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Le mec du village

Le mec du village



Au Québec, présentement, nous sommes à grands pas vers l’hiver, l’automne nous apportant ses pluies et ses froideurs qui parviennent déjà à nous glacer les os. Adieu belles journées de chaleur où le soleil caresse nos corps à demi-vêtus. Déjà, les arbres ont perdu leur feuillage et le sol est trempé, attendant juste les gels pour se durcir pendant des mois. C’est pourquoi, le weekend dernier, je quittai la métropole pour me rendre au chalet avant que la neige ne fasse de la route qu’un éternel tapis blanc. D’habitude, je fais mes emplettes en ville avant de quitter, préférant ne pas perdre de temps au village situé à près de dix kilomètres de mon chalet. Je ne sais trop pourquoi, cette fois-ci, je décidai de sauter dans ma voiture et de rouler directement vers la campagne, m’obligeant alors à un arrêt dans ce petit village d’à peine trois mille habitants. On dit souvent que le destin fait bien les choses et je suis bien obligé maintenant de le croire car jamais je n’aurais pensé que ce petit coin de pays pouvait y cacher une chose si merveilleuse.

Une fois arrivé au village, je stationnai ma voiture devant la petite épicerie. Lorsque j’entrai, la propriétaire me sourit gentiment, m’avisant qu’elle fermait ses portes dans quelques minutes. Je regardai ma montre qui indiquait dix-neuf heures cinquante, me disant qu’effectivement, dans ce trou perdu, on devait rouler les trottoirs à la tombée du jour. Je lui demandai si elle pouvait me laisser le temps d’acheter quelques produits, lui expliquant que je me rendais à mon chalet pour le weekend. Elle leva les yeux au plafond pour me montrer son insatisfaction avant de décrocher le téléphone Je l’entendis exiger à l’interlocuteur de descendre pour la remplacer, expliquant qu’elle devait se rendre à une réunion et qu’un « monsieur » venait tout juste d’entrer. Elle raccrocha en m’avisant que la prochaine fois, je devrais faire en sorte de ne pas arriver à la fermeture. Je m’excusai, lui signalant que je pouvais quitter mais elle poursuivit en disant que je ne pouvais me nourrir d’amour et d’eau fraîche tout le weekend. Je me mis donc à pousser un chariot, espérant trouver ce que je voulais le plus vite possible. Je dois avouer que je me trouvais bien loin des supermarchés de la ville car en quelques minutes, j’avais fait le tour du magasin mais au-moins, je savais que je pourrais nourrir pour deux jours. Il était temps de passer à la caisse et là, je le vis, derrière le comptoir. Je clignai des yeux pour m’assurer cette image était bien réelle. Jamais je n’aurais cru y voir ce genre de mec dans ce petit village perdu dans les Laurentides. Lorsqu’il me salua, avec sa grosse voix virile, c’en fut fait pour moi. Ma bite s’était aussitôt mise à grossir.

– Tu n’es pas du coin toi, me dit-il en me fixant droit dans les yeux. C’est la première fois que je te vois ici.

– Non, je suis de Montréal mais j’ai un chalet à quelques kilomètres d’ici, répondis-je machinalement, ne pouvant m’empêcher de regarder ses bras musclés et tatoués.

– Ah oui. Et dans quel coin?

– Au bout du troisième chemin.

– Pour un gars de la ville, on peut dire que tu aimes t’isoler, dit-il en riant. C’est mon coin pour chasser. Excuse-moi si j’ai mis les pieds sur ton terrain.

– Tu sais, lorsque je ne suis pas là, ça m’importe peu.

– Et si tu es là? me dit-il en souriant légèrement.

