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Romande d’un dépucelage – 7ème chapitre

Romande d’un dépucelage – 7ème chapitre



Cette septième romance fait suite à de précédents récits :

1ère et 2ème romance :
3ème romance :
4ème romance :

5ème romance :

6ème romance :

A lire de préférence dans l’ordre

La romance d’un dépucelage – 7ème chapitre

Une fois encore, la petite aventure de Clément n’allait pas être habituelle. Le jeune homme avait une nouvelle fois fait le trajet en mobylette pour se rendre au domicile de son amant. Il était arrivé de bonne heure, plein d’enthousiasme et d’envies. Les retrouvailles étaient toujours aussi gourmandes et saluées de langoureux baisers. Très rapidement, Patrick invitait son jeune compagnon à se diriger vers la salle de bain pour y faire sa toilette intime rituelle. Patrick confiait, qu’à l’issue de ce toilettage, une sortie était programmée et que ça serait une totale surprise. Qu’elle était donc cette surprise programmée par cet amant infatigable et jamais en mal d’idées nouvelles.

Clément, agissant selon les directives de son bien-aimé, filait à la salle de bain. Il prenait alors une douche, seul, ce qui le chagrinait un peu. Les jeux coquins sous la douche restaient toujours des moments de tendresses sexuelles intenses. En plus de ressortir de la douche tout propre, Clément avait vérifié son absence de pilosité en rasant le moindre poil de son corps. Il avait pris soin d’être imberbe sous les aisselles, tout autour de son sexe et l’intégralité de ses jambes. Il se séchait maintenant, sous le regard complice de son homme qui ne perdait pas une miette de ce joli corps tout nu, tout imberbe et tout frais. Le jeunot était prêt pour poursuivre les directives de Patrick.

Ils filaient alors tous les deux dans la chambre. Patrick invitait Clément à passer un petit haut qu’il lui tendait. C’était un joli débardeur noir à fines bretelles, bordé d’un joli liseré de dentelle fine. Clément adorait enfiler un tel haut, cette manière toute douce et moulante épousait joliment son buste. Le décolleté de ce petit haut offrait également une jolie échancrure sur le devant. Patrick lui tendait un string pour compléter ce haut de lingerie. Le string était de la même manière, noir et avait le même liseré de fine dentelle. Un joli petit triangle sortait du haut de ses fesses restées en grande partie toute nue. Le cul de Clément n’en était que plus sexy. Il offrait des fesses dénudées dont la courbe était mis en valeur par la petite pièce de lingerie coincée dans sa raie. Le devant du string offrait, quant à lui, une surface moulante suffisante pour maintenir l’anatomie sexuelle de Clément ; du moins, tant que le sexe de Clément n’était pas en érection. La lingerie laissait deviner une jolie petite bosse qui s’offrait aux regards de Patrick. Il trouvait cet ensemble de lingerie très coquin et surtout joliment porté par son adorable complice de jeu.

Patrick tendait cette fois le jean avec lequel Clément était arrivé chez lui. Patrick expliquait qu’il le voulait, ce matin, habillé extérieurement tel un homme mais qu’il se gardait le plaisir de le savoir secrètement habillé d’un ensemble de lingerie. Clément effilait donc le jean sans se poser davantage de questions et l’ajustait sur le petit string de femme. Chaussettes et baskets complétaient le bas de sa tenue. Pour finir, Clément enfilait un sweat-shirt zippé, qui une fois en place, faisait disparaître totalement la pièce de lingerie qu’il portait comme tel un tee-shirt. Il était donc prêt à sortir ainsi maintenant.

Quelques derniers préparatifs faits, les deux amants partaient rejoindre le véhicule pour partir, là où seul Patrick savait. Ce dernier prenait la direction du centre-ville et finalement, arrivé au lieu convenu, se garait au pied d’un immeuble de standing. Patrick et Clément filaient dans la direction de l’entrée d’un immeuble voisin. Ils entraient alors dans un hall où de nombreuses plaques en cuivre de différentes professions étaient affichées sur le mur. Les deux complices utilisaient l’ascenseur pour se rendre au lieu de rendez-vous prévu. Arrivés à l’étage souhaité, ils entraient, après un petit coup de sonnette, dans un appartement dans laquelle une réceptionniste attendait derrière son bureau d’accueil. Une fois le nom de Patrick pointé sur une liste prévue à cet effet, la réceptionniste invitait les deux hommes à patienter dans la salle d’attente, pièce sise juste à côté.

