Ma première lingerie.
La première fois que j’ai mis de la lingerie, je m’en souviens comme si c’était hier. Et pourtant, cela fait bientôt 20 ans que mon expérience avait débuté.
Dans la vie, le divorce de ses parents apporte en général bien plus de contrainte que d’avantage, mais pour ma part, j’en avais trouvé des intérêts. Un week-end sur deux, je vivais chez mon père qui s’était remis en couple avec une personne dont nos points communs divergeaient totalement sauf sur deux choses : nos mensurations de tour de taille et de hanches ainsi que, mais je ne le savais pas encore, un goût raffiné pour la lingerie et les dessous sexy.
Le vendredi soir en arrivant chez mon père, je remarqua dans ma chambre une panière de linge fraîchement lavé de sous vêtements de ma belle maman. Je posa mon regard dessus mais n’en fit pas plus. J’espérais juste qu’elle ne soit pas motivé pour ranger son linge. Toute la soirée, cette panière tourmentait mon esprit ainsi que les heures défilants si lentement avant que tout le monde parte se coucher.
Une fois tout le monde couché et profondément endormi, la grande soirée pouvait débuter.
Pour accompagner ce moment de pure délectation, rien ne valait une bonne histoire porno. Par chance, mon père était un inconditionnel de livres pornographiques tout comme moi. Ma chambre étant le débarras de la maison, il était plus que probable que le carton rassemblant ses ouvrages se trouvait quelque part autour de moi. Après une recherche rapide, j’avais mis la main dessus : je l’ouvri et commença à rechercher le bouquin idéal pour pouvoir me plonger dans une agréable lecture. Après avoir fait le tour de la bibliothèque richement garnie, un livre m’attira plus que les autres : deux décennies plus tard, je me souviens encore du titre, c’était « Les culottes de Charlotte”. Un ouvrage assez épais, merveilleusement illustré, racontant l’histoire d’une jeune demoiselle de famille bourgeoise des années 70 vivant dans un sublime manoire. Elle était à la découverte de sa propre sexualité personnelle mais recherchait également d’autres fantasmes que les hommes ne pouvaient lui offrir. Elle avait comme caprice de séduire sa belle mère pour qu’elle lui apprenne de nouveaux plaisirs cachés.
Une fois le livre choisi, je me dirigea vers la panière de linge pour réaliser mes emplettes : string, corset, soutien-gorge, bas résilles, un choix si alléchant pour s’habiller de la tête aux pieds avec allure. Mais au fond de cette panière m’attendait un body en dentelle blanc muni de fines jarretelles. Sans aucune hésitation mon choix était fait. Pour accompagner cette tenue, je pris également les bas résilles pour couvrir mes jambes fraîchement épilées.
Une fois mes acquisitions faites, je m’employa à passer délicatement les bas. Les passer fût une partie de plaisir, ils glissaient si facilement sur ma peau qu’il me donnaient de léger frissons au fure et à mesure que je les montais le long de mes gambettes. Je ne me pressais pas pour les remonter délicatement jusqu’en haut de mes cuisses veillant à ce qu’ils soient bien à la même hauteur.
Une fois les avoir enfilés, je m’empressa de prendre le body. Il était tout en dentelles fines orné de très léger files de couleur ivoire, cousue pour raccorder la lingerie aux jarretelles. Je commença par enfiler la première jambe, puis la seconde, le remontant doucement pour le coller délicatement sur mon buste. Une fois les bretelles passées, je m’employa à fixer les jarretelles aux bas : je pensais avoir quelques difficultés pour les accrocher mais ce fut très simple et facile.
Me voilà enfin vêtu d’un ensemble simple mais terriblement sexy. Mon fantasme étant assouvi, j’eu l’idée de me reluquer dans la grande glace accroché sur la porte de la chambre. Une forme de jouissance m’envahissait à la vue de cet ensemble si provoquant sur ma peau, je n’arrêtais pas de mater mon petit cul ainsi que mon corps svelte, me dandinant avec ardeur face à la porte. Mes mains faisaient des va-et-vient sur mon corps chaud, faisant quelques passages sur ma queue bien raide.
Je ne voulais jamais oublier cet instant inoubliable mais seule ma mémoire pouvait immortaliser ce moment incroyable. D’un coup, le sourire me venait aux lèvres et l’excitation se démultiplia : à quelques mètres de moi se trouvait une sacoche contenant l’appareil photo de mon père. Vous imaginez bien ce que j’en ai fait …
Je pris l’appareil et c’était parti pour une séance photo coquine. Le clic que l’appareil retentit une bonne cinquantaine de fois dans la pièce, avec la posture de mon corps toujours dans une position différente. Je réalisais aussi bien des plans coquins et sexy devant le miroir que des clichés un peu plus hot allongé sur le lit, me caressant puis faisant des va-et-vient avec mon sexe transpirant de plaisir.
