Plusieurs semaines s’étaient écoulés depuis notre folle expérience.
Pour ne pas se lasser, nous avions laissé de côté nos « cochonneries » et nous étions revenu à quelque chose de plus consensuelle, de plus classique. Le problème, c’était que j’en redemandais. Après autant d’excitation, tout me paraissait fade en comparaison. J’avais adoré l’humiliation provoqué par Charlotte, ma petite amie, et je voulais redevenir son cochon. Je voulais passer ma journée à quatre pattes, à lui obéir.
Un soir, je lui fis part de mon envie. Elle souria, et me dit qu’elle avait la même idée en tête. Elle adorait elle aussi jouer la petite truie et s’amuser avec moi. Mais elle m’a proposé quelque chose de différent pour pimenter nos ébats : inviter une troisième personne.
Charlotte est étudiante à la fac et elle avait pas mal d’amis que j’avais toujours trouvé jolies. Elle me disait qu’elles étaient toutes plutôt coincés et qu’elles refusaient souvent de parler de sexe.
– Pourquoi les inviter à nous rejoindre si elles sont autant coincés ?, lui demandais-je.
– Parce que c’est le meilleur moyen de les décoincer.
Elle avait raison. Et à l’idée d’imposer nos perversions à une innocente étudiante, j’étais déjà tout excité.
Charlotte s’occupa de tout et un soir, une certaine Maud frappa à la porte.
Maud était une jeune étudiante un peu timide, mais délicieuse à regarder. Petite, brune, avec des formes juste là où il fallait : de belles hanches, une poitrine généreuse et un cul tout rond. Mais elle cachait ses atouts sous des vêtements amples et on ne pouvait que les imaginer. Et se plonger dans ses yeux entourés de maquillage, ses grands yeux marrons. Marron cochon ?
Le plan, c’était de la décoincer. Et Charlotte avait des idées très précises en tête. Moi j’étais son complice et quand Maud entra chez nous, j’étais déjà tout excité. Elle ne s’attendait pas du tout à ce qui allait lui arriver. Rien de méchant, mais quelque chose qui allait profondément la changer, et lui faire découvrir les plaisirs de l’humiliation.
On lui servi quelques verres, pour qu’elle se mette à l’aise et quand il faut l’heure de se mettre à table, Charlotte lui amena son assiette. Mais au lieu de la déposer à table, elle la pose par terre. Surprise, Maud nous regarda sans comprendre. Charlotte lui fit alors signe de se mettre à quatre pattes et de manger comme un a****l.
Choquée, Maud protesta, mais Charlotte eut les mots pour la faire accepter cet ordre insultant. Pensant qu’il s’agissait d’une blague et déjà un peu ivre, Maud s’exécuta, et se mit à quatre pattes devant nous, mangeant à même l’assiette, sa bouche dégoulinant de sauce.
– Alors Maud, c’est bon ?
On était debout à côté d’elle, à la regarder manger à quatre pattes dans son assiette. Elle était embarrassée, ça se voyait, elle rougissait et ne savait pas trop comment réagir. Mais comme on n’arrêtait pas de la regarder avec insistance, elle continuait d’ingurgiter son plat, comme un petit a****l apeuré.
Quand elle eut fini de manger, elle se releva aussitôt. Je pensais qu’elle allait décider de partir sans demander son reste, mais elle s’écroula sur le canapé, toujours un peu ivre, et surtout, curieuse de savoir ce qui nous a pris.
– Pourquoi m’avoir imposé ça ?, demanda-t-elle.
Je laisse à Charlotte le soin de répondre à ses questions.
– C’est un jeu. On s’est dit que ça te plairait.
– C’est un peu étrange.
– Je te l’accorde. Mais excitant, non ?
– Et bien…
Elle rougit encore plus.
– Et bien je dois avouer que…
Charlotte posa alors sa main sur la cuisse de Maud.
– Reste encore un peu, les choses pourraient devenir encore plus amusantes…
– Vous me proposez un plan à trois ?
– On te propose plus qu’un plan à trois.
– C’est à dire ?
Je sentais l’excitation monter à moi à mesure que Maud devenait de plus en plus curieuse. L’alcool et le charme de Charlotte faisaient leur effet.
– Reste un peu, tu vas voir. Je suis sûr qu’une petite cochonne se cache en toi, ma belle…
– D’accord. Je veux bien jouer.
Enivrée, Maud semblait se décoincer.
– Alors, à quoi allons nous jouer ? Je veux bien m’amuser, mais rien de trop vulgaire hein…
– Non, ne t’inquiète pas…
On sentait bien l’ironie dans la voie de Charlotte.
– Restes ici, Maud, on revient. Reprends un verre si tu veux. Mets toi à l’aise surtout…
Sur ces mots, Charlotte m’entraîna avec elle dans notre chambre, pour me rappeler le déroulement de la soirée.
– Tu te souviens la surprise que je t’ai fait l’autre jour ?
– Et comment ! Je ne l’oublierais jamais.
Je ne pus m’empêcher de l’embrasser langoureusement, avec déjà une forte érection.
