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Quand Margot devient chienne 23

Quand Margot devient chienne 23



Visite guidée.

– Voilà, tu vois c’est ici que je travaille.
– Oui, oui, je vois. Et c’est là bas que tu te déshabilles je suppose ?
– Absolument. Et là bas il y a des toilettes et là une douche.
– Tu poses où alors ?
– Ben partout, ça dépend du choix du Maître.
– Tu veux dire que ça peut être là, sur ce sofa ou sur cette chaise en rotin ?
– Oui c’est tout à fait ça. Même sur cette estrade ou ce lit.
– Ah bon, sur le lit aussi ?!
– Oui. Pourquoi pas ? Je t’ai dis ça dépend des sujets.
Margot faisait voir tous les recoins de l’atelier ainsi que la belle vue qu’on avait depuis les fenêtres de la tour. Elle continuait à lui expliquer comment se passait une séance de pose alors que Anne simulait ou plutôt singeait sa copine en prenant des poses ridicules.
– Tu ne me présentes pas ton amie, Perle ?
« BHV » venait d’entrer dans l’atelier. Les deux femmes furent surprises et sursautèrent ensemble. Perdues dans leur bavardage, elles n’avaient pas entendu la porte s’ouvrir.
– Euh … Si, bien sur. Maître je vous présente mon amie Anne. Anne je te présente euh … Ber …
– « BHV ». Mes amis m’appellent ainsi.
– Bonjour Monsieur.
– Bonjour Anne. Perle m’avait cachée qu’elle avait une amie aussi jolie.
– Euh … Merci Monsieur.
– Non, non, c’est la vérité, vous êtes tout à fait charmante. Tu n’es pas de mon avis Perle ?
– Si Maître bien entendu, d’ailleurs je me tue à le lui dire.
– Oui, oui, tout à fait charmante.
– D’ailleurs Maître, Anne se demandait si vous accepteriez de la faire poser ? Elle aimerait essayer.
– Oh ! Pourquoi pas. Il faut voir. Je suppose que Perle vous a expliqué un peu comment ça se déroule ?
– Oui. Enfin, à peu près. Elle m’a dit qu’il fallait surtout s’habituer à ne pas bouger pendant plusieurs minutes.
– Oui, cela fait partie des difficultés.
– Je veux bien essayer si vous êtes d’accord bien sur.
– Et bien, Perle a une séance demain vous n’avez qu’à venir avec elle et nous verrons ce qu’on peut faire de vous. Cela vous convient ?
– Oui bien sur, tout a fait, je … oui … à demain alors.

Les deux femmes s’éclipsèrent sans un mot de plus. Une fois dans la voiture le silence entre les deux amies se poursuivit. On pouvait surprendre parfois un regard de l’une ou de l’autre qui tentait de deviner les pensées que l’autre avait en tête. C’est Margot qui conduisait. Elle était concentrée ou du moins en donnait l’impression, sur la conduite du véhicule. Ainsi elle échappait, sans doute momentanément, elle ne se faisait pas d’illusion, à la question qui taraudait Anne et qui lui brûlait les lèvres. La circulation était dense. Margot dût stopper à un feu passé au rouge.
– Anne.
– Oui ?
– Poses la ta question.
– Quoi, quelle question ?
– Arrêtes ! Ne fais pas l’imbécile, tu sais très bien de quoi je veux parler.
– Oui, et ben tu avoueras que c’est surprenant quand même ! Je croyais que tu étais mon amie Margot et je te découvre en Perle. Alors oui, je me pose des questions c’est sur. Mais tu as surement une bonne réponse ?
– Anne, ma chérie, ne te fâches pas je t’en prie. Bien sur que tu es mon amie. Et bien sur que je suis Margot. C’est juste que comme modèle je suis Perle. C’est « BHV » qui m’a baptisée ainsi. Il a voulu que j’ai un pseudo et je n’ai pas souhaité le contrarier. Et puis, Perle, c’est joli tu ne trouves pas ?
– Euh … Si bien sur c’est joli. Mais la situation était troublante tu ne crois pas ? Et puis surtout tu aurais pu me mettre au courant si je suis ton amie.
– J’avoue que je n’y ai vraiment pas pensé. C’est devenu tellement une habitude que je n’y pense même plus. Je réponds aux deux prénoms sans distinction. Je suis vraiment désolée Anne chérie, je te prie de m’excuser, j’espère que tu ne m’en tiendras pas rigueur.
– Tu as de la chance que je t’aime toi ! Bien sur que tu es pardonnée mais ne me refais plus un coup comme ça, hein !?
– Promis, juré, craché !
Les deux copines finirent le chemin en rigolant et en parlant de choses et d’autres. Puis Anne revint sur la journée du lendemain qui lui donnait quand même un peu le trac. Margot fit son possible pour la rassurer en lui disant ce qu’elle aurait approximativement à faire.
Malgré tout, la nuit fut plutôt courte pour Anne. Elle tournait et virait sous sa couette sans réussir à trouver le sommeil. Elle avait beau se dire que ce n’était pas la mer à boire. Qu’il suffisait de rester immobile quelques instants dans une certaine position. Bon d’accord, il faudrait peut-être que je sois à poil, mais bon, sur la plage en été je ne me pose pas toutes ces questions, alors ! Et puis Margot m’a expliqué. C’est quand même pas sorcier. Et Margot sera là aussi, alors pas de danger. Enfin Margot, disons Perle. Ah cette Margot, elle m’en aura fait voir quand même. Perle. Cela fait bizarre tout de même. Je suppose que je vais m’y habituer. Mais comment je vais l’appeler moi ? Margot ou Perle. Margot des villes. Perle des champs.
Anne finit par s’endormir, mais la nuit était déjà bien entamée.

