Tirez à quatre épingles comme à son habitude, Antoine pose une bouteille de bordeaux sur la table et m’embrasse langoureusement en caressant mes fesses.
« ça va ma belle ? me dit il enfin en lâchant ma bouche.
« Très bien, assoyons nous que je te raconte ma tuile »
Marie ayant multiplier ses quinze minutes par trois était toujours dans la salle de bain, je pus ainsi relaté toute l’histoire à Antoine de notre rencontre jusqu’au moment présent, il n’en perdais pas une miettes, friand de récit croustillant, son sourire en disait long.
Marie refait son apparition, timidement et un brin farouche.
« Marie voici Antoine »
« Bonjour Marie » il se lève et va lui faire un baise main « enchanté, moi c’est Antoine, je suis médecin, Marion s’inquiète de ta santé après l’épreuve que tu as surmonté, je vais te faire un contrôle de routine pour voir si tout est en ordre, tu veux bien ? »
« Antoine, allez dans la chambre vous serez plus tranquille »
Marie me supplie du regard de venir aussi.
Antoine prend sa mallette et la suis dans la chambre, il revient cinq minutes plus tard.
« Marion tu veux bien venir, elle réclame son infirmière, elle ne veux pas que je la touche »
« Tu lui à dit des plaisanteries ?
« Oui pour la détendre elle est raide comme un piquet » me répond Antoine « elle est un peu bizarre ta copine »
« Elle a aucun humour en état de stress émotionnel, elle se braque ……elle est en position foetale? »
« Oui comment tu le sais ?
j’entre dans la chambre, me déshabillais en gardant ma culotte et me lovais contre elle .
« Marie c’est l’infirmière » lui chuchotais à l’oreille
« l’infirmière à domicile ? dit elle timidement
« oui, on va jouer au docteur tu veux bien ? »
« Tu reste là hein ?
« oui c’est moi qui m’occupe de toi, le docteur il va juste t’examiner »
Antoine était bouche bée devant la scène et avant qu’il ne sorte une connerie, je lui fit signe de la boucler jusqu’a nouvelle ordre.
Marie se remise sur le dos et constatait que j’étais nu, je l’aidais à se dévêtir lui laissant sa culotte et je comprenais mieux ses trois quarts d’heures dans la salle de bain qu’elle avait passé à faire disparaitre les poils qui lui couvraient les mollets, l’intérieur de ses cuisses et la bande de poils qui rejoignais son nombril.
« Voila docteur on peu commencer, Marie avait un peu de fièvre tout à l’heure » dis je en jouant mon rôle d’infirmière .
Avec d’infini précaution, le docteur examina sérieusement sa patiente sous toute les coutures pendant dix bonnes minutes puis quand il eut fini, il me fit signe de le suivre dans le salon.
« Voilas c’est fini Marie, je reviens, je vais parler avec le docteur »
je rejoins Antoine .
« Alors lui dis je, c’est un cas intéressant pour le corps médicale » et je pouffe
« Du moins grave au plus grave, un petit coup de froid je vais te prescrire des médocs, elle souffre de malnutrition légère plus une fatigue extreme, les deux sont lié donc du repos et des repas équilibré sans excès, ses ecchymoses sur les jambes m’intrigue et j’ai remarqué des micro cicatrices, la blessure en bas du dos est vilaine et je pense à un instrument de supplice.
« tu veux dire qu’elle se mutile ? »
« Oui, quand on à pas de plaisir on se fait du mal, qui chez certaine personne le ressente comme un plaisir, je suis pas spécialiste mais je l’interprète comme ça couplé à son désordre psychique lié lui aussi à des événements qui se sont passés certainement quand elle était enfant, c’est une hypothèse plausible.
« Marie est nymphomane ? »
« Pas forcement, les plaisir ne sont pas que sexuel mais ce rapport à la douleur pourrai bien palier à ce manque en effet »
« Merci pour ton conseil » lui dis je
« J’étais pas venu pour ça au départ, j’ai du mal à me contenir, ça fait une heure que j’ai deux filles magnifiques en sous vêtement sous les yeux.
je pris conscience que j’étais nu et Antoine encore cintré dans son costume.
« ho la conne !!! pardon j’étais perché, Marie me travaille le cerveau »
je descendais sa braguette et sortais sa bite bien raide pour la prendre en bouche.
« Ha merci là je te retrouve » soupir mon toubib d’ami « je pense qu’on devrais rejoindre Marie »
« Hum … m’oui …..hum …. m’accord .. on m’y m’a »
J’avalais ma salive au gout de bite, aidait Antoine à se dévêtir pendant qu’il m’enlevais ma culotte pour le porter à son nez en prenant de forte inspirations puis lécha le gousset souillé.
« Je m’empale en missionnaire et tu me porte sur le lit » dis je à mon amant
Antoine s’astique et me pénètre, passe ses bras sous mes jambes et nous entrons dans la chambre à la surprise de Marie qui n’avait pas bougée, il me laisse tomber sur le lit, je rampe jusqu’à sa bouche que j’investi immédiatement et présente ma croupe à Antoine qui crache sur ma fente et se met à me frotter la chatte à pleine main.
