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Madame la députée

Madame la députée



Auteur : Dudule77

Jean, capitaine après quinze années de bons et loyaux services dans les forces spéciales de l’armée française et dans tous les points chauds de la Terre, a décidé de changer de corps d’armée et a choisi la gendarmerie, plus tranquille et qui offre de nouvelles perspectives de carrière. Il a été muté dans une sous-préfecture du centre de la France, beaucoup plus calme que tous les théâtres d’opérations sur lesquels il a opéré.

* * *

En ce début de juillet, le soleil commence déjà à chauffer. Ma secrétaire, tout en buvant son café du matin, me rappelle qu’en fin d’après-midi je suis convoqué ainsi que différents services dans le bureau de notre députée-maire afin de coordonner les différentes actions à mener afin de sécuriser le feu d’artifice du 14 juillet. Je n’ai encore pas encore eu l’occasion de me présenter à elle – problème d’emploi du temps ou surcharge de travail – mais je me suis quand même un peu renseigné sur elle : la quarantaine, deux enfants, un mari directeur de l’école primaire Louise Michel et aussi président de l’amicale des pêcheurs du canton.

La salle de réunion est remplie de différents acteurs de la sécurité ; les pompiers, la DDE, les services techniques de la ville, le sous-préfet et – bien sûr – nous, la gendarmerie. La députée salue l’ensemble des participants et nous rappelle les enjeux de la sécurisation de ce feu d’artifice. Pour moi, tout a été prévu, mais il faut bien que les politiques se montrent.

Je la regarde. Elle est pas mal, blonde (vraie blonde ?), cheveux mi-longs attachés derrière par une pince, assez grande, habillée sobrement d’un pantalon en toile beige avec en haut un corsage boutonné jusqu’en haut, pas très sexy je me dis. Mon adjoint marque tous ses souhaits et désirs. Elle est directe, elle parle sans ambages, elle sait ce qu’elle veut : un intervenant a soulevé un problème ; elle l’a remis en place gentiment mais fermement.

La réunion se termine vers 19 heures sur les compliments et félicitations de madame la députée. Je la vois qui se dirige vers moi en souriant.

— Bonjour, Capitaine ; nous n’avons pas eu beaucoup l’occasion de nous rencontrer depuis votre arrivée chez nous. Avez-vous quelques instants à m’accorder pour faire un peu le tour des problèmes d’insécurité du canton ?
— OK, je suis dispo ; je n’ai prévu de spécial ce soir.

S’ensuit une discussion sur nos actions réciproques pour faire baisser la délinquance et aussi parler de tout et de rien sur l’ambiance actuelle, « pas bonne » me dit-elle. Une heure après je me lève et, prêt à partir, elle me demande sur un air enjoué si j’ai prévu quelque chose pour cette soirée.

— Si vous avez encore quelque temps à me consacrer et si vous n’avez rien prévu, voulez-vous prendre un verre avec moi ? J’ai un appartement aménagé au-dessus de mon bureau, au premier étage. Cela m’arrive souvent après les réunions ; on pourra reparler d’autres sujets. Je n’aime pas rouler la nuit, et de plus mon mari est déjà parti en vacances dans notre maison de campagne.

Je n’ai toujours rien de prévu pour ce soir, à part une soirée télé seul devant mon poste ; nous ferons plus amble connaissance, donc je suis d’accord. En ce mois de juillet, même à cette heure tardive, il fait toujours aussi chaud. Elle me demande de la suivre, et après avoir grimpé l’escalier en colimaçon nous voici dans son appartement privé. Cela avait dû être un grenier, c’est mansardé.

— Voici mon petit chez-moi après mes réunions politiques. C’est sobre : juste une grande pièce qui fait office de salon-cuisine-salle à manger, et quand même une petite salle de bain et une petite chambre, mais cela me suffit entièrement. C’est mon mari qui m’a arrangé cet endroit : il a du temps de libre et est très bricoleur. Je vais me changer et me refaire une beauté ; avec ce temps lourd, j’ai beaucoup transpiré. Prenez une revue, ou vous pouvez regarder la télé, ce doit être les informations en ce moment, me dit-elle en me désignant la télécommande.