Patrick et Clément se retrouvaient maintenant, seuls, assis dans une salle d’attente. Patrick mettait enfin un terme aux interrogations de Clément. Il lui expliquait qu’ils avaient un rendez-vous avec un sexologue pour y effectuer un bilan de santé lié aux nombreux rapports homosexuels qu’ils avaient eu depuis le départ de leur rencontre. Clément plongeait alors immédiatement dans l’angoisse d’une visite médicale dans laquelle il allait falloir parler à un médecin de son homosexualité. Sa timidité habituelle le laissait sans voix et surtout, ne lui permettait pas de comprendre le pourquoi d’un tel contrôle.

Contre toute attente, Clément était surpris de voir apparaître une femme en guide de médecin. Cette femme, en blouse blanche, les invitait à passer dans son cabinet de consultation. Cette doctoresse était une superbe femme. Malgré l’angoisse du moment, Clément avait zieuté cette femme dont les jambes étaient joliment mises en valeur par la blouse courte. Il remarquait les jolie jambes gainées qui dépassaient de cette blouse à partir de la mi-cuisse. Mais c’était bien les escarpins hauts à talons fins qui faisaient tilt chez Clément. Cette femme était belle et avait de la classe. Patrick semblait très à l’aise et s’entreprenait rapidement sur les explications de leur visite. Clément allait vite s’empourprer devant tant de révélations intimes que Patrick indiquait à la doctoresse. Tout allait y passer, le nombre de leurs rapports sexuels, leurs types de pratique, leurs intensités, les tailles de leurs sexes. Autre sujet abordé, la doctoresse prenait note de la différence d’âge des deux complices homosexuels.

Répondant aux interrogations de la doctoresse, Clément avait dû inévitablement avouer que c’était son premier partenaire sexuel. Bref, cette première partie de la consultation était particulièrement impudique et gênante pour le pauvre Clément qui n’en menait pas large. Après avoir bien tout noté, la doctoresse se levait et invitait Clément à la suivre pour la seconde partie de la consultation, celle d’une auscultation médicale plus poussée. Arrivée dans l’autre pièce, l’ambiance était celle d’un cabinet médical. Il y avait, en autre, la présence de la table d’auscultation indiquant qu’elle allait pratiquer des actes techniques. Et le premier hic, pour Clément, arrivait.

La doctoresse invitait Clément à quitter son jean et son sweat-shirt pour effectuer des mesures sur son poids et sa taille. Clément était aussitôt pris de panique à l’idée de se dévêtir et de dévoiler inévitablement ses sous-vêtements. Malgré l’embarras de la situation, il quittait sans mot dire ses effets vestimentaires masculins. Il se tenait maintenant debout, face la doctoresse, tout penaud, ayant gardé sur lui que son string et son débardeur de lingerie. Heureusement, elle ne faisait aucune remarque concernant la coquette lingerie portée par son patient. Guidé, il montait sur la balance que lui présentait la doctoresse. Comme elle se tenait derrière lui pour noter la mesure, Clément ne pouvait penser à l’idée qu’il avait les fesses toutes nues tournées vers elle. Ensuite, il prenait position sous l’entretoise pour la mesure de la taille. Là, Clément ressentait pour la première fois de sa vie la situation honteuse d’être un homme portant sur lui de la lingerie en présence d’une femme. Il aimait pourtant tant le faire pour les beaux yeux de son chéri. Il se rassurait sur le fait que la doctoresse continuait de l’ausculter sans faire état de son apparence physique.

Pour la suite de la consultation, la doctoresse invitait Clément à quitter son haut de lingerie et à venir s’allonger sur la table d’examen médical. Clément quittait son débardeur, mais vêtu d’un simple string de lingerie ne se sentait par pour autant rassuré. Une fois allongé, il allait subir un examen clinique sur son anatomie physique. Clément se laissait guider et subissait avec soumission les différentes palpations sur l’ensemble de son corps. La doctoresse qui semblait en avoir fini expliquait à son patient la nécessité d’examens cliniques plus poussés. Sans attendre de réponse, elle glissait ses mains à hauteur des hanches de Clément pour se saisir des deux côtés du string. Sur sa demande, Clément levait les fesses tout en regardant cette femme faire glisser le petit string le long de ses cuisses. Pour Clément, c’était la première fois de sa vie, depuis l’âge de la puberté masculine, qu’il se trouvait totalement nu devant une femme. Il regardait son pauvre sexe imberbe faire pale figure. Il lui semblait qu’il était rikiki et mou comme un vermicelle inerte. La situation du moment faisait qu’il n’éprouvait aucunement envie d’érection, il était complètement désarçonné devant ce qu’il vivait avec cette femme médecin.

