J’ai 46 ans et suis mariée à Alain. Un jour, mon époux me propose durant nos vacances sur l’ile d’Oléron, de découvrir le candaulisme. Cela ne m’enthousiasme pas complètement, mais j’ai toujours besoin de relations charnelles. L’idée fait son chemin et devient même excitante. D’autant que pour atténuer ma culpabilité de tromper Alain, je souhaitais une relation avec un homme dominateur. Après des recherches sur le net, rendez vous était donné sur un parking. Ce partenaire inconnu, avait demandé à ce qu’Alain soit au volant, et moi à l’arrière, en tenu sexy. A l’heure dite, nous étions garés à l’emplacement demandé. Un homme arrive à pied, ouvre la portière passager et s’assoie à côté d’Alain. Alain, d’emblée, commence à parler sexe et parle de moi comme si je n’étais pas présente. L’homme, au grès des détails croustillant que mon mari lui raconte à mon sujet, me regarde régulièrement. Je suis gênée et baise les yeux. Alain ayant fini de parler, l’inconnu attaque dans le vif.
« Alain, à partir de maintenant, je vais te demander de te faire discret. Pas transparent, c’est important que Michèle te voit. Michèle, si tu veux faire machine arrière, il est encore temps. Sinon j’aimerais entendre de ta bouche que ce soir tu vas obéir à toute mes demandes. Alors ? »
Après un instant d’hésitation, je lui répond à voix feutrée :
« oui je vais vous obéir. »
« Regardes moi ! Quand tu me parles tu dis Monsieur. J’ai pas bien compris ta réponse ! »
« Oui Monsieur, je vais totalement vous obéir. »
Sans même répondre, il descend de la voiture et monte à l’arrière. Il se colle à moi et pose sa main sur ma cuisse en s’adressant à mon mari.
« Tu peux démarrer, amènes nous à l’endroit convenu ! »
La voiture démarre. Il pose sa main sur ma nuque et m’attire vers lui. Nos bouches se frôlent, puis se trouvent. Nous échangeons un long baiser sensuel. Une main me caresse un sein, l’autre remonte lentement ma jupe et joue avec la naissance de ses bas. Je ne bouge pas, me contentant de rendre le baiser. Il me saisi la main et la pose sur son sexe gonflé sous le jean.
L’ordre claque comme un coup de fouet :
« Sors mon sexe et caresses moi ! »
Je m’exécute calmement. Nous continuons encore quelques minutes ces jeux manuels. Ses mains se font plus exploratrices. Alain observe dans le rétroviseur.
« Soulèves toi et relèves ta jupe ! »
Je me lève et remonte doucement ma jupe. Sa main se pose immédiatement entre mes cuisses et commence à me caresser à travers mon string. Je me cambre et prends appuie sur l’appui-tête du siège en poussant quelques gémissements.
« Mets toi à quatre pattes sur le siège et vient me sucer ! »
Déjà très excitée, je me met en position. ma bouche se pose sur sa bite. Alain coupe court à cette parti de plaisir.
« On arrive ».
Nous nous réajustons et reprenons une position plus normale. Une fois garé, mon amant d’un soir dont je ne connais toujours pas le nom, dit à mon mari :
« Va ouvrir, tu t’assois dans un coin de la chambre et tu nous attends ! »
Mon mari, descend et se dirige vers l’entrée. Cet inconnu en profite pour reprendre possession de ma bouche. La crainte a totalement disparu et je rend ce baiser sans pudeur. Nous descendons à notre tour et nous dirigeons vers l’entrée. Devant le pas de la porte, il me bande les yeux. Nous franchissons la porte, il me guide jusque devant le lit. Bernard est assis juste en face de moi mais je ne peu le voir. Mon amant commence à me déshabiller lentement, manteau, chemisier bouton par bouton, ma jupe glisse à mes pieds, soutien-gorges.
