Chapitre 4 : Confessions intimes de ma fille
Je viens de retrouver ma fille depuis moins de 5 heures et je l’ai baisé comme dans mes fantasmes les plus fous. Elle vient de jouir plusieurs fois mais elle ne lâche pas ma bite un peu molle pour la presser dans sa main.
Quelques minutes plus tard elle se retourne vers moi et elle se cale sur son coude.
– Combien de temps il te faut, Papa ?
– Pour quoi faire ma douce ?
Mais je n’ai pas fait tilt !
– Je veux dire, combien de temps te faut-il pour que je retrouve…çà…en pleine forme.
– Tu plaisantes? Et en rigolant j’ajoute.
– Manon ! Tu n’en a pas encore assez ! Tu es insatiable ! Je ne suis plus tout jeune et je viens, depuis longtemps, de jouir plusieurs fois de suite!! C’est déjà un bel exploit et un homme de mon âge ne récupère pas aussi vite qu’un jeune homme.
– Les jeunes sont cons et ils ne savent pas baiser. Je préfère les vieux et pervers si possible.
– Manon…qui a transformé ma petite fille en parfaite salope qui s’assume… et qui en redemande !
– Je ne sais pas si je dois te le dire …Papa…
– Et pourquoi donc, c’est un secret… A quel âge tu as découvert le sexe.
– Tu me jures de ne pas te fâcher…
– Chérie…après ce qui vient de se passer je serais mal placé de te faire des reproches. Bon, tu l’auras voulu. Mais ça risque de te faire rebander !
– Raison de plus !
– Et bien… la première fois que j’ai fait joujou avec un sexe, j’étais très, jeune. Très, très jeune !
Quel âge mon bébé ?
– C’était lors du voyage qu’on a fait en Afrique avec mon frère pour rejoindre ton frère aîné. Tu vois l’âge que j’avais à cette époque. Julien, mon cousin était plus vieux que nous et on dormait dans le même lit. Comme il faisait très chaud on dormait juste avec une petite culotte qu’on enlevait souvent. On jouait dans le lit, on se frottait comme le font des enfants et on découvrait nos corps. Moi je découvrais que les garçons avaient quelque chose de plus que moi et ça m’a tout de suite attiré. Plus tard, mon frère Julien, (qui a 3 ans de plus que moi) a commencer à jouer au docteur avec moi. J’ai vite compris que c’était pour qu’on se touche nos partie intimes. Il est évident qu’avec ce jeu on peut tout se faire comme le docteur qui nous auscultait, et qui devait d’ailleurs être un gros vicieux. Mais moi, j’adorais ça, je sentais dans le bas de mon ventre des sensations comme sur les manèges, des fourmillements dans le bas du ventre.
On a continué de se toucher des que nous en avions la possibilité et, un jour que je branlais son sexe, il a crié et des petits jets de jus blanc sont sortis de sa bite. J’étais émerveillé devant ce que j’avais réussi à faire. Tout fier de ses connaissances il m’a expliqué que c’était du sperme, qu’il se branlait tout seul pour se faire jouir mais que c’était bien mieux quand c’était moi qui le faisais. Du coup, dès que je pouvais j’attrapais sa queue pour voir encore son sperme éclabousser mes mains. Un jour j’ai sucé mes doigts et j’ai tout de suite aimé ce goût si particulier et cette odeur grisante. C’est moi qui la première est eu l’idée de sucer sa bite pour qu’il jouisse dans ma bouche afin de ne pas en perdre une seule goutte.
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Comme je la regarde avec un air ébahi, elle s’arrête une seconde et elle me dis.
– Je te choque mon papa ?
– Non, Manon ! Je suis juste surpris ! Tu étais très jeune et tu faisais ça avec ton frère. Tu étais très précoce !
– Oui, et je crois bien que c’est depuis ça que j’adore faire jouir un homme dans ma bouche.
– Et bien… tu m’en vois ravi ! Mais continue tu commences à m’exciter.
