Chapitre 7 : Le cul de ma fille chérie
Le lendemain, dès le réveil, tu caresses ma queue qui a son érection matinale, tu m’embrasses en aspirant ma langue dans ta bouche et sans attendre, tu grimpes sur moi pour t’empaler sur ma queue toute raide.
– Bonjours papa chéri. Excuse-moi de te réveiller ainsi mais j’étais en train de me doigter en pensant à tout ce que tu m’as fait faire hier, et quand j’ai vu ta bite se redresser toute seule, je n’ai pas pu résister.
– Bonjours mon ange dévergondé et si pervers. Ne te gène surtout pas. Quoi de plus merveilleux de se réveiller avec sa bite dans le puits d’amour de sa fille, surtout quand on rêve d’elle.
– Tu rêvais de moi…et qu’est-ce que tu me faisais mon petit papa d’amour ?
– Je te défonçais ton petit trou et tu criais de bonheur.
– Ooohh, alors qu’est-ce que tu attends pour réaliser ton rêve Papa.
Je te repousse et je te dis.
– A plat ventre grosse salope ! Ça va être ta fête !
A cheval sur tes cuisses je caresse tes grosses fesses, je les pétris et je les claque d’une main.
– T’as un sacré beau cul ma fille !
– C’est pour mon papa ! Et mon petit trou…comment tu le trouves ? Il est tout propre tu sais…
J’écarte avec mes pouces tes beaux lobes bien ronds et je regarde ta pastille sombre qui palpite.
– Superbe mon ange ! Mais il me paraît tout petit…
– Et tu vas mettre ta grosse bite dedans ? Dis-tu en prenant une voix de petite fille.
– Si ma fille donne la permission à son papa, il peut essayer…
– OOoohh ouiiii, papa ! Fais là sauter ma pastille ! Ca fait plus de 20 ans que j’attends ça ! Réponds-tu toujours en imitant une petite fille.
– Alors je vais t’enculer ma salope de petite fille !
Je repousse sous toi tes genoux pour mettre ton cul en l’air et en écartant tes cuisses. J’écarte bien tes fesses de mes deux mains et je me mets à lécher ta chatte puis ton trou du cul.
– Ooohhh, papa ! C’est cochon ce que tu me fais !
Puis j’enfonce deux doigts dans ta chatte humide pour recueillir ta mouille et je frotte ta rondelle brune avec avant de remettre ma bouche dessus et introduire le bout de ma langue dedans.
– AAAahhhh, papa ! C’est bon… mais c’est dégueulasse !
– Pas plus dégueulasse que lorsque tu te fais pisser dessus par des gros porcs pervers…ma cochonne de fille.
Tu gémis quand tu sens un de mes doigts qui appuie au centre de ton petit trou pour glisser dedans. Je travaille ton trou du cul pour le dilater un peu puis je l’élargis avec deux doigts, puis trois. Tu dois avoir vraiment envie d’être dépucelée par là car ton anus s’ouvre sous cette caresse.
– Je vais t’enculer chérie…
– Ooooh, ouiiii, papa !
Je glisse ma queue le long de ta raie des fesses, de haut en bas, en récupérant pas mal de cyprine dans ta chatte qui coule, et je tapote avec mon gland, ton trou du cul légèrement entrouvert.
Tu tortilles du cul et tu geins.
– Papa…arête…Baise moi… Prends mon cul…montre-moi à quel point tu en as envie !
– Mon ange, ton petit trou palpite…Je vais pousser ma bite dedans…
– OOOhhhh, papa ! Encule-moi putain ! Je suis ta soumise, ton esclave, ce que tu veux… mais vas-y !
Je pousse ma queue et mon gland tout gonflé de désir étire lentement ton anus et tu gémis doucement dans l’attente d’être rempli par derrière pour la première fois.
Tu souffles quand mon gland passe d’un seul coup ton muscle anal et glisse dans ton cul.
– Whaoooooo ! Doucement papa !
Tu tournes ta tête pour me regarder et tu me dis.
– Je t’aime papa !
Je prends ça comme un accord pour poursuivre et je m’enfonce tout doucement dans ton boyau pour le calibrer à la taille de ma queue. Je m’arrête à mi-chemin pour que la douleur qui te fais geindre se calme un peu puis prenant tes hanches dans mes mains je m’enfonce dans ton cul brûlant.
– Papaaaaaaaaaaaa !