Marie réagit, nos langues valsent dans un bain de salive, sa main caressait mon dos, je plongeais ma main dans sa culotte, la bite d’Antoine investissait mon vagin de lent va et vient et admirait le trou laissé part son membre en écartant mes fesses au maximum
Antoine fit glisser la culotte de Marie le long de ses jambes et la porta à son nez, j’expulsais sa bite, écartais les cuisses de Marie pour y plonger mon visage et bouffer sa chatte souillée, Antoine remis sa bite dans mon vagin, son pubis claquait violemment sur mes fesses et son pouce massais mon trou du cul pour s’ y introduire complètement. Soudain il sorti sa bite et se sera les couilles fortement.
« On va se calmer, ça va trop vite là » dit il « tu me laisse gouter Marie, l’odeur de sa culotte est flatteuse » ajoute t’il à mon intention en me classant les fesses
Je montais à la tête du lit et m’agenouillais sur le visage de Marie, qui aussitôt, se mise à me lécher du plat de la langue, Pendant que le visage de mon compagnon disparaissait dans sa fourrure abondante, sa bouche gobait l’intégralité des lèvres part de forte aspiration et en appréciait la saveur longuement, Marie se concentrait difficilement sur mon sexe, les assauts buccaux d’Antoine redoublant d’intensité et à l’introduction de ses doigts dans son vagin, Marie se mise a avoir des spasmes, je quittais ma position pour m’allongé sur le dos à coté de Marie et l’invitais a se coucher sur mon ventre, une belle levrette s’offrait au membre d’Antoine, il leva son pouce pour me remercier et planta sa bite dans la chatte de Marie en émettant un grognement de satisfaction.
Je maintenais Marie par les flancs, les violent coups de reins d’Antoine lui faisait quitter son axe, les respirations de Marie compressait mon ventre, ses seins roulaient et s’écrasait sur les miens au rythme des coups de bite, j’entendais à plusieurs reprise les claquements secs d’une main sur la peau de ses fesses bien tendu, Marie râlait sous chaque coup et sa mèche de cheveux cachait la moitié de son visage qui passait de la souffrance à l’extase.
Antoine ralenti la cadence, Marie put soufflée.
Je soulevais son visage en mettant une pression sous son menton pour la regarder dans les yeux.
« Marie tu aime le sexe ? » lui demandais je d’une voix douce et calme
« Mmmmmm ouiiiiii…..!!! »
« Tu aime quand ça fait mal ? »
« Non ….. pas quand ça mal …!!! »
« Marie tu aime te faire du mal ? »
« ……. »
« Marie pourquoi tu aime te faire du mal? »…. « Ce mal te procure du plaisir? »
« ….. oui ….. y’a que moi qui peu me faire du mal »
Ses yeux se mouillèrent, et ses larmes s’écrasaient sur ma poitrine.
« Tu veux avoir mal Marie, et que ce mal devienne du plaisir ? »
« Ho oui » supplie t’elle dans un sanglot
j’indiquait explicitement d’un geste à Antoine le trou du haut puis j’enlaçais fermement Marie; Antoine posa son gland sur la rondelle et guida de sa main la pénétration forcé d’un violent coup de rein, Marie hurla, je maintenais mon étreinte et Antoine soumis une cadence immédiate en ravageant sauvagement le rectum de tout son membre endurci par l’excitation.
« Défonce là Antoine, explose lui son trou du cul, fait la gueuler, encule là bien à fond » me mis je à hurlé
Mon compagnon réagissant aux provocations verbale remis encore plus de vigueur dans son acte et Marie emprisonné, subit son châtiment en poussant des cris.
« Joui Marie, cherche le plaisir, laisse toi porté par tes sens »
Marie mis enfin son cul en mouvement sur une cadence inversée à la bite qui lui dilatais l’anus, je mis ma main sur sa chatte et la branlais vigoureusement.
Marie cherchait sa respiration entre ses apnées forcés puis elle se libera dans un cri de plaisir intense et s’écroula sur moi
Antoine grimaçait et ne put tenir bien longtemps après et vida ses couilles dans le cul de Marie d’un un râle de satisfaction et se laissa tomber sur le lit de tout son long.
Le calme repris possession de la chambre où seul les fortes respirations d’Antoine tel un boeuf se faisaient entendre.
Marie expulsât de petite contraction la semence chaude sous forme de bulle mêlé de pet, le liquide coulait le long de ses lèvres pour finir par s’agglutiner dans ses poils et tomber sur mon ventre.
J’avais libérer l’étreinte de Marie et l’enlaçais tendrement maintenant, nous sommes restés aussi tout les trois de longues minute.
« Un bon bain te fera du bien » dis je à Marie qui commençait à me sembler lourde, avachit comme une grenouille sur mon ventre
Elle se mise sur les genoux et posa sa main sur son trou dilaté pour en mesurer les dégâts et pris la direction de la salle de bain sa main cachant son anus
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