Je ne répondis rien, me contentant de placer mes effets sur le comptoir. J’avoue que j’avais un peu hâte de quitter cet endroit car ce mec m’excitait d’une telle façon que je ne pouvais m’empêcher de le regarder en me créant des scénarios dans ma pauvre tête. Il était réellement craquant dans sa trentaine, un visage sévère avec des yeux brunâtres qui lui donnait un regard profond. Une barbe de quelques jours, très foncée, une mâchoire carrée et un corps si musclé que je me disais que je n’avais pas intérêt à le provoquer par mes regards soutenus. Il portait un marcel qui lui collait à la peau, ou plutôt aux muscles, laissant voir ses tatous qui lui coloraient les bras au complet. C’était un dur à cuir comme on dit, un mec, un vrai. Honnêtement, je l’imaginais beaucoup plus sur une Harley que derrière un comptoir d’une petite épicerie de campagne.

– Cette broîte de conserve a une bosselure, dit-il en la prenant dans sa main. Je vais te la changer. Il sortit de derrière son comptoir et aussitôt, mes yeux se posèrent sur son cul. Ouf… Quel cul bombé dans son jeans. Et cette façon masculine de marcher. Il revint avec une autre broîte, me signalant que celle-ci ferait mieux l’affaire. Les gens les échappent et les remettent sur les étagères sans nous en aviser, dit-il en la déposant dans un sac. Voilà, tu as tout pour bien te nourrir pendant le weekend.

– Merci de m’avoir laissé faire mes achats. Je l’apprécie grandement. Je ne me serais pas vu bouffer des racines.

– Tu aurais pu manger les poissons du lac ou sinon, un lièvre ou une perdrix. Ce n’est pas ce qui manque sur ton terrain.

– Ouan… Je ne suis pas très pêcheur et encore moins chasseur.

– Ah les gars de la ville, dit-il en riant. Il faudrait que je t’apprenne alors.

– Ça pourrait être une alternative à mon incompétence, dis-je en prenant les sacs. Merci encore de ta patience.

Je quittai donc l’épicerie, le regardant une dernière fois pour m’en faire une photographie mentale.

Le lendemain, le soleil étant de la partie, je pris place sur la terrasse donnant sur le lac, ma tablette en mains pour terminer un roman d’Anne Rice que je lisais pour la troisième fois. J’avais placé ma chaise de sorte à me cacher du vent léger, laissant les rayons du soleil chauffer mon corps. Désirant profiter de cette chaleur pour un dernier bronzage, je m’étais vêtu que d’un boxer que j’enlevai après quelques minutes. De toute façon, j’étais seul et le voisin le plus proche brillait par son absence. Aussi bien en profiter car ce n’était pas sur la terrasse de mon condo que je pouvais me permettre cette fantaisie. J’étais donc pris par les sorcières d’Anne Rice lorsque j’entendis un craquement. Je levai les yeux, parcouru du regard les alentours mais ne vis rien. Sans doute était-ce un a****l quelconque mais le bruit se répéta. Il me semblait qu’on marchait sur des branches mortes et le bruit prenait une ampleur que je me dis que l’a****l ne devait certes pas être minuscule. Je me levai et fit quelques pas sur la terrasse mais rien. Le bruit avait subitement cessé. Je repris place sur ma chaise longue et aussitôt, les craquements recommencèrent. Je décidai de ne plus en tenir compte jusqu’à ce que je levai les yeux, apercevant tout à coup le mec de l’épicerie qui se tenait sur la première marche de la terrasse. Sans y penser, je pris mon boxer que je posai sur mon sexe, intimidé de me retrouver nu devant ce super mec qui me souriait.

– C’est ce qu’on appelle se faire prendre en flagrant délit, me dit-il en riant. Je restai muet, m’interrogeant sur sa présence alors que je ne l’avais jamais invité. Il avait du culot ce mec de se présenter comme cela, chez moi. En me levant ce matin, je me suis dit que peut-être, il était temps que tu apprennes à chasser, me dit-il en me rejoignant sur la terrasse. J’espère que je ne te dérange pas. Ben non… C’est sûr qu’il me dérangeait. Et de quoi avais-je l’air avec mon boxer sur ma queue dont j’espérais qu’elle ne prenne pas d’ampleur. Alors, ça te dit?

– Je ne sais pas trop. Disons que ce n’était pas dans mes projets immédiats, lui répondis-je sèchement.