Il faisait déjà presque chaud lorsqu’elles arrivèrent au château. Le printemps était là. Sur le parking où Margot stoppa la voiture, elles furent accueillies par une multitude de chants d’oiseaux qu’elles avaient bien du mal à apercevoir, tant la nature renaissait en de verdoyantes pousses recouvrant les rameaux de l’année.
Tout comme la veille c’est le « croque-mort » qui leur ouvrit la porte. Mais là, Margot avait pris soin d’avertir Anne auparavant afin qu’elle n’eut pas un mouvement de recule en voyant le phénomène.
En rigolant comme deux collégiennes arrivant au pensionnat, elles grimpèrent les marches de la tour qui les emmenaient dans l’atelier du Maître. La pièce était déserte. Il y faisait bon. Nul trace de chauffage, sans doute le soleil à travers les vitres faisait déjà son œuvre. Margot se dirigeât instinctivement vers le paravent où elle se déshabillât intégralement aussitôt, sous les yeux un peu surpris d’Anne qui hésitait à la suivre.
– Ben alors, tu ne viens pas ?
– Euh … Si, si, j’arrive. Mais tu ne crois pas que je devrais attendre « BHV » pour qu’il me dise quoi faire ?
– Ah. Comme tu veux. Mais je pense qu’il va te dire de te mettre à poil comme moi.
– Oui tu crois ?
– Pour ta première séance de poses il va peut-être nous mettre ensemble pour que tu t’habitues.
– Oui, peut-être. Tu dois avoir raison. Bon, je viens alors.
Les deux filles papotaient, assises sur le bord de l’estrade, nues, lorsque « BHV » entra. Il les salua, une seconde étonné de voir Anne, puis réalisa rapidement qui elle était et se dirigea vers sa table de travail toujours jonchée de peintures, de pinceaux, d’appareils photo numériques ou argentiques, ainsi que de toiles vierges ou entamées. Il ne prêta pas vraiment attention à la nudité de ses deux modèles et s’affaira, sans leur parler davantage, à la préparation de ses couleurs et du matériel adéquat. Quelques instants passèrent sans qu’un mot ne soit prononcé. Les filles regardaient ce que faisait « BHV » sans oser l’interrompre ni lui poser la moindre question. Bizarrement, elles se serraient, comme pour s’épauler dans l’attente d’un verdict. Ensuite « BHV » trouva un chevalet dans un coin et posa une nouvelle toile dessus. Il approcha sa petite étagère mobile où il avait déposé son matériel et ses couleurs.
– Bon les filles, on va travailler un peu si vous le voulez bien.
– Bien sur qu’on veut Maître. Par qui voulez-vous commencer ?
– Mais par toutes les deux Perle. Vous allez monter sur l’estrade où vous aviez posé vos jolies fesses et vous asseoir dos à dos.
– Comme ceci Maître ?
– Oui, très bien. Maintenant ramenez vos pieds vers vous … Voilà, oui, non Anne pas trop. OK, c’est bon. Maintenant vous levez vos bras et vous vous tenez par les mains.
– Comme ça ?
– Oui c’est bon, ne bougez plus. Perle baisse un peu tes genoux … Oui, parfait ! Alors tenez la pose, je commence.
Cette pose avait l’avantage, outre le fait de faire ressortir les deux paires de nibards, d’être faite à deux. Ainsi les deux modèles se tenaient mutuellement et il leur était plus aisé de résister. Si bien qu’Anne ne vit pas le temps passer et elle trouvait ça finalement amusant. Du coup elle espérait que « BHV » lui demanderait de revenir.
