A9. Forfaits punitifs d’assouplissement hebdomadaires
Le soumis bénéficie chaque semaine d’un forfait punitif minimum . C’est un forfait auquel il n’échappe pas, même en cas de très bonnes notations.
Les forfaits et bonus éventuels sont administrés en salle d’éducation punitive (le donjon). L’ensemble des soumis de niveau A et leurs éducatrices sont réunis en salle d’éducation punitive (le donjon). Cette séance à lieu le vendredi et dure en générale une grande partie de l’après-midi.
Chaque semaine et à tour de rôle un soumis a en charge l’entretien de cette salle : aération, rangement méthodique des triques, fouets, paddle, cannes, rangés à leur juste place, nettoyage et lustrage des cuirs, nettoyage parfait du chevalet d’assouplissement, et vérification du bon fonctionnement de l’élévateur et barres d’écartement avec leurs réglages. Des vérifications sont faites régulièrement, malheur à celui qui était de corvée en cas de dysfonctionnement.
A10. Régime intensif de punitions permanentes non programmées.
En dehors des forfaits, un soumis placé au centre reçoit aussi des punitions non programmées pouvant être administrées en fin de journée ou fin de semaine venant s’ajouter au forfait.
Les punitions ne sont jamais données au cours des exercices d’entrainement sauf pour une faute lourde.
Les punitions suite à des manquements sont assignées plus tard, toujours en décalé par rapport aux faits. Elles font l’objet d’un enregistrement à la rubrique fautes et punitions sur le cahier individuel du soumis nommé « cahier de progression »
En plus des punitions non programmées administrées en salle d’éducation punitive, le soumis est en permanence placé sous le régime de la gifle, laquelle n’est pas considérée comme une punition mais comme un moyen d’expression et de communication avec le soumis. Le pincement de l’oreille est ajouté en complément de la giffle.
Le soumis sera régulièrement placé en cellule d’isolement et cela sur simple décision ou caprice de son éducatrice. La cellule d’isolement est une cage vérouillée ne permettant ni de s’allonger, ni de rester debout. Le plus souvent, c’est une punition pour la nuit suite à une faute ou compréhension incomplète d’un ordre.
Une simple mimique ne convenant pas à l’éducatrice se solde toujours par une punition.
Les éducatrices portent toujours à la ceinture un petit paddle en cuir qu’elles ne manquent pas d’utiliser à la moindre occasion
Il arrive que pour des fautes mineures ou des résultats insuffisants, l’éducatrice programme une activité sportive en dehors des horaires habituels. Chef Corrine, par exemple, programme assez régulièrement des séances de home-trainer entre 2 et 3 heures du matin.
A11. Accoutumance normale à la fessée, au paddle et à la trique
Très rapidement le soumis doit se familiariser avec les coups reçus sur la presque totalité du corps mais ce sont le dos les fesses et les cuisses qui souffrent le plus.
Les éducatrices observent et photographient l’état des soumis avant chaque nouvelle séance et décident de l’instrument à utiliser. Une fois l’instrument choisi, c’est le soumis qui l’apporte à son éducatrice en marchant à genoux avant de s’installer.
Les éducatrices alternent en général les types d’instruments. Le paddle en cuir non perforé semble excellent pour préparer une punition et activer la remontée sanguine. Le paddle en bois bien appliqué également.
Maitresse Corinne en particulier est une adepte du gros paddle en bois qu’elle utilise pour frapper à deux mains en début de formation pour marquer son autorité et briser un soumis. Le paddle large en bois possède la particularité de décoller assez vite la peau par échauffement rapide.
La canne ou la cravache d’équitation est parfaite si l’on souhaite zébrer un fessier pour marquer son autorité ou bien punir ou faire marcher. Dany trouve très amusant de quadriller un fessier à la canne, il est rare qu’un de ses soumis n’y ait pas droit en séance de distribution forfaitaire. Elle le prévient qu’elle va jouer aux dames. La canne est particulièrement redoutée car la douleur est intense, diffuse et tenace. Le paddle perforé a une double action et laisse de belles marques pour rapidement rythmer un soumis.