– Ok. Je vois que je te dérange. Je quitte sur le champ.

– Bien non, reste maintenant que tu es là, lui dis-je, ayant désiré ravaler mes paroles. Mais je t’avise que je n’ai pas l’intention d’aller chasser aujourd’hui. De toute façon, je suis contre ce loisir ignoble. S’amuser à tuer de pauvres bêtes innocentes. Nous ne sommes plus au temps où nous devions chasser pour se nourrir.

– Tu viens de le dire, c’est un loisir, dit-il en se tenant bien droit devant moi, les bras croisés qui augmentaient la rondeur de ses muscles. Je vois que toi, pour te divertir, tu aimes mieux passer tes heures sur une tablette. Est-ce tout ce que tu fais pour agrémenter ta vie?

– Je t’offrirais bien une bière mais comme je ne bois pas d’alcool…

– Ça va, dit-il en sortant un flasque de sa poche arrière. Je préfère le gin à la bière de toute façon, avisa-t-il avant d’en prendre une gorgée. Ok, je vois bien que je te dérange.

– Non, c’est ok, tu peux rester mais laisse-moi aller enfiler un jeans car là, je ne me sens pas très à l’aise, l’avisai-je en me levant, le cul à l’air avant d’entrer dans le chalet. Pourquoi ne lui avais-je pas tout simplement avoué que je désirais être seul? De quoi allions-nous parler? Il me donnait vraiment l’impression d’être un mec musclé sans culture. Je sais que c’est une idée préconçue mais c’était comme cela et je n’y pouvais rien. J’enfilai donc mon jeans et retourna sur la terrasse, le retrouvant toujours debout, face au lac.

– Je mettrais ma main au feu que tu ne t’es jamais baigné dans ce lac.

– Alors, elle brûlerait, répliquai-je en le rejoignant. C’est la raison première pourquoi j’ai acheté ce chalet.

– Parfait. Allons-y alors.

– Quoi? Tu es fou? L’eau est beaucoup trop froide en ce temps-ci de l’année.

– Je savais bien que tu n’aurais pas le cran, me dit-il en se retournant pour me regarder. Tu es vraiment un vrai mec de la ville.

– Je viens du Saguenay alors…

– Que fais-tu dans la vie?

– Je suis PDG d’une agence en milieu hospitalier.

– Je me doutais bien que tu étais l’un de ces richards quand j’ai vu ta voiture.

– Es-tu venu ici pour me narguer ou quoi? lui demandais-je, ne sachant point ce qu’il recherchait par toutes ces insinuations. Tu as du culot de venir ici, sans invitation, pour me dire que ma vie te semble sans intérêt.

– Détrompe-toi. Tu crois que je n’ai pas remarqué hier soir comment tu me regardais? Tu n’as pas cessé de me déshabiller des yeux.

– Quoi? m’écriai-je. Serais-tu en train de me dire que tu penses que je bande sur toi?

– Je ne sais pas. Selon toi? dit-il en se débarrassant de son marcel, m’offrant en vue son torse musclé et son six packs. Je sais reconnaître lorsqu’on me matte et toi, tu m’a matté.

– Ok, tu es ce genre de mec qui se croit irrésistible parce qu’il a une belle gueule et un corps musclé.

– Pas du tout. Je suis ce genre de mec qui a ce corps musclé tout simplement parce qu’étant jeune, j’étais maigrichon et si laid que tous les élèves à l’école se moquaient de moi. Maintenant, plus personne n’ose rire de moi. On me craint même au village car lorsque quelque chose ne fait pas mon affaire, je frappe. J’ai appris à me faire respecter, c’est tout. Et je dois avouer que lorsque j’ai le goût de tremper ma graine, ce ne sont pas les filles qui manquent au rendez-vous.

– Un vrai hétéro pur sang, lui dis-je pour le ridiculiser car il commençait réellement à me taper sur les nerfs.

– Pur sang, non. Mais au village, oui. Je lui lançai un regard interrogateur, ne sachant pas trop où il désirait en venir. Allez, avoue que tu m’a matté hier soir.