Cette pièce est arrangée avec goût avec un petit coin salon où un divan et deux fauteuils font face à une belle télé à écran plat. Je m’installe confortablement et prends la première revue que je vois, Madame magazine. « Évidemment, une députée de droite… » je me dis.

Cela fait un bon bout de temps que je poireaute, elle est longue à se préparer. Elle apparaît enfin. Oh ! Je ne peux m’empêcher de pousser un « oh » d’admiration : ce n’est plus du tout la même personne que j’ai rencontrée une heure plus tôt. Elle est vêtue d’une minirobe fleurie, mais vraiment mini, avec une petite ceinture. Ses cheveux sont détachés, elle n’est trop maquillée, et je suis subjugué par cette paire de jambes que je ne peux m’empêcher d’observer.

— Oh, Madame la Députée… je lui dis.
— Capitaine, ce n’est plus la députée ni la maire qui vous reçoit, mais Anne, la mère de famille, la femme qui vous accueille. D’ailleurs, si tu es d’accord, on peut se tutoyer : ce serait plus sympa. OK ?
— D’accord, Anne ; moi, c’est Jean. Vous – oups ! – tu es charmante ; quel changement ! Quelle métamorphose ! C’est le yin et le yang.
— Tu vois, Jean, ma vie de femme est plutôt en berne. Tu me vois habillée comme cela devant mes administrés ou à l’Assemblée Nationale ? Non, ce n’est pas pensable. Aussi, quand je peux, essentiellement au moment des vacances, je m’habille autrement plus femme ; plus sexy, je dirais. Cela te gêne ? Je peux remettre mon pantalon.
— Oh non ! Reste comme tu es, c’est quand même plus joli que tout à l’heure. Mais ton mari les trouve comment, tes tenues ? Tu sors comme cela dans tes sorties privées ?
— Bien sûr. Et je vais peut-être t’étonner, mais c’est lui qui me pousse à m’habiller ainsi. J’ai toujours eu beaucoup de plaisir à avoir des minijupes ou minirobes, surtout en été. Il est très content quand on lui dit qu’il a une femme charmante, agréable. Allez, assez bavardé ! On le boit, cet apéro ?

Elle va au frigo, sort une bouteille de champagne et se dirige vers le buffet pour prendre deux coupes. En levant les bras, sa minirobe se soulève et s’arrête juste en limite de sa culotte. J’ai une poussée d’adrénaline. Elle m’allume ou quoi ? Elle pose les deux flûtes sur la petite table, et maintenant c’est son décolleté qu’elle me fait voir. « Mais… elle n’a pas mis de soutien-gorge ? » Hum, deux seins superbes. Elle s’assoit sur le fauteuil en face de moi et me demande de servir le champagne.

— Ce n’est pas trop dur de s’asseoir avec une mini comme tu as ?
— Bof, non. Il faut juste faire attention à ne pas croiser les jambes devant, mais plutôt sur le côté. Et puis, si on voit ma culotte, qu’est-ce cela fait ? On en voit bien plus sur les plages ; les femmes sont toutes un peu exhibitionnistes, non ? Tu ne trouves pas ? Moi, j’aime bien. Je vais te raconter une aventure que j’ai eue il y pas mal d’années, une vingtaine au moins.