Beaucoup d’éducatrices changent souvent d’instrument. Il est très important pour marquer l’esprit du soumis de le contraindre à compter les coups à haute voix. La plupart des maitresses n’annoncent jamais par avance le nombre de coups qu’elles vont administrer. Le « merci chef » ou « merci maitresse …… » est obligatoire après chaque coup reçu, précédé de 1,2,3……
Pour des raisons de santé des punitions peuvent être remplacées par d’autres. Exemple, un soumis présentant un fessier écarlate en cuisson se verra remplacé une fessée par 25 ou 30 coups de canne sur chaque molet.
A.12 Désinhibition totale du soumis et connaissance de la femme.
Le soumis au centre, s’il n’a plus aucune activité sexuelle avec une femme, doit néanmoins apprendre à se désinhiber totalement par rapport aux femmes. Ainsi, chaque éducatrice programmera des séances éducatives particulières : découverte et adoration des pieds de son éducatrice, apprendre à lécher avec douceur et savoir-faire un anus féminin et bien entendu découverte du sexe de la femme par travail unique de la langue et du nez. Un atelier « adopodo » (adoration des pieds) est normalement prévu chaque semaine dans les programmes éducatifs.
Toutes ces mesures ont pour effet de mettre en action la libido des soumis
Pour activer et exciter encore un peu plus leurs soumis, les éducatrices se les prêtent mutuellement le temps d’une lèche par exemple. En effet, les éducatrices modifient les emplois du temps au dernier moment. Ainsi l’un des deux soumis de Sophia est prévenu au dernier moment qu’entre 20 et 22h il est programmé ADOPODO chez Corinne. En échange Corinne prête un soumis à Sophia pour une lèche de longue durée.
A.13 Castration progressive
Les soumis se désengagent brutalement de la sexualité lorsqu’ils sont en mode A, tant le programme est dur et intensif. Ils sont nous le savons dans l’impossibilité de se masturber et peu à peu l’envie de sexe les quitte.
Peu à peu, ils vont être enfermés de force dans un besoin de performance sportive et donc fatigués. C’est une forme de castration à laquelle on assiste.
La seule sexualité dont ils peuvent bénéficier en plus de la pratique régulière et passive de la sodomie consiste dans l’adoration des pieds de leur éducatrice, la lèche anale ou vulvaire dont ils restent friands. Ainsi, les éducatrices estiment que la lèche est une récompense.
Voici le barème d’attribution qu’elles imposent :
A T.Bien travaillé = lèche vulvaire
A Bien travaillé = lèche anale
Elève correct = lèche complète des pieds avec odeurs intimes
Des éducatrices témoignent que durant les premiers mois de privation complète de sexe, les soumis ont un comportement totalement bestial en présence des odeurs intimes de leurs éducatrices. Le dernier soumis sous la coupe de Dany, connu pour ne pas être un fétichiste des pieds, privé de sexe depuis 5 semaine fût pris d’une excitation démesurée alors qu’il était en séance ADOPODO et que son éducatrice lui apprenait à lécher correctement une voute plantaire en faisant bien travailler toute la bouche. Dany fût contrainte d’arrêter la séance et de monter en salle d’éducation punitive pour remettre son soumis sur le droit chemin.
A.14 Régime alimentaire stricte
Plusieurs règles régissent l’alimentation des soumis.
Les soumis avant même l’intégration sont prévenus qu’ils seront nourris de manière diététique et saine avec de bons produits élaborés pour le sport et l’effort. En première semaine lors des examens l’éducatrice décide du type de régime :
Régime constructif : prise de poids rapide, régime protéiné pour musculation, farines a****les, fortifiants musculaires.
Ou Régime amaigrissant.
