Je regardai ma femme, la mère de mes enfants, l’épouse fidèle aux yeux de sa famille , de ses amis, de nos amis, se faire besogner , dans une lugubre cabane de chantier, par une demi douzaine de travailleurs immigrés.
Comment en étais je arrivé là ?
C’est une longue histoire…
Tout a commencé il y a 2 ans….
Bien installés dans la vie, comme on dit, et ce qui ne veut rien dire,bonne situation – encore un poncife- nous étions le modèle même de la famille unie et heureuse.
Notre sexualité , bof, celle de papa. Une fois par semaine, la routine..
Seulement voila, j’avais des besoins, des fantasmes inassouvis, des idées perverses…
J’étais bi et j’aimais ça.. J’en voulais plus, je voulais connaitre les plaisirs de la soumission.
Non, je n’aimais pas avoir mal. J’aspirais juste à devenir un objet sexuel, un vide couille au service d’un maitre imaginatif.
Ma femme devant partir quelques jours avec les enfants, j’osais franchir le pas.
Rien de plus simple que de s’inscrire sur des sites spécialisés, d’expliquer qui on est, ce que l’on cherche.
Je ne vous apprends rien… N’est ce pas ?
La chose fut rondement menée et après avoir écarté quelques fantasmeurs, quelques « peut être » , beaucoup de pseudos Maitres, je fis la connaissance d’Alain, celui qui allait devenir Maitre Alain.
Je ne peux continuer mon récit sans vous le décrire.
Maitre Alain était , et est toujours d’ailleurs, ce que l’on peut appeler un male dans toute sa splendeur.
Ses 1m90 portaient allègrement son quintal de muscles apparents, façonnés par des années de sport à haut niveau.
La trentaine, célibataire par choix, son élégance décontractée attirait le regard. Il ne se privait pas de passer de conquêtes féminines en amies de passage.
Il était bisexuel, l’assumait pleinement et aimait soumettre les petits culs blancs des hommes mariés mais aussi, mais je ne le sus que plus tard, ceux de leurs épouses.
Comme beaucoup de ses compatriotes martiniquais, Alain était noir et la légende portant sur la taille de leur sexe était avérée chez lui…
D’une parfaite éducation, il était parfaitement à l’aise, sur de lui, de son charme et de son attirance.
Vous l’avez compris, avant de le connaitre, mon expérience avec mes semblabes était limitée.
J’avais bien taillé quelques pipes a des sexes anonymes, j’adorais ça d’ailleurs. Il m’était, rarement , arrivé qu’un inconnu investisse mon petit trou, à la va vite, dans un bois ou dans un wc puant. J’avais apprécié la bouche habile de travestis, hommes faciles.
Mon expérience la plus émoustillante avait été la perte de mon pucelage anal par un trans brésilien, rapport vénal bien sur mais d’une grande qualité qui me fait , encore aujourd’hui, aimer les rencontres du 3eme type.
Mon éducation fut progressive. Pas à pas , il fit de moi sa chienne.
Au commencement, il me faisait me mettre à genoux devant lui.
Je prenais son sexe entre mes lèvres, il jouissait dans la bouche et je recrachais.
Ses doigts assouplissaient mon anus quasi vierge, en tout cas pas apte à recevoir son mandrin.
Petit à petit mon apprentissage se fit plus poussé.
J’acceptais de plus en plus son emprise, j’avalais son sperme avec gratitude.
Des godemichets de plus en plus importants rodaient mon cul.
Les postures que je devais adopter ne laissaient plus aucun doute quant à mon statut.
Bientôt, mon fondement fut prêt à recevoir son sexe. Il m’entrepris avec vigueur et je pus ressentir le plaisir d’être possédé par mon Maitre, d’être enfin sa chose, de sentir ses mains sur mes hanches quand il me sodomisait.
Ses mains s’abattaient parfois sur mes fesses qui devenaient rouges.
A présent je lui appartenais, je gardais bien sur mon libre arbitre mais son emprise sur moi lui permettait de me faire dépasser mes limites.
Il controlait ma sexualité, je n’avais plus le droit de me toucher sans sa permission. Seule ma vie de couple échappait à son aura.
Un jour que je rentrais chez lui, il me fit me mettre à genoux et de sa voix grave et puissante il me dit:
» aujourd’hui je ne suis pas seul, j’ai décidé de te présenter à un ami. Tu te dois de lui obéir comme si c’était moi. Ne me décois pas, ne me fais pas honte. Je lui ai dit que tu étais un bon soumis. Je veux que tu fasses honneur à mon dressage. »
C’est ainsi que je fis la connaissance de Jamel.
Cette apres midi là, je perdis définitivement ce qu’il restait de ma dignité de male aupres de ces deux mâles
Ils usèrent, abusèrement de toutes les parties de mon corps. Quand ils en terminèrent, mon trou était béant, ma bouche ruisselait de foutre, mes seins sensibles à force d’avoir été martyrisés. J’en Éprouvais tout de même une plénitude d’avoir passé avec succès ce que je considérais comme une épreuve, un palier prouvant à mon Maitre la salope que j’étais devenu.
A compter de ce jour, Alain ne se priva pas de me préter à ses amis. Je devais me tenir à disposition des hommes qui se présentaient de sa part.
Un jour je me présentais à un soi-disant ami.
Je sonnais à la porte.
La carricature même du vieux pervers m’ouvrit.
Agé, chauve, bedonnant, baigant dans une eau de cologne bon marché, le regard vicieux il’me fit entrer.
– alors c’est toi la salope ?
– oui Monsieur
– deshabilles toi, on va voir si tu mérites ta réputation.
Nu, à genoux, j’attendis son retour.
Il revint, nu sous un peignoir, laissant aparaitre un petit sexe entouré de poils gris.
– suce moi salope, aprés je te prendrai comme une chienne.
Mes lèvres vinrent entourer son macaroni flasque.
Minutes après minute je m’appliquai a essayer de lui faire prendre de la vigueur.
Il m’insultait à tout va, me traitant de putasse, trainée et autres noms d’oiseaux.
Malgré toute ma bonne volonté je ne parvins pas à le faire bander.
Vexé , il prit une cravache et les coups commencèrent à pleuvoir sur mon dos , mes fesses.
Stoïque je supportai cette correction ne voulant pas mettre Alain dans l’embarras.
Heureusement , cette colère lui donna un semblant d’érection que j’entrepris d’entretenir et , très vite, il jouit dans ma bouche.
– rhabille toi et casse toi salope. Tu vaux pas les 100 euros que j’ai dépensé.
C’est ainsi que j’appris que certains des amis de Maître Alain étaient en fait des clients..
J’étais devenu une pute mais je m’en foutais , je crois que j’aimais ça.
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