Nous avions l’habitude de passer nos vacances d’été dans un petit camping de la Côte d’Azur ; nous le trouvions super. Pour moi qui aime le soleil, ce camping était dans un endroit très chouette, assez isolé, et la plage petite mais qui était à peine à une centaine de mètres. Nous n’avions qu’une route à traverser, et elle n’était occupée que par les gens du camping : l’endroit idéal pour bronzer seins nus. Et aussi – et surtout – parce que le camping était tenu par la femme d’un marin-pêcheur qui faisait profiter les volontaires de sorties en mer pour taquiner le poisson. Pas pour moi qui ai le mal de mer – j’ai essayé une fois, et je ne recommencerai pas – mais pour mon mari qui est un mordu de la pêche : il est président de notre association locale. Donc nos vacances, c’était pour moi la plage, le soleil et la lecture, et pour mon mari la mer, et surtout la pêche. Des vacances superbes.

Mais il m’est arrivé un petit problème : en changeant de slip de bain, j’ai attrapé un joli coup de soleil sur le ventre, à la lisière de la différence de taille du bas de maillot, et le soir nous voulions aller à un marché nocturne dans un petit village à côté. Quand j’ai voulu mettre une culotte, soit je la mettais trop haut et elle me faisait mal sur mon coup de soleil, soit trop bas, et elle tombait. Mon mari s’impatientait et j’ai décidé de ne pas en mettre. Et nous voici partis.

Cela me faisait une drôle d’impression de me savoir sans culotte parmi tous ces gens qui déambulaient sur ce marché. Je me suis arrêtée devant l’étal d’un marchand noir qui proposait des bagues, colliers ou autres babioles ; il a fait une drôle de tête quand je me suis penchée pour voir un joli collier : il avait une vue plongeante sur mes seins nus (je ne mettais pas de soutien-gorge en été sous mes robes : à vingt ans, on peut se le permettre) et, bien sûr, ma touffe. Il avait une vue panoramique ; j’en ai été assez perturbée sur le moment, mais cela m’a procuré une impression bizarre. Mon côté exhibitionniste ?

En rentrant en voiture, j’ai dit à mon mari le pourquoi de mon absence de culotte et la vision de ma nudité à ce vendeur noir. Il a éclaté de rire, et en même temps il a voulu vérifier ma tenue tout en conduisant. Mon sexe était très humide, et pendant le laps de temps de conduite il m’a emmenée dans un merveilleux orgasme. La nuit a été torride !

« Pourquoi elle me raconte tout ça ? »

— Eh bien, ma chère Anne… Et aujourd’hui, tu as mis une culotte ?
— Tu n’as qu’à vérifier par toi-même !

Et joignant le geste à la parole, elle se dirige vers moi, tout contre moi, et m’embrasse sur la bouche. Nos langues se mélangent et ma main posée sur ses fesses descend sur sa culotte ; oui, elle en a mis une. Elle est trempée.

Elle n’a pas grand-chose à enlever ; elle est maintenant toute nue, moi aussi, et me poussant sur le divan elle vient s’asseoir sur moi et s’empale sur mon sexe. Elle est déchaînée : c’est elle qui me baise ; elle est presque immobile sur moi, seul son bassin se meut en roulant. Elle jouit d’une manière inouïe ! Je ne savais pas que je pouvais procurer un tel plaisir en si peu de temps… Je sens que je vais jouir moi aussi, et pense d’un coup que je n’ai pas mis de préservatif : est-ce que l’on va à une réunion de travail avec une députée-maire avec des préservatifs ? Non ! J’essaye de me dégager mais elle m’en empêche ; ses bras m’entourent le cou, et le contact de ses seins sur ma poitrine m’électrise.

— Non ! me dit-elle. Reste !

Je me déverse en elle et elle repart d’un autre orgasme. Combien ? Je n’ai pas compté. Elle reprend ses esprits, se retire de moi dans un bruit sournois, un gargouillis (flop) ; elle se saisit d’un Kleenex, et en s’essuyant m’invite à rejoindre sa chambre.

— Viens, on sera mieux !