« Mets tes mains derrière ta tête ! »
J’obéis alors qu’un frisson me parcoure le dos. Il m’écarte les pieds. Je le sens me tourner autour me touchant de ci de là. Un doigt sur ses lèvres, un autre sur un téton, sur mes fesses, le haut de mes cuisses. Puis il commence à me caresser la chatte et les seins. Il m’enlève mon string et me retourne face au lit.
« Avance et mets toi à quatre pattes sur le lit ! »
En tâtonnant, je pose un puis deux genoux sur le lit, puis me penche et offre une vue splendide sur mon cul.
« Cambres toi bien ! »
Je soulève encore un peu plus mes fesses et creuse mes reins. Il commence à me doigter ma chatte trempée. De l’autre main il écarte mes fesses et sa langue s’insinue dans mon petit trou. Je ne peut réprimer un mouvement d’esquive. Une claque brutale s’abat sur mes fesses.
« Ne bouge pas salope ! »
Il reprend alors son ouvrage jusqu’à m’amener à un premier orgasme.
« Tournes toi ! »
L’inconnu me saisi la nuque et colle enfonce sa bite dans ma bouche. Alors qu’il utilise ma bouche, il me claque à nouveau le cul.
« Pose cette main c’est moi qui dirige ! »
Il me saisit la tête à deux mains et baise ma bouche. Puis alors que je sentais qu’il allait jouir, il se retire et va s’assoir à côté de mon mari.
« Redresses toi et caresses toi pour nous ! »
Surprise par cet ordre humiliant, je ne réagi pas tout de suite.
« Qu’est-ce que tu attends salope? »
Rouge de honte, je commence à me caresser.
« Bien, maintenant je veux t’entendre réclamer ma queue ! »
Je déglutie de honte mais je suis là pour le plaisir de mon homme. La voix blanche de leurs dis :
« Je veux votre queue. »
« Plus fort salope ! C’est pas une grosse envie ça, et tu oublies le Monsieur ! »
« Je veux votre queue, Monsieur. »
« Et tu la veux où petite chienne ? »
« Je la veux… dans ma chatte. Je veux que vous me preniez Monsieur ! »
Il se place alors juste derrière moi sur le lit, détache le bandeau et me pousse en avant. Je ses sa grosse queue à l’entrée de ma chatte et là, il me pénètre d’un coup sec. Je pousse un petit cri plus de surprise que de douleur. Il m’att**** les cheveux et me force à lever la tête. Puis ses mains se posent sur mes fesses et m’écartent le cul. Son pouce se pose sur ma rondelle. Je me raidi d’un coup. Mon mari lui a dit que je n’apprécie pas la sodomie. Tout en continuant à me limer, son pouce me pénètre.
« S’il vous plaît monsieur, pas par là… ! »
Il me claque violemment les fesses.
« Je t’ai posé une question ? Il me semble que tu as dis que tu m’obéirais totalement ? Tu m’as menti ? »
« Non Monsieur, mais j’aime pas la sodomie et j’ai si peur d’avoir mal. »
« Salope ! Çà c’est mon affaire ! »
Je jette alors un œil suppliant à Alain. Mais mon mari ne semblait pas gêné par l’idée, bien au contraire, il tirait de plus belle sur son engin. L’homme alors lui fis signe de se lever et de venir se faire sucer. Il n’attendait visiblement que ça et vient fourrer sa bite dans ma bouche. D’abord surprise, je ne tardais pas à lui pomper avec délice le dard. Trop occupée à goutter la bite de mon homme, j’en oubliais mon appréhension. Il se retira subrepticement de ma chatte et commença à pénétrer mon petit trou. La préparation de mon cul avait fait son œuvre il m’encula jusqu’à la garde sans forcer. Mais j’avais sérieusement ralenti la pipe et faisant signe à Alain de relancer. Il me caressa la tête, et m’imposa un mouvement plus rapide. Après quelques minutes à se rythme, mes deux hommes explosèrent de jouissance. Mon mari éjacula dans ma bouche puis m’embrassa tendrement. Tandis que l’inconnu me remplissait le rectum.
Nous avons ensuite pris une douche commune et discuter un moment tout en sirotant un get 27.
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