Je lui dis :
— Bonjour, je viens de la part de Monsieur Miliani.
— Ah, oui, il m’a téléphoné. C’est toi qui vas poser pour « Jeunes et nus au soleil » ?
— Oui, avec mon frère.
— Bougez, que je vous voie mieux.
Je prends Julien par le bras, on fait quelques pas, on se retourne.
Les gens qui sont là nous regardent, surpris. Il leur dit :
— Ce sont des modèles, ils vont faire de la publicité pour le village.
Là, ils comprennent. Je fais encore quelques pas, je me retourne… J’adore être le centre de l’attention. Je devrais vivre ici toute l’année… quoiqu’en hiver, je serais moins séduisante avec la chair de poule. Le patron du camping me demande :
— Tu as une tente ?
— Non…
Il prend un micro et dit :
— Joël, apporte une tente à la réception.
Puis il me demande :
— Des sacs de couchage aussi ?
— Ah oui, ce serait super.
Alors il annonce :
— Et deux sacs de couchage.
Ensuite il doit discuter avec des clients qui ont un problème. Un jeune homme arrive avec une tente… de l’ancien temps. Je veux dire, il y a même des tiges en métal pour la fixer. Ouch ! Le patron me donne un plan du camping en disant :
— Regarde, c’est là que vous devez aller, au dernier emplacement.
— Merci beaucoup, je…
Mais il recommence à s’occuper d’autres clients. Je prends nos deux sacs et Julien, la tente plus le sac d’accessoires. Je regarde le plan. On entend souvent dire que les femmes ne savent pas lire un plan, moi, je sais : je suis une Rom, une fille du voyage. Julien me suit, rouge et suant sous le poids de la tente et des piquets. On prend une petite route, il y a des caravanes des deux côtés. On marche un bon moment et derrière un rideau d’arbre, on arrive devant un terrain aménagé pour des tentes. On va tout au bout. Il ne reste plus qu’un petit emplacement, à côté d’une tente assez grande. Les gens ont mis une grande table dehors. Il y a des adultes et des enfants. Je leur dis bonjour et on dépose le matériel sur la petite parcelle. Des enfants y ont abandonné des jouets. Une grosse dame me dit :
— Je vais enlever ça, les enfants mettent la pagaille.
Je connais cet accent, ce sont des Chtis. Ils viennent du Nord, comme Julien, sauf que lui est du côté des patrons. La femme se présente, elle s’appelle Gisèle, son mari, Armand et puis il y a ses parents et ses enfants. Faire des mondanités à poil : j’adore. Nous, c’est simple : on est frère et sœur, en vacances. Une gamine, qui a tout écouté, nous fait remarquer :
— Vous vous ressemblez pas du tout.
— Peut-être que notre mère n’était pas très fidèle…
Ça les fait rire.
On étale la tente et les accessoires sur la petite parcelle. Et ça ne vous étonnera pas si je vous dis que Julien a deux mains gauches ! Vous avez déjà monté une tente à poil (vous, à poil, pas la tente) ? Je ne crois pas, mais ça vaut le coup d’essayer. On doit se pencher dans tous les sens, je crois que le spectacle est intéressant. Julien est nul. Il m’énerve tellement que je lui donne un bon coup sur les fesses, avec la corde qui sert à attacher la tente aux piquets. Il fait un bond en piaillant. Puis, il s’excuse en se frottant les fesses. Les Chtis sont un peu surpris. Gisèle, la mère, me dit :
— V’sêtes dure avec vot’ p’tit frère, vous.
— Il m’énerve. Figurez-vous que si on doit dormir dans cette tente louée, c’est parce qu’il s’est fait voler son portefeuille par une fille qui lui faisait les yeux doux.
Elle rit et dit :
— Oui, alors il l’a bien mérité.
Julien a une belle marque rouge sur les fesses. Ça m’a plu de le fesser avec cette corde. Je vais la garder et gare à ses fesses ! Gisèle nous dit :
— Vous y arriverez pas, j’vais appeler l’gamin.
Elle crie
— Kevin… KEVIN !
Un jeune sort de la tente. Il est grand, plutôt mince et… nu, fatalement. Je regarde aussitôt son sexe, ce que je fais avec tout le monde depuis que je suis ici. Ouais, il est pas mal du tout à ce point de vue là. Rien à voir avec le minuscule pénis de mon petit frère ! Sinon, il a de grandes oreilles décollées et amochées, un nez cassé bien aplati. Ça doit être un mauvais boxeur qui encaisse beaucoup. Sa mère lui demande :
— Tu peux donner un coup de main à ces jeunes gens, Kevin ?