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Un jour quand vous êtes partis quelques jours ensembles et que nous étions chez Papy Henri, je retrouvais mon frère discrètement dans sa chambre et nous sommes allés plus loin. Il a mis son sexe dans le mien. J’ai été choqué quand il est rentré en moi, mais je n’ai pas eu mal et je n’ai même pas saigné car j’avais perdu mon hymen depuis belle lurette à force de jouer au docteur et d’enfiler dans ma foufoune (comme je l’appelais à l’époque), des carotte ou des trucs du même genre. Mes souvenirs sont un peu flous car j’avais une sorte d’euphorie qui envahissait ma tête quand il allait et venait en moi et de gros frissons dans mon ventre.
Ensuite on faisait ça quand on pouvait ou quand on allait en vacance chez grand-père. Nos rapports étaient plus longs et plus profonds et pour être plus souvent l’un dans l’autre, on a demandé à camper dans le jardin. Tu ne te doutais de rien et c’est même toi qui a été acheter la tente pour nous faire plaisir. C’est même là qu’il ma pissé dessus et que j’ai fait pareil pour me venger et que j’ai découvert que ça me faisait presque jouir de faire ça.
Bref, toutes les excuses étaient bonnes pour qu’on puisse baiser et c’était souvent moi qui trouvais quelque chose pour que je suce la bite de mon frère ou qu’on joue à papa-maman. J’adorais ça et je n’avais même pas *** ans.
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Nouvel arrêt et elle me regarde les yeux brillants en branlant doucement ma bite qui est redevenue toute raide.
– Gros cochon ! Ça te fait sacrément bander !
– Tu étais déjà une sacrée garce ma fille. Quand je pense que tu faisais ça avec ton frère !
– Oui, avec mon cochon de frangin. Mais ce n’est pas lui qui m’a fait découvrir à quel point je pouvais être perverse.
– Ah bon. Et qui donc à perverti mon ange pour la transformer en salope accro au sexe ?
– Attends, je vais te le dire mais avant il faut que je prenne quelque chose pour rafraîchir ma mémoire.
Elle passe au-dessus de moi pour se retrouver sur mes cuisses avec ma bite toute raide au fin fond de sa chatte et elle gémit.
– Huuummmm, voilà…c’est ça…ouiiiiiii, je me rappelle…c’est Papy Georges…
– Putain de merde ! Le père de ta mère !
– Et oui mon papa…lui, il s’est laissé faire par sa petite fille.
– Raconte !
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Un jour qu’on était chez mes grands-parents, on faisait l’amour avec Julien dans sa chambre, pendant que Papy et Mamie faisaient leur sieste. Mon grand-père a dû m’entendre crier quand julien m’a fait jouir et il nous a surpris tous les deux dans une position sans équivoque. Moi à genoux avec la bite de mon frère dans ma bouche que je suçais pour le finir et boire ma crème favorite.
Il m’a attrapé par la peau des fesses en laissant mon frère dans sa chambre et il m’a reconduit dans la mienne pour me sermonner. Toute nue devant lui, je l’écoutais à moitié car je voyais son pantalon se déformer doucement et je crois que ce fut la première fois que j’ai eu des envies perverses!!
Assis sur mon lit, il me regardait d’une drôle de façon et ses sermons devenaient plus mous. Il ne regardait plus mes yeux, mais ma chatte imberbe, les grandes lèvres encore entrouvert, qui laissaient couler un filet blanc de sperme de mon frère.
Sachant déjà comment ça se passait pour les hommes, je me suis délibérément accroupie devant lui et j’ai écarté mes cuisses en minaudant.
– Dis…Papy…tu la trouves belle ma foufoune…Julien il veut toujours la regarder…
En disant ça, je lui ai cloué le bec et il a essayé de redresser sa queue qui se coinçait dans son pantalon. Je me souviens encore de sa respiration sifflante et de ses yeux brillant de désir. Pourtant, a priori, il me dégoûtait. Quelque chose en lui est répugnant, il est gros et gras, transpire beaucoup et il pue la sueur. Il n’a aucune bonne manière, mais j’étais hypnotisée par la grosse bosse qui déformait le tissu de son pantalon. J’avais une envie incontrôlable de voir sa bite, comme une enfant désir à tout prix un nouveau jouet.
