Mon mari travail dans une grosse entreprise, il est assez occupé, toujours en déplacement et ça ne va pas trop fort au boulot.
J’ai rencontré une fois son patron un homme de 50 ans, agressif qui n’hésite pas a écrasé qui conque est sur son passage.
C’est un homme vraiment désagréable qui règne sur son équipe comme un tyran.
Mon marie subis ses foudres, le travail lui pèse et le risque de licenciement se présente de plus en plus face à lui.
Je dois agir et je décide de mon propre chef de voir si il n y a pas manière de convaincre ce patron si désagréable.
Je vol le numéro de téléphone a mon mari. Je dois avouer que j’hésite je sais qu’il y a de forte chance que cela ne soit pas bien vu et accélère la pente professionnel de mon mari vers la sortie.
Après plusieurs jours de réflexion quand il est en déplacement, je prend mon courage a deux mais et appelle son patron.
– Bonjours, parlez vite j’ai peu de temps. Répont’il.
Même au téléphone cet homme devient vite mal aimable
Je me présente et lui propose de venir diner cette semaine. Je sens qu’il réfléchie il sait que mon mari est en déplacement, il accepte. Pour venir dans deux jours.
Les deux jours passe avec un certain stress tout est prévu, une dinde, je couche les enfants tôt et m’habille de manière élégante mais classique, on ne peut pas dire que ma garde robe est sexy et mes sous vêtement son très classique.
Il arrive bruillament, je pris qu’il ne réveil pas les enfants, demande de suite un whisky et un cigare.
Il allume ça aux milieux du salon ou il est interdit de fumé en temps normal. Je sent que ce gros salaud le sait et il a l’air de vouloir poussé tout les interdit qui se présente a lui.
– Pourquoi ce dîné ?
– Je voudrais vous parlé de la situation professionnel de mon mari…
– Oui, il est fini. Votre mari est trop vieux.
– Vous ne voulez par lui laissez une chance ? Je ne sais pas ce que nous ferons s’il perd son travail…
–
Je commence a sangloté il me regarde d’un regard vide se lève et va se resservir un whisky.
– Vous n’avez cas devenir une pute, mais franchement comme pour votre mari je ne donnerais pas grand-chose pour vous baisé.
Le désespoir me fait parler :
– Vous voulez me prendre a l’essaie ? Vous me baisé comme bon vous semble et vous gardé mon mari…
– Et ma jolie, du calme. Tu écoute rien ma parole. Tu n’as pas le pouvoir de choisir. Je viens te baisé et voir après si ça vaut le coup que je garde ton mari. Mais attention tu as intérêt à être bonne, je ne me s’attiferais pas d’une petite branlette.
Sur ces mots il baisse son pantalon et mon présente un sexe qui fait peine à voir pratiquement caché par sa grosse bedaine.
Je me suis trop avancé je suis loin d’être une experte, ma vie sexuel est a zéro et j’ai toujours refusé de pratiqué la fellation. Et voilà que ma première va être sur cet homme.
Je me penche face a lui et prend son sexe qui a véritablement mauvais gout, j’ai des haut le cœur.
– C’est tous ce que tu sais faire ?
Je fait non de la tête et reprend mon travail. Je me sens vraiment humilier, j’ai les larmes qui monte en mois mais continu mes allé retour sur sa verge qui durci dans ma bouche.
– Tu es vraiment nul, laisse-moi faire.
Il pousse mes mains et fait de puissant allé retour dans ma bouche, me voilà devenu une vide couille. Une pute. Mais étonnamment je commence a me sentir excité de la situation.
– Retourne toi, a quatre pattes. Je vais te baisé comme une chienne que tu es.
Il me porte pratiquement a quatre pattes, se présente fasse a mon vagin et me pénètre sans ménagement. Je suis sérer et la douleur est horrible dans mon bas ventre. Lui rigole de mes bruits de douleurs. Il fait plusieurs allé retour dans mon vagin étroits se qui je le sens l’excite encore plus. Chaque coups de bassin et entre coupé de fessé. Il ne retient pas ses coups, ni ses coups de butoir, ni ses claques sur les fesses.
Il sort de moi et se présente fasse a mon visage ou il éjacule une bonne quantité de sperme sur moi. Il me fait nettoyer son sexe.
Je me sens vraiment souillé. Il me remet debout et rigole.
– Maintenant va servir a mangé, je suis venu pour ça avant tout.
–
Je titube jusqu’à la cuisine sert une assiette que je place devant lui.
– Toi aussi tu vas manger, mais parterre et nu. Comme une chienne.
–
Je n’ai plus de volonté. Je retire tout mes vêtements. Je suis de toute façon allé trop loin pour reculer.
Je me place a quatre pattes a coté de lui et mange par terre avec mes dents mon morceau de dinde.
– Tu vois, je suis loin d’être convaincu. Tu es une chienne coincé ça c’est sur. Mais ce n’est pas suffisant pour sauver ton bon à rien de mari.
–
Je rage si j’ai fait tout ça pour rien.
– Je veux bien te donné une seconde chance. Je vais filmer pour pouvoir revoir ça et être sur que mon choix et le bon tu comprends ?
Je fais oui de la tête.
– Très bien viens me sucer le temps que je finisse de mangé et que je réfléchie a ce que je vais te faire.
Je me place sous la table sort son pénis ramollie e commence a faire des allé retour sur son chibre.
Il mange doucement et profitant bien des mes allé retour.
– Très bien suit moi. Mais reste a quatre pates.
Il sort son téléphone et me film entrain de le suivre jusque au salon. Il me montre la table basse ou je m’allonge sur le ventre.
Il s’approche et me met une grosse fessé sur mes fesses bien tendu. La douleur est instantanée. Il répète se geste plusieurs fois sans pitié. Je sanglote de douleur ce que je vois l’excite encore plus.
Il me pénètre et fait de violent aller retour sans aucune pitié. Il me tire par les cheveux la douleur est atroce. Ce qui l’excite encore plus.
Je me vois me faire baisé dans le miroir du salon ce qui étonnamment commence a m’excitée. Je me découvre une nature de chienne et commence a sentir des vagues dans mon bas ventre qui remplace la douleur petit a petit.
– Mais c’est que tu commence a mouillé, tu aimes ça ?
– Oui, plus fort !
–
Mon cerveau est étain je veux juste me faire baisé encore et encore.
Il accélère, les vagues aussi monte en moi. Je sens que je vais avoir un orgasme.
Il explose en moi dans un jet de cyprine. Le patron de mon mari se bloque et lache sa semence au fond e moi.
Il tombe comme un cheval mort sur mon dos.
– Très bien, vous aurez ma réponse dans les prochaines semaines.
–
Il me laisse là allonger sur la table basse comme morte et rentre chez lui.
A suivre…
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