Les soumis reçoivent une ration de paté trois fois dans la journée. Sauf pour des raisons diététiques la pâté est la même du début à la fin du stage. L’eau est à volonté. Les soumis mangent en cellule ou hors cellule selon le timing des exercices.
Les pâtées sont insipides et plutôt grasses. La pâtée est une nourriture équilibrée et bonne pour la santé. Le soumis devra s’habituer rapidement à cette allimentation. En début de stage certains soumis rechignent à avaler cette nouriture nouvelle. des sanctions sont immédiates et sévères. Il est arrivé aussi, mais très rarement qu’un soumis la vomisse, dans ce cas aucune sanction n’est prise. En revanche la ration suivante est doublée et doit être ingérée dans les 7 minutes réglementaires. Un soumis rythmé mange bien sa pâté et avec appétit.
Les repas peuvent être décalés dans la journée au bon vouloir des éducatrices donnant toujours priorité aux exercices et au sport. Exemple : Sophia travaillant avec son soumis en «GYM au sol » toute la matinée du mardi de 7h à 12h. Suite à des retard de non compréhension, des prolongations d’entrainement et des répétitions ont lieu jusqu’à 14h00. Le soumis s’alimente au sol à 14h30 (durée 7 minutes) puis doit immédiatement filer en salle de préparation pour s’équiper et pour réintégrer au plus vite la salle d’entrainement : Programme « Entrainement marche cadencée au siflet » jusqu’à 20h00.
La durée pour alimentation est fixée à 7 minutes, durée suffisante pour absorber une ration standard, au-delà le soumis est sanctionné. Les éducatrices prennent un certain plaisir à chronométrer leurs soumis en début de formation.
Les éducatrices ont la possibilité d’ajouter les compléments alimentaires qu’elles souhaitent dans la pâtée de leur soumis. (Pour augmenter la masse musculaire ou pour faire tomber la libido)
A15. Exercices d’obéissance et de discipline
La discipline est la principale préoccupation des formatrices. Ceci est une évidence. En conséquence, la période A voit l’emploi du temps des soumis presque totalement consacré à des exercices physiques tendant à formater le soumis à une totale obéissance : marche cadencée, exercices au manège avec commandement au fouet, Endurence au tapis de course ou au home trainer, formations pour augmenter la rapidité des gestes d’obéissance et de soumission. A toutes ses formations viennent s’ajouter les entrainements sportifs eux aussi constituant un vecteur indissociable en matière de formation à l’obéissance et respect de la dominante.
La discipline se vit au quotidien pour le soumis. Chaque action demandée est régie par un critère de discipline. Les éducatrices ne laissent rien passer, pas la moindre incartade au règlement. Une maitresse en colère ou insatisfaite cela engendre des punitions douloureuse ou humiliantes. Le soumis rhytmé le sais et travaille dur pour satisfaire son éducatrice.
A16.Nuance entre punition et correction.
La punition est décidée quand un soumis réalise mal un exercice qu’il connait, qu’il nest pas suffisament concentré sur ce qu’il lui est demandé ou quand il n’a pas respecté les règles ou que son comportement est inconvenant ou inapproprié. Les punitions sont toujours sévères.
La correction est appliqué lors d’un apprentissage. Quelques coups de badine aideront un soumis à monter plus haut les genoux pendant un exercice de marche équestre par exemple. C’est efficace, le soumis pour éviter la désagréable sensation du coup sur la cuisse s’appliquera à monter le genou à la hauteur éxigée par sa maîtresse.