Une envie tellement forte que j’ai avancé ma main pour la poser sur son pénis, en miaulant comme une petite chatte qui a ses premières chaleurs.
– Montre-moi là Papyyyy…
Il restait muet, presque figé. Quand j’ai baissé son pantalon il m’a, sans bien s’en rendre compte, aidé en soulevant ses grosses fesses.
Quand j’ai devant mes yeux sa grosse bite toute bandée et dressée en l’air, j’ai senti des vibrations dans ma chatte et comme si j’avais de la fièvre.
Avec mon sourire d’ange, je lui demande.
– Tu veux que je te suce Papy ? Comme je fais à Julien…
Toujours pas un mot, mais quand j’att**** sa grosse queue dans mes petites mains, c’est lui qui met ses grosses pattes sur ma tête pour pousser ma bouche sur son gland violacé qui pue le bouc en chaleur.
Très excitée par ce que j’allais faire, j’ai ouvert ma bouche le plus largement possible et sa bite est rentrée dedans. Il a grogné.
– Oooohhh, Manon, ma puce, qu’est-ce que tu fais !
Je retire sa bite avant de m’étouffer et je lui dis.
– Je suce ta bite, Papy ! Mais elle est grosse ! Je ne vais pas pouvoir tout prendre dans ma bouche. Mais je me régale, j’aime ça.
En moins de 2 minutes il a jouit dans ma bouche et sur ma figure, puis il s’est sauvé sans rien dire.
En essuyant ma figure avec mes doigts pour ensuite les sucer, je pensais déjà à tout ce que je pourrais faire avec mon Papy et il pourrait sûrement m’apprendre un tas de trucs cochons.
Par la suite, je m’arrangeais pour le coincer dans des coins isolés comme la grange et je l’obligeais à me doigter, enfin… obliger n’est sûrement pas le mot adéquat, car il y mettait vraiment du sien. Au début il faisait attention de ne pas aller trop loin, puis de plus en plus loin comme pour me préparer pour sa pénétration avec sa grosse et longue queue. J’étais quand même très jeune et il avait probablement peur de déchirer ma jeune chatte. Quand il s’est rendu compte que je n’étais plus vierge et que je lui ai avoué que mon frère me baisait à couilles rabattues, il fouilla ma chatte à fond en enfonçant trois de ses gros doigts et il m’a fait jouir comme une folle.
Il m’excitait de plus en plus et je prenais des risques insensés pour pouvoir le faire jouir dans ma bouche et me gaver de son sperme abondant. Mais sa patience (et la mienne) avaient des limites. Un jour qu’ont étaient dans la grange, il m’a fait asseoir sur ses genoux. On a commencé par s’embrasser, se caresser. Il écrasait mes petits seins dans ses grosses paluches et moi je malaxais sa queue avec mes deux mains. Puis je frottais ma chatte sur sa bite toute raide, il mordait mes tous petits bouts de seins.D’un seul coup, il m’a prise par les fesses pour me soulever. C’est moi qui est guidé son pieu à l’entrée de ma chatte et tout doucement il m’a laissé descendre dessus.
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En me disant ça, je vois que tu revis ces moments i****tueux avec ton Papy. Tu montes et descend sur ma queue et je sens que tu veux retrouver cette sensation que ton Papy t’a procurée quand il t’a baisé pour la première fois. Alors je mets mes mains sous tes fesses et je t’empêche de redescendre sur ma queue quand tu es juste avec mon gland au bord de tes lèvres intimes.
– NOOONN, PAPY ! Continue !
Je lui flanque une claque sur ses fesses, elle rouvre ses beaux yeux et je la laisse retomber sur ma queue qui lui rappelle tant celle de mon salaud de beau-père.
– Tu es sur la bite à papa Manon. Continue de me raconter ce que tu faisais avec ton Grand-père.
Ma fille se calme un peu, et juste en se balançant d’avant en arrière avec ma queue bien enfoncée dans son sexe mouillé, elle poursuit son récit.