Elle ne perd pas de temps. À peine rentrés dans sa chambre, nous roulons sur le lit. À moi maintenant de prendre les choses en main, mais elle ne l’entend pas de cette oreille : elle me couche sur le dos et me fait une pipe du tonnerre. Quelle vicieuse ! Je l’enlève, et nous continuons dans une position de levrette. Une bonne partie de la nuit, nous faisons l’amour. Combien de fois ? Je ne sais pas, mais quel pied – ou plutôt quels pieds – elle prend !

Au petit matin, nous nous réveillons dans une moiteur d’été qui commence. Elle me prend le sexe, caresse mes couilles et me donne des petits baisers sur la bouche.

— Merci, me dit-elle. Je ne crois pas avoir tant eu de plaisir. Tu sais, vingt ans de mariage, c’est maintenant de la routine. Tu vas me prendre pour une salope, non ? Mais quand je t’ai aperçu la première fois, tu sais, à la réception du sous-préfet, tu m’as fait reculer ma vie de 18 ans ! J’ai cru reconnaître en toi mon amant, et même mon seul amant que j’ai eu dans ma vie de femme. Tu as réveillé en moi ces vacances de l’été 1998. Tu lui ressembles tellement, grand et baraqué. Tu veux que je raconte mon aventure ?
— Oui, bien sûr, je lui réponds tout en malaxant son sein gauche et en suçant l’autre mamelon.

Donc en cet été 1998, tu sais la coupe du monde de foot, Zidane et compagnie ? Nous avons regardé la finale sur un écran plat géant dans notre camping habituel. La soirée a été bien arrosée, bière à gogo, et même planteur maison. Enfin bref, tout le monde autour de cette finale était bien excité, et après la victoire des bleus ce fut l’apothéose : tout le monde dansait, buvait. Ce fut la fête. Un de nos copains s’exclama « Tous à l’eau ! On va prendre un bain de minuit ! » Et tout le groupe s’est élancé vers la mer. C’est très agréable, un bain de minuit : la mer et l’air ambiant ont à peu près la même température, et le fait de se baigner tout nu est très sensuel. Il n’y pas grande différence entre être nu l’après-midi sur la plage, à part les hommes, évidemment.

Donc tout le monde à l’eau et à poil. La lune étant sombre, on ne distinguait que des silhouettes. Ouf ! Notre vertu était sauve ! Mon mari m’a prise par la main, et à peine rentrés dans la mer, il s’est mis derrière moi. Il bandait. Il m’a enserrée de ses bras qui se sont posés sur mes seins, et je sentais son membre viril s’insinuer dans la raie de mes fesses. Je l’ai repoussé. « Non, mais ça ne va pas ? » je lui ai dit en le repoussant. « On ne va quand même pas faire l’amour ici devant tout le monde ! Attends un peu, on sera mieux dans la tente. » Il est reparti en riant vers ses copains. Je nageais ; qu’est-ce que c’était agréable, l’eau sur mon corps ! Et après un petit moment j’ai senti des mains qui me frôlaient, m’enserraient. Je me suis dit que mon mari avait de la suite dans ses idées, impatient comme il est. Son sexe dur s’est posé sur mes fesses, et j’ai eu moi aussi une poussée d’adrénaline ; l’alcool ne s’était pas encore dissipé. Je me suis baissée un peu pour qu’il introduise son sexe en moi. Qu’il était gros ! L’effet de baiser en pleine nature ? Il était derrière moi, et en même temps qu’il me pénétrait ses doigts excitaient mes mamelons ; qu’ils étaient durs ! Et pendant qu’il me chevauchait, j’entendis au loin le rire de mon mari qui chahutait avec ses copains.

