L’aventure que je vais vous raconter, je l’ai vécue il y a une trentaine d’année.
Je dois aller à Cherbourg pour participer à l’anniversaire d’une amie en espérant bien avoir une aventure pour le week-end. Pour tout avouer, souvent le soir, je regardais des films pornos que j’avais déniché dans le grenier de mon grand-paire. Je m’installais dans ma chambre et me caressais au rythme des gémissements des actrices sous les assauts d’hommes infatigables. Je m’identifais aux actrices et je jouissais souvent comme ça en solitaire. Mais une vraie bite de mâle me manquait cruellement.
Je vous laisse donc imaginer l’état de tension dans lequel je me trouve à l’idée de me rendre à cette fête. Je part doc pour la ville portuaire en faisant du stop. Dans la tenue où je me trouve un camion énorme s’arrête.. Je grimpe difficilement dans l’engin. Un homme, dans la cinquantaine, dégarni et un peu bedonnant, me demande d’une voix grave et vibrante :
« Tu vas où gamine !? »
« Je vais à Cherbourg Monsieur ! »
« T’as d’la chance ma poulette, je vais aussi là-bas. Bienvenue à bord ! »
« Merci Monsieur ! C’est gentil de me prendre ! »
Il rit de bon cœur sur le double sens de ma phrase.
Rassurée par sa bonhomie, je me détends et nous entamons la conversation. Curieux qu’une jolie fille fasse ainsi du stop, il me demande :
« T’as pas peur ? Une belle gamine comme toi à faire du stop ? »
« J’ai pas un rond Monsieur et je dois me rendre à Cherbourg pour l’anniv.. d’une copine. »
Il a mis le chauffage à fond et je commence à avoir chaud.
« Y fait chaud dans votre camion Monsieur! »
« Ha ha ha ha ! Tu peux même te mettre à poil si tu veux ! Ha ha ha ha ! Alors comme ça, t’es fauchée ? Tu veux gagner un peu d’blé ? »
Méfiante du tour que prend la conversation, je reste muette.
« T’inquiète poupée ! J’vais pas t’violer ! J’te donnes 50 balles si tu’m montre tes nibards ! »
Pour souligner son discours, il sort les billets qu’il pose sur le siège entre nous. Ces billets sont tentant pour moi qui n’es pas un rond. Après une longue hésitation, je soulève mon tee-shirt et le routier ma poitrine offerte.
Le conducteur me dit alors, d’une voix rauque :
« Wahooo quels nibards !! Tu veux plus de fric ? »
Je réponds timidement d’un mouvement de tête affirmatif. Il pose d’autres billets sur le siège et me dit :
« Ils sont à toi si tu me montre ta chatte ! Allez fout-toi à poil !»
Craintive de la tournure que prend les événements, j’hésite. Mais l’appât du gain l’emporte et je me met nue dans la cabine, honteuse mais aussi gagnée par une sorte d’excitation. Malgré moi je mouille et il le remarque.
Sous mes yeux écarquillés, il ouvre sa braguette, dégage son sexe raide au gland luisant. Le camionneur, rassuré par ma docilité, me dit d’un ton ferme en mettant d’autres billets sur la banquette :
« Suces-moi petite pute ! »:
Des images de pornos que je regardais dans ma chambre, me passe dans la tête. Moi qui m’identifiais à ces actrices, me voilà au pied du mur dans la réalité.
Comme dans ces films, comme une automate, je me penche sur son engin et avance une main tremblante pour caresser sa hampe. Puis, armé de courage, je prends son gland doucement dans ma bouche et commence à le sucer. Il arrête son camion sur une aire de repos et me voyant disponible,il me retourne et me prend d’un coup en levrette. Il me prend comme une pute et je me console en me disant que je n’avais jamais gagné autant d’argent en si peu de temps.
En me limant, du pouce, il me taquine la rosette. Mon sphincter palpite sous la caresse. Tant et si bien qu’à un moment il y enfonce profondément son doigt, m’arrachant un cri de surprise. Il continue le traitement en imprimant de lents allers-retours. Son pouce explore mon cul avec une détermination qui m’inquiète un peu.. Brusquement, il sort de mon vagin, pose son gland sur mon anus et pousse fermement en s’agrippant à mes hanches et en me tirant vers lui. Je retiens ma respiration et sens son engin dilater mon petit trou du cul. Je sers les dents pour ne pas crier. J’ai l’impression d’être écartelée. Mon ventre s’enflamme et je commences à haleter tandis qu’il imprime un mouvement de va et vient entre mes reins. Une chanson de Gainsbourg me transperce l’esprit.
Ramonée avec vigueur, je me cambre et pousse me fesses vers l’arrière, afin de m’empaler encore plus sur son pieux. Je suis sa pute. En me bourrant le cul, il me malaxe les seins avec vigueur.Une vague de plaisir m’envahit qui m’amène à l’orgasme..
A ce moment, je sens son sexe se contracter en spasmes successif pour se vider au fond de mes entrailles. Je m’effondre repus de tant d’émotions.
Sans un mot, il redémarre satisfait. Épuisée, je m’endors nue sur la banquette. Quelques minutes plus tard, je reviens à moi. Le cul un peu douloureux, je sens son sperme visqueux glisser de mon anus. J’att**** quelques mouchoirs en papier pour m’essuyer et remets mes vêtements.
Nous arrivons à Cherbourg. Le routier me demande :
« Ca va ? Bien remise ? »
« Oui merci Monsieur. »
Quand il me déposa vers la gare, et me glisse :
« Peut-être à une prochaine fois ? »
Je lui souri en prenant ma « prime ».
« Ho ! C’est gentil Monsieur. Merci de votre générosité ! »
En un peu moins d’une heure, je me suis. Je n’avais jamais eu autant d’argent en si peu de temps.
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