, me plaqua contre elle pendant quelques secondes, à la limite de l’etouffement et relacha son étreinte.
J’étais à sa merci, je ne voulais pas lutter, qu’attendait-elle de plus de moi. Allait-elle me faire souffrir pour son plaisir ? Me fouetter ? Me séquestrer comme un prisonnier ?
Elle m’aida à me relever et me roula une pelle phénoménale, débordant avec sa langue sur ma barbe comme pour y lécher toute sa mouille.
– Viens, je vais te montrer ma chambre !
Je la suivi sans broncher. Sa démarche était différente, avait-elle les jambes en coton suite à son orgasme ?
Sa chambre était très belle, un parquet ciré brillant et des tapis modernes, un grand lit couleur bordeau foncé, face à un pan de mur entier couvert de mirroir et d’une barre horizontale comme dans une salle de danse classique.
A côté du lit, elle me fit asseoir dans un confortable fauteuil, probablement d’un grand designer.
Elle se mis face à moi et laissa tomber son peignoir.
J’avais des fourmis dans le ventre et je sentais l’excitation monter en moi face à une telle beauté.
Elle m’embrassa langoureusement à nouveau et me caressa la tête.
Sans me quitter des yeux, elle me tourna le dos et se mis à quatre pattes sur le lit.
Son cul était magnifique, musclé et… Elle portait un plug anal !
C’était surement ça qui la faisait marcher bizarrement, quelle cochonne !
Je pris une grosse bouffée d’air et la contemplait se déhancher devant moi. Le plug n’était pas une petite taille de débutante vu la base assez large, ornant un bijou bleu saphir.
Elle se mordillait la lèvre en me lançant un regard de braise, n’arrêtant pas le balet de mouvement de ses fesses. J’alternais entre la vision de sa petite chatte, le plug dans son anus et son regard d’allumeuse. Elle prenait un malin plaisir à me regarder m’exciter en la contemplant.
Ma bite gonflait et commencait à être à l’étroit dans mon pantalon de travail, je décidais d’ouvrir le bouton et la braguette pour la replacer.
Elle se tourna lentement, descendit du lit et se mis à genoux devant moi.
Sa main se posa sur mon boxer, me caressa un peu et sorti ma bite pour la mettre entièrement dans sa bouche.
Je fus surpris par la rapidité de l’action et un peu gêné car je n’étais pas vraiment de première fraicheur, ma dernière douche datait de la veille. Celà n’avait pas l’air de la gêner vu comme elle me suçait goulument.
Je gémissais doucement, elle était experte ça se sentait. Sa langue tournait autour de mon gland et elle avalait tout d’un coup jusqu’à la base ! Ma femme ne m’avait jamais fait de gorge profonde, elle n’aimait pas sucer, quel dommage ! Je respirais de plus en plus vite et fort, son parfum et la sensation que j’éprouvais me faisait planer.
Après un petit bisou déposé sur le bout de mon gland, elle me demanda de me lever. Elle m’enleva mes chaussures et mon pantalon avec mon boxer.
J’étais debout, elle à genoux devant moi dans la même position où j’étais quelques minutes auparavant.
Elle pris ma main pour la poser sur ses cheveux attachés en queue de cheval et me dit:
– Tiens moi fermement par là et baise moi la bouche !
Elle prit ses poignets dans son dos, ouvrit la bouche et sortit la langue.
J’y engouffrais ma bite et la regarda se la prendre pendant mes vas et vients !
Les rôles avaient changé, j’adorais la posséder à mon tour, j’y allais comme je le voulais, à mon rythme et elle se laisser faire ! Ma verge était pleine de salive, ça coulait le long de son menton.
Elle pris ma bite dans sa main, me branla un peu et me demanda de m’allonger sur le lit.
Je me séparais du reste d’habits que je portais et respectais sa demande.
Elle me dit en me montrant du doigt :
– Interdit de jouir avant moi ! C’est bien clair ?
J’acquiesçai. Elle s’essuya le visage à une serviette et vint à me chevaucher sur le lit.
En un temps record elle se pénétrera, je n’eu pas le temps de poser la question capote qu’elle avait déjà ma bite au fond d’elle. Sa chatte était serrée et la sensation de frottement du plug la rendait encore plus étroite.
En état d’excitation totale, cette fille était une nympho comme je n’en avais jamais rencontré !
Elle menait la danse en prenant appui sur mon torse, la tête en arrière, elle gémissait sublimement et semblait tout autant en extase que moi. Sa chatte ne cessait d’être trempée et je sentais de petite contractions la parcourir. Elle me dit sur un ton dur et reprochant:
– Bon, qu’est-ce que t’attends pour me dire ce que tu pense de moi ?
– Humm, et bien….T’es une sacrée cochonne !
– Je suis pire que ça, et tu vas le découvrir ! Soit honnête et dis le moi vraiment ! Soit obscène, lache toi !
Un élan de confiance me pris, j’accélérais le rythme de mes coup de reins et lui cria:
– T’es une grosse salope qui aime se faire défoncer !
Son visage s’illumina, elle fit un grand sourire de satisfaction, et elle me répondit sur le même ton:
– Ouiiii je suis ta grosse salope et j’aime que tu me défonce !