« Mais qui est-ce celui qui me baise ? » J’étais perdue. Mon esprit chavirait, mais j’ai eu une jouissance inouïe quand il s’est déversé en moi. Je suis tombée à genoux, me suis nettoyée dans l’eau, et toute perturbée je suis sortie de la mer et me suis rhabillée. J’étais assise sur le muret qui borde la mer, un peu dans les vapes ; tout tournait dans ma tête, et en attendant que mon mari sorte de l’eau je repensais à mon aventure, et plein de questions fusaient dans mes pensées. « Qui ? Si c’est un de ses copains, il va sûrement se vanter et voudra recommencer. Je n’en ai pas l’intention, mais il faut dire que j’ai pris un pied immense ; la grosseur de son sexe que j’avais mis sur le fait que mon mari était excité m’a beaucoup plu, mais je n’ai pas l’intention de gâcher nos vacances pour une histoire de cul. »

Bien sûr, en rentrant dans la tente nous avons fait l’amour, et le souvenir de ma baise dans la mer m’a fait encore avoir un nouvel orgasme ; peut-être ma pensée aux deux spermes en moi qui se côtoyaient ?

Au midi suivant, à l’apéro tout le groupe de copains était là. On ne parlait que la victoire des bleus. Je les regardais tous et scrutais qui me regardait en biais ; lequel m’avait baisée cette nuit ? Pas d’expressions singulières, ouf ! Je me dis que celui qui l’avait fait était discret. Cet après-midi, mon mari avait prévu une sortie de pêche en mer, et moi farniente sur la plage pour récupérer de cette soirée. Le camping était principalement composé d’habitués, des mordus de pêche, et aussi de Hollandais, comme partout d’ailleurs. Et c’est ainsi alors que j’étais en ce début d’après-midi sur mon transat en train de lire en attendant un peu d’aller à la plage, le soleil étant très fort, que je vis un grand gaillard hollandais s’avancer. Mon mari les appelait « les deux pédés ». « Pourquoi ? » lui avais-je demandé. « Ils sont toujours ensemble avec son copain, en courses, sur la plage. Partout, quoi ! »

— Bonjour Madame ! Sqiouze-mi, me dit-il dans un accent mi-anglais, mi-français.
— De quoi ?
— This night !
— What ? Quelle night ?
— Je vous ai vue dans l’eau cette nuit et je pas pu résister, me fit-il comprendre. Et je, je…

« Quoi ! Alors c’est lui qui m’a baisée ? Quel malotru ! » Je le regarde. 1,80 m, 80 kg. Beau gosse, costaud, une trentaine d’années pas plus, blond, vêtu d’un short et un tee-shirt. Je me suis levée. « Je fais quoi ? Je le gifle ? » En me relevant de mon transat, je me suis mise devant lui ; il me dépassait d’une bonne tête. Il m’a souri, et je ne sais pas ce qui m’a pris : je l’ai pris par la main et le fis entrer dans la tente. « Ah, mon gaillard ! Tu m’as baisée ? Eh bien maintenant c’est moi qui vais te baiser ! »

Nous étions ventre contre ventre et je l’ai fait reculer jusqu’au matelas pneumatique qui nous servait de lit ; je l’ai poussé et il est tombé à la renverse. J’ai pris les choses en main ; en un instant j’ai quitté mon bas de maillot de bain et lui a baissé son short. Il bandait et je n’ai eu aucun mal à m’empaler dessus. Nous avons fait l’amour une bonne partie de l’après-midi.

Mon mari a été mon premier amour, et mon Hollandais mon premier et seul amant.

Mon mari m’a rejointe à la plage après sa pêche en mer, et me voyant étendue aux côtés des deux Hollandais, il ne put s’empêcher de sourire.

— Au moins, avec eux je n’ai pas de soucis à me faire ! me dit-il.

Hum…

La fin des vacances approchait, et un soir mon mari me dit :

— Le patron-pêcheur nous a proposé pour demain une pêche au gros, mais cela m’embête.
— Pourquoi ?
— Il faut partir très tôt le matin vers 6 heures, et partir toute la journée. Cela m’embête de te laisser toute seule.
— Et alors ? Vas-y. Tu en meurs d’envie, non ? C’est notre dernier jour, profites-en. Je demanderai aux Hollandais de me protéger.

Il a rigolé.