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Ça me faisait horriblement mal et j’ai eu l’impression qu’il allait me déchirer ma foufoune et ouvrir mon corps en deux ! Mais, c’était tellement excitant d’avoir la bite de mon grand-père qui dilatait ma chatte pour la remplir entièrement que la douleur était moins forte que les éclairs de plaisir qui explosaient dans ma tête et faisait trembler tout mon jeune corps avide de sensations fortes générées par le sexe. En plus je venais d’apercevoir mon frère, qui à moitié caché dans un coin nous espionnait en branlant sa bite comme un fou.
Rien que de le voir me regarder avec la grosse bite de Papy qui essaye de s’enfoncer le plus loin possible dans ma chatte, je suis surexcitée et j’en oublie la douleur.
Je baisse ma tête pour voir sa queue et je m’aperçois qu’elle a déjà plus de la moitié enfoncée dans ma petite chatte qui c’est dilatée affreusement pour le recevoir. La douleur s’estompe assez rapidement et quand il lâche mes fesses, je me laisse tomber sur lui.
Je me rappelle que j’ai poussé un grand cri et mon frère est arrivé près de moi pour me demander.
– Manon ! Ça va….
Mon papy sursaute et grogne.
– Qu’est-ce que tu fous là ! Barre-toi sale voyeur !
Moi j’ai repris mon souffle et j’ai dit.
– Non reste Julien ! Grimpe sur Papy et donne-moi ta bite. Je vais te sucer en me baisant sur Papy. Ça va être sensass !
Mon Grand-père n’en est pas revenu.
– Putain ! Manon tu es la pire des salopes de la région ! Et tu es encore une gamine !
Quand j’ai pris la queue de mon frère dans ma bouche et que je montais et descendais doucement sur la queue de papy, j’ai eu le plus bel orgasme de ma jeune vie. Et j’en ai eu un deuxième tout aussi fort quand mon Papy ne s’est pas gêné de jouir dans ma jeune chatte complétement défoncée en me remplissant de son sperme i****tueux pendant que Julien se vidait dans ma bouche. C’est ce jour-là que j’ai compris que le sexe serait pour moi un besoin, une nécessité pour que je sois heureuse et que je ne pourrais plus m’en passer.
Et crois-moi, Papa je ne m’en suis pas privé ! Quand ce n’était pas Papy qui me prenait dans toutes les positions inimaginable, c’était mon frère, ou les deux en même temps qui adoraient m’arroser de foutre ou me pisser dessus en me traitant de tous les noms. Mais j’adorais çà !
J’avais un peu plus de 15 ans, quand Julien m’a présenté à ses copains qui fantasmaient sur moi.
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– Racontes, Manon !
– Si tu veux, mais fais-moi jouir avant. Tu ne sens pas que je coule comme une fontaine.
– OOoohh si, ma salope de fille. J’ai les cuisses trempées ! Mais mets-toi à quatre pattes que je te prenne en levrette. Comme ça tu la sentiras mieux de défoncer. Comme du temps de Papy, se putain de salaud !
En même pas une seconde Manon se retrouve sur ses genoux, le cul en l’air, et telle guide même ma bite dans sa chatte baveuse. Je l’empale d’un coup sec e telle gueule.
– Ouiiiiiii Papaaaaa ! C’est çaaaaaa, comme Papy ! Bien à fond ! Baise-moi fort !
En m’agrippant à ses hanches, je laboure gaillardement son sexe qui emprisonne si bien ma queue. Je vois qu’elle martyrise en même temps son clito pour avoir un maximum de plaisir. Quand elle jouit, je sens deux de ses doigts qui glissent dans sa chatte le long de ma bite plantée le plus profondément en elle et qui profite merveilleusement des folles contractions provoquées par son orgasme.
Quand son corps arrête de vibrer elle souffle.
– Putain ! Que c’est bon ! Encore mieux que dans mes souvenirs !
Moi je suis fasciné par sa rosette sombre qui palpite sous mes yeux et en posant mon pouce dessus je lui demande.
