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mon passage de petite fille à petite jeune femme-2

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Suite 2è partie

Le film commençait avec une nana en petite tenue faisant le ménage dans sa maison et une amie arrive avec une boîte de gâteaux – des religieuses si je me souviens bien – elles se sont vite déshabillées et ont joué à se badigeonner de chocolat et puis à se lécher partout.
Elles étaient maintenant à poil et l’une des deux dit à l’autre « attends, tu vas me lécher la chatte mais j’ai une surprise pour toi » et elle retire un gros tampax tout rouge de sa chatte.
L’autre lui dit, « mais non, attends ma cochonne, tu vas voir, je ne vais pas te lécher tout suite, je vais d’abord aller y foutre ma main dans ta chatte saignante » et elle lui enfonce plusieurs doigts et bientôt toute la main…
Et à partir de là, mes souvenirs ne sont plus trop du film mais de ce qui s’est passé pour moi.
Hélène m’avait enlacée, son bras autour de mon cou et sa main me caressait le bout d’un de mes petits seins…Voila donc pourquoi je me sentais si bien et j’avais même fermé les yeux tellement c’était délicieux.
Quand je les rouvris, c’est parce qu’Hélène entreprenait de me déshabiller… et elle, elle était complètement à poil et ses gros seins étaient là, sous mes yeux, attendant sans doute que je les lèche, moi presque encore un bébé devant cette grande fille, non cette vraie femme….je n’en revenais pas!
Je ne me rappelle plus comment ça c’est fait, mais je me suis retrouvée toute nue, encore assise sur ce canapé, les cuisses bien écartées avec Hélène qui léchait mon petit minou.
Instinctivement, je portai la main à mon bas ventre, tellement surprise de ce qui m’arrivait, mais elle écarta bien vite mon bras et elle put continuer son doux léchage.
Un instant, j’eus un sursaut en pensant à ce tampon qui me remplissait le minou, mais trop tard, les dents d’Hélène avaient pincé le cordon et elle commençait à tirer dessus ….je n’avais vraiment plus envie de retenir quoi que ce soit, je me laissai aller à ces douceurs…
Je baignais dans un rêve. Ce que je ressentais en moi était totalement inconnu…une chaleur intense m’envahissait le ventre et avec mon petit minou comme foyer.
La langue d’Hélène faisait des bruits que je ne connaissais pas encore…c’était sa langue ou mon petit minou qui faisaient ce bruit de fontaine?
Et pourtant je n’avais pas envie de faire pipi…
Je sursautai et ouvris grand les yeux, Hélène venait de me pincer si fort le bout d’un petit téton que je criai et là, un spectacle inouï m’apparût.
Hélène qui s’était décollée d’entre mes cuisses avait les lèvres et le nez tout rouges et mon petit tampax en travers de la bouche.
Ebahie, j’essayai de voir mon minou, mais le sang avait coulé partout sur mes cuisses et sous moi, le canapé en cuir blanc était tout rouge.
« Ce que c’est bon ma petite Anne chérie  » me dit Hélène après avoir retiré mon petit tampon de sa bouche.
« Tu as aimé ça? »
Que répondre…je lui fis un petit oui de la tête et soudain, je réalisai que le film continuait et mes yeux se fixèrent sur des images que je ne pouvais imaginer.
Une des femmes était debout, au-dessus de sa copine couchée par terre qui avait sa main dans sa chatte et du sang giclait sur son bras…
J’étais subjuguée par ce spectacle et Hélène dû s’en rendre compte car elle revint s’asseoir à côté de moi pour continuer à voir la film…
C’était invraisemblable dans ma petite tête de gamine…et la main d’Hélène vint chercher la mienne pour la poser sur sa petite touffe brune, entre ses cuisses.
« Mets tes doigts ma puce, enfonces les bien…. »
Reprenant mes esprits, maintenant c’était moi qui devais lui faire du bien….
Je rêvais de ce moment là depuis tellement longtemps de faire ça avec une copine d’école, j’en avais eu envie plein de fois, mais ça n’avait jamais pu se faire.
Pourtant avec Nadine, fin juin, j’avais bien cru que cette fois là on le ferait et c’est même elle qui me l’avait laissé penser.
On était venues un jeudi midi chez elle, comme aujourd’hui, mais sa maman était rentrée plus tôt que d’habitude et bien sûr, rien ne s’était passé.
Encore assise, je m’efforce de bien caresser cette chatte que je ne vois pas encore, mais je sens que je lui fais du bien car elle souffle très fort et son ventre se tend comme si elle voulait me faire rentrer en elle.
Je sais qu’elle a un tampon dans son minou, alors je ne voudrais pas lui faire mal, comme à moi tout à l’heure….