Je reste un moment empalé complétement dans ton trou du cul puis je commence à t’enculer doucement en faisant de petits vas et viens et tu gémis de plus en plus fort. Ton petit trou serre tellement ma queue que je me retiens pour ne pas jouir tout de suite.
– Plus fort papa ! Vas-y encule ta salope de fille. Elle adore se faire enculer !
Tout en m’exhortant à te défoncer le cul tu te doigtes la chatte sauvagement.
– Tu vas souffrir ma salope !
Je serre tes hanches de mes mains et je commence à te pilonner de plus en plus fort en claquant ta chatte avec mes couilles.
AAAAHHHH, OUIIIIIIIII ! Comme ça !
Je te défonce le cul tellement vite que ma bite me brûle.
– Putain ! T’as le cul étroit ma salope ! Mais il est vraiment fait pour être baisé !
– Et ta queue est faite pour mon petit trou !
En me disant ça je sens ton muscle anal comprimer ma bite et tu ajoutes.
– Ne bouge plus papa. C’est moi qui vais me baiser maintenant.
Tu ondules du cul en écartant bien tes fesses pour que je puisse bien voir ma bite dans ton trou du cul. Tu laisses ma queue se retirer presque entièrement de ton cul puis tu fais des rotations avec ton cul pour la sentir partout dans ton boyau brûlant quand tu m’aspires dedans avec ton muscle anal en te reculant légèrement.
Tout en t’enculant toute seule, tu frottes ton clito et ton corps commence à trembler. Je ne vais pas tarder à jouir mais je veux t’attendre.
Je passe mes mains à l’intérieur de tes cuisses et je bloque ton cul sur mon pubis. Mes doigts rejoignent les tiens qui sont dans ta chatte pour se mêler à eux et fouiller ta chatte qui dégouline de jus. Quand je roule ton clito entre mes deux pouces, je sens ta chatte trembler d’excitation et enfin tu jouis avec ma bite enterrée dans tes entrailles.
Tu t’écroules à plat ventre et quand je pulvérise mon sperme chaud dans ton cul, tu repars dans un autre orgasme.
– Tu jouis encore plus du cul, ma salope !
– Papaaaa ! C’est différent mais que c’est bon de sentir ta queue dans mon cul ! Elle me semble beaucoup plus longue dans mon petit trou que dans ma chatte. Mon clito est tellement gonflé que j’ai l’impression qu’il va exploser.
Ton corps tremble encore et ton anus palpite sur ma queue écrasée dans ton conduit anal et qui ne débande pas. Je reste collé à tes fesses comme un chien sur sa femelle.
Ta respiration redevient normale et tu me repousses. Je tombe sur mon dos avec ma bite encore en érection et mon gland plein de sperme. En quelques coups de langue elle est toute propre.
– J’adore ton sperme, papa !
– Je vois ça, salope ! Tu n’en perds pas une goutte !
– Papa…t’es encore presque tout dur…
Et tu m’avale ma queue pour la pomper en t’attardant sur mon gland tout rouge.
– Voila ! Maintenant elle est très dure et je vais la mettre dans ma chatte pour comparer avec ce qu’elle vient de me faire dans mon petit trou.
Tu montes sur moi, tu passes ta main dans ton dos et tu guides mon gland entre tes cuisses qui c’était retrouvé sur ton anus béant, pour le pousser sur ta chatte. Tu gémis quand tes lèvres humides s’écartent et sans prévenir, tu te laisses tomber sur moi.
– AAAAHHHHH, c’est bon aussi par-là !
Tu glisses sur moi d’avant en arrière et tu te penches pour m’offrir tes gros seins pour que je suce tes beaux tétons tout durs. Ta chatte n’est pas aussi serrée que ton petit trou du cul mais tu sais t’en servir merveilleusement. Apres une petite cavalcade sur mon sexe, je sens mon gland qui est remonté entre tes petites lèvres et tes mains serrent mes bourses quand tu redescends sur moi en contractant tes muscles vaginaux.
– Elle faisait ça, maman ?
– N … non ! Dis-je en haletant car tu n’arrêtes pas de contracter ta chatte autour de ma bite.
– AAAahhh, papaaaa ! Elle est bien dure ta queue !
Tu commences à balancer tes hanches dans un mouvement circulaire et moi je serre tes hanches plus étroitement pour soulever mes fesses et te pénétrer plus profondément tout en regardant tes énormes seins se balancer sous mes yeux.
– Alors mon papa d’amour…qu’est-ce que tu préfères ? Mon cul ou ma chatte ?