Je pris ses fesses dans mes mains pour les faire claquer contre mes cuisses et je laissa mes doigts glisser vers le plug.
– Vas-y, appui dessus ! Fais toi plaisir ! me lança-t-elle
Elle me rendait fou, si je n’avais pas l’obligation formelle de me retenir, j’aurai déjà joui !
Pour ne pas craquer, j’arrêtais un instant mes coups de boutoir.
Je la fis s’allonger contre moi et je jouais doucement avec ce jouet dans son cul, elle me léchais le lobe de l’oreille en gémissant. Je sentais son sourrire.
– Maintenant tu vas prendre sa place. Dit-elle en chuchotant
Je la bascula sur le côté pour la mettre à quatre pattes.
Je voulais voir ce plug de plus prêt ! Quand je suis en manque, ce que je préfère en porno c’est l’anal. J’avais sodomisé ma femme quelques rares fois, mais elle n’était pas fan de ça et elle le faisait plutôt pour me faire plaisir.
La ravissante Cynthia avait l’air d’être très friante de ça par contre, une femme qui porte un plug de cette taille ne peut qu’être une dingue de sodomie !
Elle compris instinctivement ce que je voulais qu’elle fasse. Elle se pencha en avant et écarta ses fesses avec ses mains.
Je saisi l’objet par la base et tira doucement dessus, j’observais la réaction de son visage pendant que je le retirais. Je devais tirer de plus en plus fort pour le faire sortir et il vint d’un coup !
Il était plutôt gros, à peu près de la largeur de ma bite, en forme d’obus. Son anus se referma d’abord, puis se détendit de suite comme pour m’inviter à le prendre.
Je laissa glisser mon gland contre. Ma bite était trempée de mouille, son cul était lubrifié, elle mit un coup en arrière pour s’enfiler entièrement jusqu’à la garde ! Je ne pus retenir un « Putain ! »
Elle pouffa de rire doucement et m’ordonna:
– Défonce moi le cul comme une chienne maintenant, oui c’est ça que je suis, une grosse chienne !
Je lui mis une tappe sur la fesse droite, elle cria ! Je l’a pris par sa queue de cheval et commença à l’enculer. La vision de ce petit cul dévorant facilement ma grosse bite était jouissive. L’idée de matter son petit trou dilaté me passa par la tête, je la pénétra à fond et sorti doucement.
Il était énorme, dilaté à l’extrême ! Jamais je ne pensais qu’il serait aussi ouvert !
– Wahou, c’est magnifique !
– Si ça te plait gros porc, t’as qu’à me bouffer !
– Heu… je ne sais pas si…
– Bouffe mon cul !!! Et ne discute pas !
– …. Ok !
Je m’executais donc. La sensation était agréable, son lubrifiant avait un parfum genre pina colada à l’ananas et noix de coco, ma langue se baladait sur les bords, l’intérieur, partout.
Elle se délectait de cette douceur, se cambrant bien pour que je la lèche plus fort. Elle fermait les yeux et se mordiller la lèvre inférieure.
Elle fit descendre sa main jusqu’à sa chatte pour se masturber, j’entendais au bruit qu’elle était trempée de mouille.
– Dernière ligne droite, reprends moi et donne tout ce que t’as ! me lança-t-elle
Je me redressa pour la pénétrer, d’abord doucement puis de plus en plus fort et vite, ses fesses claquaient sur mon ventre, elle me criait de plaisir des choses perverses à base de chienne, salope, pute, je sentais son orgasme et le mien monter.
Elle fut prise d’un tremblement fort, expira un grand coup et son petit trou se contracta. Je jouis à mon tour au fond de son anus, d’une rare puissance ! Ca faisait longtemps que je n’avais pas connu un tel orgasme ! J’étais épuisé et transpirant, des points blancs dansaient devant mes yeux, il fallait que je m’allonge !
Au moment où mon dos se posa, elle me passa une menotte au poignet comme pour me retenir prisonnier. L’autre était fixée au bareau du lit.
– Tu crois que je vais me sauver ? lui demandais-je
– Avec ça, je suis certaine que tu restera ici quand je reviendrai de la salle de bain !
– Dans l’état où je suis, je ne risque pas d’aller bien loin !
– Tu apprendra vite à savoir comment me baiser, pour une première tu t’en es pas mal sorti ! Tu m’as bien souillée et je vais mettre du temps à me laver ! Pour toi ce sera plus rapide !
Elle saisi ma bite venant de sortir de son cul, pleine de lubrifiant et de sperme et la lécha entièrement pour me nettoyer. Elle savait que mon gland était sensible et passait délicatement dessus, une vraie pro !
Une fois le travail terminé, elle me fit un sourire et parti se doucher.
J’étais comme un con, à poil et tout seul sur le lit une menotte au poignet. Je venais de tromper ma femme, mentir à mon chef, avait lâchement accepté de répondre au plaisir de cette déesse sexuelle sans me rebeller.
Cela en valait-il la peine ? Oh que oui ! Ma vie ne serait désormais plus la même, une facette inconnue de ma personnalité venait de faire surface, celle du jeu de la domination. Je me sentais heureux, fier de l’avoir comblée.
Qu’allait-elle me réserver pour la suite ?
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