Chris m’a raconté comment il avait enculé ma femme… j’en restais « baba », scotché ! Alors qu’avec moi, elle n’avait jamais voulu que je l’encule, je venais d’apprendre, non seulement qu’elle aimait ça mais qu’en plus c’est elle qui le lui avait demandé
Là, je décidai de sauter sur la merveilleuse occase fournie mais je ne voulais surtout pas qu’elle puisse se douter que c’était un coup monté !
Je ne savais plus trop ce dont j’avais envie : enculer ma femme ? l’amener à des baises effrénées en ma présence ? lui faire avouer ses incartades (sans que je lui en tienne rigueur)? qu’elle me raconte ses baises avec des jeunes ou des collègues, son patron, d’autres types ?
Alors ce soir-là (Chris m’avait tout narré par le détail par mail), je l’attendais à son « retour » à la maison. D’entrée ses cernes sous les yeux étaient immenses, elle avait l’air épuisée comme si elle avait fait un marathon, alors qu’il n’était que 6 heures du soir…
et elle, tout naturellement (fine mouche salope) :
« ouffffffffff! je suis fatiguée, j’en peux plus » dit-elle en entrant dans le couloir avec une démarche de déménageur éreinté puis en s’asseyant sur les marches de l’escalier pour enlever ses escarpins, dans une pose de « pute épuisée »
Le plus naturellement du monde (heu!!! faux-cul que je suis alors que JE SAIS qu’elle s’est faite défoncer) je m’approche d’elle, je m’accroupis et je l’aide à enlever ses escarpins : « attends je vais t’aider! … comment ça se fait que tu es si fatiguée? »
« on a eu une journée épuisante, de l’informatique, des clients chiants, des erreurs qu’on a cherché des heures »
et là, alors que je l’aidais à enlever ses escarpins en caressant ses bas (sachant qu’elle ne met pratiquement jamais des bas pour aller au boulot… – à moins que d’habitude elle se change avant de rentrer et que là elle n’ait pas eu le temps) :
« t’avais mis des bas aujourd’hui ? »
(dans la mesure où elle ne pouvait pas aller se doucher à 6 heures du soir -chose qu’elle ne fait jamais et qui donc aurait automatiquement attiré mes soupçons) elle bredouilla une réponse alambiquée :
« ben oui, j’ai pas trouvé de collant qui allait bien ce matin, alors j’ai mis des dim-up »
Evidemment, je ne la surprends pas quand je me mets à caresser ses jolis bas nylons dim-up (elle sait que j’adore quand elle met des bas)… et je remonte vers l’intérieur de ses cuisses à demi écartées dans cette pose impudique de la femelle qui n’en peut plus de s’être fait tringler (le trop court trajet en métro ne lui a pas permis de récupérer de la débauche de partie de bite qu’elle a reçu dans sa chatte et dans son cul de la part de CHRIS.
Elle se sait « coupable » et donc ne fait trop rien pour contrarier mon « inspection » car, évidemment elle ne sait pas que je sais. Quand j’approche de sa chatte, je m’exclame :
« Mais t’as plus de culotte ! t’es toute trempée ! … tu t’es fait mettre cet aprem »
Là, elle est confondue, elle n’a plus aucune excuse, aucun alibi à bredouiller, d’autant plus qu’avec mes deux mains j’explore sa chatte dévastée et détrempée de mélange de stupre.
Je l’entraine sur le canapé de la salle à manger :
« viens là, je veux voir ça »
Elle n’offre plus aucune résistance ! J’ai gagné ! je commence à triquer dur.
Je soulève ses cuisses que j’écarte au maximum, je plonge entre ses cuisses en direction de sa chatte, tout en sentant des traces de sperme sur ses bas avec mes mains. Je me mets à bouffer sa chatte… elle essaie bien de m’arrêter en me repoussant, alors là, je disjoncte :
« Laisse-moi, tu t’es fait mettre salope cet aprem, t’as plus de culotte, t’es trempée de foutre, putain que ça sent le sperme là… tais-toi et laisse-moi… t’en as fait quoi de ta culotte ? »
Elle ne l’a plus cette culotte, je le sais car elle l’a donnée à Chris pour qu’il la renifle et se branle en pensant à elle (il me l’a dit dans son mail).
« Heu…Elle était trop sale, je l’ai jetée »
« Attends, ne me prends pas pour un con en plus, tu l’as donnée à ton baiseur hein ? »
Elle ne répond plus rien et est obligée à me laisser investiguer sa chatte. Putain, c’est un vrai cloaque, elle déborde de foutre et surtout, je sens avec mes doigts que sa raie du cul est totalement inondée et qu’une méchante odeur s’en dégage.