Au bout d’un moment tout de même, elle avait des fourmis dans les bras et son nez la chatouillait. Elle n’osait bouger mais « BHV » s’en aperçu néanmoins et déclara qu’il était temps de faire une petite pose. La décision fut accueillie avec plaisir et les deux filles s’empressèrent de se lâcher, de se lever afin de s’étirer et faire re-circuler le sang comme il faut dans leurs veines. Toutes deux marchaient dans l’atelier pour retrouver des sensations que l’immobilité avait angourdies.
– Perle ?
– Oui Maître ?
– Si tu faisais visiter l’autre atelier à ton amie ?
– L’autre atelier Maître ???!!!
– C’est quoi l’autre atelier Margot, euh, je veux dire Perle ?
– Allez Perle, fais-lui visiter, je te fais confiance, tu sauras la guider.
– Bien Maître. Bon, viens alors Anne.
– Mais on ne se rhabille pas ?
– Ce n’est pas nécessaire ma chère Anne. Vous verrez, Perle va vous faire découvrir tout ça. Allez-y et prenez votre temps. Nous déjeunerons dans le jardin, vous me retrouverez à la piscine après votre petite visite.
Margot descendit les escaliers la première, Anne dans son sillage. Elle bifurqua une fois arrivée au palier du bas pour emprunter l’escalier aux pierres froides et à l’atmosphère lugubre.
– Brrrr ! Où m’emmènes-tu Margot, euh non, Perle. Oh tu vois, je ne sais plus comment t’appeler. C’est compliqué cette histoire.
– Ce n’est pas grave Anne, appelles-moi comme tu veux, cela n’a aucune importance et je suis habituée au deux, alors …
– Mais dis-moi, au fait, je voulais te demander un truc.
– Oui, quoi ?
– Ben « BHV ».
– Quoi « BHV » ?
– Ben tu l’appelles toujours Maître, ça fait bizarre, non ?
– Non ce n’est pas bizarre. Un peintre ça s’appelle Maître. Tu n’as jamais entendu ça ?
– Si, si, mais quand même, dans ta bouche, ça sonne drôle.
– Comment ça drôle ?
– Ben je ne sais pas trop, mais on dirait que tu as peur de lui.
– Mais non je n’ai pas peur, qu’est-ce que tu racontes. Bon allez, on est arrivée, mais je te préviens tu vas être surprise et même peut-être plus que ça.
– Ah bon, pourquoi, c’est pas un atelier de peinture ?
– Pas exactement, tu vas voir.
Là, effectivement, Anne fut scotchée. Sa bouche resta ouverte. Ses yeux ronds. Elle était figée dans l’entrée, incapable de bouger. Margot était allée s’asseoir sur le bord du lit en attendant que son amie réagisse et revienne sur terre. Anne finit par déglutir et referma sa bouche. Elle regarda Margot puis la pièce, puis Margot, puis la pièce, puis … Elle s’avança à petits pas. S’arrêta devant un engin dont elle ignorait bien l’usage, puis un autre un peu plus loin l’attira. Celui la elle devina ce qu’on pouvait en faire, du moins le supposait-elle. Elle revint vers Margot qui se levait.
– Mais qu’est-ce que c’est que tout ça ???!!! On est où là ? C’est le moyen âge ici !! Tu ne vas pas me dire que c’est un atelier de peintre ?!
– Mais si ! Détrompes-toi. Certes je te l’accorde, ce n’est pas très conventionnel comme atelier. Mais comme tu peux le voir sur cette table, il y a tout le matériel de « BHV » pour la peinture et même la photographie. Cela dit, oui, comme tu le penses sans doute, les poses sont beaucoup plus suggestives que dans l’atelier du haut.
– OH mon Dieu ! Mais toi, tu poses aussi ici ?!
– Ben oui, pourquoi, ce n’est pas plus difficile qu’en haut.
– Waouh !!! Et ça, ça sert à quoi ?
– Tu veux essayer ?
– Mais ça va pas non !!! Tu es folle ou quoi !!!
– Mais ça ne va pas te manger. Allez viens, je vais t’aider à t’installer.