– Les deux mon ange, les deux…Difficile de choisir…
– Mais tu devras choisir papa, tu n’as qu’une bite et me voilà avec un trou de plus disponible !
– Salope de fille ! Pourquoi crois-tu que j’ai fait quelques achats au sex-shop…
– Petit cochon ! Mais c’est quand même dommage que tu n’as pas deux belles bites.
– Ça peut s’arranger ma salope, une deuxième bite ça se trouve facilement. Surtout avec un cul comme le tient !
-Tu l’aime mon cul…Attends
Tu laisses sortir ma queue de ton sexe et tu te retournes pour me présenter ton cul et tes grosses fesses aux courbes parfaites. Assise sur tes genoux tu remets ma bite dans ta chatte. Quand ma queue est de nouveau profondément en toi, tu te penches en arrière et j’att**** tes deux seins pour les maltraiter et jouer avec tes tétons pendant que tu vas d’avant en arrière sur ma bite.
– Papa ! Ne me laisse pas tout faire ! Baise moi aussi !
Je ne l’ai pas besoin de dire deux fois et tenant ses seins serrés je soulève mes hanches aussi haut que je peux avec ton poids sur moi et je commence à t’assener des coups de bite dans ta chatte baveuse et chaude.
– Ouiiiiiii ! Ouiiiiiiii ! A fond !
Tes doigts glissent le long de mon membre qui te baise et tu commences à me triturer mes couilles.
Quand je me lâche et que je jute au fin fond de ta chatte, tu as en même temps que moi un putain d’orgasme et je te plaque contre moi, écrasant un sein d’une main et de l’autre je maintiens une de tes cuisses pour garder ma bite en toi pendant toute ta jouissance.
Un peu plus tard, allongé côte à côte, ma main sur ta chatte et la tienne qui enserre ma queue tu me dis.
– Tu as raison papa…difficile de choisir… Mais les deux ensembles ça doit être le pied !
Le téléphone sonne, tu décroches.
– Maman ! Qu’est ce qui ce passe !
Tu appuies sur haut-parleur pour que j’entende la suite de la conversation
– Ta grand-mère est en observation à l’hôpital pour un problème cardiaque et moi je me suis foulé une cheville. Pourrais-tu prendre une semaine de congé pour t’occuper de Papy.
– Bien sur maman, je vais m’arranger.
Je passe sur le reste de la conversation et quand tu raccroches je te demande.
– Tu veux que je t’accompagne, mon ange.
– Bien sur papa, on ne se quitte plus !
– D’ailleurs j’ai deux mots à lui dire à ton grand-père !
– Papa ! Tu ne vas quand même pas l’engueuler pour ce qu’il m’a fait ! C’est de ta faute, tu aurais dû être là quand j’étais adolescente !
– Mais mon bébé, je ne vais pas lui sauter dessus, rassure toi. Je vais juste lui combien je suis heureux de l’éducation qu’il t’a donné. Et je suis sûr que tu vas bien t’occuper de lui pendant que mamie est à l’hôpital.
En cours de route je ne peux m’empêcher de jeter fréquemment un coup d’œil sur tes cuisses largement dévoilées et sur l’autoroute peu encombré à cette heure matinale je pose ma main sur ton genou gauche pour le caresser. Tu tournes ta tête vers moi et tu me souris en disant.
– Attention papa, tu conduis, regarde la route…
– Je ne quitte pas la route des yeux, mon ange. Ma main qui sent la douceur de ta peau envoie dans ma tête la beauté de tes cuisses.
Je remonte ma main sur l’intérieur de ta cuisse pour aller caresser ta chatte mais je sens le tissu d’un slip.
– Manon ! T’as mis un slip !
– Bien sur papa, on n’est plus à la maison.
– Je t’ai dit de ne plus mettre de slip quand tu es avec moi ! A la maison, évidemment, mais aussi ailleurs ! Enlève-moi ça tout de suite !
– Oui, papa. Une petite fille obéit toujours à son papa ! Réponds-tu en rigolant.
– Exact ! Si non elle a une bonne fessée !
Tu passes tes mains sous ta robe qui remonte sur tes cuisses et soulevant ton postérieur tu tires ton slip rouge vers tes cuisses, puis tu le relèves pour le glisser lentement vers tes genoux.
Je double au même moment un poids lourd et j’aperçois dans son grand rétroviseur le visage du conducteur qui doit regarder à travers le pare-brise. Je ralentis pour rester à sa hauteur pendant que tu retires ton slip qui vient de passer tes genoux.