– Dis-moi, Manon… Ton Papy t’as aussi enculée …
– Ah, non ! Je n’ai jamais voulu !
– Non ! Ce n’est pas possible ! Avec une petite-fille aussi cochonne il a forcément mis sa queue dans ce petit trou.
– Et bien non ! Je mettais juré qu’une seule personne aurait le droit de tremper sa queue dans mon cul.
– Tiens donc ! Et c‘est qui…
– Mais toi, Papa ! Pendant de longues années j’ai espéré ton retour et crois-moi que je ne t’aurais pas laissé repartir !
En me disant ça, elle s’est retournée et me regardant dans les yeux, elle me demande.
– Papa…pourquoi tu es parti ? Pourquoi tu m’as abandonnée alors que je t’aimais comme une folle et que je te désirais tant.
– Justement mon ange, à cause de ça et à cause de ton grand-père.
– Racontes moi, papa, je ne comprends pas…
Et c’est mon tour de me confesser.
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Depuis un bon moment j’avais bien remarqué que tu étais plus câline avec moi. Tu me disais souvent en montant sur mes genoux.
– Fais-moi un câlin papa. Sers-moi fort.
A cheval sur moi, je te serrais dans mes bras. Un jour tu me faisais même des bisous dans le cou et malgré moi je me suis mis à bander et des idées perverses sont venues troubler mon esprit. Je ne sais pas si tu t’en rappelle mais en plus tu bougeais ton petit cul sur ma queue toute raide et ce n’était pas fait pour me calmer.
– Si Papa, je m’en souviens très bien. Je le faisais exprès et je me disais alors : ça y est ! Il a envie de moi !
– Petite salope de fille ! C’était bien ça ! Tu voulais m’allumer.
– Alors pourquoi je n’ai pas réussi comme avec Papy ?
Eh bien, un jour où tu te frottais carrément sur ma queue que tu faisais bander à chaque fois que tu grimpais sur moi, ta petite jupe est remontée assez haut sur ton joli petit cul et j’ai vu que tu ne portais pas de culotte.
Ma tension est montée d’un cran et je t’ai dit.
– Manon ! Tu n’as pas de slip ! Il n’y a que les petites filles cochonnes qui ne mettent pas de culotte.
En me regardant avec ton sourire espiègle, tu m’as répondu.
– Mais je suis une petite cochonne, mon papa d’amour.
-Vilaine fille ! Tu mérites une fessée.
Je t’ai mise à plat ventre sur mes genoux, j’ai soulevé ta jupe, et je t’ai flanqué une petite fessée sur tes fesses déjà bien rondes et si attirantes. Quand tes fesses sont devenues toutes rouges j’ai arrêté et je t’ai dit, un peu honteux.
– Ça va ma puce…tu n’as pas trop mal…
– Si Papa ! T’es un méchant papa ! Caresse-moi un peu pour te faire pardonner.
Sans bien savoir ce que je faisais, j’ai caressé d’une main tes belles fesses toute roses en laissant glisser un de mes doigts entre ta raie des fesses pendant que tu serrais mon autre main dans la tienne.
Tu soupirais de contentement et je sentais ta main qui se crispait sur la mienne. Quand mon doigt a glissé sur ta petite chatte toute lisse mais déjà mouillée, tu as poussé un petit cri.
C’est à ce moment précis que ta mère est entrée et qu’elle aussi a poussé un cri.
– Noonnn ! Mais qu’est-ce que tu fais !
Comme une furie elle t’a arraché de moi et c’est ce jour-là que j’ai fait mes valises.
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– Mais pourquoi papa ! J’ai pleuré pendant plus d’une semaine et je suis resté chez mon grand-père pendant plusieurs jours.
– Chez ton grand père ! Et bien si ta mère avait su ce qu’il te faisait je crois bien qu’elle t’aurait aussi arraché à lui.
– Pourquoi papa.
