Depuis cette fameuse soirée à quatre, je trouve ma femme très joyeuse et très joueuse, elle est toujours en demande de sexe, elle me fait d’une façon toute naturelle des choses totalement inhabituelles, on dirait qu’elle a perdu toute pudeur.
Elle qui a toujours voulu conserver son épais buisson et qui ne dégageait les côtés que l’été, pour le maillot de bain s’est totalement rasée, elle a maintenant un sexe de petite fille surtout que contrairement à certaines femmes les grandes lèvres sont jointives.
Je parle à Roger de ce changement d’attitude, lequel éclate de rire :
« viens, j’ai des choses à te montrer ! »
Je le suis, il ouvre son placard secret, en sort un DVD, on va s’installer à la télé ; l’émission commence, la scène se situe dans la chambre où il a installé ses caméras.
Annabelle est là, vêtue d’une jupe blanche et d’un chemisier à fleurs , la salope elle a déjà retiré sa jupe, et en plus elle n’a rien en dessous !
Roger entre dans le champs de la caméra, il est torse nu.
Il s’approche d’Annabelle qui l’embrasse passionnément, elle se retourne, serrée contre lui, ses fesses viennent caresser le bas ventre de Roger dont le jean commence à laisser apparaître une bosse significative.
Il l’aide à retirer le chemisier, elle ne porte pas de soutien-gorge, il pétrit les seins lourds de ma femme, je sais qu’elle adore cela, les pointes sont dardées, je suis certain qu’elle est déjà humide !
Pendant que la main gauche continue sur la poitrine, la droite caresse le mont de vénus, les doigts pénètrent les grandes lèvres, il lui masse le clitoris ; Annabelle à les yeux en roue libre, elle est complètement abandonnée.
Il la débarrasse de son chemisier, elle se retourne face à lui, dégrafe le jean, Roger ne porte pas de sous-vêtements, son énorme sexe apparaît, tendu en arc de cercle, elle le caresse, l’embrasse et tous deux se dirigent vers le lit sur lequel Roger s’assit pour enlever ses chaussures ; Annabelle impatiente lui retire le jean; ils s’embrassent et maintenant qu’ils sont nus tous les deux, elle caresse le sexe de Roger et le promène sur la pointe de ses seins.
Roger est maintenant assis sur le lit pendant que mon épouse lui butine le sexe, elle le lèche et finit par le prendre dans la bouche.
Roger reprend l’initiative, il se met debout, soulève comme une plume les 55 kilos d’Annabelle et vient à son tour la déposer sur le lit pour entreprendre un cunnilingus ;
il lui soulève la jambe et on voit distinctement la langue lécher le sexe rasé pendant que les mains malaxent les seins et que les pouces en titillent les pointes ;
Annabelle commence à grogner, elle se caresse également les seins pendant qu’il lui soulève le bassin pour insérer plus profondément la langue dans la chatte humide.
Annabelle soupire bruyamment, il l’enlace et présente délicatement son énorme gland à l’entrée du vagin de ma femme, je la vois se positionner, s’arquer et s’aider de ses mains pour absorber ce gourdin.
Dès qu’il a trouvé sa position, Roger la pilonne, mon épouse est toute à sa jouissance, j’adore le crescendo de sa mélopée alors qu’elle att**** à pleines mains les reins de son partenaire et que ses jambes montent vers le ciel pour se faire pénétrer plus profond ;
elle crie sans discontinuer sous les coups de boutoir de Roger, elle a maintenant la tête complètement hors du lit, si ça continue ils vont tomber.
Non ! Roger a repris le contrôle de la situation, le premier round semble terminé ; il se cale confortablement sur le dos, sur les oreillers, pendant qu’Annabelle vient s’empaler, face à lui sur le gros dard tendu ;
dans cette position, elle fait pratiquement tout le travail avec le bassin pendant que ce gros fainéant se contente de lui presser les seins ; c’est carrément une masturbation avec laquelle elle arrive à se faire jouir si j’en crois les petits cris de mon épouse qui explose plusieurs fois elle semble n’en avoir jamais assez.
Elle doit commencer à fatiguer parce qu’elle arrête son va et vient et s’écroule contre le torse de Roger qui profite de l’occasion pour démarrer un mouvement de bassin qui s’accélère de plus en plus ; Annabelle ne résiste pas elle a un nouvel orgasme bruyant.
Ils changent de position, on dirait un ballet bien répété, elle se met à quatre pattes et il la prend par derrière, apparemment cette levrette ne la fait pas jouir,
elle se dégage et le reprend dans la bouche, alternativement elle promène la grosse queue gluante sur ses seins. Je connais cette façon de procéder, cela veut dire qu’elle en veut encore.
Effectivement elle se met cette fois sur le dos, bien calée par les oreillers, les jambes écartées, à la place qu’occupait Roger précédemment.
Celui-ci répond immédiatement à l’invite, de toutes façons, il n’a pas débandé depuis le début, sa massue pénètre maintenant sans hésitation le sexe béant d’Annabelle qui n’attendait que cela pour se remettre à piauler comme une chatte en chaleur ; il la baise profond, elle a de nouveau les jambes qui montent au plafond et les reins arqués, elle pousse un long cri modulé qui se termine par un sanglot.
Ils restent quelques instants enlacés puis Roger la retourne, c’est une poupée sans force qu’il a dans les mains, maintenant elle est à nouveau à quatre pattes, il lui fouraille le sexe abondamment trempé et lui lubrifie l’anus puis il approche son gland dégoulinant et la sodomise doucement ; je vois le tiers de son énorme bâton entrer et ressortir du cul de ma femme laquelle semble apprécier, à chaque va et vient il gagne des centimètres jusqu’à être complètement absorbé.
Il accélère alors le mouvement et saisit à pleine mains les seins qui se balançaient au rythme des secousses. Annabelle commence à haleter, elle est maintenant appuyée sur les coudes, la croupe complètement tendue vers l’envahisseur, une main se glisse sur son sexe et elle se masturbe se pétrissant le clitoris.
A ce régime elle ne tient pas longtemps elle hurle de nouveau et s’affaisse sur le lit. Roger se retire de ses fesses, l’anus complètement distendu reste ouvert d’une façon obscène dégorgeant du sperme qui coule le long de ses cuisses.
Annabelle semble anéantie alors que Roger bande toujours, il la retourne de nouveau, se place entre ses seins qu’elle serre aussitôt et il se termine en se masturbant sur sa poitrine.
Quand il se met à crier elle ouvre la bouche et reçoit une véritable douche de sperme dont elle avale une partie.
La séance est finie, ils se dirigent vers la douche !
Roger me tend le DVD et me dit :
« Tu sais qu’elle en veut ta petite femme, c’est une sacrée baiseuse et en plus elle gueule tellement quand elle jouit que j’ai parfois du mal à me retenir, j’ai quelques copains qui seraient d’accord pour qu’on se la fasse par tous les trous. »
Je suis un peu abasourdi, elle n’a jamais dépassé avec moi les 10 orgasmes et là, elle vient de battre largement son record, il faudra que je compte en revoyant le DVD.
Je regarde la date inscrite sur le film ; Oh putain !
En plus on a baisé comme des bêtes ce soir là …
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