J’ai tendance parfois à pousser le zèle. Ma mauvaise foi s’y étale. Mon ami devrait à force le savoir. Ce jour-là il n’eût de cesse de m’abreuver de consignes. Il était entré depuis peu dans un job. Le patron lui témoignait grand égard en l’invitant ce week-end. Une météo au beau fixe autorisait un barbecue dans une jolie propriété de l’Isle-Adam dans l’Oise. Je goûtais peu que mon samedi fut sacrifié à cette mondanité. Cependant je me devais d’assister un compagnon trop bilieux. Celui-ci escomptait que mon charme opérât et qu’il rejaillit sur lui. L’opération commando devait réussir.
Je comptais aborder la difficulté avec férocité. Du premier coup d’œil je vis que le nombre et la qualité des convives me promettaient de m’amuser. Peu m’importait qu’il n’y eût que des couples. Le regard des mâles et la circonspection de leur femelle témoignaient assez que je faisais effet. Je n’avais pas mégoté sur l’accoutrement. Ma robe légère était des plus courtes. Je n’avais pas renoncé à porter mes bas couleur chair bien qu’il fit bien chaud en même que des escarpins fort hauts accentuant davantage la cambrure de mes reins. Je faisais garce et m’en réjouissais.
Je vis que le succès fut acquis d’emblée auprès du fameux patron. Je repérais en quelle catégorie banale et libidineuse je le pouvais ranger. J’avais les mêmes en mon boulot au verbe vulgaire à la main baladeuse. Je savais manier ce genre d’a****l et de rustre. Je plaignais sincèrement sa femme. Celle-ci était comme il se doit jolie, timorée et insignifiante. Je tirais furieusement sur ma cigarette et enfournait un trop succulent rosé frais. Le résultat fut qu’au bout d’une heure, alcool aidant, toutes les préventions étaient tombées. Tous se tutoyait. A ce prix le bonheur est accessible.
J’eus volontiers jeté mon dévolu sur un grand brun qui autant que les autres me dévoraient des yeux mais mon ami me pressait de marquer quelqu’attention à son patron. Les plaisanteries de celui-ci étaient lourdes. Je n’étais point sûre que mes sourires à son égard ne fussent pas des grimaces. Le beau brun, cadre important dans la société me confirma en un propos complice que leur patron en effet n’excellait pas dans le verbe raffiné. Cependant et comme pour se racheter, il précisa que ledit patron était cependant de force à commander et à faire gagner beaucoup de sous à tous.
Je n’en disconvenais pas. Ce genre de brute et d’abruti savent marquer des buts. Leur assurance et leur cynisme permettent de mettre souvent au centre de la cible. Pour le reste ils n’ont cure des conséquences et des effets secondaires. Ce jour-là je pouvais être une de ces cibles où il eût voulu exercer son talent. Je ne le décourageais pas. Le plan de table adroitement me mit quasi en face de lui. Auparavant au milieu de la pelouse juchée sur ma chaise j’avais croisé mes belles cuisses et imprimé un petit balancement caractéristique de l’escarpin au bout du bien qui fascinait.
Le froncement des sourcils des autres femmes me renforçait dans l’idée que je ne faisais point fausse route et que je distrayais par trop leur compagnon ou mari. J’adore être ainsi le centre de toutes les attentions. Je devinais assez qu’elles maugréaient et dispensaient entre leurs dents des termes peu amènes du genre : salope, pute ou garce. J’ai pris habitude de ces titres depuis toujours et je me consolais par l’adage qu’il valait mieux faire envie que pitié. Mon ami fort heureusement n’en prenait nul ombrage. Au contraire il était flatté que je plus.
Me témoignant une confiance aveugle, il expliquait à d’autres que j’avais toujours été une coquette et que ce narcissisme de petite fille m’interdisait d’autant d’aller plus avant et notamment de coucher avec ceux qui me convoitaient et draguaient. Puis il se targuait de notre harmonie sexuelle qui me dispensait sûrement d’aller voir ailleurs. Vous concevrez que ce contentement imbécile me parut dès le premier jour comme une autorisation à transgresser. D’autant que le patron lui-même m’en rapporta le propos : « Votre conjoint à toute confiance en vous et m’autorise à vous faire la cour. »
Ce goret peu après que le déjeuner commença, fit choir à dessein sa serviette. Il mit trop de temps à la récupérer. En symbiose avec lui je crus devoir décroiser un instant mes cuisses et les écarter assez pour qu’il put se délecter du spectacle entre. Il pouvait découvrir une culotte rosâtre et à motifs et dont la qualité était assez transparente pour qu’ont put appréhender les méandres d’une chatte lisse. Cela m’excitait toujours de percevoir un regard mâle et cochon sur mes appâts. Lorsqu’il émergea de sous la table le teint plus écarlate, il fuit d’abord mon regard semblant si penaud.
Enfin nos regards se croisèrent. Je crus devoir le rassurer par un sourire complice et entendu. Je l’en encourageais du coup à recommencer. La seconde fois qui fut plus longue outre d’écarter toujours les cuisses je glissais un instant ma main dedans ma culotte comme pour la caresser. J’étais assurée à cet instant que son érection fut au summum. Il ne pouvait plus douter que je ne fus une salope entièrement vouée à tous ses caprices. L’amusant était que sa femme demeurait imperturbable à son côté et que souvent je lui adressais la parole afin qu’elle put briller un peu plus.