Alors, presque violemment, je la soulève encore plus, pattes en l’air et je vais renifler son cul… Comme je sais ce qu’il s’est passé, je me mets à lécher, bouffer, sucer son sillon ravagé de la chatte au cul : ça sent fort, il y a des odeurs de sperme à moitié séché, de sa mouille de salope qui a joui à l’extrême, et même un peu de sa merde car son cul a été pilonné !
Elle ne dit plus rien, elle est vaincue, confondue… : comme dirait l’autre « vingt culs » et « con fondu » !
Je me dégage un instant, je la regarde avec provocation : « tu t’es fait baiser et enculer comme une salope hein ? c’est complètement rempli, tu dégoulines de foutre, de mouille et de merde, t’es qu’une salope de faire ça sans moi »
Vaincue, abasourdie, impuissante à me contenir car elle sait que je suis d’un naturel jaloux, elle ne répond plus rien et reste là, dans cette pose totalement impudique, jambes relevées (je la tiens toujours par ses chevilles, ses cuisses ouvertes) chatte béante rosée et engluée, son trou du cul affleurant au bord du canapé débordant de foutre pas encore séché.
Je sors ma queue, là je trique comme une bête et je me lâche :
« Putain que tu sens le stupre, que t’es mouillée, trempe de foutre et de mouille… à moi maintenant, je vais te prendre après lui »
Et avant qu’elle ait pu esquisser le moindre geste ni proféré la moindre parole (qu’est-ce qu’elle aurait pu dire d’ailleurs ?), je l’enfile direct dans son cul… oui je l’encule enfin ma salope de femme car son trou du cul visqueux me permet de la pénétrer sans problème.
« Ahhhhhhhh, huuuuurgggggggn, doucement » dit-elle
« Quoi doucement ? non mais, tu t’es fait mettre à fond et tu oses m demander de faire doucement… je te prends comme je veux salope ! »
Et je me mets à pistonner son trou du cul, sortant de temps en temps pour aller faire une incursion dans sa chatte, tellement dilatée d’ailleurs que ma queue nage dedans, et je reviens l’enculer avec hargne… comme si je voulais lui faire payer de longues années de « non dit ».
Je tape de plus en plus fort, alternativement dans ses deux trous, ma queue glissant sans problème dans son cul et dans son vagin encore lubrifiés et remplis du foutre de Chris.
Je la tiens toujours par ses bas à ses chevilles pour la maintenir bien ouverte et je cogne de plus en plus fort, m’imaginant le plaisir qu’a dû prendre Chris, pensant aussi aux bites de son patron, de ses jeunes collègues qui l’ont baisée et surtout enculée depuis des années, alors que moi je ne l’avais jamais enculée.
J’étais moi-même surpris par la dureté de ma queue, tellement j’étais excité par toutes ces pensées qui me parcouraient et je la regardais fixement, se laissant prendre comme une chienne en me demandant si elle prenait autant de plaisir là maintenant avec moi qu’avec toutes ces queues adultères qui l’avaient baisée et enculée jusqu’à aujourd’hui.
Alors, sans fioriture, la tenant à ma merci par ses pieds relevés, contemplant sa chatte ravagée, alors qu’évidemment elle fermait les yeux pour ne pas croiser mon regard, je me mis à accélérer mes mouvements et… pour la première fois de ma vie, je déchargeais longuement dans son cul en la traitant de salope et en beuglant mon plaisir :
« Putain, tiens, salope, je te décharge dans le cul… je te remplis de foutre salope… comme les autres… t’aimes ça hein prendre du foutre dans ton cul ? tu me l’avais pas dit ? tiens, tiens, prends ça… putain que c’est bon ! »
Et je me déversais en elle, rajoutant mon propre foutre à celui de Chris, sans me soucier de savoir si elle jouissait (elle avait tellement joui avec Chris que peut-être ça l’excitait moins que ce soit moi maintenant qui jouisse en elle), j’inondais le cul de ma femme pour la première fois de ma vie (oh ! merci Chris !), je la contemplais les yeux mi-clos entrain de jouir encore une fois (car oui elle jouissait, je le sentais à ses fameux coups de cul qu’elle donnait pour aller à la rencontre de ma queue… qu’elle ne « sortait » qu’en de trop rares occasions avec moi, alors qu’elle devait en gratifier ses amants à chaque séance de baise).
Ce qui me confortait c’est qu’elle ne disait plus rien, elle gémissait seulement comme témoignage de sa jouissance et répondait par ses coups de bassin à mes coups de piston.
Voilà comment, grâce à Chris j’ai enculé ma femme pour la première fois de ma vie, après quarante ans de vie commune, comment j’ai pu « vérifier » qu’elle était une authentique salope qui avait dû se donner à de multiples
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