Cette année, je suis parti deux semaines en ardèche, la première je suis parti tout seul pour me détendre tranquillement.
Herbergé chez des amis, il y a des jours où j’avais pas grand choses a faire (surtout que j’ai commencé la semaine avec une gastro donc, une foi ça terminé il fallais que je sorte).
Donc, une fin d’après-midi, le vendredi, je suis alle dans une petite ville visiter un peu, pour attérrir à la terrasse d’un café pour boir un café tout en bouquinant (j’adore cette activité).
Je m’assoie, commande un café, sort une clope et mon bouquin, et je remarque une jolie jeune femme à la table d’en face, toute seule, faisant pareil que moi.
Pour être tout a fait franc, j’avais plus en tête de bouquiner que de converser, donc j’entame mon livre, et voila qu’après 10 petites minutes, j’entend une voix qui me lance « bonjours, c’est quoi ton livre, il a l’air mieux que le mien » (ça commence mal parceque j’aime pas qu’on me tutoie la 1ere fois qu’on me parle).
Levant les yeux des lignes si intérréssantes et passablement courroucé qu’on m’intérrompe de la sorte, je vois cette fille d’en face, avec un grand sourir (très beau sourrir d’ailleur), le livre posé sur la table et me fixant attendant une réponse. Surpris qu’elle me parle je marmone difficilement « les entretients de confucius » et vous ?
« tu peux me tutoyer, j’ai acheté la brigade de l’oeil, je pensais que ça serais comme fahrenheit 421 mais en fait non » BINGO ! je l’ai déja lu ce bouquin, et effectivement c’est une vrai bouze infâme !
On entame donc une longue conversation sur la nulité de son bouquin, la génialité du mien, ce qu’on fait en ardèche, bref on fait connaissance.
Elle me dis qu’elle s’appelle Mylène, qu’elle a 19 ans, qu’elle a fuit Lyon quelques jours en camping parcequ’elle s’ennuyait mortellement.
Au fur et a mesure du temps qui passe, j’ai amplement le temps de l’observer, elle est vraiment très jolie; cheveux très noirs, et chose marquant qui m’a longement hypnotysé, des yeux bleux très sombres, un très joli visage, pas très grande, plutôt fine, des petit seins, un beau fessiers qui m’a l’air ferme.
Mon éxitation donc a commencée à monter. Il était environs 20H30, n’ayant rien de prévu, je lui propose d’aller au leclerc d’a coté, de prendre de quoi picniquer et d’aller ce caser au bords de l’ardeche ou dans une foret quelquonque, ça ne manque pas là bas.
Malgrès la manoeuvre bancale, alors que je m’attendais a un refus, Mylène accepte, on vas donc acheter quelques bricoles, elle a pas de voiture donc on prend la mienne et c’est partit !
Je connais une petite forêt comunale où j’adore me balader. Donc on vas là bas, avec une petite couverture prévue a cet effet, tout ce passait bien, et elle ma demander d’un coup si j’avais une copine.
Vue que je m’étais fait largué (comme une merde) juste avant les vacances, j’ai été très rapide, « non, plus depuis 2 mois », avec un regard outré, elle me lance un « Tu te fou de moi ? toi ? célibataire ? » Moi, un peut géné, je m’y attendais pas vraiment « bas oui, pourquoi ? » et pour arranger la situation « t’a une meilleure solution ? »
Elle ce lève, s’approche, près, très près, jusqu’a sentir son soufle sur mon cou, elle me regarde dans les yeux, murmure un « oui », et m’embrasse (autant vous dire qu’a ce moment, je suis heureux, et mon pentalon est très tendus, ma tête déconne et mon palpitant s’embale) elle me pousse sur la couverture, se pose sur moi et m’embrasse encore (toujours aussi tendus chez moi).
Après m’avoir aidé a enlever mon haut, je lui enlève le sien et lui dégraffe son soutien gorge, j’adore jouer avec les tétons, les toucher, les mordiller, les lecher; elle a l’air d’aimer vue ses petit bruits, ce que je confirme en mettant ma main sous sa jupe, elle est trempée, Elle se redresse, enleve sa jupe et sa culotte, j’en profite pour faire de même et on ce retrouve tout les deux a nues dans cette foret communalle au millieux de la nuit, avec comme seul lumière une petite lampe.
Mylène, se pose sur le capot de la voiture, les jambes écartée, les joues rouges, le message est clair, je m’agenouille et m’applique le mieux que je peux avec ma langue (quo est assé agile et longue pour faire des prouèsses a ce niveaux). après queques minutes de ce traitement, je la sens trembler et je suis un peu innondé de mouille, et son petit crie m’indique que j’ai pas été trop mauvais.
Je la saisie par la taille, la retourne et l’alonge sur moi pour un appréciable 69, la demoiselle sait y faire, et c’est bien agréable. Entre deux coups de langue, à ma surprise elle me demande de lui lecher sont petit trou aussi, Sans problèmes, j’adore ça. Elle couinne encore plus. S’en est trop, j’att**** une capote dans mon sac, La resoulève pour que ses jambes se callent sur mes épaule, et la penetre doucement, elle est un peut sérée.
Après quelques minutes de douceur j’accelère et me fait plus vigoureux, et je vois bien qu’elle aussi. elle me demande de la prendre en Levrette, aucun soucis ! j’adore ça ! C’est repartit, mais cette foi pas de passage doux. j’y vais a fond, elle ma beaucoup trop éxité. Deuxieme innondation, deuxieme cri, elle a le souffle cours et les yeux dans le vague, elle a encore jouit, je me retir pour lui laisse le temps de souffler un peut.
Avant que j’ai pu m’écarter, elle me prend la bite, me regarde, et me dit « encule moi » (je suis pas fan de la manière de la dire, mais au moins, c’est clair) tout en me guidant vers sont petit trou, qui s’ouvre très facillement, je ne suis certainement pas son premier.
Je suis aux anges, mais pas question de pilonner là, je pourrais lui faire mal trop facilement, je prend sa main et la met sur ma cuisse pour qu’elle imprimme elle même le rythme, et elle choisit un rymthe assé rapide, mais je prends plus de plaisir ainsi, quelques minutes de ce traitement commencent a avoir raison de mon andurance.
Je la prévient que je vais venir, elle me pousse, se retourne, enlève la capote et me suce violament, au moment de venir elle lache prise et dirige le jet sur ses petits seins qui pointent toujours autant.
On s’est étendus sur la mince couverture, en sueur, puis on a recommencé, avec autant de plaisir, on a fini par s’endormir dans ma voiture, trop creuver pour faire la route.
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