– Écartes tes cuisses bébé, fais voir ta chatte.
Tu t’exécutes et je peux voir ta belle chatte comme sûrement le chauffeur du poids lourd. Il n’y a personne derrière moi et je peux rester un instant à côté du camion.
– Écarte les lèvres de ta chatte, Manon.
Ce que tu fais sans poser de question.
– Écarte plus tes cuisses ! Oui, comme ça ! Ça fera un beau souvenir pour le chauffeur du camion d’à côté.
Tu réalises d’un seul coup ce que je t’ai obligé à faire et tu refermes tes cuisses en baissant tes jambes.
– Papa ! Qu’est-ce que tu es vicieux ! Tu ne penses qu’à me faire faire des cochonneries !
– Mais tu adores ça petite salope.
Quand je double le camion, j’ai droit à un long coup de klaxon.
– Tu vois chérie, il a apprécié le spectacle.
– Cochon ! Pervers !
Un peu plus loin j’aperçois une aire de repos et je m’arrête pour aller soulager ma vessie.
Quand je reviens des toilettes je vois le camion que j’ai doublé se garer plus loin et une idée folle me vient à l’esprit.
J’ouvre la porte de ton coté et je te tire de la voiture.
– Viens ma chérie, viens faire plaisir à ton papa.
Et je t’entraîne dans les toilettes hommes. Je m’assieds sur la tablette des lavabos et je t’ordonne.
– Suce la bite à papa. J’ai envie de ta bouche.
Sans discuter, tu dégrafes mon pantalon, tu tires sur la fermeture éclair et tu sors ma bite pour la prendre entre tes lèvres.
– Huuummmm, elle est bonne papa. J’adore te sucer.
Dans l’entrée du local se profile une silhouette et je reconnais le visage du routier qui matait la chatte de ma fille quand je l’ai doublé sur l’autoroute. Il se fige devant le spectacle qu’on lui offre d’autant qu’en tenant la tête de ma fille qui agite sa langue autour de ma queue, je tire sur sa robe pour dévoiler son beau popotin tout nu.
Je me penche sur ton oreille et je te dis.
– Tu as un admirateur chérie…
Tu veux te relever mais je maintiens bien ta bouche sur ma bite pendant que le gros routier s’approche de nous.
– Putain ! Quel cul elle a cette pute ! Tu l’as ramassé où ?
– Sur la station essence avant d’arriver ici.
Il passe sa main sur ton cul.
– Superbes ses fesses, et elle suce bien cette salope ?
– Une merveille ! Regarde elle avale toute ma bite.
Je tire ta tête vers moi et tu me fais une belle gorge profonde sous les yeux ébahis du routier.
– A la salope ! Elle prend tout dans sa gueule de pute !
– Ouiiiiii, elle est douée ! Je me demande si elle mouille en même temps…Tu peux vérifier…
Le routier passe sa main entre tes cuisses et de l’autre claque une de tes fesses
– Écartes tes cuisses salope !
Sa main remonte sur ta chatte et ses gros doigts plongent dans ta chatte humide.
– Wouais ! Elle mouille cette pute ! Dis-moi, elle prend combien pour ses gâteries.
– 10 € pour une pipe, 30 € pour sa chatte, 50 pour son cul.
– Dommage ! Je me serais bien tapé son petit trou qui palpite quand je passe mon doigt dessus. Mais ce n’est pas dans mes moyens. Je me contenterai de sa chatte !
– Prends une capote dans le distributeur et profites de sa position pendant qu’elle me suce. Tu vas pouvoir la défoncer magistralement si tu as une grosse bite.
Le routier baisse son froc et me présente sa bite.
– Qu’est-ce que tu en penses…Tu crois qu’elle va la sentir passer ?
Il tient dans sa main une énorme queue d’au moins 20 cms de long et d’une belle grosseur.
– Whaou ! Elle en a de la chance cette pute !
Il enfile rapidement la capote et essayes de soulever ta tête en grognant mais je te maintiens bien et le routier frappe ton cul de son gourdin.
– Tiens là bien cette pute ! Je vais l’empaler d’un seul coup.
Il prélève quand même ta mouille avec ses doigts pour graisser sa bite encapuchonnée et il présente son gland boursouflé entre tes lèvres trempées. Comme un soudard, il t’éperonne brutalement. Sous cette brutale intrusion tu arrives à te redresser en poussant un cri d’agonie.
– AAAAAAAAAHHHHHHHHHHHH !
Qui résonne dans le local.