– Pas du tout. Désolé de te décevoir.

C’est alors qu’il se mit à se tripoter la verge par dessus son jeans moulant tout en me fixant bien droit dans les yeux. C’était plus fort que moi et mon regard glissa le long de son corps. Cette grosse main qui manipulait sa bite dure qui laissait entrevoir une bosse dans son jeans. Sans même y penser, comme un automate, je m’agenouillai et m’approchai le visage pendant qu’il dégrafait son jeans pour en sortir une merveilleuse verge bien dure. Sans attendre d’invitation, j’entrouvris ma bouche et la prit en entier, la suçant avidement et avec délectation. Il posa ses mains derrière ma tête, m’obligeant à la prendre au fond de la gorge par de grands coups. Soudain, il se retira et recula de quelques pas, un large sourire aux lèvres.

– Et là, tu vas toujours me dire que tu ne me mattais pas hier soir? Jamais quelqu’un ne m’a sucé de la sorte. On voit bien que tu es un habitué.

– Quelqu’un? repris-je, surpris qu’il n’ait pas dit le mot « fille ». Je ne suis pas le premier mec à te sucer.

– Il y a bien le fils de la voisine, je dois l’avouer mais il n’a pas ton expérience. Il faut dire qu’il n’a que quatorze ans. Je sais, tu vas me dire que c’est jeune mais c’est lui qui m’a fait des avances.

– J’imagine oui…

– C’est vrai. Un jour, il est venu me rejoindre dans le hangar alors que je réparais mon VTT. Il m’a avoué qu’il n’était pas attiré par les filles et il était malheureux de vivre dans ce petit village où les gars de son âge ne pensaient qu’à trémousser le cul des filles. C’est alors qu’il m’a demandé s’il pouvait toucher à ma queue. Il semblait si désespéré le pauvre que j’ai accepté seulement s’il touchait, rien d’autre. Et le lendemain, il est revenu me voir pour la toucher encore et le jour suivant et ainsi de suite. Je ne voyais pas de mal dans cela et ça semblait le satisfaire jusqu’au jour où il a voulu plus. Il m’a alors sucé. Au début, ça me faisait bizarre mais après quelques fois, je me suis mis à aimé cela. Je crois bien que c’était plus le côté bizarroïde de me faire manger par un gars qui m’excitait et le fait que ça devait demeurer secret. Tu imagines si les villageois apprenaient cela.

– Alors, tu baises un jeune de quatorze ans, lui dis-je, indigné.

– Baiser est un grand mot. Moi, je ne l’ai jamais sucé. Je fais cela pour son petit bonheur et je me dis qu’on ne fait rien de mal. Sauf que l’autre jour, il m’a demandé de l’enculer, m’avouant qu’il avait vu cela dans un film porno sur le net et qu’il désirait connaître la sensation.

– Et puis?

– J’ai refusé catégoriquement. Je trouvais que ça devenait un peu trop sérieux. Mais il est revenu à la charge et j’ai flanché. Ça s’est passé jeudi soir, toujours dans le hangar. Et je dois t’avouer que ça m’a rendu fou de plaisir. C’est plus serré qu’un vagin cette affaire là. Mais je ne sais pas si je vais recommencer car enculer un gars de quatorze ans, c’est plus que de lui enfourner ma queue dans la bouche. Je ne suis pas très à l’aise avec cette idée.

– C’est le fait d’enculer ou qu’il ait quatorze ans qui te rend mal à l’aise?