Et sans me dire un mot, elle se tourne vers moi, m’att**** fermement un bras, me fait mette à genou, en poussant ma tête, non, en l’écrasant contre sa chatte poilue.
Un instant je suffoque, mais sa pression se relâche un peu et je commence par écarter ses lèvres…elles sont très foncées et elles me semblent énormes par rapport aux miennes.
Tiens, presque comme celles de maman.
Et le cordon du tampon que j’ai aperçu ce midi, il est bien là, mais tout rouge et oui, même ses lèvres sont un peu saignantes.
Cette idée de prendre le tampon, ou du moins le cordon avec mes dents, j’y ai pensé bien des fois, mais là, ça y est, je suis devant.
Alors, en bonne petite amoureuse novice, je lèche son minou en remontant et appuyant très fort sur son petit bouton d’amour qui me semble énorme sous la langue.
Le mien, à côté, ce n’est encore qu’un tout petit point sensible, oh que oui sensible, mais elle, de passer ma lange sur le sien, ça la fait crier et je me souviens que dans le film qui continuait, ça criait aussi, presque aussi fort!!!
Et puis, je l’ai pris dans mes dents ce bout de coton, et j’ai tiré doucement.
Hélène, en même temps, écartais encore plus les cuisses et c’est comme si son ventre venait vers moi.
J’avais les yeux grands ouverts.
Ses lèvres commencèrent s’écarter et je vis apparaître un gros morceau de coton avec du sang très foncé et j’ai continué de tirer….
Il a même fallu que je me recule un peu car ça n’en finissait pas. Eh oui, les tampax bien imbibés, ça s’allonge beaucoup!!!
Dans les quelques secondes qui suivirent, Hélène attrapa son tampon qui me pendouillait sur le menton et elle se le fourra immédiatement dans la bouche.
Ca y est! C’est que maman doit faire avec ses tampons aussi!!!!
Et puis, je l’ai entendu me dire « lèches moi et pompes moi ma petite Anne chérie ».
Je glougloutais dans cette chatte qui me paraissait énorme, le nez écrasé sur son bouton d’amour et ma langue allait et venait de haut en bas et de temps en temps, sa main derrière ma nuque me poussait un peu plus fort.
J’avalais son sang et tout ce qu’elle voulait me donner, j’étais sa petite chienne…
Mon ventre était en feu, je ne savais plus ce qui se passait réellement, sinon, que je faisais l’amour avec une fille, spectacle mille fois imaginé, mais là, bien réel.
On est restées comme ça je ne sais combien de temps, jusqu’à ce qu’Hélène pousse un cri énorme, ma tête s’est trouvée écrasée dans l’étau de ses cuisses et son ventre avait des contractions énormes… J’étouffais et j’avais beau me débattre, je crus que j’allais mourir.
Relâchées toutes les deux, moi allongée par terre et elle, encore assise sur le canapé, elle me dit « que c’est bon ma chérie ».
J’étais donc sa chérie.
C’était la première fois que l’on ma disait ce mot doux, hormis bien sûr familièrement…
Le film était terminé et l’écran diffusait de la neige grise….
« Tu as aimé aussi ma petite Anne chérie? Ne bouge pas, attends, je reviens. »
Un peu anxieuse de la suite, je restai allongée au long du canapé. Il y avait plein de coulures de sang partout et moi, j’en avais sur les mains, les bras et je souris en imaginant mon museau.
Déjà quand j’avais vu celui d’Hélène tout à l’heure, le mien devait être bien coloré avec ce qu’elle m’avait fait couler dessus…
Mais la voila de retour avec un grand sac en plastique noir et une grande serviette de bain. La serviette, oui, bien sûr, mais que peut-elle avoir apporté dans son sac?
Elle me tend la serviette et je me frotte au mieux, mais les coulures sont déjà presque sèches.
Je lui dis que ce serait bien de prendre une douche.
Non pas tout de suite, me répond t’elle.
Elle éteint la télé, retire la cassette, la remet à sa place dans le meuble et me dit, viens, on va aller dans ma chambre.
Elle a une jolie petite chambre, pas très grande, avec plein de posters sur les murs, et son lit pas très grand mais plus large que le mien à la maison.
Allonge toi ma puce. Ce fut presque un ordre…
Non, met toi comme ça, en travers car je m’étais couchée sur le traversin
Je suis donc maintenant dans le travers du lit, mes petites pattes bien serrées, car tout d’un coup une se sorte d’instinct pudique me fait cacher mon minou à celle qui m’a fait découvrir de merveilleuses choses.
Je ne la vois pas et je ferme les yeux, la tête vide après tout ce qui vient de se passer.
