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Marie, l’étudiante coquine

Marie, l’étudiante coquine



Cette histoire s’est déroulée il y a quelques années. À 28 ans j’étais alors en doctorat de psychologie et dans ce cadre, je donnais des cours de TD aux étudiants de licence. Étudiants ? Étudiantes devrais-je dire ! Quiconque a déjà mis les pieds dans une fac de psycho sait que la population est très majoritairement féminine. Parmi ces étudiantes, des mon 1er cours je remarqua une jolie brune : 1m65, fine mais avec des fesses bien dessinées et mises en valeur par un petit pantalon blanc moulant, des lunettes et un style classique parfaitement maîtrisé, on aurait plutôt pensé la croiser en fac de droit plutôt qu’en psycho. Vous savez, elle dégage ce petit air bourgeois qui vous informe tout de suite qu’elle est aisée, qu’elle fait probablement de l’équitation et doit être complètement coincée au lit.

Lorsque je fis l’appel, elle répondit au nom de Marie, pas étonnant cela renforce la première impression que j’avais : elle a probablement une éducation catho assez stricte. Finalement, cette Marie me rappela tout de suite ma copine avec qui j’etais à ce moment là. Une fille très jolie, qui donne une super impression pour les repas de famille mais qui finalement est un peu trop superficielle et coincée.

Un samedi matin, je me réveilla aux côtés de Claire, ma copine avec des envies de sexe. Mes caresses lui firent comprendre que j’avais envie d’elle. Peu réceptive au début, elle finit par jouer le jeu et commencer à me branler doucement. J’eu envie de sa bouche, qu’elle me suce et ma main derrière sa tête lui fit comprendre mes envies. Mais elle me dit : « franchement pas le matin déjà que j’aime pas trop… ». Ok, on va faire sans, j’ai un peu l’habitude. Je le sais pas pourquoi, ce matin là j’avais vraiment envie de me défouler. Après l’avoir un peu doigtée, je la retourna pour la positionner en levrette et commença à la prendre à 4 pattes. La vue de son petit cul m’excita et je le tardis pas à sentir l’orgasme arriver : je jouis tout en elle.

Le soir on avait prévu une petite soirée avec des amis. Vers 1h du mat, déjà bien alcoolisés on décida de sortir en boîte. Claire était fatiguée, elle choisit de ne pas nous suivre et rentra dormir. Plusieurs autres firent de même, on se retrouve à 3 : les 3 plus fetards, comme d’hab. C’est parti pour la fin de soirée entre mecs.

Arrivé en boîte, mes 2 potes célibataires se mirent tout de suite à chasser du regard pour trouver leurs cibles de la soirée. Très vite, un groupe de filles les intéressa : 3 filles, la vingtaine, des mojitos à la main. Lorsque la brune se retourna, je la reconnu : Marie. Je préviens mes deux potes, il faut qu’ils changent de cible, pas du tout envie que mon étudiante me voit aussi alcoolisé. Mais cette info eut l’effet inverse, quelques minutes après David était déjà en train d’aborder les filles : « laissez moi deviner , je parie que toi tu es en fac de psycho… ». Bon tant pis, de toute manière elles paraissent encore plus alcoolisées que moi !

La soirée suit son cours, mes deux amis dansent un peu avec les deux amies de Marie, moi je discute avec cette dernière. Au début on parle de la fac, puis petit à petit de tout et de rien. Je sens qu’elle minaude un peu, elle se rapproche de plus en plus. Je me concentre pour la regarder dans les yeux et surtout ne pas dériver sur son décolleté. Elle a des seins de taille moyenne (entre 85b et 85c je dirais) mais très bien mis en valeur par son haut. Je sens qu’elle me drague un peu, cela me flatte beaucoup mais pour moi à cet instant il est hors de question qu’il se passe quoique ce soit. Non seulement car j’ai une copine, je nel’ai jamais trompée et je n’ai pas envie de commencer, mais en plus parce que ce ne serait pas éthique de fricoter avec l’une de mes étudiantes. Malgré cela, je la laisse me draguer, sûrement parce que ça flatte mon ego et que je trouve ça un peu excitant d’aller à la limite de l’interdit en ayant cependant prévu de ne pas franchir cette limite. On continue de discuter de choses banales, ses jambes touchent les miennes je n’avais même pas remarqué qu’elle s’était autant rapprochée. Je me rend compte que cela commence à m’exciter, des pensées me traversent l’esprit si j’avais été célibataire et pas son prof, on aurait fini chez elle, elle à 4 pattes son cul bien bandant tourné vers moi… Je me met à bander, merde il va falloir que je calme les choses. C’est à ce moment là qu’elle place discrètement sa main sur ma cuisse, tout en continuant de parler et de me regarder dans les yeux l’air de rien. Sa main est à quelques centimètres de mon sexe tout gonflé et emprisonné dans mon pantalon. Il faut surtout pas qu’elle se rende compte que ça m’excite ! Je bouge un peu la jambe pour enlever subtilement sa main, puis de manière anodine je mentionne le fait que je suis en couple. Je vois dans ses yeux qu’elle a compris ma manœuvre mais cela n’a pas l’air de vraiment la décontenancer. Quelques minutes plus tard, elle me parle de Paris. Elle vient d’une petite ville de Bretagne puis est venue à Paris pour sa licence et l’an prochain elle voudrait faire son Master dans le sud. Puis elle me dit, « Ce que j’aime à Paris, c’est la liberté. Dans ma petite ville natale, si une meuf veut rien de sérieux elle est tout de suite étiquetée salope et la rumeur se répand très vite. Ici à Paris les gens sont plus ouverts d’esprit. Tu peux vouloir simplement t’amuser, et tout le monde s’en fout. De toute façon c’est tellement grand que les gens que tu croises à une soirée tu ne les recroiseras sûrement pas. L’an prochain je ne serai plus à Paris, donc je ne veux pas d’attaches, je m’amuse et c’est la ville parfaite pour ça !». Ma formation de psychologue m’a appris à encaisser les paroles sans jamais paraître surpris. J’encaisse donc, mais mon esprit bouillonne ! Les filles de psycho sont généralement libérées sexuellement, donc rien d’etonnant en soi. Mais bordel, j’avais vraiment tout faux sur cette fille ! Moi qui la voyais un peu catho coincée, en fait c’est tout le contraire ! Et pourquoi me dit-elle ça ? À moi son prof ? Peut-être l’alcool… mais je ne peux pas m’empecher de penser que c’est en réponse à mon attitude. Je lui ai fait comprendre que j’avais une copine, elle me fait comprendre qu’elle ne cherche pas du sérieux. Est-ce que je me fais des films ? Est-ce que je suis juste en train de fantasmer ? Je sais pas, mais il faut que je calme les choses, avec l’alcool cela m’excite beaucoup, pourtant je dois garder le contrôle pour ne pas que ça aille trop loin.