– Parce que ta mère à subit aussi des attouchements soi-disant interdits de la part de son père quand elle avait à peu près ton âge. J’ai cru deviner quand elle m’a raconté ça qu’elle ne se défendait pas beaucoup car ça lui faisait des choses. Mais Mamy lui a tellement bourré le crane en lui disant qu’elle irait en enfer si elle laissait les garçons toucher à son petit chaton et que ton père irait en prison si c’était lui qui mettait sa main ou il ne fallait pas. Pour ne pas revivre ça, elle a exigé que je parte pour un certain temps.
Comme j’étais assez honteux de mes pensées i****tueuses, j’ai pensé que ce serait une bonne chose et je suis parti. Mais si j’avais su ce que tu faisais avec ton grand père…
– Pourquoi tu n’es pas revenu ?
– Parce que je pensais toujours à toi, mais avec les même pensées i****tueuses, surtout que ta mère m’envoyait de temps en temps des photos de toi et crois-moi, quand j’ai reçu la photo de toi à 16 ans, en bikini sur la plage, je me branlais souvent en la regardant tout en me traitant de sale pervers. Je me demande si ta mère ne le faisait pas exprès de m’envoyer des photos de toi assez dénudée.
Parfois j’allais voir de très jeunes putes, et en fermant les yeux, je te voyais en train de me sucer, ou sur moi, avec ma bite bien au chaud dans la chatte de ma petite fille chérie qui me manquait tant.
– Papa ! Qu’est- ce qu’on a perdu comme temps ! Mais tu vas te ratt****r ! Je suis toute à toi ! Fais ce que tu veux de moi. Tu m’as l’air aussi accro que moi au sexe et probablement aussi pervers. Qui c’est qui t’a rendu aussi cochon, c’est sûrement pas maman.
– Non, mon Ange. Ça remonte à mon enfance aussi, comme toi ! Mais je n’étais quand même pas si précoce. Avant de découvrir tout ce qu’on peut faire avec une femme et un homme, je jouais aussi à touche pipi mais ce n’était pas avec une fille c’était avec petit camarade, super cochon à cause de sa mère, qui l’initiait aux plaisirs du sexe avec son amant.
Et te revoilà sur moi, ma queue molle entre ta fente de chatte dégoulinante de jus.
-Ouiii, mon papa d’amour. Raconte-moi comment tu es devenu accro et pervers.
***********
J’avais tout juste 16 ans quand mon copain m’a dit que sa mère souhaitait mieux connaître le petit ami de son fils.
Lorsque je suis arrivé chez elle et que Pierre m’a dit d’attendre dans le salon, Suzanne, la mère de Pierre, portait une robe si courte que je voyais ses longues jambes et ses cuisses presque jusqu’à ses fesses. Quand elle s’est baissée pour ramasser une revue tombée par terre, j’ai vu son cul juste couvert par un string rose maintenue par une petite chaînette laissant ses fesses complétement exposées à ma vue.
Quand elle s’est retournée vers moi, ma bite était déjà en érection. Le haut de sa robe était tellement décolleté que je pouvais voir ses aréoles sombres et ses tétons durs qui voulaient traverser le tissu. Elle avait une sacrée paire de miches ! Comme toi !
Elle n’a pas perdu de temps et en laissant tomber sa robe elle m’a dit.
– Pierre m’a dit que tu aimais bien t’amuser avec son sexe, que tu le suçais vachement bien et que lorsque tu lui enfilais ta bite dans son petit trou, il adorait ça parce que tu as une grosse queue. Tu veux bien t’amuser avec sa maman…
Elle a tiré vers le haut son string et le tissu a disparu entre ses lèvres de chatte toutes gonflées. Puis elle a dégrafé son soutien-gorge pour me mettre ses gros seins devant mon visage en les tenants dans ses mains avec ses doigts qui faisait rouler ses tétons. Elle a touché ma bite à travers le tissu et elle a ajouté
– Huuumm, c’est prometteur, Enlève-moi ça.
Elle écarte ses jambes, s’assied sur mes genoux et elle retire mon polo. Elle lève ses bras en l’air pour mettre ses mains derrière mon cou pour appuyer ses seins sur ma poitrine.