– Qu’il ait quatorze ans car enculer est tout de même agréable. Je le regardai en fronçant les sourcils, me disant qu’à mon âge, sans nul doute qu’il n’y sentirait pas de malaise. Je m’approchai de lui, près, si près que nos torses se frôlèrent. J’étais décidé à lui faire connaître une vraie baise entre mecs virils. Lentement, très lentement pour ne pas l’effaroucher, je posai mes lèvres sur les siennes. Il eut aussitôt un mouvement de recul. Je ne fis rien, me contentant de le fixer. Je m’étais trompé; il n’était vraiment pas prêt à cela. Je reculai et me retournai pour aller m’asseoir mais il me retint, posant sa main sur mon bras. J’ai toujours cette idée que les pédés ne sont pas des vrais mecs, me dit-il en m’embrassant légèrement, effleurant à peine mes lèvres. Il y a une sacrée différence entre enculer un jeune et embrasser un mec dans ton genre. Tu vois, avec le jeune, j’ai tout de même l’impression d’être viril, comme avec les femmes mais là, avec toi, c’est autre chose. Tu es un mec, un vrai, musclé tout comme moi et tu as de la barbe. Je me sens moins fort, moins homme, moins en contrôle de la situation. C’est comme si je devais accepter qu’une part de moi est pédé. Tu comprends?

– Ce n’est pas grave. Restons-en là.

– Et tout à l’heure, lorsque tu t’es levé pour aller enfiler un jeans et que j’ai vu ton cul, tout de suite je me suis imaginé en train de t’enculer. Ça m’a excité comme jamais. Je me sentais comme mon voisin mais je me disais que je ne pouvais pas te demander cela, surtout que je n’étais pas si certain que tu étais…

– Gay. Je suis gay, coupais-je, sachant bien qu’il ne parviendrait jamais à dire le terme.

– Ouan, c’est ça. Mais là, je me sens tout drôle à l’intérieur depuis que tu m’as embrassé. Juste cette sensation de ma main sur ton bras, sentir tes poils, tes muscles, ta peau plus épaisse que celle d’une femme ou d’un jeune de quatorze ans, quelque chose se passe en moi. Quand je baise une femme, je ne pose pas de question. Ça vient tout seul et c’est dans la normalité des choses. Je suis le mec, le plus fort des deux et c’est cela qu’elles recherchent lorsque je les fourre. Je sais que je garde le contrôle et que je ne le perdrai pas mais avec toi, c’est autre chose. Je me retrouve avec quelqu’un d’égal à moi comme si tu étais un miroir. J’ai une image virile devant moi et cette image peut à tout moment me faire perdre le contrôle.

– Et si je me retourne, baisse mon jeans et te présente mon cul, tu seras plus à l’aise?

– Tu me demandes de t’enculer?

– Je ne sais pas, selon toi? Tu m’as dit avoir le goût de m’enculer et moi, j’adore qu’on me laboure le cul, lui répondis-je en dégrafant mon jeans pour le baisser tranquillement tout en lui tournant le dos. Vas-y, fais-en ce que tu veux. Je m’agenouillai sur la chaise longue, écartai mes jambes et relevai mon postérieur. J’étais bien décidé à lui octroyer tout le contrôle qu’il désirait, tant qu’il utilisait sa queue bien dure pour me donner du plaisir. Ça ne prit que quelque secondes avant que je la sente glisser entre mes fesses. Je le savais nerveux et je m’en amusais un peu. Il tentait de percer ma rosette mais n’y parvenait pas, sa queue n’étant pas assez dure. Je me mis donc à balancer du bassin et sa bite prit son envol avant qu’il me la fourre bien profondément. Par chance que je mouille très rapidement car on voyait bien qu’il manquait d’expérience, s’étant enfoncé d’un seul coup. Je sentais si bien ses mouvements de va-et-vient qui accéléraient toujours plus et il commençait à laisser entendre des gémissements, tout comme moi. Il venait maintenant d’accepter que sa virilité n’était pas remise en cause tout simplement parce qu’il trouvait plaisir à enfourner un cul de mec et ses râlements le démontraient parfaitement. Il prenait un réel plaisir et le fait que je sois de dos lui donnait amplement cette impression de contrôle. Je le laissais opérer selon son bon vouloir. Il râlait toujours plus et ses mouvements se faisaient de plus en plus violents, y allant de fortes claques sur mes fesses et chaque fois, j’accélérais ma respiration pour lui dire que j’adorais qu’il me prenne de la sorte. Et soudain, il sortit, exigeant que je me lève. Je m’exécutai et il prit place sur la chaise, couché sur le dos en m’invitant à prendre place sur sa queue bien droite. Par ce geste, je comprenais parfaitement qu’il me signifiait qu’il avait confiance en moi car maintenant, il me donnait le contrôle de la situation. C’était moi maintenant qui opérais par mes gestes qui enfonçaient sa verge au plus profond de mon cul. Il était si beau à regarder avec son visage de mâle en rut qui me souriait. Il était heureux de ce constat qui ne lui enlevait rien de sa force de mâle alors même qu’il était en train de baiser avec un mec. Il se mit à balancer du bassin à toute vitesse et moi, je criais mon plaisir tant sa queue et ce tas de muscles que je caressais me rendaient fou. Et il laissa entendre un tel cri que je sus qu’il jouissait, me laissant, moi aussi, aller, éjectant mon sperme sur son torse. Nous étions en proie à une telle force que plus rien ne pouvait nous séparer, du moins pour le moment présent. J’aurais aimé l’embrasser mais je me gardai de le faire. Lentement, je retirai sa queue de mon cul et je m’agenouillai près de la chaise pour le sucer, léchant son sperme gluant qui coulait sur sa verge encore dure. Il laissa entendre à nouveau des petits cris avant de se laisser aller à rire à gorge déployée. Je lui jetai un coup d’oeil et je sus immédiatement que le baiser viendrait de lui.