– Euh … Tu crois ?…
– Mais oui, allez viens, fais pas ta pucelle !
– Oh Margot, comme tu y vas !!
– Je déconne Anne, allez viens.
Margot aida Anne à monter sur la table en forme de T qu’elle avait testée lors de sa punition. Elle attacha les poignets d’Anne qui regardait son amie d’un œil inquiet tout de même. Elle continua avec les sangles des bras et celle de la tête. Les chevilles et les cuisses furent à leur tour emprisonnées et Margot termina par la sangle abdominale.
– Alors, comment te sens-tu ?
– Ben ça fait vraiment bizarre. Je ne peux même pas tourner la tête.
– Oui c’est le principe. Il ne faut pas que tu puisses bouger sur cet appareil. Tu vas vite comprendre. Regardes.
Margot actionna la télécommande comme elle l’avait vu faire pour elle. La table bougea et Anne se retrouva à la verticale.
– Tu vois, c’est pour ça qu’il faut que tu sois coincée. Sinon tu glisses.
– D’accord je vois. Et … Et c’est tout ? Il ne se passe rien de plus ? « BHV » te peint ainsi attachée ?
– Euh … Pas exactement. Attends deux secondes tu vas voir.
Deuxième bouton et les jambes d’Anne s’écarte ainsi que ses yeux qui n’en croient pas ce qu’ils voient.
– Mais !!!! Qu’est-ce que tu fais ??!!
– Ben tu voulais savoir si c’était tout, alors je te montre. Tu n’es pas contente ?
– Je ne sais pas trop pour l’instant. Ce n’est pas très confortable en tous cas.
– Attends je vais arranger ça.
– Que vas-tu faire encore ?
Troisième bouton. Les jambes se relèvent à l’horizontal. De nouveau les yeux d’Anne s’écarquillent et sa bouche s’ouvre à nouveau.
– Attention Anne tu vas gober une mouche.
– Ouais, c’est ça, vas-y, rigole !! Je voudrais bien t’y voir toi. Mais au fait, tu y es déjà passée sur cet engin ?
– Bien sur.
– Et après il se passe quoi alors ?
– Tu veux vraiment le voir ?
– Pourquoi, c’est quoi ?
– Tu voulais savoir si j’y étais passée. La réponse est oui. Tu voulais savoir ce qui se passait après, alors je vais te montrer. Quelque chose me dit que ça va te plaire.
– C’est quoi, hein ?! Dis, c’est quoi ? Allez dis-le moi. Dis-le moi ou …
– Ou quoi ma chérie ? Je te rappelle que tu es un peu attachée.
Margot disparue à la vue d’Anne qui s’inquiétait de plus en plus. En même temps la situation l’excitait plus qu’elle ne voulait bien se l’avouer. Bien qu’elle ne pouvait bouger la tête elle avait l’impression que ses tétons avaient doublés de volume. Elle sentait la peau de ses nichons tendue. Elle entendait des bruits derrière elle sans savoir d’où, ni de quoi cela provenait. Margot avait apporté l’un des gode et son support. Pas le très gros gode, mais un de taille raisonnable.
– Dis donc ma chérie, tu vas avoir du mal à me dire que tout ceci te laisse insensible !
– Pourquoi tu dis ça ?
– Ben vu la marre qui s’agrandit sous toi …
– Hein ?!! C’est vrai ? Oh j’ai honte !! Descends-moi de la Margot, s’il te plait !!
– Tu ne veux donc pas connaître la suite ? C’est dommage, tu es à point pour ça pourtant. Et puis, on est que toutes les deux et on ne se cache rien, ou presque.
– Ouais, c’est le « ou presque » qui m’inquiète.
– Bon je fais quoi alors ?
– Bon, continues je te fais confiance. Mais tu ne parles de ça à personne, hein !!! Sinon je t’étripe !
– Mais non ma chérie, ce sera notre secret.
– Bon, alors vas-y.
Et Margot tourna la manivelle.

A suivre…..

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