Clément n’était pas au bout de son impudeur. La doctoresse venait de déplier les reposes jambes de part et d’autres de la table d’examen. Clément se laissait placer chaque jambe dans les reposoirs et venait de comprendre qu’il avait soudainement les membres inférieurs grand ouvert. La doctoresse poursuivait la mise en place du patient en repliant le bout de la table sur laquelle était allongé Clément. Ainsi positionné, il adoptait la position de la patiente auscultée par un gynécologue. Pour Clément, cette posture était très embarrassante car il offrait une totale vue impudique sur l’ensemble de son anatomie sexuelle. Il sentait tout son appareil génital pendouiller dans le vide, face à cette femme dont l’attitude professionnelle médicale continuait de l’angoisser particulièrement.

Alors que la doctoresse prenait le temps de préparer la suite de l’examen, Clément attendait dans cette posture, très inconfortable d’un point vue pudeur. Elle revenait à lui avec un plateau dans lequel étaient disposés différents ustensiles médicaux. Clément retenait principalement la présence d’un spéculum en inox qui lui faisait froid dans le dos. En effet, la doctoresse expliquait à Clément qu’elle allait procéder à un examen rectal. Ce faisant, elle enfilait une paire de gants chirurgicaux et commençait à lubrifier l’écarteur de gel lubrifiant. Elle se tournait maintenant vers la posture ouverte de Clément et sa première action était de placer le sexe de Clément sur son bas-ventre. Le pénis tenait tout seul à plat vers le haut car son sexe était toujours totalement inerte. L’accès à l’anus était alors que plus aisé, avec le pénis et les testicules ramenés vers le haut. Elle lubrifiait cette fois le pourtour de la rondelle anale. Ses doigts gainés de latex étaient doux et le geste très délicat. La doctoresse, très professionnel, positionnait le spéculum devant l’entrée anale. La rondelle de l’anus lubrifiée s’ouvrait sans résistance devant l’ustensile médical et le passage se faisait lentement. Clément subissait malgré lui cette pénétration anale, réalisée par un ustensile tenu par la main d’une femme. Sa soumission était totale devant cet acte médical.

Alors qu’il était en train de se faire pénétrer en profondeur par voie anale par un spéculum, Clément venait à penser que cet écarteur médical devait bien faire une longueur de dix centimètres. Même si c’était une petite pénétration anale pour lui, celle-ci était quelque peu honteuse. La doctoresse jouait alors avec la vis pour commencer l’écartement. La sensation était encore plus humiliante, dotant que la doctoresse se penchait pour examiner son anus. La dilatation semblait, pour Clément, être supérieur au diamètre du pénis en érection de son amant. Comme la doctoresse semblait prendre tout son temps, Clément se languissait de cette pénétration et de l’impudeur extrême de la situation. La doctoresse, enfin, se redressait et lui confiait que tout allait bien au niveau de ses parois rectales. Sans précipitation, elle desserrait le spéculum et enfin entreprenait de le sortir du conduit anal. Le délicat frottement n’était finalement pas pour déplaire à Clément qui pour la première fois voyait l’examen médical du bon côté. Comble de la délicatesse, la doctoresse prenait le soin d’essuyer les pourtours de la rondelle anale avec du papier hygiénique. Cette attention n’était pas pour déplaire une fois de plus à Clément.

Elle expliquait que l’examen médical allait se poursuivre sur ses organes génitaux. Toujours allongé et les jambes en l’air écartées, Clément n’avait finalement par trop le choix que de subir la suite de l’examen. Elle commençait par une palpation des testicules de Clément. Une friction des doigts sous les testicules était réalisé par la doctoresse. Pourtant, cet acte ne stimulait sexuellement en rien le pauvre patient. Il se demandait si elle examinait médicalement ses couilles ou si elle était en train de jouer sadiquement avec les testicules qu’elles semblaient apprécier au toucher. Elle continuait son examen par une palpation de pénis et un examen de la peau du pénis. A ce moment, elle prenait soin de décalotter Clément. Le gland recevait maintenant toute l’attention de la doctoresse. Clément se sentait toujours incapable de la moindre érection malgré une palpation experte sur son pénis. Cela venait peut-être du fait que la palpation soit faite par une femme, ou encore tout simplement du contexte médical. Parmi toutes ses pensées, Clément sursautait lorsqu’il entendait la doctoresse parler de prélèvement spermatique à réaliser.