Face à face, elle me sourit très sensuellement et elle commence à déplacer ses seins latéralement sur ma poitrine. Ses tétons grossissent, s’allongent et frottent ma poitrine. Nous étions face à face et elle me regarde avec un sourire sensuel.
– Tu aimes mon petit loup ?
– Oooh, oui Madame !
Puis c’est son cul qui se déplace sur ma bite
– Ça aussi, tu aimes ?
– Aaah, ouiii Madame
-Arrête de m’appeler Madame. Appelle-moi Susie et déshabille-toi. Je vais t’apprendre tout ce qu’il faut savoir faire pour donner du plaisir, beaucoup de plaisir, à une femme.
Elle a pris mes mains pour les mettre sous ses seins et m’a dit.
– Suce mes tétons, comme si c’était une bite de bébé.
C’est les premiers tétons que je suçais. Susie respirait fort et gémissait quand mes lèvres et ma langue se sont amusées avec ses seins et depuis ce jour je raffole des fortes poitrines que l’on peut malaxer tout en suçant leurs tétons. Puis elle a glissé une de mes mains sous son string et c’est moi qui ai gémi quand mes doigts ont touché sa chatte lisse, très douce et humide. C’est elle qui a guidé ma main vers le haut et le bas de sa fente de chatte pour faire courir mes doigts à travers ses lèvres humides. Quand j’ai bien compris ce qu’il fallait faire, elle s’est soulevée pour me permettre d’avoir un meilleur accès à sa chatte et, posant ses mains sur mes épaules, elle a baissé sa tête dans mon cou en gémissant bruyamment dans mon oreille lorsque j’ai roulé son clito entre mes doigts.
Je frottais son clitoris entre mes doigts tout en suçant ses tétons longs et durs et j’étais fier des gémissements et des ronronnements de plaisir qu’elle faisait dans mon oreille.
– Mets tes doigts dans ma chatte, gémit-elle.
J’ai plongé 3 doigts dans sa chatte humide et elle a ajouté.
– Mets ton pouce sur mon clito ! Bouge tes doigts !
Je faisais tout ce qu’elle me demandait. Ma bouche et ma langue s’occupait de ses gros seins, mon pouce faisait des cercles lents autour de son clitoris tout en déplaçant mes doigts dans le haut de sa chatte brûlante.
– Oui ! Comme ça ! Fais-moi jouir mon bébé !
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Et c’est de cette façon que j’ai fait jouir ma première femme sans me servir de ma queue. J’ai découvert qu’il n’y a pas qu’une belle queue pour faire jouir une femme et que les préliminaires sont importants pour jouir au maximum du corps féminin.
Crois-moi mon ange, elle m’en a appris des choses. Comment sucer ses seins et les torturer à la limite de la douleur. Comment la doigter et lui fouiller sa chatte avec mes doigts, ma main et un tas d’objet sexuels. Comment baiser une femme et dans quelles positions pour la faire jouir le mieux possible. Comment caresser son petit trou et l’utiliser pour mon plaisir et le sien. Par la suite, elle a invité son fils pour qu’on s’occupe ensemble de toutes ses parties intimes.
Depuis ce jour j’ai compris que les femmes occuperaient une grande place dans ma vie et que les petits culs des garçons ne seraient que des interludes, plus par vice que par besoin.
A 18 ans, j’accompagnais Susie dans des orgies monstres ou elle se faisait défoncer tous ses trous par plusieurs hommes à la fois.
Je ne me suis calmé que lorsque j‘ai rencontré ta mère et c’est seulement quand tu es devenue une adolescente avec des rondeurs alléchantes que mon côté pervers a refait surface.
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Elle me regarde les yeux brillants et elle me dit.
– Papa, toutes les perversions et les saloperies que tu as faites avec cette Susie… On les refera ensemble ! Tu seras mon professeur et mon Maître !
Je te regarde et avant de t’embrasser passionnément je te réponds.
– Je me demande si j’ai encore quelque chose à t’apprendre…. a SUIVRE
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Et vous, chers lecteurs et lectrices, vous vous posez aussi la question ?
Phantome
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