– Pas tout de suite, petit goret. Garde ton énergie pour plus tard. Garde ton énergie pour Maud. Et aide moi à préparer les accessoires.
On était comme un couple de fermiers qui s’apprêtait à s’occuper de leur bête. Mais à s’en occuper avec beaucoup de perversion à l’esprit…
Pendant ce temps, Maud attendait toujours dans le salon et venait de finir un nouveau verre. Elle était vraiment curieuse de savoir ce que ses amis lui réservaient. Elle avait toujours trouvé beaucoup de charme à Charlotte et Paul était un charmant garçon. Elle avait eu peu d’aventures sexuelles et pour la première fois, elle ressentait un vrai désir, une envie de passer à l’acte et de partager ce plaisir avec ses deux amis. Un plan à trois, c’est ce qui l’attendait. Juste un plan à trois et beaucoup de plaisir.
Soudain, elle sentit une ombre passer au dessus de sa tête et on lui baillona la bouche, puis les yeux. Elle ne cria pas, pensant que cela faisait partie du jeu. Mais elle perdit vite connaissance.
Lorsqu’elle se réveilla, Maud se trouvait dans une flaque de boue.
On voulait pas lui faire de mal, mais pour l’amener dans la boue, il n’y avait pas d’autre moyens que de lui faire perdre connaissance. Rien de méchant, juste les préliminaires d’un jeu pervers.
Ses grands yeux étaient choqués lorsqu’elle réalisa ce qui lui arrivait. Charlotte eut un fou rire et s’exclama :
– Regardes ce que tu as fait, Maud ! Tu es toute sale ! Tu es pleine de boue ! Vilaine petite cochonne !
Maud voulut lui répondre mais Charlotte lui posa une main sous la bouche.
– Écoute moi bien, ma jolie. Tu as toujours été la petite sainte coincé et j’ai toujours eu ce fantasme. Le fantasme de te voir devenir un a****l, de te transformer en petite salope. Tu sais que tu es une salope au fond de toi et tu vas prendre beaucoup de plaisir à te laisser aller, à devenir celle que tu es vraiment. Fais nous confiance et amuse toi !
Elle ne semblait pas convaincu au départ. Elle essaya encore une fois de dire quelque chose mais cette-fois, Charlotte la poussa de nouveau dans la boue.
– Tais toi ! Tu ne peux plus parler seulement. Tu es devenue notre cochonne. Tu n’es rien qu’une petite truie. Et les petites truies ne parlent pas, elles couinent. Couine, Maud, couine !
Maud avait les larmes aux yeux. Elle refusait de couiner. Charlotte lui arracha alors le haut de son chemisier. Elle se retrouvait en soutien gorge et on pouvait déceler de l’excitation chez elle, avec ses seins qui pointaient et ses joues qui rougissaient dans un mélange de honte et de désir. Il fallait juste prendre son temps.
– Couine, petite truie !
Toujours rien. Charlotte lui arracha son soutien gorge, dévoilant une belle paire de seins bien fermes, tout ronds, deux beaux fruits qui bondissait à chacun de ses mouvements d’angoisse.
– Allez, montre nous que tu es une petite truie ! Couine !
Et puis elle s’exécuta. Elle regarde Charlotte avec ses grands yeux et poussa un couinement digne d’une vraie petite truie, suivi de grognements qui m’excitèrent comme un dingue.
– C’est bien, tu es une belle gorette. Je sens qu’on va s’amuser.
Et la belle petite gorette me faisait un effet fou. Je croyais que voir Charlotte déguisé de cette manière avait été l’apothéose de mon excitation mais quelque chose dans le regard de Maud poussait encore plus loin ma libido. Contrairement à ma petite amie, notre invitée se roulait dans la boue et poussait des couinements contre son gré. Elle était humiliée et son humiliation me faisait bander comme jamais je n’avais bandé. Quand Charlotte me proposa de prendre sa place et de m’occuper de Maud, je n’hésita pas une seconde et m’avança vers notre captive, avec la plus belle des érections.
– Je croyais moi aussi que tu était une fille coincée mais au fond de moi, j’ai toujours voulu te sauter. Je t’ai toujours trouvé bandante et j’ai jamais pu m’empêcher de te mater, d’observer tes formes bien rondes sous tes gros pulls et tes chemises bien serrés. Alors imagine à quel point je suis heureux de te voir comme ça, à quatre pattes dans la boue avec ta belle paire de seins bien dressé devant moi.
Elle me lançait un regard à mi-chemin entre la frayeur et le désir. C’est comme ça que je l’interprétais en tout cas. Elle devait bien voir la bosse qui s’était formé à mon entrejambe. Et j’étais sûr qu’elle aussi, elle a toujours eu envie de moi. Quelle petite salope…
Tandis que Charlotte s’était assis à côté de nous pour savourer le spectacle, je fis un nouveau pas en direction de Maud et m’ agenouilla devant elle. Elle frémit mais je passa la main sur son visage, lui caressant la joue pour la rassurer.
– N’aie pas peur, Maud. Tu sais bien que tu as toujours eu envie que je te touche, que je te prenne comme la petite salope que tu es.