A17 . séance lavement
Chaque quinzaine, le soumis placé en mode A passe obligatoirement par la case (NIL) : « Nettoyage interne par lavements ». Il y a droit bien entendu pour la première fois durant sa semaine d’intégration. La séance NIL dure un peu plus d’une matinée complète, débordant souvent sur l’après-midi et se déroule en salle d’examens. Ce n’est pas une journée très agréable pour le soumis. C’est une dure journée de travail durant laquelle le soumis va devoir être extrêmement attentif aux instructions reçues essentiellement pour la tenue, la marche, la rapidité d’exécution. En effet même si l’apprentissage de la marche n’a aucun rapport avec le lavement qui est une mesure d’hygiène, c’est l’occasion pour une éducatrice de pratiquer des mesures de discipline supplémentaires pour rythmer rapidement son soumis. Elles permettent à l’éducatrice d’asseoir totalement son autorité. Le soumis va au lavement dans l’ordre, l’obéissance, et au pas. De plus, le premier NIL permet de mener une action très positive pour désinhiber les nouveaux soumis. En effet, se retrouver placé dans des situations aussi vexantes sous les yeux d’une femme dominante est une épreuve psychologique que les soumis apprennent à surpasser. Les éducatrices le savent et en usent au plan de la discipline. Sophia par exemple décide souvent un lavement non programmé sur un soumis récalcitrant ou qui ne marche pas au rythme comme elle l’entend. Elle estime qu’au plan disciplinaire c’est une étape complète, formatrice, cassante et très positive pour assouplir.
Le soumis est placé à jeun complet 24h avant, parfois un peu plus comme avec Corinne, toujours plus dure que ses homologues, et qui fait respecter 30h de jeune. Le matin de la veille, il n’est pas nourrit. A ce moment le soumis a compris qu’il est préparé pour le NIL du lendemain.
Voici le déroulement d’une séance type. L’objectif outre l’aspect disciplinaire et très vexatoire de la séance, consiste à obtenir des intestins toujours bien dégagés et sans embarras ainsi qu’un sphincter souple, ouvert, élastique et toujours disponible.
En effet la nourriture administrée au centre sous forme de pâtée alimentaire 3 fois par jour occasionne souvent des adhérences tenaces au plan des parois intestinales et donc des états de constipation répétés. Ces constipations nuissent la plupart du temps aux performances des soumis. Lors de la première semaine à l’intégration, le soumis est privé de sa ration alimentaire matinale et doit avaler une soupe spéciale dite de purge.
La séance débute à 8h00 précises. Le soumis dès 7h30 se prépare en salle d’équipement puis il se place en attente disciplinaire, à droite de la porte selon les consignes. Il est nu, porteur de ses appareillages habituels, La cage de chasteté pour tous, certains sont baillonnés ou portent la muselière disciplinaire avec ou sans plug. Le parcours entre la salle d’équipement et la salle d’examens est assez long, il impose la traversée complète du centre et il s’effectue toujours en marchant au pas. Dès la première séance, le soumis est éduqué et conditionné à respecter parfaitement la procédure pour s’y rendre. Le soumis est dans un véritable bain disciplinaire. C’est ainsi que les éducatrices considèrent qu’un soumis doit fonctionner.
Le soumis marche bras plaqués au corps et doit regarder uniquement face à lui, menton relevé à l’écoute des ordres donnés au sifflet par sa maitresse. Ce cérémonial est important car comme le dit Sophia, un bon soumis doit marcher au pas dans la joie même pour aller en salle de punition, d’exercice ou autre. Le soumis une fois arrivé, passe directement à la douche froide puis aussitôt placé en « banc de travail » en grimpant tout d’abord sur une petite échelle sur laquelle il attend les ordres de sa maitresse. Le banc de travail est une structure en métallique disposée au-dessus d’une sorte de baignoire. Cette partie de la salle d’examens est entièrement carrelée. L’éducatrice ferme la porte. Le soumis se trouve alors en position agenouillée et est solidement sanglé aux chevilles, aux mollets, aux cuisses et à la taille pour assurer une parfaite immobilisation. Ses mains sont attachées à une traverse métallique par des liens spéciaux imperméables. Le plug est extrait le cas