Le lendemain matin, après une bise il a quitté la tente. J’ai eu du mal à me rendormir. Un moment après son départ, j’entendis le zip de l’ouverture de la tente. Tiens…

— Tu as oublié quelque chose ?
— No.

Et le zip de la chambre s’ouvrit ; la tête de mon amant hollandais émergea, puis son corps entièrement dénudé. Il s’est installé à côté de moi. Encore endormie, je le regardais, incrédule, puis dans l’embrasure de la porte j’aperçus son copain aussi dénudé. Il était aussi grand mais nettement moins costaud. Il était sec. Sa bite me paraissait immense, très longue, et avant que j’aie pu exprimer quoi que ce soit, il s’est installé de l’autre côté. Ils m’ont enlevé la chemise de nuit. Je ne savais pas quoi dire ou faire ; d’ailleurs, je n’ai rien fait pour les en empêcher.

Je ne crois pas qu’une seule parcelle de mon corps ait pu leur échapper, et ce fut la première –et la dernière – fois (snif !) que j’ai fait l’amour avec deux hommes. Ce n’était pas seulement deux sexes, quoique, mais aussi deux bouches et surtout quatre mains. Ce fut divin ; j’ai eu orgasme sur orgasme. Ils m’ont même fait connaître la sodomie pour la première fois, et même l’amour en double ; je ne croyais pas cela possible. Nous avons fait l’amour presque toute la journée.

Mon mari, en rentrant de la pêche, me rejoignit sur la plage et me vit entourée de mes deux amants.

— Ils t’ont bien protégée ? me dit-il en souriant.
— Ah, si tu savais comme ils sont charmants !

Et c’est ainsi que nos vacances se sont terminées. Tout plein de joyeux souvenirs.

— Tu ne l’as pas revu l’année d’après ?

— Eh non ! Car vois-tu, ces vacances m’ont laissé un drôle, ou plutôt un charmant souvenir : je suis arrivée chez moi enceinte. Enceinte de qui ? Je ne sais pas, et c’est ainsi que ma petite Cloé est arrivée.
— Tu ne prenais pas de pilule ?
— Si, mais mon gynéco me l’avait changée : une moins dosée, meilleure pour la santé m’a-t-il dit. Quand je l’ai revu, il m’a rappelé qu’avec ce type de pilule il fallait être rigoureux, ne pas l’oublier. Il était temps ! Ce n’était pas une pilule pour les vacances. Après coup, je ne me rappelle pas l’avoir prise le fameux jour en double. Puis tout s’est enchaîné : la naissance de Cloé, mon entrée en politique, l’achat d’une vieille maison en bord de mer dans le Morbihan où nous passons maintenant toutes nos vacances. Plus de camping, plus d’amants.
— Tu n’as pas une petite idée sur le père ?
— Non, car ma chère belle-mère me dit qu’elle ressemble à son fils. Et elle est blonde ! Tu sais, j’étais châtain très clair, et mon mari a été blond jusqu’à au moins cinq ans.
— Tu n’as pas fait d’autres examens ?
— Et quoi encore ? Une recherche d’ADN ? Mais son groupe sanguin est compatible avec les nôtres, ouf ! Tout cela m’a redonné envie. Allez, viens sur moi.
— Mais tu prends la pilule au moins ?
— N’aie pas peur : de ce côté-là, tout va bien, pas de risques.

Et nous voici repartis dans nos ébats. Elle est increvable ; nous faisons l’amour dans toutes les positions, et elle est tellement trempée que je l’encule même. Je la quitte fourbu, mais elle aussi. C’est quand même une vraie cochonne : pendant que la prenais en levrette, son mari l’a appelée sur son portable, et elle a répondu sans rien laisser paraître.

— Reviens me voir après le feu d’artifice, me dit-elle en partant, que l’on fasse le point sur son déroulement. Après, je pars près de mon mari et de mes enfants en Bretagne.

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