Je suis face à la fenêtre et elle de l’autre côté du lit, mais je l’entends fouiller dans le sac et remuer des trucs….
Et puis, je sens ses mains enserrer chacun de mes petits nichons, les malaxer doucement, en exciter les tétons et là…que c’est bon….ma chaleur au ventre revient tout de suite et sans doute sans m’en rendre compte, mes cuisses sont de nouveau largement écartées et quelque chose de frais vient se frotter sur mon ventre et doucement je sens que ça descend vers mon minou.
Je n’ose ouvrir les yeux et Hélène ne me dit rien, j’entends juste son souffle un peu plus fort au fur et à mesure que ce que je sentais froid tout à l’heure essaye d’entrer en moi.
Lorsque j’ouvre les yeux, Hélène me dit « Je sais que tu veux perdre ta virginité ma chérie, Nadine me l’a dit… tu vas voir, ça ne va pas te faire très mal et après, ce sera délicieux pour toi ».
Oh m’exclamai-je!! Ça va faire mal…et avec ça!!!!
Elle a comme une grosse culotte noire avec des rubans comme sur les porte-jarretelles et une grosse bite en plastique rose plantée tout droit dessus.
Elle ne me répond pas, et je ne la vois plus car elle vient de s’agenouiller, la tête entre mes petites jambes, quand même bien écartées…Je suis partagée entre cette énorme envie de perdre mon pucelage et inquiète pour la douleur que je vais avoir.
Mais sa langue et ses doigts ont tôt fait de me calmer et je l’entends même dire, « Eh bien dis donc, pour une petite fille, tu as déjà des règles bien fortes. »
Oui, j’ai l’impression que quelque chose sort de moi, c’est indéfinissable, mais c’est bon…
Je sens qu’Hélène se relève mais je garde les yeux fermés car je sais ce qui commence à vouloir rentrer dans mon petit minou…
Par petites poussées successives, ça me fait penser quand je mets mon doigt, mes deux doigts des fois et que j’essaie d’aller plus loin, tiens comme avec le tube du tampax, mais lui, il est pas très gros, alors que là, c’est monstrueux, on dirait la bite à mon papa quand il sort de la douche.
Je n’ai pas le loisir de penser plus loin…je crie et ça fait mal, mais les caresses sur mes tétons atténuent très vite cette douleur….
Je me sens remplie et Hélène, qui doit savoir ce que je ressens, bouge tout doucement et après quelques instants, les mouvements qu’elle donne me font des choses bizarres dans le ventre.
Des sensations que je ne connaissais pas encore…Si, j’avais une petite idée quand je me fourrais un doigt et que je l’agitais de haut en bas assez vite, mais là, je suis remplie, j’ai l’impression que mon ventre va éclater; non, en fait, ce n’est pas mon ventre, là je le sens bien, c’est mon petit minou qui ressens tout ça.
Et soudain, en continuant à se bouger en moi, mais de plus en plus vite, j’allais étouffer tellement ça me faisait bizarre partout et Hélène râlait, soufflait, haletait et tout d’un coup, elle cria longuement en s’allongeant sur moi, en m’écrasant.
Sans bouger toutes les deux pendant un long moment, on a roulées sur le côté et la « chose » qui m’avait dépucelée était sortie de mon petit minou.
J’avais froid maintenant, mais Hélène me sentant trembler m’enserra vite dans ses bras, me couvrit avec la couverture et m’embrassa fougueusement sur la bouche.
Nos langues fusionnèrent, mais rien à voir avec les baisers de mon flirt pendant ces dernières vacances…cette langue de fille me distillait de l’amour…
Qu’on était bien!
Longtemps après, elle se pencha sur moi et me demanda si j’étais heureuse et surtout si j’avais mal.
Que lui répondre, sinon que oui, j’étais la plus heureuse des filles aujourd’hui et que oui, bobo aussi mon petit minou, mais comme m’avait dit plusieurs fois maman, « ça fait mal une fois, mais ça fait du bien de milliers de fois après ».
Quand nous nous relavâmes pour aller dans la salle de bains, Hélène retira son espèce de slip ceinture noir et en fait, je compris pourquoi elle avait joui elle aussi. Il y avait de l’autre côté un autre gode d’enfoncé dans sa chatte et à chaque fois qu’elle s’enfonçait en moi, elle le faisait aussi pour elle….
Plus tard, avant que sa mère et Nadine ne rentrent, elle me dit que tout ça c’est à maman…
Elle a divorcé il ya 2 ans et maintenant, elle a une très bonne amie qui passe les samedis et dimanches avec nous et de temps en temps des soirées aussi.
On l’aime bien, mais maman avec son boulot de prof ne peut pas être avec elle tous les jours.

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