La doctoresse repositionnait le pénis resté mou sur le bas-ventre. Clément restait ainsi quelques instants dans une impudeur totale. Pendant ce temps, elle préparait sur le plateau médical différents ustensiles médicaux. Cette fois Clément notait la présence d’un godemichet de belle taille posé sur le reposoir. La doctoresse utilisait maintenant du gel lubrifiant pour lubrifier ce gode qu’elle exhibait sans pudeur face au patient qui ne pipait mot. Face à Clément, sans même attendre le moindre accord, elle glissait un doigt plein de gel dans cet anus offert. Elle y restait quelques instants avant de le ressortir et de présenter le gode devant le petit trou tout lubrifié. Elle introduisait le gode dans l’anus encore ouvert et l’enfonçait délicatement dans son intégralité. Le bout du gode, plus petit en diamètre, dépassait de l’anus. Il permettait au gode de rester en entier dans le conduit anal, le sphincter s’étant légèrement refermé. Clément avait subi cette pénétration anale sans montrer la moindre résistance. La doctoresse venait de tourner le bouton placé au bout du gode et des vibrations se mettaient à exciter l’anus de Clément. Les vibrations avaient surpris Clément. Les sensations vibrantes de cette sodomie n’étaient pas pour lui déplaire.

La doctoresse, délaissant le gode qui continuait à vibrer sans relâche, replaçait ses deux mains sur le pénis de Clément. Elle entamait maintenant une délicate et lente masturbation, tenant le pénis bien vertical. On pouvait visuellement noter un léger début d’érection du jeune patient qui avait bien du mal à se libérer de tout son stress et de se concentrer sur le plaisir sexuel du moment. Voyant que l’érection n’était que légère, elle l’invitait à fermer les yeux et à se détendre l’esprit au maximum, et surtout, à se laisser faire. Pendant ce temps, elle continuait une masturbation plus précise de son membre. Elle venait aussi, de l’autre main, d’enclencher la seconde vitesse de vibration du gode. Le gland de Clément montrait enfin des signes de gonflements et commençait à luire d’une petite buée de plaisir. Clément gardait les yeux fermés et sentait son gland décalotté lui donner enfin du plaisir. La masturbation de la doctoresse se faisait maintenant sur un pénis qui était enfin devenu bien raide.

Clément appréciait clairement la masturbation qui lui était faite et les vibrations anales causées par le gode n’étaient pas pour lui déplaire. C’est dans ses premiers moment d’euphorie sexuelle qu’il découvrait une sensation de chatouille sur son bas-ventre, tout autour de son sexe. En fait, il sentait les pointes de la chevelure de la doctoresse qui venait le caresser. Il se rendait compte rapidement pourquoi ces cheveux frottaient sur son ventre. En effet, la bouche de la doctoresse venait de s’enrouler tout autour de son gland. Elle masturbait un pénis qu’elle était en train de sucer au niveau du gland. Le plaisir sexuel pour Clément était devenu beaucoup plus intense. Il se sentait bander au meilleur de sa forme et savait qu’il exhibait une splendide érection à la doctoresse. Il se rendait compte aussi que son sexe était pour la première fois de sa vie dans la bouche d’une femme.

Clément voulait regarder l’acte sexuel qui était en train de subir avec bonheur. Cette fellation, cette masturbation et cette sodomie vibratoire dans son cul le rendait ivre de plaisir. Clément se permettait d’ouvrir un œil inquisiteur en direction de celle qui la suçait. Il se mettait à contempler son sexe bien raide qu’une main tenait fermement et branlait sans relâche de haute en bas. Il regardait aussi le cuir chevelu de cette femme qui était penché sur son pénis dont la bouche suçait activement le gland gonflé sexuellement. La vision de son corps nu totalement imberbe, de son sexe en érection et de cette femme qui le pompait était une nouvelle révélation de bonheur pour le jeune Clément. Sentant le regard de Clément posé sur elle, la doctoresse venait de se relever légèrement, quittant le gland de sa bouche. Elle restait à observer la splendeur de ce sexe en érection, au gland torride et gonflé. Clément se surprenait, devant la position penchée au-dessus de son sexe de cette femme, à contempler cette main restée en position autour de son membre s’activant toujours à le masturber. Il venait aussi de poser son regard dans le décolleté que lui offrait la position penchée de la doctoresse.