Le jeune homme n’a pas l’air emballé, mais après m’avoir bien regardée, il sourit. Il ne lui manque qu’une seule incisive. Kevin doit travailler en usine ou dans un garage, c’est un manuel, il est musclé et costaud. Lui, il sait comment monter une tente qui date de la guerre 14/18. Il dit à Julien :
— Et alors gamin, t’es pas capable de monter une tente ?
— Euh… les nœuds se défont.
— Bien sûr, c’est du nylon. Y a un truc. Tous les pêcheurs de carpes savent ça.
Il se tourne vers moi et ajoute :
— Je vais te montrer.
Il se met derrière moi pour prendre mes mains et me montrer comment il faut faire un double noeud avec un fil de nylon. Pour faire sa démonstration, il se colle à moi et je sens sa bite qui vient me caresser les fesses. Il me dit à l’oreille :
— T’es trop belle, toi, tu le sens comme tu me plais ?
Ah oui, je le sens bien. Je lui dirais bien « Non mais dites donc vous, un peu de tenue, on n’a pas gardé les betteraves ensemble ! » Sauf que… je ne le fais pas. Je suis dure avec Julien et j’aime ça, mais avec un vrai mec, même moche, je deviens moralement… molle. Aussi, je remue un peu les fesses contre lui. Il me dit à l’oreille :
— Je vais monter ta tente et puis je te monterai, toi. J’vais t’filer 20 cm de bite dans la chatte.
Eh, on n’est pas seuls ! Il se tourne pour dissimuler ses 20 cm de désir pour moi… et il monte la tente. En fait, je ne suis pas du tout contre l’idée de me faire monter après la tente.
Il se dissimule un peu de sa famille parce que son sexe pointe vers mes fesses comme l’aiguille de votre boussole vers le pôle Nord. Quand la tente est montée, il annonce à sa mère :
— Je vais l’essayer… la tente.
Sa mère rigole et répond :
— On va vous laisser. Je vais à la réception avec les enfants, je leur ai promis une glace.
On se glisse dans la tente, c’est sombre, mais il rabat une toile qui s’ouvre pour avoir de la lumière dans la journée. Il dit à Julien :
— T’as pas envie d’une glace, gamin ? Ratt**** ma mère et si tu le lui demandes gentiment, elle t’en achètera une.
Julien le regarde bêtement et ne bouge pas, ce qui lui vaut :
— Qu’est-ce que je viens de te dire ? Tu veux mon pied au derrière ?
Il me regarde, paniqué. Je dis à Kevin :
— Pourquoi, tu veux qu’il parte ? Tu as des idées derrière la tête ?
— Non, dans ma bite.
C’est mignon… enfin, c’est parce que je suis excitée que je trouve ça mignon… Et puis, j’aime bien sa façon de traiter Julien. Je lui dis :
— Je voudrais qu’il reste. Tu me plais et depuis que tu m’as fais sentir ta bite, je suis chaude comme la braise, mais…
Il me coupe :
— Nous ôt’ on dit chaude comme eune baraq’ à frites. Tu ne veux quand même pas te faire baiser devant ton petit frère ?
— Si. À 19 ans, il est toujours puceau, alors j’aimerais que tu lui montres comment on fait.
Tête de Kevin… Il répond :
— En baisant sa sœur ?
— Sa demi-sœur. Allez sois cool.
— Bon, mets-toi à quatre pattes !
Dès que je suis dans la position qu’il veut, il me prend par les hanches et s’enfonce en moi. Ouch ! Heureusement que j’ai déjà vu le loup !
Il va et vient en moi… Je pourrais très bien m’en contenter mais j’ai envie de plus et puis il faut distraire le petit. Alors je lui dis d’une voix un peu hachée :
— Julien, glisse-toi en dessous de moi pour avoir le visage sous ma chatte.
Il obéit aussitôt à la grande surprise de Kevin qui me dit :
— Mais il a mes couilles dans la figure !
— Comme ça, il verra tout en gros plan et il pourra me lécher la chatte et tes couilles.
— Il verra encore mieux si je t’encule, salope !
En disant ça, il sort de ma chatte et force mon anus. Je cris :
— Aïe ! Brute !
Je la sens bien passé, mais il est dans son rôle ! Un Chti m’encule pendant que mon frère lui lèche les couilles et ma chatte.
Kevin est moche mais il sait baiser : il va et vient à toute allure dans mon cul, tandis que Julien me suce maladroitement le clito, le visage « raboté » par une paire de couilles. Il faut que je résiste, si je ne veux pas passer pour… une jouisseuse précoce ! Hélas, j’imagine obliger Julien à faire une petite toilette à Kevin. Là, j’ai plus le choix, je sens que ça vient… je me mets à gémir tandis que mon vagin se serre et…
— Ouiiii… je jouiis…
A suivre.
Pour tous renseignements, je suis ici : [email protected]
Ajouter un commentaire