Je change de sujet et enchaîne sur des banalités, mais le sort semble jouer contre moi : devant nous une fille habillée très court et très sexy chauffe un mec. Elle danse, son cul collé à lui. Marie me chuchote : « elle je crois qu’elle va prendre cher ce soir » d’une voix amusée. En se penchant vers moi, sa main s’est posée sur ma cuisse et ses doigts ont effleuré mon sexe à travers le pantalon. Je bande très fort, elle s’en est forcément rendu compte… Je devrais me sentir gêné mais en fait ça m’excite encore plus. Maintenant elle sait que dans ma tete je fantasme. Je suis en train de perdre le contrôle bordel… j’ai un peu trop enchaîné les verres je crois. On continue de parler, mais on sait tous les deux que parallèlement à nos paroles anodines, la tension sexuelle monte en flèche. Par moment elle réajuste subtilement son haut pour que son décolleté soit plus plongeant, mon regard s’y attarde à peine une seconde, ses seins ont l’air tellement sexy. Pile de la bonne taille, bien ferme. Elle a vu mon regard et sourit. C’est à ce moment là qu’elle se penche à mon oreille et me chuchote : « Je vais aux toilettes. J’ai senti que tu bandais, si tu veux te soulager et éjaculer dans ma bouche, rejoins moi. », puis elle me regarda droit dans les yeux pendant une seconde, se leva et se dirigea vers les toilettes. Jusque là j’avais joué avec lui le feu en étant persuadé d’etre capable de le maîtriser et de ne pas aller trop loin. Mais en une phrase tout s’ecroule. Même des années plus tard, me remémorer cette phrase m’excite au plus haut point. Cette assurance dans sa voix, cette façon crue de me parler, le fait d’annoncer clairement qu’elle comptait non seulement me sucer, mais en plus jusqu’au bout. Tout cela mis instantanément ko toute résistance morale. Je la suivis en espérant que personne ne remarque l’enorme bosse dans mon pantalon. Arrivé aux toilettes, elle va chez les mecs et entre dans la dernière porte. Lorsque personne ne prête attention je m’y faufile, elle a laissé la porte ouverte. À peine entré, elle est déjà seins nus et m’embrasse avec la langue. J’ai le sexe en feu, elle ne tarde pas à se mettre à genoux et à défaire ma ceinture pour sortir mon sexe. Elle le contemple, et me branle un peu en me disant : « je suis sûr que t’en fantasmais qu’une de tes étudiantes te suce comme une salope ». Elle me lèche les couilles puis tout le long de mon sexe, puis le gland… Elle me branle un peu puis me suce pendant de longues minutes alternant adroitement avec ses mains entre des caresses de mes boules et du « handjob » énergique. Aucune fille ne m’avait jamais sucé comme ça, le plus excitant étant qu’elle semblait prendre du plaisir et être très excitée par le fait de me sucer.

Je ne tarde pas à sentir l’orgasme arriver. Je la préviens mais comme prévu elle ne se retire pas, au contraire elle accélère jusqu’au moment où j’explose dans sa bouche. Elle continue quelques secondes à me branler et à me sucer. Puis elle se relève et me propose de rejoindre les autres.

Peu de temps après la soirée se termine, chacun rentre chez soi. Je plane un peu, je ne réalise pas. Les jours qui suivent, je commence à réaliser. Je trouve ça hyper excitant. Je ne peux m’empecher de me branler plusieurs fois en repensant à là scène… mais j’apprehende un peu. Mercredi j’ai cours avec elle, comment est-ce que cela va se passer ? Les autres étudiants vont ils savoir ? Vais-je être gêné ? Quel con je suis d’avoir craqué…

À suivre…

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