Je gagnais bientôt à m’en faire une amie. La pauvre souvent était dédaignée des autres femmes. Elle crût mon attachement ou du moins mon intérêt sincère. Elle m’avoua plus tard que son mari ne la respectait plus depuis longtemps draguant outrageusement devant elle maintes femmes. Je lui dis qu’elle devait se consoler car c’était le sort de nombre d’entre nous et que passé un certain âge on ne pouvait plus tenir un homme. Je me retins cependant de lui conseiller d’en faire autant en prenant un bon amant. En attendant son mari devait songer à présent à pouvoir m’att****r.
Il vit avec quelqu’agacement que le beau brun non moins que lui s’intéressait à moi. Ce dernier voyant la rivalité avec son patron, s’effaça alors comme à propos. Il eût le temps de force de me souffler avec ironie à l’oreille : « Je diffère mon temps. Je ne suis de force à lutter avec le lion. »
Tout concourrait à ce que nous passions à l’étape suivante. J’en avais une furieuse envie. A la fois le beau brun m’avait excité (et je rêvais d’exacerber son désir en le rendant jaloux). De même mon ami et la femme du patron m’avaient passablement énervé par leur niaiserie respective.
Enfin prise par l’ambiance de chaleur et d’alcool en ce de début de soirée, j’eus accueillis volontiers n’importe quelle bite. En ces circonstances la lubricité me gagne. Je suis poussée aux dernières extrémités. L’été dernier sur la côte, je me suis donnée à deux, trois gendarmes dans leur véhicule. Cette orgie dura une heure. L’âge venant ce genre d’exploit ne m’effrayait plus. Je m’assume de plus en plus en salope. Je suis la pour faire jouir les hommes. J’escompte qu’ils sortent heureux d’entre mes bras et mes cuisses. Je trouvais donc légitime que ce patron put obtenir mes faveurs.
Vers vingt-deux heures une lueur de crépuscule commença à s’installer sur le terrain. Les gens et les couples s’égayaient. Certains déjà étaient partis. On n’y retrouvait plus tous ses petits. J’avais perdu de vue à la fois mon conjoint et la femme du patron. Ce dernier au contraire me collait. Il ne trouva pas mieux à me dire : « Vous savez j’ai ici une belle cave à vins. Il y fait moins chaud qu’ici. Vous voudriez la visiter ? » J’eus un moment envie de rire. Sa proposition et son moyen étaient grotesques. Je n’en acceptais pas moins. Plus loin il me caressa les fesses.
J’adorais ce moment où je devenais pur objet et gibier. Où le mâle est assuré d’emporter sa proie dans sa tanière. En victime consentante, expiatoire, je trouvais bon que ses mains me parcoururent tant les fesses que la chatte et que bientôt nos lèvres se collèrent. Que nos langues se mêlèrent. Dans la pénombre nous eûmes temps de distinguer un autre couple illégitime et qui était assez avancé dans leur coït. Le type prenait en levrette une jeune femme dévastée par l’alcool. Ce spectacle acheva de m’exciter. Parvenu dans la cave je m’accroupis pour saisir la queue hâtivement déballée.
Ce porc avait la queue longue et épaisse, prémices, prélude à un grand plaisir. Mon goût de la fellation était allé croissant au cours des années. Je me jetais furieusement dans la bataille. Une bite dedans ma bouche passait tel en une essoreuse, je ne l’en câlinais pas moins la rendant toute ivre. Je me gardai cependant qu’elle explosât me frustrant du reste. Le patron aux anges ne put s’empêcher de s’exclamer : « Non de Dieu, j’aurais presqu’envie de féliciter ton mec ! Quelle garce tu es ! » Il m’arracha la culotte. Celle-ci se perdit quelque part. Il me bourra en levrette sur le sol ?
On fait ainsi avec les filles et les putains. Je goûtais ce manque de considération. Sa queue longue et épaisse me procurait dedans la chatte toute la jouissance requise. Ce porc néanmoins jouait du doigt dans l’anus comme pour y éprouver un passage possible. Il put s’aviser que ce chemin avait souvent été forcé et emprunté. Je suis devenu fan depuis longtemps de sodomie. Galvanisé j’hurlais à un moment : « Vas-y défonce-moi. Prend moi me cul. » Il ne se fit pas prier. Il montra peu d’égards escamotant la préparation. Au propre je fus enculée. Ce fut violent. L’anus cependant étant humide.
Il me bourra ainsi toute une demi-heure. Mon cul ne méritait pas moins pour être correctement honoré. J’avoue que le rustre y fit un travail formidable. Je n’étais pas mécontente d’être venue. En même temps je savais avoir réalisé bien au-delà toutes les espérances du compagnon. Après avoir giclé tout son foutre au fond du trou, le patron m’administra une grande claque sur le cul s’exclamant : « T’es une sacrée pute. Faut qu’on recommence au plus vite. » Nous sortîmes inquiets qu’on n’eût repéré notre absence. Nous fûmes rassurés. Sa femme par contre était offusquée.
En effet on ne parlait que du couple de tout à l’heure qui avait forniqué près de la cave à vins. Madame était révulsé qu’on eût au su de tous cocufié et humilié le mari. En fait tout le monde s’en foutait. Ce genre d’agape incluait de tels débordements. Son mari agaçait la fit taire. Devant tout le monde il s’écria : « Cette file est une pute et son mari, un notoire pauvre type. « Tout en resta là. Il était temps de lever le camp. Mon ami avec triomphe m’annonça dans la voiture que le patron, lui avait assigné d’importantes missions en province. Je fis mine de déplorer qu’il serait souvent absent.
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