En effet, l’échancrure de la blouse était tel qu’il pouvait profiter avec voyeurisme de l’intimité du buste de la doctoresse. Tout en se laissant masturber, Clément reluquait ni plus ni moins la poitrine de cette femme. Il y voyait le haut d’un soutien-gorge dont la dentelle était subtilement transparente et laissait voir le haut dénudé des seins. Il semblait à Clément, que pour en voir autant, elle devait porter sa blouse médicale sans rien d’autre comme vêtement. Elle devait être ainsi juste en lingerie sexy sous sa blouse. Cette vision volée, certainement méconnue de la doctoresse, faisait redoubler l’excitation de Clément. Ce voyeurisme prenait fin quand la doctoresse se relevait complètement et venait le regarder en lui souriant. C’était sûr, cette femme prenait du plaisir à masturber aussi intensément son jeune patient. Elle lui souriait, contente de faire autant bander malgré sa timidité des débuts.

Clément avait une belle érection et la masturbation était maintenant à son comble. Sans oser prévenir la doctoresse, Clément éjaculait. Son pénis était pris de spasmes éjaculatoires. Il envoyait en l’air, sans retenue, plusieurs giclées de sperme. Il regardait toutes sa semence se répandre sur le haut de la main de la femme que lui tenait son pénis et qui dégoulinait tout autour de son bas-ventre. Clément en était gêné d’en avoir autant répandu mais satisfait de ne pas avoir souillé la doctoresse de son sperme, hormis sa main gainée de latex. Il n’avait pas imaginé faire sortir autant de sperme de son sexe par cette masturbation faite par une femme dans un endroit médical qui l’avait tellement stressé au départ.

La doctoresse prenait soin d’éteindre le gode et de le retirer avec délicatesse de l’anus de Clément. Elle avait délaissé cette queue encore raide, dressée toute seule dans le vide. Elle utilisait un petit flacon pour récupérer du sperme étalé sur le bas-ventre de Clément. L’opération ainsi effectuée, elle revenait vers le jeune patient muni de papier hygiénique. Elle s’affairait maintenant au nettoyage des parties génitales de son patient, grandement souillées par cet acte sexuel. Elle prenait soin de bien essuyer tout le sexe de Clément et finissait par l’anus tout humide et dégoulinant de gel. Clément avait tellement bander que son érection, encore visible, le mettait à nouveau mal à l’aise vis-à-vis de la doctoresse. Comble du moment, elle semblait s’amuser de le voir cette queue imberbe tenir encore l’érection, pourtant finie depuis quelques minutes.

Gardant toujours son attitude très professionnelle, la doctoresse prenait le soin de libérer les jambes de Clément. Il rabattait les reposoirs sous la table d’auscultation et guidait les jambes de Clément pour les remettre pendant le long de la table. Elle aidait Clément à se relever, l’invitant à quitter la table. Clément se retrouvait enfin debout, content de quitter cette position de femme écartée face à son gynécologue. Baissant les yeux, il constatait que sa queue était encore bien droite et offrait une vision d’obsédé face à la doctoresse. Il lui semblait qu’il valait mieux se rhabiller rapidement pour faire disparaître toute vision impudique. Clément enfilait en premier son string de lingerie et constatait qu’il tendait trop fort le tissus. Le string laissait voir une bosse et le trop peu de tissus laissait deviner les testicules insuffisamment recouvertes. Clément repassait le débardeur de lingerie abandonnant l’idée que le string était trop petit pour l’instant. Le reste de sa tenue masculine était enfilé prestement et une fois le jean en place et le sweat-shirt sur le corps, il était content d’avoir retrouvé une allure plus présentable. Les deux acteurs regagnaient maintenant le devant de la pièce où attendait un Patrick radieux.

On aurait cru qu’il savait ce qui s’était passé dans la pièce d’à côté et que ça le réjouissait. Cela ressemblait à un plan prévu, comme si Patrick avait voulu offrir un premier acte sexuel avec une femme à son petit chéri de puceau. La consultation médicale allait prendre fin sur diverses recommandations de la doctoresse. Elle rassurait les deux tourtereaux sur leur bon état de santé. Elle leur expliquait qu’elle reprendrait contact si le prélèvement de sperme révélait des anomalies, mais rassurait Clément sur le peu de risque sur cette éventualité. Clément, au moment de quitter la salle, regardait une dernière fois la jolie doctoresse en repensant à la lingerie qu’elle portait. Il était content de savoir, à l’insu de cette belle femme, qu’elle ne portait que cette lingerie coquine sous sa simple blouse médicale.

Une fois sorti puis après avoir regagné la voiture, Patrick avouait Clément qu’il était heureux de ce qui venait de se passer et que tout avait été prévu. Patrick voulait que son amant ait une première expérience sexuelle avec une femme. C’était le début d’une longue vie bisexuelle pour Clément …

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