Je pris le livre, l’ouvrit et commença à le lire. L’histoire était d’autant plus excitante que les photos illustraient à merveille ce récit. Au fure et à mesure que je lisais, mon corps faisait des va-et-vient sur le matelas. Ma queue glissait avec une certaine pression sur la dentelle du body, et je sentais les jarretelles se tendre sur mes cuisses retenant les bas et à chaque oscillations de mon corps je retenais l’orgasme final pour ne pas que ce moment se termine.
Pour augmenter le plaisir, je pris l’arrière du body pour le glisser entre mes fesses comme un string. Je repris les mouvements tout en continuant à lire cette histoire exaltante. Une forme d’explosion de jouissance parcours mon corps au allées et venu du bout de dentelle sur mon anus.
Plus l’histoire avançait et plus mon excitation montait. À travers la lingerie, je me frottais tendrement tout en pinçant délicatement mes tétons. Encore une zone érogène qui, mélangé au doux frottement de mon anus décuplait ma jouissance.
À ce moment là, je savais que je n’arriverai pas au bout du livre tellement l’excitation montait en moi, alors je pris mon sexe pour l’extraire du body et avec une grande douceur, et je me branla en faisant des va-et-vient au maximum de mes capacités. Je sentais la douce chaleur de mon sperm monter. Mes testicules étaient extrêmement dures et bien ronds. Je n’arreta pas la stimulation de mon petit trou et de mes tétons qui étaient devenus extraordinairement dure.
Ca y est, j’étais au bord de l’explosion finale. Je dirigeai mon sexe en direction du drap housse du lit pour concentrer tout mon foutre en un même endroit. D’un seul coup, tout parti en de multiples giclées abondantes tandis que simultanément, un gigantesque orgasme complètement inhabituel me pénétra jusqu’au plus profond de mon âme.
Mon sperm avait une texture si compact qu’une idée un peu folle me traversa l’esprit. J’avais une envie folle de boire ce fluide si appétissant : je dirigea ma bouche vers cette substance blanche et la lécha en surface avec une grande délicatesse. Mes papilles pétillaient sous le goût sucré/salé de mon liquide séminale, un pure délice !!
Mon envie de poursuivre ne fût qu’un tour dans ma tête et je donna un grand coup de langue recueillant le reste de mon propre jus de corps d’homme. Comme un bon vin, je le faisais tourner dans ma bouche, m’imaginant un cours instant qu’il ne m’appartenait pas. Devant la glace, je m’amusais avec ma langue et mes lèvres à faire des bulles, des files et tout un tas d’autres choses. Quelques clichés me laisseront une trace indélébile de ce petit délire et aussi de toute cette soirée si fantastique.
Malheureusement les bonnes choses ont une fin, j’avala mon sperm d’un trait mais avec délectation. Je sentais sa chaleur descendre lentement le long de ma gorge, encore une fois, un vrai délice !!
Cette soirée fût mon tout premier fantasme de travestie mais j’étais loins de penser que j’aurai à ma disposition une collection de si belle lingerie ni d’avoir cette incroyable occasion d’immortalisé l’ensemble de ma soirée sur pellicule. Je n’aurai jamais cru non plus jouer de cette manière avec mon propre jus et surtout prendre autant de plaisirs à le boire.
Depuis le temps a passé, mais certainement pas mes envies de me travestir, de me mettre dans la peau d’une femme et de ressentir toutes les joies qu’elle peut avoir en portant des vêtements et des sous vêtements aguichants. L’étape suivante et logique était de ressentir ce qu’un homme pouvait me procurer comme plaisir. Étant timide de nature pour une relation réelle, je n’avais le choix que de m’initier seul à la pratique de la sodomie. Avec une certaine excitation, je fis mes petites commissions sur internet et en boutiques spécialisées. Il ne me restait plus qu’à apprendre à m’amuser avec ma petite collection de jouets.
Chers lecteurs, ne soyez pas triste d’arriver à la fin de cette histoire, prochainement, une nouvelle anecdote en cours d’écriture.
Un petit avant goût ?
Une nuit de folie passé l’été dernier suite à la réception d’une commande de lingeries. Tous mes jouets y sont passés !!
À bientôt …
Bisous
Ps : n’hesitez pas à commenter 😉
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