échéant. La tête est repoussée vers le bas, son corps à 45 degrés, le regard en direction du fond de la baignoire. Les éducatrices diffusent en général pendant la séance des musiques douces et décontractantes. La séance débute par une vérification de l’anus, et de l’état général du sphinter, puis l’éducatrice fait basculer le soumis à 60 degrés afin de faciliter son travail. Une grosse canule lubrifiante reliée à une pompe et à un réservoir est introduite profondément dans l’anus du soumis. La pompe est actionnée au sol et au pied. Elle permet d’injecter efficacement un produit lubrifiant (lubri200) et décontractant dilué et légèrement chauffé pour bien huiler les intestins. Le soumis conserve la canule et la position 30 minutes. L’éducatrice actionne fortement la pompe toutes les 10mn environ pour bien inonder le rectum sous pression. Le soumis est systématiquement porteur du bâillon bloquant et ne peux s’exprimer. Le soumis a pour ordre de tendre et détendre les muscles du bassin au rythme musical et bien serrer les muscles du rectum autour de la canule. L’éducatrice opère son travail au chronomètre et observe les mouvements fessiers du soumis lors des injections. C’est en générale à la cravache qu’elle motive le soumis si besoin. La très forte pression du liquide compresse le rectum et n’est pas agréable mais cette préparation est indispensable. La pression hydraulique vient heurter le fondement du soumis créant une vague de chaleur. La canule est ensuite extraite pour réaliser un doigté profond de vérification. Il arrive souvent qu’une éducatrice décide d’administrer une seconde injection si elle estime que la cavité n’est pas assez lubrifiée. L’éducatrice prépare alors l’injection suivante qui est réalisée grâce à une pompe elle aussi introduite dans l’anus. En effet le soumis pour avoir une zone anale bien décontractée et très souple va recevoir une injection spéciale de Analsoupl 44. C’est un produit lui aussi assez gras destiné à assouplir les parois anales supérieures pour les fortifier et les rendre plus élastiques. Deux injections sont nécessaires, la première en superficie, la seconde un peu plus en profondeur. L’éducatrice prévient le soumis quand elle fait l’injection car le soumis doit pousser et détendre ses fessiers au maximum pour un bon résultat. Le soumis reste au repos une dizaine de minutes après les deux injections. Il est bouchonné avec un plug noir épais et volumineux afin de conserver les bienfaits du produit.
Il est environ 10h00 et on va débuter les lavements. Les réservoirs de lavpur sont accrochés au-dessus de la baignoire et les pompes à injecter sont prêtes. Les lavements durent environ 2h30. Le remplissage va débuter. Le soumis est prévenu qu’une fois le premier remplissage effectué, il doit serrer sa zone anale pour conserver le produit le temps nécessaire. Le soumis une fois « complet » c’est-à-dire bien rempli doit conserver jusqu’à l’enlèvement du bouchon. Deux lavements successifs ont lieu, le premier pour décaper, le second pour nettoyer. Lorsque la canule est introduite, le liquide de lavement va commencer à remplir les intestins du soumis. Au bout de 20 minutes, l’éducatrice place sa main entre le ventre et la ceinture de maintien et attend un remplissage qu’elle estimera complet selon ce qu’elle décidera. Dany pratique des remplissages maxi afin comme elle le dit obtenir des intestins propres et nets. Une fois rempli le soumis est bouchonné et reste en attente de sa première vidange. Au bout de 30 à 40 minutes, le banc est retourné et le soumis est immédiatement libéré du gros bouchon canule. L’éducatrice surveille à ce stade si le soumis est bien étanche. Juste avant la libération du liquide, le soumis doit se concentrer et reçoit l’ordre « pousse, libères toi ! » de pousser avec son sphinter et ses muscles ventraux pour obtenir un jet d’évacuation net et puissant. L’évacuation terminée, le soumis est replacé en position pour un second remplissage et une nouvelle évacuation. Si l’éducatrice considère que le liquide expulsé n’est pas suffisament limpide, un troisième remplissage sera effectué. Le soumis une fois libéré est immédiatement conduit au pas pour consommer sa pâté en double ration sur laquelle il se jette en général.
Ajouter un commentaire