– Eh ! Vas-y moins fort ! Elle va ameuter tous les routiers du coin !
– OK ! Mais putain ! Elle est bonne sa chatte !
Et te prenant par tes hanches, le routier te bourre la chatte comme si il n’avait pas baisé depuis des lustres, à grand coups de bite, bien à fond en venant claquer son gros bide sur le haut de ton cul.
Au bout d’un moment tu ne t’occupes plus de ma queue car tu gémis fortement à chaque fois qu’il te défonce ta chatte ruisselante de jus.
– La vache ! Une vraie fontaine la pute ! Ça coule sur ses cuisses !
Je soulève ton menton et on se regarde les yeux dans les yeux.
– Alors, Manon…elle est bonne sa queue…
Les yeux brillants et humides tu réussis à répondre.
– Ouiiiiiiiii, il a une belle bite ! bien grosse ! Je la sens bien !
Du coup, en entendant ça, le routier te défonce encore plus vite et plus fort en grognant.
– Je vais la faire jouir cette pute ! Personne ne résiste à ma queue !
– Vas-y mon gars, fais là gueuler cette salope !
Je passe mes mains sous tes cuisses pour trouver ta chatte écartelée et pistonnée, et avec deux doigts, je branle ton clito tout dur.
– AAAAAHHHH, OUIIIIIIIIIIIII ! PLUS FORT !
Des bruits immondes sortent de ta chatte en surchauffe et noyée de cyprine et tu commences à avoir le cul rouge par les claquements de son ventre sur tes chairs.
Avec un rugissement de fauve, le routier enterre sa queue dans ton sexe et jouit bruyamment.
– AAAHHHHHHH, la salope ! Elle m’a eu ! C’est un vrai pressoir sa chatte !
Il retire rapidement la capote et finit de jouir sur tes grosses fesses.
– Tiens sale pute ! Prend mon foutre ! C’est du bon !
Je pince ton clito et tu jouis avec lui.
– OOOOOOHHHHHH, OUIIIIIIIIIIII…Il me fait jouir ce connard ! AAAaaaahhhh, arrose-moi bien salopard ! Oooooh…ouiiiiiii…
Le routier ne débande même pas et comme un fou il va retirer une autre capote. Il t’empale de nouveau sur sa grosse queue et comme une machine il continue de te pistonner la chatte pendant que tu bouffes de nouveau ma queue en essayant de ne pas étouffer quand ce soudard te projette en avant et que ma bite glisse dans ta bouche. En même pas 5 mn le routier gueule.
– AAAAHHHHHH, putain de salope ! Je jouis encore !
Le routier, en s’écroulant sur ton dos se vide une nouvelle fois en restant dans ta chatte et moi j’en peux plus. J’éjacule dans ta bouche pour étouffer tes hurlements de jouissance.
Je te garde serrée contre moi pendant que tu déglutis et que tu reprends ta respiration.
Le routier se retire de ta chatte et de la cyprine coule sur tes cuisses.
– Mec ! C’est la meilleure pute que je me suis tapé ! Tiens, tu lui donneras ses 30 €. Elle les mérite !
Je prends les billets et je lui dis.
– Mais, tu n’avais pas envie de pisser ?
– Si d’ailleurs ça urge !
– Et bien pisse lui sur les fesses ! Ça lui lavera son cul et sa chatte !
– Non ! Tu déconnes, mec !
– Si, vas-y ! Ce n’est qu’une pute ! On peut tout ce permettre !
Le routier prend sa queue à moitié débandée dans sa main, et comme avec une lance d’incendie, il te pisse joyeusement dessus pour arroser ta chatte et ton cul en visant bien pour faciliter l’évacuation du foutre et de ta cyprine qui coule le long de tes cuisses.
Quand il est parti, je te prends dans mes bras, je t’embrasse longuement sur la bouche qui sent le sperme puis je te dis.
– Voilà ! Maintenant tu es vraiment ma pute ! Je viens d’encaisser ton premier client en tant que telle. Mais attention ! N’oublie jamais que c’est moi et uniquement moi qui te trouve des clients ! Compris !
– Oui Papa. Tu es mon Mac et moi ta pute bien obéissante !
– C’est bien ma fille. Je t’adore ! Et quel pied de te voir te faire baiser sous mon ordre. Je t’aime mon ange. Mais va dans les toilettes des femmes pour te nettoyer. Tu pus chérie ! Et refais toi une beauté. N’oublie pas qu’on va voir ton Papy d’amour.
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