Ma main glissa alors sur son cou, puis sur sa poitrine. Avec les doigts, je me mis à caresser ses seins l’un après l’autre. Deux beaux gros seins qui tenaient à merveille dans mes mains. Plus je la caressai, plus je bandais et plus elle gémissait, timidement.
– N’aie pas honte. Je sais que tu adore ça. Laisse toi aller. Ne gémis pas, grogne ma jolie cochonne.
Au début, elle ne m’a pas obéit mais après une bonne petite fessée, elle se mit à grogner maladroitement. D’abord avec sa gorge puis avec son nez, imitant étonnement bien les grognements d’une cochonne.
– Bien, continue…
Je la caressai de haut en bas, descendant jusqu’à son entrejambe. Elle grogna de plus belle. Charlotte commençait elle aussi à se toucher dans son coin, profitant de la situation pour se donner du plaisir. Et la bosse de mon pantalon ne cessait de grossir jusqu’au point où je décida de défaire ma ceinture et de laisser sortir au grand jour mon sexe dressé. Plus dur et long que jamais.
J’avais envie que Maud le prenne en mains, le suce et l’empare pour le placer contre son sexe chaud. Mais avant tout, je voulais rendre les choses encore plus excitantes. J’avais gardé dans la poche le nez de cochon en plastique que m’avais offert Charlotte et je le plaça sur celui de Maud, qui tremblait.
– Voilà. Comme tu es belle comme ça. Ça te va très bien. Maintenant, tu va prendre ma queue, la branler et continuer à grogner comme la petite truie en chaleur que tu es…
Les larmes aux yeux, le regard perdu, elle s’empara de ma queue. Le contact de sa main sur ma peau gonflée d’excitation me fit trembler. Malgré la peur qui la saisissait, elle commença à me branler, d’abord timidement, puis de plus en plus vigoureusement à mesure que je la menaçais.
– Allez Maud, secoue moi cette grosse queue, je sais que tu es une grosse gourmande, fais toi plaisir, fais moi plaisir petite truie !
Elle avait beau jouer les timides, je sentais bien qu’elle était impressionné par la grosseur de mon sexe, plus dur que jamais. Elle s’attardait malicieusement et n’hésitait pas à descendre me chatouiller les couilles du bout des doigts, la cochonne.
Son nez de cochon tomba par maladresse et elle le remit aussitôt. Soit par peur que je la réprimande, soit parce qu’elle commençait à se prendre au jeu. Une fois l’accessoire remis en place, je la pris par les cheveux brusquement pour l’obliger à me sucer. Elle poussa un couinement involontaire et se retrouva avec ma queue gonflée dans sa bouche étroite. Elle prit rapidement le contrôle de la situation en léchant goulûment mon gland. Je savais qu’elle s’en donnait à coeur joie et je la surpris même en train de grogner alors qu’elle passait sa langue le long de mon sexe. Le bruit qu’elle faisait en me taillant une pipe, ses grognements, ses petits yeux porcins qui me regardaient innocemment, tout ça me rendait fou et je me mis à éjaculer dans sa gorge chaude. Comme une explosion.
Le sperme lui dégoulinait au bord des lèvres et sur le groin. Elle avait de la boue jusqu’aux genoux. De loin, Charlotte applaudit le spectacle. Je posa ma main sur ses long cheveux de Maud et lui caressa la tête comme on caresse un a****l pour l’encourager ou le féliciter.
– Tu a la bouche pleine de sperme. Vilaine petite cochonne.
Charlotte n’en pouvait plus d’assister au spectacle de loin, passive. Elle mouillait comme une folle et ne pouvait plus se retenir plus longtemps de prendre part à l’action.
Elle s’approcha de moi et me glissa quelque chose à l’oreille. Quelque chose qui me plu tout de suite. La bouche toujours pleine de sperme et le corps sali par la boue, Maud nous regardait avec des larmes aux yeux et beaucoup d’inquiétude. Qu’allait-il lui arriver maintenant ?
Et bien, c’était encore une idée de ma chère et tendre Charlotte. Plutôt que de me voir dominer cette jeune femme coincée, elle voulait nous humilier tous les deux. Elle me poussa alors dans la boue et je me retrouvais dans le même état que Maud.
J’eus le droit moi aussi à un groin de cochon et à toute la cruauté de Charlotte. Elle m’enleva mes fringues et mon pantalon et me mis une petite claque sur les fesses en riant : « Voilà, maintenant j’ai une petite truie et un gros cochon… Amusez vous bien ! ».
Contrairement à Maud qui était encore toute apeurée et pleine de honte, j’étais ravi de reprendre mon rôle d’a****l. Je me mis à quatre pattes, le cul en l’air, le groin en avant et je me mis à tourner autour de Maud, assise bêtement dans la boue.
Charlotte nous regardait et commença à se doigter furieusement : « Oui, vas-y mon goret, va renifler ta petite cochonne, elle est pour toi, montes là ! ».
Elle avait désormais sa propre porcherie, son spectacle personnalisée d’humiliation.
Ajouter un commentaire