– Jamais personne ne m’a fait jouir autant, me dit-il. Tu es maintenant exceptionnel à mes yeux.

– Je n’en demande pas tant.

– Je sais ce que tu attends de moi, me dit-il en approchant son visage du mien avant de m’embrasser à pleine bouche, glissant sa langue sur le mienne. Il embrassait comme un dieu. Il ouvrit les bras, m’invitant à me glisser contre son corps. Sans doute espérait-il toujours, pas ce geste protecteur, ne pas tomber dans ses pensées de pédé. J’étais blotti contre lui et sa respiration calme et sereine m’indiquait qu’il n’y trouvait aucun malaise. J’aurais envie de te demander quelque chose mais je dois t’avouer que ça me gêne terriblement.

– Demande et tu verras.

– Sois bien à l’aise de me dire non si tu ne veux pas mais j’aimerais bien rester avec toi jusqu’à ton départ, demain. Je levai la tête et le regardai en souriant d’un sourire presque imbécile tant j’étais content. Je lui répondis bien entendu par l’affirmative et il m’embrassa à nouveau avec toute la tendresse qu’il était en guise de donner au moment même. J’ai le goût de savoir exactement ce qu’est de passer du temps avec un mec, non pas pour aller prendre une bière au bar mais bien pour vivre ce genre d’émotion que je me suis refusée toute ma vie. Tu as été extraordinaire et patient avec moi et je t’en remercie sincèrement car maintenant, j’ai la certitude que je peux avoir du plaisir avec un mec sans me sentir pédé. Pas un moment pendant que nous baisions je ne me suis senti diminué et c’est pourquoi je veux ne veux pas te quitter avant demain.

– Tu es le bienvenu et sache qu’il y a longtemps que je ne me suis pas senti aussi bien avec un mec. Au fond, tu es un grand tendre dans un corps de bûcheron et ça tu vois, ça me fait bander au max.

– Il n’y qu’une chose qui me peine et c’est de t’avoir rencontré si tard dans la saison. Je vais devoir passer l’hiver avec ma peau d’hétéro viril.

– Et la motoneige, tu ne connais pas?

– Et tu veux dire?

– Qu’est-ce qui nous empêche de venir au chalet en motoneige? Je suis certain que tu en caches une dans ton hangar.

– Effectivement, me répondit-il en souriant, heureux de cette éventualité. Tu veux dire que nous pourrions nous rejoindre ici, cet hiver?

– Et pourquoi pas? Je m’imagine bien nu, avec toi, devant le feu de foyer. Pas toi?

Il garda le silence, glissant la paume de sa main sur mon visage et je vis une larme qui coulait le long de sa joue.

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